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Rechtsfragen des täglichen Lebens:
Etwas vom Nachbarrecht .....
Die Inspektion V zu Sulzbach (12 Bilder u.
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Einst, heute, gestern. Unsere Grubenlampe
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Kohlenbergbau in Amerika (9 Bilder) ....
Spitzbergen, das Land des ewigen Eises
(13 Bilder und I Karte)..................
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91—94
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Moderne Hygiene...............
Sport:
Der Schlittschuhlauf (2 Bilder) .
Mutter und Kind:
Aus der Welt der übrigen Technik:
Moderne Kunstschmiedearbeiten (5 Bildert . . 51— 51
Der größte unterirdische Kanal der Welt(2 Bilder
und 1 Karte)............................... 86-88
Das Bier, ein Gang durch eine moderne
Brauerei (14 Bilder)......................... 129—136
Ein Kinderjäckchen für Kinder von 1—2 Jahren
Unsere Schulbuben und -Mädels ...................
Bastlcrcckc:
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Erfindungen und Entdeckungen:
50 Jahre Telephon (8 Bilder) . . , .
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151-152
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153
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154-155
137-141
Die Geheimnisse der Natur:
Der Sternenhimmel (2 Karten) . . . ; . . . 54—56
Vom Wetter (2 Karten)...................... 88—90
Die Hirschjagd (Bild)..................... 81
Reifen und Verkehr.
Bilder von der Riviera (15 Bilder)........ 35— 38
Spitzbergen, das Land des ewigen Eises
(13 Bilder und 1 Karte).................. 69- 81
Rund um den Mont-Blanc (22 Bilder) . . 104—115
Echternach (1 Bild) . .................... 102—103
Die deutsche Binnenschiffahrt (mit 1 Karte) . . 175—176
Aus unserer Saarheimat:
Geschichte des Sulzbacher Gebiets (6 Bilder) . 30— 34
Des Saarlands Höhen und Ttelen..... 50
Die St. Michaelskirche in Saarbrücken (4 Bilder) 65— 68
Barock und Rokoko an der Saar (12 Bilder) 95—102
Kulturgeschichtliches:
Die Springprozession zu Echternach (1 Bild) . 102-103
Der Schlittschuhlauf (2 Bilder)............ 142-143
Friedrich der Große und Voltaire (1 Bild) . 82— 83
Honoré de Balzac (1 Bild).................. 117
Kunst und Leben:
Moderite Kunstschmiebearbeiten (5 Bilder) . . 51— 54
Das schöne Bild. Unsere Sonderbilder (6 Bilder.) 128—129
Barock und Rokoko an der Saar (12 Bilder) . 95 —lu2
Novellen r
Theodor Storm: Beim Vetter Christian . . 38— 50
Honore de Balzac: Im „Roten Haus" (3 Bilder) 116—128
Voltaire: Jeannot und Colin (2 Bilder) . . 82— 85
Gedichte und Sprüche:
Eduard Mörike, Gedicht: Zum neuen Jahr . 3
.Theodor Körner: Gebet der Bergknappen . . 11
„ „ : Bergmannsleben.............. 29
„ „ : Berglied.................. 64
Fürs Haus:
Arbeitskalender .................................. 4—7
Bienenkalender............................. 4— 7
Bauernregeln .............................. 4— 7
Hhgienische Winke und Rezepte............ . 151—152
Rezepte......................................... 176
Marktverzeichnis ................................. 184
Statistiken der Saargruben:
Belegschafts- und Förder- sowie Lohnziffern . 158—159
Vergleichende Unfallstatistik und Diagramm . 159—160
Personalien:
Berghaupimann Vaudeville (mit Portrait) . . 9— 11
Veteranen der Arbeit ..................... 12— 14
Regierungskommifsion (1 Bild)................. 156—157
Oberbergamt............................. . 157—158
Knapvschaitsoberversicherungsamt.................. 158
Berggewerbegericht................................ 174
Administration des Mines................... 161—170
Die Société des Mines de Frankenholz . . 170—171
Der Saarknappschastsverein ......... 171—174
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Humor (4 Bilder) .............177a, 177-179, 182, 183
Auslösung des Preisrätsels 1926 ................ 177—179
Lösung der übrigen Rätsel.......................... 179
Preisrätsel 1927 ............................. 180-181
Rätsel und Vexierbild.............................. 182
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3um neuen Jahr.
aerr, schicke, was du willt,
£in Liebes oder Leides;
leb bin vergnügt, datz beides
Rus deinen bänden quillt.
Wollest mit Sreuöen
Lind wollest mit Leiden
(Dieb nicht überschütten!
Doch in der Mitten
Liegt holdes bescheiden.
Cd. Mörlks.
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^VVVVVVVVVVVV%iS^»N^\A/v<NAAAAAA<VVVVVVVVVSAA/S/VVVVVVVVVSA>VVVVVVVV%
Januar
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10 M.
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K-kr. 3 König« (Kp.)
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Joh. Chrysostomus
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Petrus Nolascus
Februar
1 D. 2 M. 3 D. 4 F. 5 S. Jgnatiub Viaria Lichtmeß 8 Blastus Andr. Cvrstnus Agatha 1 D. 2 M. 3 D. 4 F. 5 S. Fastnacht. AlbinuS Ascherm. Simplicius Kunigunde 8 Quat. Kasimir Friedrich
6 $. 5. ». Lp. Dorothea 6 S. I.Invoc. Victor
7 M. Romuatd 7 M. Thomas v Aquino
8 D. Joh. v. Matha A 8 D. Joh. de Deo
9 M. Apollonia 9 M. Franziska
10 D. Scholastika 10 D. 40 Märtyrer D
il F. Desiderius 11 F. Eulogius
12 S. Eulalia 12 S. Gregor d. G.
13 S. Septuag. Benignus 13 S. 2. Wem. Euphrasta
14 M. Vatentinus 14 M. Mathilde
15 D. Faustinus 15 D. Longinus
16 M. Juliana A 16 M. Heribert
17 D. DonatuS 17 D. Gertrud
18 F. Simeon 18 F. Cyrillus ®
19 S. GabinnS 19 S. Joseph Nährvater
20 S. Lrrag. Eleutherius 20 S. 3. Kcuti. Joachim
21 M. Eleonora 21 SK. Benediktus
22 D. Petri Stuhls. 22 D. Octav.
23 M. SerenuS 23 M. Otto
24 D. Matthias £ 24 D. Gabriel
25 F. Walb. 25 F. Mariä Neriiüud.
26 S. Alexander 26 S. Schmerzen Mar. $
27 S. sfiorai i. Leander 27 S. 4. Laetare. Rupert
28 M. Romanus 28 M. Guntram
29 D. Eustas.
30 M. Quirinus
31 D. Balbina
März
Bauernregeln im Januar.
Bauernregeln im Februar.
Neujahrsnacht still und klar, deutet auf
ein gutes Jahr. — Morgenrot am ersten
Tag, Unwetter bringt und große Plag. —
Wächst die Frucht im Januar, so wird sie
gewöhnlich teuer und rar. — An Fabian
und Sebastian l20.) soll der Saft in die
Bäume gähn. — Hat Vinzenz (22.) Son-
nenschein, hofft man aus viel Korn und
Wein. — Ist Pauli Bekehrung (25.) schön
und klar, so hofft man auf ein gutes Jahr.
Wie der Februar, so der August. — Jst'S
zu Lichtmeß (2.) licht, geht der Winter
noch nicht. — Auf Lichtmeß laß es Winter
sein, so kommt der Frühling bald herein.—
Ist der Februar feucht und nah, füllt der
Herbst wohl Scheuer und Faß. — Die
Nacht vor Petri Stuhlfeier (22 ) weiset an,
was wir 40 Tage sür ein Wetter han. —
Viel Regen im Februar, viel Sonnenschein
das ganze Jahr.
Bauernregeln im März.
Märzenstaub bringt Gras und Laub. —
Wie das Wetter auf 40 Ritter (10.) ist, so
bleibt es 40 Tage lang. — Jst's am
Josephitag (i9.) klar, so folgt ein frucht-
bares Jahr. — Trockner März, nasser
April und kühler Mai, füllt Scheuer und
Keller und bringt viel Heu. — Rupertus
>27.) man die Bäume raupen muß.
Arbeitskalender für März.
Arbeitskalender für Januar.
Arbeitskalender für Februar.
Die Mistbeete müssen instand gefetzt
werden. Die im Freien eingeschlagenen
Gemüse werden gelüftet. Ziersträucher
werden geschnitten. Die im Herbst einge-
pflanzten Hyazinthen usw. bringt man
zum Austreiben ins Zimmer. — Ein fester
Plan für die Feldbestellung wird aufge-
stellt und neues Saatgut beschafft. Schad-
haftes Inventar wird in Ordnung ge-
bracht. Kartoffel- und Rübenmieten werden
beobachtet und sorgfältig geschützt. Die
Piehställe sind warm zu halten, ohne aus-
reichende Lüftung zu versäumen. Beim
Milchvieh stnd die Futtergaben sorgsam
einzuhalten, namentlich da, wo ein ein-
gesäuertes Futter gegeben wird. Mastvieh
wiegen. Hühnerstall warm halten. —
Aienen-Kalender. Völlige Ruhe. Etwaiges
Brausen beseitigt man durch vorsichtiges
Lüften. *
Mistbeete werden mit Sellerie,Radieschen,
Kohlrabi usw. besät. — Mau legt Obstkerne
und beginnt mit dem Schnitt der jungen
iochstämme, Pyramiden, Spaliere und
rräucher. Lebende Zäune wie Weißdorn,
Hagenbutlen usw. müssen jetzt bereits an-
gelegt werden. — Inventar ausbessern.
Geschirre schmieren, Getreide auSdreschen.
Beobachtung der Keller und Mieten sorg,
sam fortsetzen. Mist und Kompost fahren
und ausbreiten. Bei Tauivetter pflügen,
zuiveilen schon bestellen. Wiesen beim ersten
Tauen kräftig eggen. Steine auflesen auf
Kleefeldern. Viehhaltung wie Januar. Pfer-
den und Ochsen, auw den trächtigen Sauen
Futterzulage. In Hühnerställen neuen Kalk-
anstrich. Gänse legen Eier, Truthühner,
Tauben paaren sich. — Aienen-Kakender.
Schutz den Bienenstöcken. Sonst wie im
Januar.
Der im Herbst auf die Spargelbeete ge-
brachte Mist wird entfernt. — Man ent-
fernt die Schutzdecken von Rosen, Sträuchern
usw. — Beginn der Legezeit für Hühner,
Gänse usw. — Kartoffeln zur Saat aus-
tesen. Rechtzeitig mit Pflug, Krümmer.
Egge und Walze arbeiten. Kunstdünger
streuen. Vreitsaat auf rauhe Furche, besser
Drillsaat auf fein vorbereiteten Acker. Saat-
vestellung beginnt zuerst mit Erbsen. Som-
merroggen, Hafer, Möhren; am Monats-
ende Frühkartoffeln. Wiesen abräumen,
Überdüngen, auf Moorwiesen Thomas-
schlacke. Mistbeete lüften, Gartenbeete ber-
richten. Früherbsen, Zwiebeln, Salat pflan-
zen. — Jungvieh im Freien beivegen.
Zuchtferkel auswählen. Hühner und Gänse
zum Brüten ansetzen. — Zrienen-Aasrnder
Honigarme Bienen füttert man mit Kandis-
zucker. Man öffnet die Fluglöcher und ent-
fernt die Maden. Untersuchung der Völker
aus Weiselrichrigkeit und Honigvorrat. An
warmen Tagen vereinigt man die Stöcke.
