Fort-Louis, Hüningen und Neubreisach, wo die Gräben durch Erdaushub entstanden,
stellte sich das Problem nicht.
Rekultivierung des Landes
Es liegt in der Natur der Sache, daß Impulse für die Rekultivierung des Landes, das
durch Kriegsereignisse und infolge Flucht der Bewohner verödet, teilweise sogar wie¬
der bewaldet war, sich nur in der Urkunde für die beiden zur Wiederbesiedlung anste¬
henden Unterstädte von Bitsch und Homburg finden. Die Verfügungen der Urkunde
verdeutlichen das Interesse des Königs an einer baldigen (Wieder) Urbarmachung
(défrichement) des Landes. Die Bewohner der beiden Orte dürfen soviel Land in der
Umgebung der beiden Städte urbar machen, wie sie können, allerdings nicht in un¬
kontrolliertem Zugriff, sondern nach Zuweisung durch den für die Besoldung der hier
stehenden französischen Truppen zuständigen Beamten oder Offizier, den Sire de la
Goupillière64. Für das wieder in Kultur genommene Land wird eine totale Abgaben¬
freiheit auf zehn Jahre gewährt, danach ist nur der Zehnte an den Grundstückseigen¬
tümer zu zahlen. Denjenigen, die verödetes, mit Büschen und Bäumen bestandenes
Land wieder urbar gemacht haben, wird die fortdauernde Nutznießung zugesichert.
Grundeigentümer, die die Rekultivierung selbst übernehmen wollen, müssen innerhalb
von sechs Wochen nach Registrierung der Urkunde dies dem Herrn de la Goupillière
erklären und in den nächsten zwei Jahren auch wirklich durchführen, widrigenfalls
verfallen sie einer Strafe von 300 Livres. Vom agrarwirtschaftlichen Gesichtspunkt her
ist die Bestimmung interessant, daß bei den wieder in Kultur genommenen Ländereien
Wiesen zu Äckern im Verhältnis von 25 zu 75 arpents stehen sollen65.
Verleihung von Marktrechten
Aus der Errichtung von Wochen- und Jahrmärkten und der Verlegung von Märkten
aus der Nachbarschaft in die neuen Festungsstädte läßt sich die Absicht erkennen, die
64 Antoine Bergeron, Herr de la Goupillière, geb. in Ambroise, getauft am 7. 4. 1643 in
Grèves.
65 ... avec pourvoir et faculté de desfricher autant de terres incultes qu’ils en pourront labourer
ez environs des dites villes. Lesquelles terres leur seront assignées et distribuées par le Sire de
la Goupillière ayant la direction du payement de nos troupes estans sur la frontière de Lor¬
raine du costé de la Sarre sans pour ce estre obligés de rien payer pendant dix ans à compter
du jour de l’enregistrement et publication de ces présentes à ceux qui s’entrouveront proprié¬
taires. Après lequel temps de dix ans nous voulions qu’ils soient seulement tenus de payer
ausdites propriétaires la dixme de ce qui proviendra desdits terres moyennant quoy nous voul¬
ions et entendons que les dits habitants demeurent propriétaires incommutables des dites ter¬
res par eux ainsy défrichées et mises en valleur et par ce qu’il pourroit arriver qu’aucuns des
propriétaires desdites terres incultes voudroient les défricher eux mesmes nous voulions qu’ils
en ayent la préfèrance à la charge néantmoins de donner audit sire de la Goupillière dans les
six premières semaines du jour de l’enregistrement et publication des présentes bonne et suffi¬
sante caution de payer la somme de trois cens livres d’amande, s’il ne les défrichent pas et ne
les mettent en valleur deux ans après la dite publication. Voulions en outre et entendont que
nul des nouveaux habitans desdites villes non plus que des propriétaires des terres incultes ne
puisse retenir de terre pour la mettre en valeur que sur la proportion de vingt cinq arpens de
prey pour soixante quinze arpens de terre labourable qu’il entreprendra de défricher et que les
propriétaires qui jouiront actuellement des prairies qui seront en valleur seront tenus et obligés
de les défricher et en faire arracher les buissons et bois qui s’y trouveront entre cy et trois ans
prochains consécutifs à raison du tier par an à peine d’estre privés de la jouissance d’iceux.
(Quelle wie Anm. 23).
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