5
m s*®*®1®*®* iB27
April
1 F. 2 S. Hugo Franz v. Paula 9
3 S. 4 M. 5 D. 6 M. 7 D. 8 F. 9 S. 5. Indien. Richard Jsidorus Btnc. Ferrer Cölestin Hermann Albert Maria Kleophä A
10 S 11 M. 12 D. 13 M. 14 D. 15 F. 16 S. b.Fakmarum.Ezechicl Leo d. Gr. Julius Hermenegild Gründonnerstag Karfreitag Drogo
17 K. 18 M. 19 D. 20 M. 21 D. 22 F. 23 S. Kstersonntag © Hftermontag Werner Victor Anselm Soter u. Cajus Georg
24 £. 25 M. 26 D. 27 M. 28 D. 29 F. 36 S. 1. Huas. Adalbert $ Markus; Evgl. Kletus AnastastuL Vitalis Petrus Märt. Katharina v. Siena
Mai
1 * 2 M. 3 D. 4 M, 5 D. 6 F. 7 S. S. Mif. Pom. S Athanasius Kreuz-Erfindung Montca Pius V. Joh. v. d. Pforte StantSlaus
8 S. 9 M. 10 D. n M. 12 D. 13 F. 14 S. 8. Iuö.Schutzs. H.J. ) Gregor Antonius Mamertus Pankratius Servatius Bonifatius
15 S 16 M. 17 D. 18 M. 19 D. 20 F. 21 S. 4. Haut. Sophia Joh. v. N. © IlbalduS Venantius Petr. Cölestin Bernhardt» Felix
22 S. 23 M. 24 D. 25 M. 26 D. 27 F. 28 S. ö.Aogate. Julia DefideriuS Johanna Urban Kimmekf. Hhr. Beda Wilhelm
29 H. 30 M. 31 D. 8. H-raudi. Maximus Felix 9> Petronella
Juni
l M. Juventtus
2 D. Marsilius
3 F. Erasmus
4 S. Quirinus
5 S. Fstngflsonntag
6 M. Pfingstmontag
7 D. Rovert )
8 M. MedarduS
9 D. Felician und Primus
10 F. Margareta
11 S. Barnabas
12 S. Trinitatis Dasitidcs
13 M. Anton v. Padua
14 D. Basilius
15 M. Vituö ©
16 D. Aronkeichnam
17 F. Adolf
18 S. Mark. n. Marcell.
19 S. 2. tt. Ff. Gervasius
20 Ai. Silverius
21 D. Aloysius
22 M. Paulinus <£
23 D. Eüeltrud
24 F. Joh.d.T.Herz-Jes.-F.
25 S. Prosper
26 S. 3.n.Ff. Joh. u. Paul
27 M. Ladislaus
28 D. Leo 11., Papst
29 M. Feier und Fant 9
30 D. Pauli Gedächtnis
Bauernregeln im April.
April windig und trocken, macht alles
Wachstum stocken. — Bringt der April
viel Regen, so deutet dies auf Segen, —
So lange die Frosche guaken vor Markus-
tag (25.), so lange schweigen sie danach. —
Bringt der April noch Schnee uitd Frost,
gibt's wenig Heu und sauren Most. —
Wenn der April Spektakel macht, gibt's
Heu und Korn in voller Pracht. — Auf
Tiburti (14.) sollen alle Felder grünen.
Arbcitskalender für April.
Auf die abgegrabenen Beete werden,
nachdem sie leicht gedüngt und gründlich
durchgegraben sind, Gemüsesamen gesät.
Überwinterte Pflanzen werden ins Freie
an Ort und Stelle ausgepflanzt. — Topf-
und Kübelpflanzen nach und nach ins Freie
dringen; erstere von Zeit zu Zeit mit
Dünger begießen. — Veredelung der Kirsch-
und Pflaumenbäume beenden, mit der des
Kernobstes beginnen. — Saatbeftellung.
Saalkartoffeln auslesen und legen, auch
Runkelkerne. Chilisalpeter als Kopfdünger
auf Wintergetreide streuen. — Bei Beginn
des Grünsutters achtsam sein; anfängtiche
Beigabe von Rauhfulter. — Klee- und
Luzernselder eggen, Rieseliviesen wässern.
Gemüse- und Suppenkräuter auspflanzen,
Spargelbeete in Ordnung halten. Obst-
bäume und Beerensträucher pflegen. Beim
Federvieh die Brüter überwachen. —
Menen-Kakender. Die Stöcke werden ge-
tüttert, am besten abends. Reinigung von
Maden.
Bauernregeln im Mai.
Eh nicht Pankraz (12.) und Servaz (13.)
vorbei, ist nicht sicher vor Kälte der Mai. —
Regen im Mai gibt Brot und Heu. — Des
Maies Mitte hat für den Winter noch eine
Hütte. — Wenn St. Urban (25.) lacht, so
tun die Trauben weinen; weint St. Urban,
so gibt's der Trauben nur ganz kleine. —
Scheint auf Himmelfahrt die Sonne, bringt
der Herbst uns große Wonne. — Ein son-
niger Mai, singt der Bauer juchhei.
Bauernregeln im Juni.
Arbcitskalender für Mai.
Gurken, Kürbisse und Buschbohnen wer-
den gelegt. Milte Mai müssen Pflanz-
zwiebeln, Porree und Sellerie gepflanzt
sein, Ende Mai ferner frühe Kohlarten,
Salate, Cichorien usw. Morgens und abends
muß gegossen werden; von Erdbeeraus-
läusern werden neue Pflanzungen gemacht.
Bet Dürre müssen in Blüte stehende Bäume
begossen werden. — Man okuliert auf das
treibende Auge und entfernt die wilden
Schößlinge. — Bei Streumangel Wald-
streu und Torferde besorgen. Gruben für
Salrerfutter reinigen und kalken Saat-
besiellung beendigen, Rüben verziehen
bezw. verpflanzen. Hederich vertilgen, Flachs
säten, Disteln stechen. Klee mähen. Zweite
Gabe Chilisalpeter düngen. — Den
Schweinen Grünfutter geben. Junges Ge-
flügel gut füttern, stets' für Wasser sorgen.
— Aienen-Kakendcr. Man errichtet neue
Wohnungen für zu erwartende Schwärme.
Bor Johanni bitt' um Regen, nachher
kommt er ungelegen. — Im Juni tut der
Nordwind gut dem Korn und auch dem
Rebenblut. — Wenn kalt und naß der
Juni war, verdirbt er meist das ganze
Jahr; ist der Juni warm und nah, gibt'?
viel Korn und noch mehr Gras. — Juni
trocken tnehr als naß, füllt mit gutem
Wein das Faß. — St. Johann (24.), Paul
(29.) und Ulrich (4. Juli) sind Wetterherren.
Arbcitskalender für Juni.
Der Wintersalat wird verpflanzt, die
Gewürzkräuter (Majoran usw.) werden ge-
schnitten und im Schatten getrocknet. Die
letzten Bohnen legen. — Wasserretser weg-
schneiden. — An Zwergobstbäumen die
spät ausgetriebenen Nebenzweige ent-
spitzen. — Heuernte, Kleeseide vertilgen.
Wo Umsturz, da schon zwischen Rettern
pflügen. Komposthaufen umstechen und
jauchen. Gemüse hacken. Erdbeerbeele
pflege», obranken. Grünsutter nur frisch
füttern, Futterkrippe rein halten, Stalle
lüften. — Aienen-Kakender Man nütze
den reichsten Honigmonat fleißig aus. Hat
ein Schwarm den Stock bezogen, so ist er,
entfernt von dem Muttersiock, dem Stande
einzureihen. Die Wohnungen sind reichlich
zu vergrößern oder auch durch Entnahme
von Honig zu entleeren.
SA'^'VV^A<\»\^»Vs*/V'V^A/VVVVVVV^AA«\*WVV^Al-VVV^/SAAAAAA^*'^■^'\^/VVVV^^^
6
Juli August September
1 F. 2 S. Theobald Mariä Heims. 1 M. 2 D. Petri Kett. Portiunkula Stephans Erfind. Dominikus Moria Schnee ) Verkl. Christi. 1 D. 2 F. Ägidius Stephan
3 S. 4 M. 5 D. 6 M, 7 D. 8 F. 9 S. 4. n. ;?f. Hhacinth Ulrich Numer. Jesaias Willibald Z Kilian Cyrillus 3 M 4 D. 5 F. 6 S. 3 S. Mansuetus
4 K. 5 M. 6 D. 7 M. 8 D. 9 F. 13 Rosalia I Nathanael Laurentius Regina Mariä Geburt Gorgonius
7 S. 8 M. 9 D. 9. tt. Cajetanus Cyriakus Roman. Laurentius Tiburtius Klara Hippolytus O
10 Z. 11 M. 12 D. 13 M. 14 D. 15 F. 16 S, 5. n. 'gf. Sieben Br. Pius Joh. Gualb. Margareta Bonaventura Z> Apostel Teilung Skapulierest 10 M. 11 D. 12 F. 13 S. 10 S. Nikolaus v. Tol.
>1 K 12 M. 13 D. 14 M. 15 D. 16 F. 14. n. Protus @ Guido
14 S. 15 M. 16 D. 17 M. 18 D. 19 F. 20 S IO. n läff. Eusebius Mariä Kinrmeff. Rochus Liberatus Helena Sebald $ Bernhard Kreuzes Erhöhung Nikomedes Quat. Körnet.
17 S 18 M. 29 D. 20 M. 21 D. 22 F. 23 S. 6. n. Alerius Friderckus Vincenz v. Paula Margareta Praxedes i£ Maria Magdalena Apollinaris 17 S. Lainbertus
18 K. 19 M. 20 D. 21 M. 22 D. 23 F. lö.n.M.THim.v.B. Januarius Eustachius Matthäus Ev. Moritz Thekla
21 S. 22 M. 23 D. 24 M. 25 D. 26 F. 27 S. 11. n. 3?f. Anastasius Thimotheus Phil. Benit Bartholomäus Ludlvig Zephyrinus Rusus G
24 § 25 Dl. 26 D. 27 M. 28 D. 29 F. 30 S. 7. n.&f. Christine JakobuS Anna Pantaleon Innocenz ® Martha Abdon 24 S. Johann. Empf.
25 K. 26 M. 27 D. 28 M. 29 D. 30 F. 16. n. "gf. Kleopha © Cyprianus
28 H. 29 M. 30 D. 31 M. 12. n. #/. Augustinus Joh. Enth. Rosa Raimund Wewzeslaus Michael Hieronymus
31 S 8-n.MJgnazLoyola
Bauernregeln int Juli. Wenn's im Juli gibt hohe Ameisenhaufen, so magst du nach Holz für den Winter laufen. — Regnets am Mariä Heimsu- chungstag (2.), so regnet's noch 4 Wochen danach. — An St. Kilian (8.) säe Wicken und Rüben an. — Die erste Viru bricht Margaret (13.), darauf überall die Ernt angeht. — St. Margareten Sonnenschein, gibtS viel Korn und guten Wein. — St. Jakobi (25.) ohne Regen, bringt uns reichen Erntesegen. Arbeitskalender für Juli. Spinat, Kopfsalat, Winter-Endivien und Möhren gesät. — Aprikosen nimmt man vor ihrer vollen Reife ab, sobald sie am Stiele weiß werden. — Bei Halm- früchte» Gelbernte. Üppiges, langes Win- tergetreide anbauen. Sommerkorn auf Schwade mähen und trocken einfahren. Kartoffeln häufeln, Rüben hacken, Brache pflügen. Grünmais usw. einsäuern. Leere Beete umgraben, neu bestellen, Obstbäume stützen. Gänie rupfen. — Mienen-Katender. Läßt ein Schwarm auf sich warten mit dem Schwärmen, so gebe man ihm einen neuen Untersatz: überhaupt sind Unter- sätze für schwerere Stöcke zu empfehlen. Die Jmkerarbeiten vom Juni fortsetzen. Bauernregeln im Angnft. Was die Hundsiag gießen, muß die Traube büßen. — Hitze an St. Dominikus (4.), ein strenger Winter folgen muß. — Um St. Laurenzi (10.) Sonnenschein, be- deutet ein gut Jahr mit Wein. — Gewitter um Bartholomä (24.) bringen Hagel und Schnee. — Fängt August mit Hitze an, bleibt sehr lang die Schlittenbahn. — Nach St. Bartholomös Gesicht meist der ganze Herbst sich richt. — Wenn'S im August stark tauen tut, bleibt auch gewöhnlich das Wetter gut. Arbeitskalender für August. Zwiebeln werden ausgenommen, Endi- vien und Bindsalat zum Bleichen gebunden. Die abgeräumieu Mistbeete besät man mit Blumenkohl. — Frühobst soll einige Tage vor der Reife gepflückt werden, bei allem andern ist der Zeitpunkt der Reife genau abzupassen. — Bolle Ernte der Körnerfrüchte. Das nötige Saatgut beschaffen, Rapsaus- saat. Ernte von Flachs, Hans, Mohn, Samenklee, Rübenkernen, Frühkartoffeln, Grummet. Vorbereitung des Ackers für die Herbstbestellung. Obsternte. Okulieren fort- setzen. Grünmais, Zucker usw. nicht ohne Beigabe von Kraftfutter füttern. Hühner- eier für Winter aufbewahren. — Zrienen- Kakender. Man achte auf die entstehenden Räubereien und weisellosen Völker. Die Stöcke werden gereinigt und überflüssiger Honig entfernt. Drohnenerzeugung vor- beugen. Bimernregcln im September. Jst's am 1. September hübsch und rein, wirds so den ganzen Monat sein. — Stehn zu Michaelis (29.) die Fische hoch, kommt viel schönes Wetter noch. — Ziehen die Vögel vor Michael, blickt von fern der Winter scheel. — Um Michaelis in der Tat, gedeiht die beste Wintersaat. — Scharren die Mäuse tief sich ein, wird s ein harter Winter sein. — Ist der Eep- ieinber lind, ist der Winter ein Kind. Arbeitskalender für September. Der Wintersalat wird verpflanzt; die reifen Bohnen werden abgenommen. — Ge- treideernte rasch beendigen. Saatgut rei- nigen. Saaiweizen beizen. Kartoffel- und evtl. Rübenmieten anfangs nur schwach be- decken. Rübenblätter in Erdmieten stampfen, wo nötig, auch Klee einsäuern. Beginn der Saat best ell ung. Drillkultur bringt reichere Ernten und bessere Körner. Rapsfelder gegen Schädlinge, wie Erdflöhe und Maden, schützen. Grummeternte beenden. Gurken. Kürbisse und Melonen ernten. Obsternte. Vieh nicht bei Reif weiden lassen. — Menen-Kakender. Die weisellosen Stöcke werden mit anderen volkreichen Stöcken vereinigt: honigarme, die jedoch über- wintert werden sollen, müssen stark, ge- füttert werden. Jedes Volk braucht zur Über- winterung 10—12 Pfund Honig. Haupt- honigernte.
7
„ ¿fi (py
twm I SSÆSÆSmSmSi
Oktober
1 S. Remigius
2 S 3 M. 4 D. 5 M. 6 D. 7 F. 8 S. 9 $• 10 M. IL D. 12 M. 13 D. 14 F. 15 S. 17. n 2Pf. Leodegar Candidus Franz v. Assisi - Placidus Bruno Markus P. Brigitta
18. n. Fk. Dionysius Fr. Borgia K Burchard Maximilian Eduard Calixnks T heresa
16 S 17 M. 18 D. 19 M. 20 D. 21 F. 22 2. 19. n.yf. GallnS Hedwig 5 Lukas Petrus v. Alcantara Wendelin Ursula Cordula
23 - 24 M. 25 D. 26 M. 27 D. 28 F. 29 S. 2«. n.Tff. Joh. v. G. Rapbaei @ Crlspin Evaristus Sabina Simon, Juda Narzissus
30 S. 31 M. 21, n. 2?f. Seravion Wolfgang
1 D. Aller Keil.
2 M. Aller Seelen -
3 D. Hubcrlus *
4 F. Karl Borromäus
5 S. Emmerich
6 S 22. n. Leonhard
7 M. Engelbert
8 D. Gekr. Märt.
9 M. Tbeodorus T
10 D. Andreas Avellin
II F. Mariin Bischof
12 S. Martin P.
13 S. Sr.n.^f.StaniSlausK.
14 M. Jucundus
15 D. Leopold
16 M. ZZuhtag Edmund £
17 D. Gregor Th.
18 F. Otto, Eugen
19 S. Elisabeth
20 S. S4.nl*( Fel. v. Val.
21 M, Mar. Spf. *)
22 D. Cäcilia
23 M. Klemens
24 D. Cyrhsogonns G
25 F. Katharina
26 S. Kourad
27 S. 1. Advent. Virgilins
28 M. SostheneS
29 D. Saturn
30 M. Andreas
November
Dezember
1 D. 2 F. 3 S. Eligius Bibiana D Franz Xaver
4 §■ 5 M. 6 D. 7 M. 8 D. 9 F. '0 S. 2 Advent. Barbara Savvas Nicolaus Ambrosius Mariä Gmpf. T Leokadia Melchiades
N S. 12 M. 13 D. 14 M. 15 D. 16 F. 17 S. 3. Advent. Damasus Eptmach. Lucia Nikasius Eusebius Quai. Adelheid <x Lazarus
18 S. 19 M. 20 D. 21 M. 22 D. 23 F. 24 S. 4. Adv. Mar. Erwart. Nenies. Ammon Thomas Ap. Flavian Vikioria Adam, Eva Q
25 S. 26 -m. 27 D. 28 M. 29 D. 30 F. 31 S. Keil. ßhristsest tl. Weihn. Stephan Jobannes Unsch. Kindleich Thomas B. David Sylvester Z
*) 20 S. Prot.: Totenfest.
Bauernregeln im Oktober.
Ist die Krähe nicht mehr weit, wirds
zum Säen hohe Zeit. — Schneit's im
Oktober gleich, dann wird der Winter
weich. — Ist recht rauh der Hase, dann
frierst du bald an der Nase. — Regnet
es am St. Gallustag (16.) nicht, es dann
dem näldsten Frühjahr an Regen gebricht.
— An Ursula (2t.) mutz das Kraut hinein,
sonst schneien Simon und Judas (28.)
drein. — Im Oktober Sturm und Wind,
uns den frühen Winter kündt.
Arbeitskalender für Oktober.
Die Wintergemiise werden eingekellert,
die Spargelbeeren gesammelt und ge-
pflanzt. — Kartoffel-, Rüben- und Möhren-
ernte. Beendigung der Herbstbestellung.
Pflügen und Düngerfahren. Drainage-
Anlagen und -Reparaturen. Wiesen be-
wässern, Gräben ausheben. Sorgfältiges
Einmieten der Schnitzel und Rübenblätter.
Voranschlag für Wimerfütterung ausstellen.
Allmählicher Übergang zur Stallfütterung.
Ställe weitzen. Kalkanstrich im Hühnerstall.
Gänsemast. — Mienen-Kalender. Man
verengt.,die Fluglöcher, verhindert Räube-
reien. Überflüssiger Honig wird genommen.
Bauernregeln im November.
Bringt Allerheiligen (1.) Winter, so
bringt Martini (11.) Sommer. — Kommt
St. Martin (11.) mit Winterkält, ist's gut,
wenn bald ein Schnee drauf fällt. — St.
Martinus trüb und feucht, ist gewiß der
Winter leicht — Elisabeth (19.) sagt an,
was der Winter für ein Mann. — Dem
heiligen Kleinens (23.) traue nicht, denn
selten hat er ein mild Gesicht. — Andreas
(30.) im Schnee, tut den Saaten weh.
Arbcitskalendcr für November.
Endiviensalat wird im Keller einge-
schlagen. Erdbeeren- und Spargelbeete wer-
den gedüngt. — Die in Töpfen befindlichen
Blumenzwiebeln, die zu Weihnachten blühen
sollen, bringt man jetzt ins Zimmer. —
Bäume ausputzen und abgängige ent-
fernen; an den Johannisbeer- und Stachel-
beersträuchern entfernt man die überflüssigen
Wurzelsprößlinge. — Beendigung der Kar-
toffel- und Rübenernte. Ernte trocken in
Keller und Mieten bringen, sonst vor Ein-
decken abtrockivn laffen. — Winterfurche
pflügen. Dünger, Kalk, Mergel fahren. —
Mieten bedecken. Dreschen. Saure Wiesen
kalken. — Bi eh gegen Kälte schützen. Für
Federvieh Hauptinastzeit. — Uienen-Aa-
kender. Einwinterung der Bienen. Stöcke
umhüllen. Fluglöcher offen lassen. Ver-
blendung anbringen, bet schönem Wetter
öffnen. Schutz vor Mäusen.
Bauernregeln im Dezember.
Wenn Kälte in der ersten Adventwoche
kam, so hält sie volle 10 Wochen an. —
Ist es windig an den Weihnachtsfeiertagcn,
so sollen die Bäume recht viel Obst tragen.
— Hängt zu Weihnachten Eis an den
Weiden, kannst zu Ostern Palmen schneiden.
Habens die unschuldigen Kindlein (28.) kalt,
so weicht der Frost noch nicht so bald. —
Dezember kalt mit Schnee, gibt Korn auf
jeder Höh. — Schneifurche — Gedeihfurche,
— Gesrorenfurche — Berlorenfurche.
Arbeitskalender für Dezember.
Die Umgrabung des Landes wird be-
endet; Karotten können geiät und Topf-
zwiebeln ausgetrieben werden. — Mit dem
Beschneiden der Ziersträucher kann man
beginnen. — Die Stämme schützt man
durch einen Kalkanstrich gegen Hasenfratz.
— Pflügen, wenn noch möglich, Boden-
und Scheunenarbeit. In Wiesen Graben-
arbeiten fortsetzen bis zum Frost. Im
Garten Mieten überwachen, Beete jauchen.
Vieh gegen Kälte schützen, kaltes Futter
anwärmen. Winterfurker rationell zusam-
menstellen, im richtigen Verhältnis Eiweitz,
Stärkemehl und Fett geben. Dabei Verdau-
lichkeit und Schmackhaftigkeit des Futters be-
rücksichiigen. Vorräte gut verkeilen. - Aicnen-
Kalender. Vor die Fluglöcher kommt ein
durchlöchertes Brett oder Blech. Bei starkem
Frost werden die Stöcke durch Umhüllung
geschützt. Man achtet wohl auf seine Bienen,
läßt sie aber soviel als möglich in Ruhe.
8
9
Serghauptmmm Vaudeville f.
Georges Vaudeville
geboren 1877 — gestorben 1926.
er saarländische Bergbau hat im abge-
laufenen Jahre einen schweren Verlust
erlitten: am 4. April 1926 wurde ihm
sein Berghauptmann Herr Georg Vaudeville,
der als Nachfolger des Herrn Frantzen 1923
die Leitung des Oberbergamts in Saar-
brücken und der Abteilung für So-
zialversicherung bei der Regierungs-
kommission übernommen hatte, durch den Tod
entrissen. Hat schon dieser Verlust für die
Regierungskommission wie für das ganze
Saargebiet viel zu bedeuten, so geziemt
es sich für uns als die Träger
des saarländischen Bergbaus
erst recht, des Dahingeschiedenen
in Ehrfurcht dankbar zu ge-
denken, als eines Mannes, dessen lautere
Gesinnung, dessen Hingabe und Interesse für
das ihm anvertraute Amt, dessen Auffassung
von seiner Pflicht uns allen, Beamten wie
Arbeitern, ein leuchtendes Vorbild fein muß!
Besser als alles andere würdigen diese seltene
Persönlichkeit die Ansprachen, die unser Gene-
raldirektor, Herr Defline, sein Jugendfreund,
und als Vertreter der Regierungskommission
deren Mitglied, Herr Morize, an seinem Sarge
gehalten haben, und die wir darum nach-
stehend zum Abdruck bringen:
Rede des Herrn Defline:
Unerbittlich ist der Tod; er läßt nicht ab,
uns heimzusuchen! Gerade jetzt wieder hat er
in Georg Vaudeville aus unserem
Kreise einen der Besten und am höchsten Ge-
schätzten hinweggerafft. Mir ist die schmerz-
volle Aufgabe zuteil geworden, hier zu stehen
als Vertreter der Ingenieure der Gruben und
Hüttenwerke an der Saar, insonderheit als
Vertreter jener, die an der Ecole Polytechnique
und an der Ecole Nationale Superieure des
Mines in Paris studiert haben, als Vertreter
weiterhin der Societc de l’Industrie Minerale,
als Vertreter endlich seiner Kommilitonen, die
mit ihm zusammen an der Ecole Polytecb-
nique und der Ecole des Mines ihre Ab-
schlußprüfung bestanden, um ihm heute das
letzte Zeugnis unserer Zuneigung zu er-
weisen.
10
Möge es mir erlaubt sein, hier auch meinem
persönlichen Schmerz Ausdruck zu geben, in den
mich der Verlust einer innigen Freundschaft stürzt,
einer Freundschaft, die, auf den Schulbänken ge-
knüpft, heute bald dreißig Jahre alt war, und
deren unvorhergesehenes schreckliches Ende mich
tiefer trifft, als ich es hier sagen kann.
Die Wechselfälle des Lebens haben uns beide
auf verschiedene Bahnen geführt; nur selten war
uns ein fröhliches Wiedersehen vergönnt, bis dann
endlich vor einigen Jahren wir uns wieder ver-
eint fanden hier in Saarbrücken, wo Georg
Vaudeville auf eine Stelle von ganz besonderer
Bedeutung berufen worden war.
Oft genug mußte er als Berghauptmann hier
die schwierige Rolle des Schiedsrichters über-
nehmen. Er war dazu der rechte Mann wegen
der Lauterkeit seines unbeeinflußbaren Gewissens,
das ihn bei der Erfüllung seiner beruflichen Pflich-
ten leitete, und das ihn so ganz natürlich über die
Schwierigkeiten seiner Aufgabe emporhob, ihn sie
ohne Anstrengung meistern ließ. Die Aufrichtig-
keit seines Charakters, seine große Güte, die Sicher-
heit seines Urteils gewannen ihm die Sympathie
aller, die mit ihm in Berührung kamen, und er
flößte ihnen instinktiv den Wunsch ein, den Weg
zu verfolgen, den e r ihnen gewiesen. — Immer
von dem Bestreben beherrscht, die hohen Ausgaben
seines Amtes recht zu erfüllen, zeigte er in allen
Angelegenheiten den Geist gerechtester Abwägung
und höchster Konzilianz. So hinterläßt er bei all
denen, die ihn kannten, ein Andenken an eine leider
viel zu früh beendete Laufbahn und an ein Leben,
darinnen äußerste Pflichterfüllung stets der Leit-
stern war.
Bei uns Ingenieuren an der Saar kann nie-
mals das Andenken erlöschen an ihn als einen der
Unseren, der, nicht zufrieden damit, lediglich den
Pflichten seines Berufes zu genügen, sich stets be-
mühte, soweit es ihm nur möglich war, die Bande
der Kameradschaft aufrecht zu erhalten, sie fester
zu schlingen bei den geselligen Zusammenkünften,
und den Austausch unserer Ideen über die Technik
zu fördern bei den Veranstaltungen des Saar-
bezirks der Lvciete de l’Industrie Minerale, dessen
Gründer und Vorsitzender er war. Er liebte diese
Veranstaltungen, zu denen unter seiner wohl-
wollenden Leitung Ingenieure jeder Herkunft und
jeder Technik geladen waren, um über technische
Fragen ihres Berufs zu diskutieren, und niemals
verlor er die Hoffnung, aus ihnen ein Zentrum
intellektueller Annäherung zwischen den Inge-
nieuren der verschiedenen Nationen zu schaffen.
Die außerordentlich hohe Auffassung seines Be-
rufs, die ihn beseelte, ließ ihn gerade dieses Wirken
für eine gegenseitige Annäherung als einen Teil
der Aufgabe betrachten, die zu lösen er in das
Saargebiet gekommen war. Das werden wir In- '
genisure an der Saar niemals vergessen, und des-
halb bleibt für uns für alle Zeiten Georg Vaude-
ville das nie verbleichende Idealbild eines Inge-
nieurs unseres französischen Grubenkorps.
Möge die Einmütigkeit unseres Beileids und
unserer Sympathie den so großen Schmerz der
Familie, die so grausam betroffen wurde, und
der die Studienfreunde Georg Vaudevilles wie
auch die Ingenieure an der Saar und die Mit-
glieder der Societe de l’Industrie Minerale durch
meinen Mund ihren aufrichtigen Respekt aus-
drücken lassen, lindern!
Du aber, teurer Freund, ruhe in Frieden! Du
hinterläßt im Herzen der Deinen, im Herzen aller,!
die Dich kannten, die Dich liebten, ein unauslösch-
bares Bild, das sie führen wird bei der Erfüllung
ihrer Pflicht.
Rede des Herrn M o r i z e:
Sehr verehrte, gnädige Frau!
Ich glaube, ich habe i h n, dem wir heute die
letzte Ehre erweisen, voll und ganz geschildert,
wenn ich ihn einen „M an n des Gewissens"
nenne.
Denn die Person des Herrn Chefingenieurs
Vaudeville war für alle, die seine Tätigkeit im
Saargebiet verfolgten, die Verkörperung
eines hochgesinnten Beamten, der
seine tägliche..Arbeit durch die höchste und voll-
kommenste Auffassung seiner Pflicht adelt.
Er begnügte sich nicht damit, rechtschaffen, fleißig
und pünktlich zu sein, getreu den Überlieferungen
des französischen Grubenkorps, dem anzugehören
er so stolz war; vielmehr hatte er von den Auf-
gaben des Beamten wie von den Rechten des
Staates und der Allgemeinheit eine starke persön-
liche Auffassung, die die Quelle seiner unvergleich-
lichen Autorität und Unabhängigkeit war.
Erst nach der sorgfältigsten Prüfung traf Herr
Vaudeville seine Entscheidungen; aber, glaubte er
erst einmal die wahre und gerechte Lösung ge-
funden zu haben, so vertrat er seinen Standpunkt
mit einer klaren und unnachgiebigen Schärfe, die
ihn weder Zaudern noch Schonung kennen ließ.
Sie wissen alle, meine Herren, daß er diese so
seltenen Eigenschaften rückhaltlos in den Dienst der
Regierungskommission gestellt hat. Dank ange-
spanntester Arbeit gelang es ihm nicht nur innerhalb
weniger Wochen seine frühere Beherrschung der
11 —
deutschen Sprache wiederzufinden, sondern sich
auch mit dem preußischen und bayerischen Berg-"
rechte und der so verwickelten sozialen Gesetzgebung
vertraut zu machen. Das besondere Statut des
Oberbergamts für das Saargebiet gefiel ihm, wie
er mir eines Tages gestand, gerade des-
halb, weil eben diese Selbständigkeit des Ober-
bergamts ihm gestattete, sich völlig frei, lediglich
unter der Verantwortung dieser Kollegial-
Behörde, seiner Aufgabe, der Überwachung und
der Fürsorge, zu widmen. Gern hat er hierbei
die Last häufiger größerer Besichtigungen unter
Tage auf sich genommen; nichts hat er unterlassen,
um die Sicherheit des Bergmanns immer mehr
zu gewährleisten. Stets und ständig stand ihm
vor Augen, daß es insonderheit von seinem
Eifer, seiner Sorge, ja mitunter sogar von seiner
Strenge abhing, daß schwere Unfälle verhütet
würden, Menschenleben verschont blieben. Dies
sein Streben fand seinen Loh n.
Denn die Ziffer der Todesfälle ist
im Saarbergbau heute geringer
als sonst irgendwo auf der Welt.
Sie sank von 1,19 für die Periode 1908/1913
auf 0,86 für die Zeit von 1920/25, das ist eine
Verringerung von fast 28 %. Ich brauche mich
nicht zu entschuldigen, daß ich hier diese Zahlen
anführe; denn, dessen bin ich sicher, von allen
Zeichen der Anerkennung, die ihm heute hier zu
teil werden, wäre Herrn Vaudeville das Zeug-
nis der Zahlen in ihrer klaren Un-
erfchütterlichkeit das liebste gewesen.
Der Amtsbereich des Herrn Vaudeville
erstreckte sich auch auf die Abteilung Sozial-
versicherung: hier bildet die Neugestaltung
der Knappschaftskassen sein Hauptwerk; allzeit
zeigte er dabei für die Lage der Invaliden und
der Pensionäre das regste Interesse.
Aus diesen kurzen Ausführungen geht zur Ge-
nüge hervor, wieviel die Regierungs-
kommission, und überhaupt die Bevöl-
kerung des Saargebiets, namentlich auch
die Bergarbeiterschaft, dem Herrn Chef-
ingenieur Vaudeville zu danken hat.
Erlauben Sie mir, als dem französischen Mit-
glied der Regierungskommission, den spontanen
Ausdruck der Verehrung entgegenzu-
nehmen, den feine saarländischen Mit-
arbeiter und Untergebenen diesem
trefflichen französischen Beamten, der sich ihre Be-
wunderung errungen hatte, zollten, und sich zu
seinem Dolmetsch zu machen an der Bahre des
Verblichenen, der nach ihren eigenen Worten
ihnen allzeit ein Beispiel der Entsagung, der Ge-
rechtigkeit und der Aufopferung für das Gemein-
wohl bleiben wird.
W i r hier, die wir in ihm nicht nur einen
Mitarbeiter verloren haben, sondern, mehr als
das, einen aufrichtigen Freund, von dem eine
kurze Zustimmung die wertvollste Anerkennung
bedeutete,' wir wissen auch, welch herzliche Güte
ihn beseelte, mit welch zärtlichem Stolz er auf
seine treffliche Familie blickte — das Glück seines
Lebens — welchen Ehrenplatz er auch selbst ein-
nahm in diesem Kreise, dessen Intimität zu hüten
fein lothringischer Ernst so bedacht war.
Wir können, gnädige Frau, uns nur ehrerbietig
vor dem Geschick beugen, durch das er Ihnen ent-
rissen wurde, mitten aus der berechtigten Hoff-
nung auf einen noch recht langen gemeinsamen
Lebensweg heraus.
Ihnen, gnädige Frau,-und Ihren Kindern schla-
gen in dieser Stunde die Herzen aller Franzosen
hier an der Saar entgegen, die sich Ihnen in der
Trauer verbunden fühlen und die doch trotz des
innigsten Mitgefühls schmerzlich die Nichtigkeit und
Aufdringlichkeit allen menschlichen Zuspruchs
empfinden müssen.
Gebet der Wergknappen.
Du» heiliger Derr» der die Werge gemacht»
Latz unter iDnben gelingen!
Mir wollen deine verborgene Pracht
Nus der Mete zu H/age bringen.
Wetcbütz uns aut untrer getäbrlichen Wahn!
Mir Habens zu deiner Lbre getan.
Theodor Körner.
Constantin Meunier: „Retour des Mineurs“ (Heimkehrende Bergleute).
uch das vergangene Jahr hat den Saar-
gruben wiederum eine große Anzahl von
Jubiläen gebracht.
Da ist zunächst unter den Beamten der
bei der Direction Generale des Mines de la Sarre
in Saarbrücken selbst tätige Direktionssekretär
Rechnungsrat Bernhard Lindner zu nennen,
der am 22. März auf die fünfzigste Wieder-
kehr des Tages zurückblicken konnte, an dem er zum
ersten Male auf der heimatlichen Grube Altenwald
als Bergmann angefahren und damit in den
Dienst des Saarbergbaus getreten war. Der
jetzt 69jährige Herr Lindner, der ursprünglich
Steiger hatte werden wollen und infolgedessen die
Steigerschule in Dudweiler und dann den ent-
sprechenden Kursus der Hauptbergschule erfolg-
reich absolviert hatte, dann aber, Mai 1883, von
der Bergwerksdirektion als Zivilanwärter einge-
stellt worden war, ist vielen unserer Leser, sei es
aus seinem Heimatdorfe, wo sein Vater Musik-
meister der Gruben Sulzbach-Altenwald war, sei
es aus seiner langjährigen Tätigkeit als Vorsteher
der Revisionsabteilung und nebenamtlicher Lehrer
an der Hauptbergschule Saarbrücken, bekannt.
13
Die Administration des Mines, die Herrn Lind-
ner bereits am 1. Mai durch Verleihung der
goldenen Ehrenmedaille ausgezeichnet
hatte, hat es sich nicht nehmen lassen, auch an
dem Tage seines fünfzigjährigen Berufsjubiläums
unter den Gratulanten zu fein. Aus diesem An-
laß wurde ihm eine goldene Uhr mit entsprechen-
der Widmung überreicht.
Außerdem haben auch im Berichtsjahre wieder
eine ganze Anzahl unserer Knappen auf
vierzig D i e n st j a h r e bei den Saargruben
zurückschauen können. Es waren insgesamt 223,
die sämtlich nach altem Brauch von der Admi-
nistration des Mines durch die Übergabe der
silbernen „E r i n n e r u n g s u h r" ausgezeichnet
wurden.
Nachstehend lassen wir ihre Namen folgen:
1. Johann Groh
2. Johann Heckmann
3. Peter Ned 1
lnspektion I, Ensdorf.
4. Franz Rupp 1
5. Jakob Spies 1
6. Johann Spies 2
7. Heinrich Spurk
8. Baptist Wilhelm
9. Wilhelm Zetger
1. Mathias Braun 4
2. Georg Mann
3. Jakob Speicher
4. Friedrich Maurer 1
5. Wilhelm Brand
6. Ludwig Fischer
7. Johann Gier 2
8. Christian Hafner
9. Friedrich Kreinberg
10. Wendel Morschett
lnspektion II, Louisentstal.
11. Joseph Salgert
12. Philipp Seidel
13. Ludwig Weiß
14. Valentin Albert
15. Jakob Brand 1
16. Johann Görgen
17. Michel Holzer
18. Adolf Kugler
19. Nikolaus Lauer 4 a
20. Johann Reichertz
21. Friedrich Schneider 1
22. Franz Altmeyer
23. Wilhelm Gabler
24. Friedrich Weiß 2
25. Jakob Thoenes
26. Johann Blaß
27. Jakob Igel
28. Ludwig Raubuch
lnspektion III, d. Heydt.
1. Nikolaus Scherer 9 2. Nikolaus Schneider 8 3. Johann Fecht 6 4. Peter Nalbach 5. Jakob Schneider 21 6. Jakob Strößner 7. Johann Schaufler 1 8. Peter Nörsbach
lnspektion IV, Dudroeiler.
1. Peter Naumann 6 2. Friedrich Franken 3. Nikolaus Abel 4. Ludwig Klos 5. Nikolaus Müller 38 6. Ludwig Kollmann 7. Karl Bickelmann 3 8. Paul Montag
lnspektion V, Sulzbacst.
1. Franz Adolf Bick 2. Mathias Burger 3. Adam Latz 4. Johann Michels 5. Johann Vollmann 6. Karl Wentz 2 7. Heinrich Wilhelm 8. Karl Birkelbach 9. Christian Triem 10. Johann Egler
lnspektion VI, Reden.
1. Johann Willie 2
2. Christian Mark
3. Peter Bost
4. Johann Biehl 1
5. Franz Maas
6. Wilhelm Schulz
7. Peter Holzer
8. Johann Braun 3
9. Joseph Jochum
10. Friedrich Schuler
11. Johann Scher
12. Dominik Bauermann
13. Johann Ohlmann
14. Valentin Klein
15. Jakob Klein 9
16. Mathias Kuhn
17. Jakob Wagner 2
18. Peter Groß 4
9. Johann Wehland 12
10. Johann Schmeer
11. Franz Hager
12. Nikolaus König
9. Johann Schmidt 1 h
10. Konrad Thull 2
11. Valentin Wilhelm
12. Nikolaus Sonnhalter
11. Karl Müller 6
12. Peter Schirra 4
13. Ludwig Bürstlein
14. Nikolaus Fleck
15. Christian Plein
19. Peter Fuchs 7
20. Jakob Ohlmann 3
21. Wilhelm Jochum 3
22. Jakob Engel
23. Nikolaus König
24. Jakob Kleer 6 a
25. Georg Klein
26. Ludwig Schulz
14
1. Peter Borgardt
2. Michel Backes 6
3. Karl Fritsch
4. Ludwig Glaser
5. Karl Hübner
6. Jakob'Klein 15
7. Nikolaus Knabe 2
8. Johann Kreutzer
9. Karl Andreas Langel
10. Peter Meyer 6
11. Adam Ruffing
12. Karl Stolle
13. Heinrich Johann Sieg
lnspektion VII, kseinitz.
14. Christ. Karl Phil. Ullrich 2
16. Markus Weiland
16. Johann Wirsdorf
17. Friedrich Schalle
18. Joseph Bauer
19. Georg Bettinger
20. Johann Brandstetter
21. Karl Ellerle
22. Friedrich Fries
23. Joseph Fischer
24. Philipp Hamm
25. Friedrich Harig
26. Friedrich Hoffmann
27. Karl John
28. Heinrich Kaiser
29. Georg Klingmann
30. Jakoh Lang
51. Daniel Niebergall
32. Ludwig Friedrich Regitz
33. Peter Riegelmann
34. Karl Sahner
35. Christian Simaon
36. Heinrich Sutter
37. Georg Walter
38. Jakob Dörrenbächer
lnspektion VIII, Neunkirchen.
1. Jakob Prowald
2. Friedrich Kaul 3
3. Friedrich Vogel
4. Jakob Blehmehl 4
5. Adolf Fuchs
6. August Seibel 1
7. Friedrich Schmidt 12
8. Johann Riehm 3
9. Karl Funk
10. Andreas Naumann
11. Ludwig Grösser 2
12. Friedrich Hoffmann
13. Karl Stein 4
14. Johann Glauben 2
16. Christian Gebhardt
16. Karl Honecker
17. August Hans
18. Luüwig Kahlfeld
19 Jakob Koch 3
20. Daniel Ludwig
21. JohaNn Meiser
22. Jakob Schumacher
23. Jakob Umlauf
24. Andreas Werner
25. Ludwig Sommerock
1. Karl Schmidt 11
2. Karl Keßler
3. Johann Jakob Fend
4. Georg Wilhelm Collet
5. Nikolaus Schäfer 13
6. Wilhelm Schneider
7. Johann Petilliot
1. Mathias Drokur 2
2. Heinrich Gerstner
3. Peter König 2
lnspektion IX, friedrichsthal.
8. Johann Grewenig
9. Jakob Schröder 6
10. Karl Blum
11. Nikolaus Marken 5
12. Wilhelm Dörr 2 k
!3. Peter Bach
14. Jakob Krämer
lnspektion X, Göttelborn.
4. Peter Stein 2
5. Jakob Wagner 2
6. Peter Klär 8
15. Johann Schmitt 7
16. Franz Wahl
17. Jakob Diesinger
18. Johann Weiß
19. Johann Jungbluth
20. Ludwig Stüber
7. Nikolaus Schmidt
1. Johann Kamp 3
2. Wilhelm Gleßner
3. Wilhelm Meiser 2
4. Johann Rink
5. Peter Wolf
lnspektion XI, Camphausen.
6. Peter Kipper
7. Ludwig Guthörl
8. Peter Ludwig Schneider
9. Nikolaus Mohrhardt
10. Peter Mohrhardt
11. Mathias Bohr
12. Friedrich Jüngst
13. Johann Keßler 7
14. Wilhelm Kurz 2
15. Karl Schneider 5
1. Wilhelm Kurz 2
2. Nikolaus Ahr
3. Konrad Rupp
4. Philipp Gebert
lnspektion XII, fürsienhausen.
5. Peter Beck
6. Peter Kirsch
7. Peter Heinz
8. Peter Tabell
ion 3
9. Joseph Schmidt 2
10. Jakob Greis
11. Michel Daub
Division St. lngdert.
Cokerie Vseinih.
1. Anton Betz 1
2. Nikolaus Grell 3
1. Adolf Dobh
2. Friedrich Hill
3. Nikolaus Schu 1
15
Der Kohlenschcicht zu Dudwciler um 1850.
Die
Inspektion V
)\i Sutzbach
von
Ingenieur-Principal
Louis Bourdoire.
Der Kohlenschacht zu Sulzbach um 1860.
ie Inspektion V zu Sulzbach um-
faßt heute die Divisionen Mellin
und Altenwald. Im Norden grenzt
sie an die Divisionen Maybach und Brefeld, im
Westen an Hirschbach, im Osten an Heinitz und im
Süden an St. Ingbert. Hier fällt ihre Grenze
mit der ehemaligen preußisch-bayerischen Staats-
grenze zusammen.
Das Feld der In-
spektion wird von 6
Sprüngen durchschnit-
ten, die im großen und
ganzen die gleiche Rich-
tung (N.N.W.) haben:
dies sind von Westen
nach Osten:
die zwei Sulzbacher
Sprünge,
der Schnappacher
Sprung,
derRuhbach-Sprung,
der Tartarus *) -
Sprung und
der Cerberus *) -
Sprung.
Der letzte ist der be-
deutendste.
Der Abbau er-
folgte seit jeher in der
Fettkohlenpar-
tie, und zwar von
Flöz 1 bis 22; ledig-
lich zu Versuchszwecken
wurde seinerzeit der
*) Tartarus (griechis
taros) ist die lateinische
lar-
lateinische Bezeich-
nung der Unterwelt, Cerberus
(griechisch Kerberos) der Name
ßes die Unterwelt bewachenden
vollenhundes.
Jnspektiönsgebäude in Sulzbach.
Benitz st ollen in die Rotheller Lagerung
vorgetrieben.
Die Division Altenwald zählt zwei Haupt-
förderschächte (Altenwald I und II, früher Eisen-
bahnfchächte genannt), drei Ausziehschächte, näm-
lich Altenwald III (früher Mathilde), den Mor-
bach- und den Hermannschacht, und zwei Fahr-
schächte für die Belegschaft (den Kolonie- und den
Dorotheenschacht, früher
Gegenortschacht ge-
nannt). Letzterer wird
außerdem hauptsächlich
für den Transport des
Grubenholzes benutzt.
Die Division Mel-
lin hat zwei Haupt-
förderschächte (Mellin I
und II), einen dritten
Wettereinziehschacht (Ve-
nitzschacht) und zwei
Ausziehschächte, näm-
lich Mellin III und den
Lochwiesfchacht.
Die Förderung be-
trägt zurzeit bei der
Division Altenwald rd.
2.700 t und bei Mellin
rd. 1.500 t.
Werfen wir kurz eitlen
Blick auf die
Geschichte
der Inspektion.
Die Inspektion V
wurde am 1. Oktober
1861 geschaffen und ihr
die beiden Grubenver-
waltungen Sulzbach -
Altenwald und Fried-
richsthal-Quierschied un-
terstellt. 1868 wurde
16
Grube Altenwald. Schächte I und II.
dann letztere wieder abgetrennt, um unter der
Ziffer IX eine selbständige Inspektion zu bilden,
und seitdem besteht der heutige Zustand.
Was nun die Grube Sulzbach angeht, so
hat sie bekanntlich von 1818 bis 1841 und dann
nochmals von 1858 bis 1865 zur „Bergmeisterei"
(der alten Bezeichnung für Inspektion) IV in Dud-
weiler gehört, so daß es hier nicht notwendig sein
dürfte, nachdem wir die Geschichte des
Dudweiler Bergbaus gerade noch im
vorigen Kalender erörtert haben, sie noch-
mals zu wiederholen. Gleich wie Dudweiler ge-
hört auch Sulzbach zu den ältesten Kohlen-
distrikten an der Saar. Zum e r st e n m a l
wird dies Vorkommen urkundlich er-
wähnt im Vertrag vom 12. Januar
1 5 49, durch den der Pfalzgraf Wolfgang den
ihm gehörigen Teil des Dorfes Sulzbach an den
Grafen Philipp von Nassau-Saarbrücken gegen
die Hälfte des Dorfes Höchen abtrat, unter der
Bedingung, daß er die für den Gebrauch seines
Hofhalts nötigen Kohlen nach wie vor in Sulz-
bach von den dortigen Kohlengräbern kaufen
könne. Dadurch wurden die Nassau-Saarbrücker
Grafen die Alleinherren über das Kohlenvor-
kommen des Sulzbachtales, wonach sie schon lange
getrachtet und welches Ziel sie seit 1536 in steten
Verhandlungen verfolgt hatten.
Im 16. Jahrhundert hat sich bekanntlich dann
im Sulzbachtal der Kohlenbau bedeutend ent-
wickelt, wovon wir im Vorjahr schon Näheres er-
zählten. Heute sei deshalb nur kurz erwähnt, daß
die damals bereits ziemlich starke Ausbeute nach
St. Johann ging, von wo aus (seit 1608) der
Weitertransport auf dem Wasserwege von der
„K o h l r e ch", später „K o h l w a g e" *) ge-
nannt, erfolgte. So finden sich bis zum Ende
des 18. Jahrhunderts eine ganze Anzahl Doku-
mente bzgl. der Sulzbacher Kohlengruben. Der
3Ojährige Krieg trat auch hier, wie aller-
orts, als Zerstörer des friedlichen Wohlstands auf
Die Gemeinde Sulzbach zählte bei seinem Ende
nicht mehr als vier Einwohner. Der Ort
selbst lag von 1635 bis 1727 in Ruinen.
Trotzdem hat die Kohlengewinnung bei Sulz-
bach niemals aufgehört, wie wir aus einem
„D e n o m b r e m e n t" (Verzeichnis) **) ersehen
') Siehe unser Bild Seite 96.
**) Dieser Verzeichnis ist in französischer Sprache aufgestellt.»
17
Grube Alt en w
in dem die Gräfin Eleonore-Clara
unter ihren Gerechtsamen die Revenuen aus dem
Sulzbacher Bergbau wie folgt aufführt:
«.........quelques sens sur les fosses de
charbon.......Item, la rente dit «Batzengeld»
qui se paye du charbon de terre, savoir z Albus,
pour un char que l'on emmène».
1648 wurde bekanntlich von dem Saarbrücker
Grafen das Reglement für die Berg-
knappen von Dudweiler und Sulzbach er-
neuert. — Diese „Knappen" sind in allen Fällen
aus eigene Rechnung arbeitende Bauern der
Gegend, die für die konzessionierte Ausübung des
Schürfrechts eine jährliche Abgabe bezahlen. Wir
erwähnen noch, daß ein Bericht von 1730 ihre
Zahl für Sulzbach auf 27 angibt, die in
8 Gräben arbeiteten.
Der jetzige Name „M e 11 i n" stammt aus
dem Jahre 1858, wo die bisherigen Eisenbahn-
schächte zu Ehren des damaligen Generalbau-
direktors Mellin seinen Namen erhielten.
Die Grube A l t e n w a l d wird erstmalig 1747
erwähnt. Von dieser Zeit an bis 1815 erfolgte
ihre Ausbeute durch die Glashütten Mariannen-
ald: Schacht 3.
that und Schnappach. Während der Herrschaft
der französischen Republik und des Kaiserreichs
teilte sie das Schicksal der übrigen Saargruben:
d. h. sie gehörte zu dem gesamten Grubenbetrieb,
den die Pariser Gesellschaft E q u e r vom Staate
gepachtet hatte, und fiel nach dem Ablauf des
Pachtvertrags mit dem 1. Januar 1808 wieder
an den Staat zurück.
Nach einem Buche von Häron de Villefoffe,
betitelt: «Sous l’occupation frangaise», handelte
es sich in Sulzbach und Altenwald um einen quer-
schlägigen Stollenbau (sowohl für Wasserführung
als auch für Förderung), von dem aus Grund-
strecken vorgetrieben wurden. In Flözen mit
starker Neigung war die einfallende Strecke ersetzt
durch eine Diagonale von IO bis 12 von welcher
die einzelnen Förderstrecken abzweigten. — Der
Transport der gewonnenen Kohle erfolgte mittels
Schubkarren. Für die Bewetterung war gesorgt
durch Wetterstrecken, die in den Bergeversatz
hineingetrieben waren, durch Wettertüren und
durch einen Entlüftungsschacht, der bis zum
obersten Stollen und bis zum Ausgehenden führte.
Für A l t e n w a l d erneuerte der französische
2
18
Division Mellin:
Staat den Vertrag mit der Glashütte Mariannen-
thal. Ein ähnlicher Vertrag wurde mit der
Friedrichsthaler Glashütte am
30. Mai 1808 abgeschlossen, und auch die
Schnappach er Hütte, deren Vertrag ge-
kündigt worden war, erhielt einen neuen im Jahre
1809. Auch für das Ruhbachtal waren von
dem Chef der französischen Bergverwaltung, Du-
hamel, im Rahmen des für den ganzen Saar-
bergbau aufgestellten Planes zwei weitere Kon-
zessionen vorgesehen, welche die Mariannenthaler
und Schnappacher Hütte ebenfalls erhalten sollten.
Die Ereignisse des Jahres 1815 warfen diese
ganzen Pläne über den Haufen.
Damals war die Situation folgende: in
S u l z b a ch erfolgte die Förderung im Sprenger-
bach-(Neuweiler-)Tal durch den Gotthilfftollen
in den Flözen 11,13, 14, 15, 16 und 17, wo Vor-
richtungsstrecken vorgetrieben waren. In Alten-
w a l d förderte die Mariannenthaler Hütte aus
Flöz 5 (heute Flöz 1) und die Schnappacher Hütte
aus Flöz 6 (jetzt Flöz 2). Die Glashütten hatten
mit den Bergleuten einen Arbeitsvertrag ge-
schloffen, wonach diese monatlich 130 Fuder (etwa
200 t) gegen einen Monatslohn von 48 Francs
Der Lochwiesschacht.
liefern mußten. Das Grubenklein wurde an den
Staat für 6 Silbergroschen pro Fuder verkauft.
Außerdem zahlten die Hütten an die Bergdirek- :
Hon eine jährliche Anerkennungsgebühr, « canon»
genannt, in Höhe von 60 Francs pro Glasofen.
Mit dem Frieden von 1815 trat an die Stelle
der bisherigen Verwaltung der
preußische Slaatsbergbau.
In Sulzbach kam zu dem Gotthilf st ollen
feit 1826 der V e n i tz st o l l e n hinzu. Fünf
Jahre später übertraf die Altenwalder Förderung
diejenige von Sulzbach. Nichtsdestoweniger wurde
die Förderung in Altenwald Ende 1819
eingestellt. Das hängt damit zusammen, daß
in dem Pariser Frieden der Ruhbach als Grenze
zwischen Preußen und Bayern festgelegt wurde,
infolgedessen die beiden Glashütten Wagner
& Cie. in Mariannenthal und Chevandier L Vo-
pelius in Schnappach sich nunmehr in Bayern
befanden, während die von ihnen betriebene
Altenwalder Grube in Preußen lag.
1817 übernahm dann auch das Kgl. Pr. Bergamt
in Saarbrücken die Grube. Die Kohlenfuhrleute,
die nach St. Ingbert zogen, mußten über Alten-
19
wald. Um sich ihre Kundschaft zu erhalten,
senkte man den Preis derart, daß er unter dem
der St. Jngberter Grube stand, welche gegen diese
Konkurrenz nicht ankonnte. Aber, da so kein
lohnendes Verdienst in Frage kam, begnügte man
sich damit, den Pfeilerabbau in den heute Nr. 5
und Nr. 6 genannten Flözen fortzusetzen, und
von neuen Flözen lediglich Nr. 13 abzubauen.
Ende 1819 stellte man,
wie gesagt, den Abbau,
der bis dahin 8—14
Leute beschäftigt und
jährlich gegen 2.200 Fu-
der ergeben hatte, über-
haupt ein.
Erst 1839 begann
man die Frage der Wie-
derinbetriebnahme zu stu-
dieren und unternahm
gleichzeitig Kokerei-
versuche; man fand da-
bei den Koks aus Kohlen
des Flözes 6 ausgezeich-
net und dem von Flöz 5
überlegen. Deshalb be-
gann man 1840 mit dem
Bau eines Stollens auf
dem linken Sulzbachufer
nördlich der Ruhbach-
einmündung, um das
Flöz 6 vorzugsweise
auszubeuten. Dieser Stol-
len erhielt 3 Jahre später
seinen Namen zu Ehren
des damaligen pr. Fi-
nanzministers Flott-
w ell.
1851 begann man in
Altenwald mit dem er-
sten S ch a ch t b a u, ver-
anlaßt durch das zu er-
wartende Bedürfnis der
, gerade in Bau genommenen Eisenbahn, und zwar
wurde der Eisenbahnschacht I I am 1. De-
zember 1852, d. i. nur 14 Tage nach der Eröff-
nung der Bahnlinie Bexbach-Neunkirchen-Saar-
brücken, in Dienst genommen.
In Sulzbach ging es langsamer. Die bei-
den Mellinschächte (damals noch Eisen-
bahnschacht III und IV genannt) wurden zwar
1853 angesetzt, um eine Eisenbahnanschlußmög-
lichkeit zu schaffen. Doch dauerte es bis 1861, ehe
sie in Betrieb genommen wurden. Damals hatte
man mit ihnen die erste Sohle erreicht. Doch
derem weiteren Abbau trat die N ä h e d e s
Dorfes Sulzbach und auch die Preuß.-
Bayerifche Staatsgrenze hindernd
in den Weg. Erst nach Eröffnung der
2. S o h l e konnte der Abbau gegen Osten aus-
Grube Mellin: Schächte I und II.
gedehnt werden. Aber man stieß auf zahlreiche
Verwerfungen und mußte zuviel Pfei-
ler stehen lassen. — Altenw ald hin-
gegen konnte seinen Ausbau in der Richtung
auf Heinitz weiter ausdehnen, wo das Gelände
nicht bebaut und die geologische Schichtung regel-
mäßig war. (Lediglich einen Pfeiler ließ man
zum Schutze der „Kolonie" Friedrichsthal stehen;
und zwar dort, wo heute
der Kolonieschacht
ist. Dieser Pfeiler
wurde erst seit 1888 ab-
gebaut.) — Kurzum, die
Förderungsverhältnisse
waren für Altenwald
günstiger als für Sulz-
bach.
1871 teufte die Sulz-
bacher Verwaltung einen
neuen Schacht, den
„K r e u z g r a b e n -
schach t", im Fisch-
bachtale ab. Die Förde-
rung begann dort 1882.
Aber bereits 1890 wurde
diese Anlage als Grube
B r e f e l d von Sulz-
bach abgetrennt.
Aus Raummangel müs-
sen wir uns im folgen-
den begnügen, nur noch
jeweils die wichtigsten
Daten in der Entwick-
lung der Inspektion V
unter der preußischen
Staatsverwaltung anzu-
führen:
1817: Einführung
des 12-Stunden-
t a g e s. Der für Sulz-
bach und Altenwald
schon bestehende Knapp-
wird eine staatliche Ein-
schaftsverein
richtung.
18 2 0: Festsetzung einer Mindestarbeits-
l e i st u n g. Erlaß eines Strafreglements.
18 21: Für Gedingearbeit 8 Stunden
Schicht.
18 2 6: Einführung
Sicherheitslampe
männer (Wettersucher);
st o l l e n wird begonnen.
1 827: Heranziehung
beiter. Teuerung urch
Mangel. Lohnerhöhungen erweisen sich
als notwendig.
18 3 0: Einrichtung des Haupt- und des
Prämiengedinges. Arbeiter im Ge-
dinge können bis 12 Stunden schaffen.
der D a v y s ch e n
für die Sicherheits-
der neue Benitz-
2*
20
Grube Mellin: Eingang.
18 31: Die erste Teuerungszulage,
genannt „Brotzulage".
1832: Verlust von Kundschaft, weil
in St. Ingbert die Kokerei Gerdolle mit St.
Etienner Koksöfen besseren Koks herstellt.
1 8 3 9: Errichtung des ersten Schlaf-
h aus es. Teuerung. Deshalb frei-
willige 12-Stundenarbeit, nur um
das Notwendige zum Lebensunterhalt zu ver-
dienen.
18 41: Beginn der Förderung durch den
Venitzstollen.
1845: Man überwölbte den Sulzbach, um
das Terrain des Venitzstollens zu vergrößern. Die
Kokerei Altenwald hat nunmehr 60 neue Öfen
(Typ „geschlossener Ofen").
Die Ausbeute in Altenwald hebt sich schnell und
übertrifft bald die von Sulzbach um 5922 Fuder.
An Stelle der bisher für die Koksöfen
-benutzten Bruchsteine werden zum erstenmal
mit glücklichem Erfolg Chamottesteine ver-
wendet. Die Hochöfenwerke von Ha-
tz a n g e, die Hauptkunden, errichten am Mor-
bach die e r st e Kohlenwäsche für Koks-
kohlen. Es ist dies die erste Kohlenwäsche über-
haupt im Saargebiet, wenn wir von einem nicht
weiter verfolgten Dudweiler Versuch im Jahre
1834 absehen. Bis dahin mußten die Koks-
kohlen mit der Hand ausgelessn werden. —
Die Wascherfolge sind überraschend gut. 1847
beträgt die Zahl der Koksöfen in Altenwald
bereits 112. — Ein weiteres Schlafhaus wird
dort errichtet, da das Sulzbacher seit langem schon
nicht mehr genügt.
18 4 8: Geschäftliche Hemmungen durch die
Revolution. Ein Teil der Koksöfen wird
gelöscht. Arbeiterentlassungen. Teil-
weise finden dieselben Brot beim Neunkirchener
Eisenbahnbau.
18 4 9/51: In Altenwald glückliche Versuche
mit Schaumburgöfen an Stelle der bisherigen
geschlossenen Koksöfen. Das Vortreiben der Ver-
suchsstrecke in Flöz 4 dient gleichzeitig zur
Wasserführung für die Grube Heinitz. Beginn des
Abteufens der Eisenbahnschächte und Vorbereiten
eines Verbindungsstollens zwischen der Flottwell-
sohle und den neuen Schächten. Der Tartarus-
sprung wird durchbrochen.
1 8 5 2/55: In Altenwald und am Flottwell-
stollen werden größere Tagesanlagen gebaut.
Hinderlich ist dabei, daß ein Teil des Geländes an
Haldy L Cie. für die Errichtung einer
Kokerei verkauft worden ist. Der Schacht II
erhält eine Fördermaschine von 30 PS.,
desgleichen erhält der Schacht I eine solche und
außerdem eine Wasserhaltungsma-
-T 2L
Division Mellin: Fördermaschine I.
s ch i n e. Einführung der Pferdeförde-
rung (bis dahin erfolgte der Transport in
den einfallenden <Ärecken mit Schubkarren
von 2 Zentnern und in den Grubenstrecken mittels
von den Schleppern gestoßener Gruben-
wagen von 9 Zentnern Fassungsvermögen).
Die Nachfrage nach Kohlen steigt insbesondere in-
folge der Eisenbahneröffnung stark.
Die geschäftliche Lage ist glänzend. Der Haupt-
verkauf erfolgt nach Frankreich. Daher beschließt
man die Anlage von 2 weiteren Schächten in
Sulzbach in nächster Nähe der Bahn (heute
M e l l i n s ch ä ch t e) und teuft den Gegen-
ortschaft (Dorotheenschacht) ab. Auch dort
werden Tagesanlagen sowie ein Schlafhaus und
ein Speifewasserbassin angelegt, der Sulzbach
überwölbt, und zwei Beamtenhäuser gebaut. Der
Eisenbahnschacht 1 hat die Saarsohle erreicht, wo
eine Pumpe ausgestellt wird. Im Eugenflöz
(Flöz 3) stößt man auf den Cerberussprung. In
S u l b a ch baut man die letzten Pfeiler ab.
Auch fördert man 138 Fuder Ton stein, von
denen 30 Fuder an die Fabrik Schenkelberger in
Jägersfreude verkauft werden. — Die G e -
meinde Sulzbach erhält 270 Taler zuni
Bau einer Wasserleitung.
1856: Zahlreiche Unfälle mit töd-
lichem Ausgang, meist durch Steinschlag.
Zwei Schlagwetterexplosionen, glück-
licherweise nur Leichtverwundete. Infolge der
starken Nachfrage nach Kohlen können die Koks-
öfen nicht mehr voll beschickt werden. Der Gegen-
ort- und der Eisenbahnschacht werden durch einen
Hauptquerschlag verbunden. An Stelle der bis-
herigen Förderung mittels Rolloch führt man
Bremsberge ein.
18 5 8/65: Die Sulzbacher Grube wird vor-
übergehend wieder der Dudweiler Bergmeisterei
zugeteilt. Die Altenwalder behält trotzdem den
Namen „Sulzbach-Altenwald". — Die allgemeine
geschäftliche Hochkonjunktur flaut zunächst ab, um
später infolge der Erstarkung der saarländischen
Stahlindustrie, der Errichtung neuer Kokereien
in Malstait und Forbach (die Kokerei Haldy &
Cie. in Altenwald verbrauchte allein 56 % der
Altenwalder Förderung) wieder zu steigen. Viel
trug dazu auch die Eröffnung des Saar-
k o h l e n k a n a l s *) bei, der die belgische Kon-
*) Siehe BergmannSkalcnder 1925, Seite 39 ff.
kurrenz int Hauptabsatzgebiet Frankreich erfolg-
reich bekämpfen ließ. Auch wurde seitens der
Saargruben nunmehr der Kohlenverkauf
nach der Schweiz aufgenommen. — Dem-
gemäß wurden auch die vorhandenen Anlagen
fortwährend weiter ausgebaut. Der Gegenort-
schacht und der Schacht Mellin I erhalten je eine
Dampfpumpe von 100 bezw. 120 PS. Es werden
die ersten Versuche mit imprägnier-
tem Holz vorgenommen, auch die Tonstein-
ausbeute fortgesetzt. Der Saar st ollen er-
reicht 1865 mit 10.500 m Länge den Venitzschacht
und wird weiter gegen Altenwald vorgetrieben.
Die Gruben werden planmäßig neu aufge-
nommen und Fundamentalrisse, Wasserführungs-
risse usw. ausgestellt. — Die tägliche Barometer-
beobachtung und die Führung des Wetterjour-
nals werden vorgeschrieben, und desgleichen
nähere Vorschriften bezgl. Unterhaltung und Ge-
brauch der Sicherheitslampen erlassen. In Sulz-
bach wird (1864) die Glashütte von
V o p e l i u s errichtet, die viel zur industriellen
Hebung des Orts beiträgt. — Es entsteht die
Bergmannskolonie Seitersgräber
und später eins weitere bei Friedrichs-
thal und unter der Leitung des Di*. Langguth
das Knappschaftslazarett Sulzbach.
18 6 6/70: Vom 1. Januar 1866 ab wird die
Sulzbacher Grube wieder mit der Altenwalder
vereinigt. Die geschäftliche Lage ist trotz des öster-
reichischen Krieges gut; der Kohlenpreis
steigt von 3 Sgr. 9 Pfg. auf 4 Sgr. 4 Pfg. —
In Sulzbach erhält die Heizanlage von Mellin
einen 10. Heizkessel. Die Balanzierpumpe des
Schachts I erhält 3 Pumpenstiefel, je eine auf der
Saarsohle, der I. und der II. Sohle. Eine Sieb-
trommel wird ausgestellt. Der Venitzschacht wird
bis zur 2. Sohle, der Venitzstollen bis zum Flöz 17
durchgeführt. Die Wetterführung in
Altenwald wird verbessert. Ein Kompressor wird
ausgestellt, der Bohrmaschinen und Haspel unter
Tage mit komprimierter Luft versieht.
Am Flottwellschacht wird ein kleines Gaswerk
angelegt für Gegenort- und Eisenbahnschacht-
anlagen. Der Morbachschacht wird als
Wetterschacht abgeteuft, und 2 Ventilatoren,
System Guibal, werden aufgestellt. Für die von
auswärts kommenden Bergleute werden von der
Bahnverwaltung besondere Arbeiterzüge in den
Richtungen Bingen und Trier Samstags von
und Montags zur Schicht eingelegt. Wie bei allen
Inspektionen wurde auch für Sulzbach eine
Musikkapelle geschaffen, ferner Klein-
kinderschulen, Gesangschulen und ein
Konsumverein, der jedoch nicht viel
Anklang fand. In Hühnerfeld entstand eine
weitere Kolonie. Die Verkaufsziffer hob
sich bis auf 10.600.000 Ztr. pro Jahr.
18 7 0/80: Der Krieg mit Frank-
reich brachte zunächst mancherlei Störungen
mit sich. Nachher ging jedoch der Betrieb in ge-
wohnter Weise weiter. Zu erwähnen ist das Ab-
teufen zweier neuer Schächte, der Kreuz-
g r ä b e n f ch ä ch t e, im Fischbachtal. Der Venitz-
stollen erreichte das Flöz 21. — Im Jahre
1872 gaben starke Regenfälle im Herbst Anlaß zu
Wassereinbrüchen. Die 3. Sohle er-
soff. Die Pumpeneinrichtungen wurden darauf
verbessert und vermehrt. In Sulzbach wurde
durch den Wetterofen ein Brand des
Flözes 16 in der 2. Sohle vsranlaht, der trotz
Abtnauerung des Brandherdes zeitweise empfind-
liche Störungen verursachte. Zu erwähnen ist
noch die Inangriffnahme des L och w i es-
st o l l e n s.
1 8 80/9 9: Die einzelnen Arbeiten schreiten
fort. Erwähnenswert sind aus der Berichtszeit
zwei schwere Unfälle: am 24. Nov. 1884
blieben durch einen Seilkorbachsenbruch während
der Fahrt 12 Leute tot, 3 wurden verletzt; am
5. Februar 1888 gab es bei einer Schlag-
wetterexplosion in Flöz 4 (Kreuzgräben)
4 2 Tote. — Die Bauart des tonnlägigen
Morbachschachts bewährte sich nicht: er
gab unter dem Druck des umliegenden Gesteins
nach; man beschloß deshalb in Zukunft nur noch
seigere Schächte zu bauen. 1889 wurden die
Kreuzgräbenschächte bei der Bildung der neuen
Jttspektion XI abgetrennt. 1890 begann man mit
dem Bau des Kolonieschachts. Aus dem
Jahre 92 liegen von Sulzbach einige interessante
Zahlen vor: die Belegschaft betrug 938 Mann, die
Arbeitsleistung pro Schicht 800 kg, der Schicht-
lohn 3,83 Mk. Der Gestehungspreis betrug für
die Kohle 7,76 Mk. 1894 begann man den ersten in
Zement gewölbten Schacht, den Hermannschacht,
1896 den Mathildeschacht *). Ferner errichtete man
in Sulzbach die Kohlenwäsche und führte
(98- auf Mellin die elektrische Beleuchtung
ein. 1899 wurde die Pferdeförderung in eigene
Regie übernommen. — Besonders zu erwähnen
sind noch die großen Streiks des Jahres
1859, die mit ihren Ursachen und Folgen in der
Erinnerung aller saarländischen Bergleute leben.
1 9 00—1918: Das neue Jahrhundert brachte
die Vervollkommnung der technischen Hilfsmittel.
Besonders ist hier zu nennen die Einführung der
komprimierten Luft als Triebmittel und
des Spülversatzes. Namentlich der letzte
spielt in den Gruben der Inspektion eine große
Rolle. Hand in Hand damit geht die allmähliche
Elektrisierung des Betriebs und der Ersatz der
Pferdeförderung durch moderne Mittel, angefan-
gen mit 9 B e n z o l l o k o m o t i v e n, die für
*) Benannt nach Berghanptmann Herm. Brassert und Frau Bertrag
Mathilde Krümmer.
23
Divifivn Alteuwald: Fördermaschine I.
Attenwald 1906 beschafft wurden. — Allmählich
trat weiterhin, namentlich durch den Spülversatz
ermöglicht, ein Stoß bau anstatt des bis-
herigen Pfeilerabbaus und Streb-
baus auf; desgl. wurden (1910) durch Mo-
tore betriebene Schüttelrutschen eingeführt,
und in Altenwald der Abdampf zum Antrieb eines
Turbokompressor von 6.600 m* Stun-
denleistung verwandt. Auch Mellin erhält (1912)
einen Kompressor von 7.000 m9 Leistung. InAl -
tenwald wird die Luftschleuse am
Mathildenschacht errichtet, am Benitz- und
am Gegenortschacht über Tage ein Klärbassin und
zwischen Mellin und Altenwald ein Fahrweg er-
baut. — Auch aus dem Jahre 1912 sind aus
Anlaß der neuen Arbeitsordnung leb-
hafte Unzufriedenheit, Lohnerhöhungs-
fordsrungen, und schließlich ist aus Januar 1913
eine erneute Streikproklamation zu
erwähnen.
Wegen der bevorstehenden Ausdehnung des
Abbaus in der Richtung Friedrichsthal kauft 1913
die Inspektion die Glashütte Friedrichsthal (Bo-
pelius u. Wenzel) und der O b e r b e r g h a u p t -
mann v. Belsen entscheidet anläßlich der
jährlichen Befahrung 1914 dahin, daß man den
Sicherheitspfeiler unter dem Dorf
F r i e d r i ch s t h a l nicht länger mehr
st e h e n lasten soll *). Aus den Kriegsjahren
.*) Ein Projekt, dem die jetzige französische Berwaltung bisher
keine Folge geben zu können glaubte.
ist noch zu erwähnen die Errichtung des Gries-
kohlenbehälters und die Aufstellung der automa-
tischen Grieskohlenwage in Altenwald, weiterer
Kompressoren und Pumpen, und die Vollendung
des großen Schornsteins von 98,50 m Höhe auf
Mellin.
Wir müssen schon um Enstchuldigung bitten,
daß wir die Jnspektionsgeschichte derart detailliert
gebracht haben. Aber wir dachten, daß die Tau-
sende von Lesern, die zur Belegschaft der Inspek-
tion gehören oder gehörten, die alten Zeiten mit
besonderem Interesse verfolgen würden.
Die anderen aber werden wieder einmal die
Entdeckung machen: es gibt doch nichts Neues
unter der Sonne! — Wahrhaftig, nichts Neues!
— Nicht einmal, daß die Dokumente der Gruben-
verwaltung nun auf französisch abgefaßt werden;
hat doch schon die Gräfin Eleonore-Clara von
Nassau-Saarbrücken in dieser Sprache ihre Re-
venüen aus der Ausbeutung der Saargruben
aufgeführt.
Die Teuerung?.... die Wohnungs-
not?.... die Teuerungszulagen?....
ach, man kennt sie schon seit 1828?.... das
Prämiensystem seit 1830!....
Und willst du wissen, lieber Leser, was der
Bergmann von seiner Arbeit hielt, oder wie er
über seinen Steiger und seine Bezahlung dachte,
nun so lies die nachstehenden Verse, und dann
sage mir, ob es wohl 1927 anders klingen würde,
als in diesem bereits 1836 entstandenen
Lied vom VenitzstoUen.
Östlich in dem Venitz-Stollen, auf der Bühne
Nummer drei
Sind die Felsen angeschwollen, hart, voll Wasser,
schwer wie Blei;
Dort soll ich mein Brot verdienen, und mich wie
ein Hund abschinden,
Bei dem Onkel und dem Nickel, mit dem Schlägel,
Keil und Pickel.
Kommt der Steiger angefahren, so entfällt uns
schon der Mut,
„Ei, ihr braucht ja nur zu scharren, eure Arbeit,
die ist gut".
Will man ihm was widerlegen, fängt er an, uns
auszufegen,
„In die Strafe nehm ich euch". — Das geschieht
auch öfters gleich!
Der Knorzer, der geht in der Strecke hin und her,
wohl zum Verbau'n,
Und der Nickel kommt gelaufen, um die Stempel
abzuhau'n,
Währenddem, da sitzt der Onkel in der Arbeit
und ist donkel.
Denn er hat ein komisch' Licht, das möcht' gerne
haben Schicht.
Sind die Türstöck eingezogen, so geht's wieder
vor den Stoß,
Wird ein Stückchen hergelogen, so geht's immer
fort drauf los.
Der Knörzer schrämt, der Nickel schrot, der Onkel
kommandiert zum Brot,
S o geht alles von der Hand, ist das nicht eine
wahre Schand?
Kommt der Lohntag nun heran, heißt's: „Ihr
habt ja nichts getan!"
Es klagt uns der Steiger an und sagt: „Jetzt seid
ihr übel dran".
Zahlt man uns nach der Manier, trinkt man
gleich was ält'sig Bier,
Ist gleich die Hälft des Lohnes fort, und man
heißt Lump von Ort zu Ort.
Die lnspektion unter der jetzigen
Verwaltung.
Oberster Grundsatz für die neue Lei-
tung der Inspektion wurde bei der Aufstellung
des weiteren Abbauplanes bei größter tech-
nischer Vervollkommnung der Arbeits-
bedingungen die Erzielung höherer Sicher-
heit. Dieser Grundsatz wurde bis an die Grenze
des eben nur Möglichen verfolgt. Hand in Hand
damit ging das Bestreben, auch sonst die wirt-
schaftliche Lage der Arbeiter zu heben.
In dieser Hinsicht kann man mit Befriedi-
gung auf das Erreichte zurückblicken, um so
mehr, als infolge des st e t e n Wachsens der
Anlagen und der Förderziffer eine
st a r.k e Vermehrung der B e l e g s ch a f i ¡.
eintreten mußte, wobei die Inspektionsleitung ge-!
nötigt war, eine große Zahl von nicht berg-
männisch vorgeschulten Arbeitern einzustellen, bei
denen naturgemäß die Möglichkeit eines Unfalls i
eher gegeben ist als bei solchen Leuten, die ;
von Jugend auf mit den Arbeitsbedingungen und
den Gefahren des Bergbaus vertraut sind. Unser
Diagramm Nr. I zeigt uns das Resultat: eine
mittlere Zahl der tödlichen Unfälle von 0,55 pro
Tausend der beschäftigten Bergleute für die
ersten 6 Jahre der neuen Leitung.
Es muß bei dieser Gelegenheit darauf hinge-
wiesen werden, daß es natürlich vollkommen
irreführend ist, wenn, wie dies vielfach in
der Öffentlichkeit geschehen, lediglich die Ge-!
s a m t z a h l aller Unfälle ohne Rücksicht auf
ihre Schwere oder Leichtigkeit genannt, und dann
als Vergleich ihr einfach die entsprechende
Zahl vor 1920 gegenübergestellt wird. Schon
die bedeutend gewachsene Arbeiterzahl, ganz ab-
gesehen von allen sonstigen Bedingungen, läßt
einen solchen Vergleich schief werden! Alsj
Vergleichsobjekt kann eben nur eine Verhält-
nis z a h l für eine bestimmte Kategorie von
Unfällen in Betracht kommen. Und diese ergibt
einen bedeutenden Rückgang gegen frü-
her: von einem Mittel von 1,42 auf 0,55.
Als weiteren Vergleich haben wir für die
gleichen Jahre die gleichen Verhält-
nis z i f f e r n eines anderen gleich bedeu-s
tenden Bergbaubezirks, des Dortmunder,
eingesetzt. Hierbei ist das Resultat noch viel
g ü n st i g e r: 0,55 gegen 1,96, das ist fast nur
ein V i e r t e l der dortigen Unfallzahl.
Auch eine Statistik über die Zahl
der tödlichen Unfälle im Verhält-
nis zur Fördermenge läßt ein gleich
erfreuliches Bild erscheinen: eine mittlere
Zahl von 3,23 auf die Million Tonnen gegenüber
einem Mittel von 5,81 für die letzten Jahre der
preußischen Verwaltung, die nur geschulte Berg-
leute beschäftigte, und gar einer mittleren Zahl
von 12,3 des Dortmunder Bezirks (Diagr. Nr. ll).
Wir erwähnten eingangs die Bemühungen der
Inspektion um die Hebung der wirtschaftlichen
Lage ihrer Arbeiter. Hier ist vor allem der
Lebensmittelverkauf an die Belegschaft
zu nennen. Man kann sagen, daß in den Verkaufs-
stellen der Gruben alles Nötige zu finden ist, ein-
schließlich Brot und Fleisch, Bier und Wein, und
zwar zu Preisen, die denen des Großhan-
dels zum mindesten nahe stehen, häufig sogar
noch erheblich darunter bleiben. Daß der örtliche
Kleinhandel dies nicht allzugern steht, ist klar:
um so zufriedener sind aber die Bergleute selbst
damit.
25
Diagramm Nr. I. Zahl der tödlichen Unfälle pro 1.000 beschäftigter Arbeiter und Jahr.
Wenn in dieser Weise der Teuerung ent-
gegengetreten und die Kaufkraft der Beleg-
schaft gehoben wurde, so hat andererseits auch
die Inspektion ihr Möglichstes getan, der zweiten
Klage, die wir aus dem Inspektionsbezirk schon
seit 1828 kennen, abzuhelfen, der über die
Wohnungsnot. 13 Doppelhäuser für Be-
amte, 33 für Arbeiter wurden errichtet, das find
schon 92 neu erbaute Wohnungen, wozu noch etwa
ein Dutzend kommt, die in früher unbewohnten
Gebäulichkeiten hergerichtet wurden. Aber auch
der Gemeinde Sulzbach sprang man in
dieser Hinsicht bei, indem man, um die Einwohner-
schaft von den Lasten der Einquartierung zu be-
freien, auf Kosten der Grube eine Kaserne
erbaute, die später als Schlafhaus verwandt
werden kann, ihr auch mit einem S ch u l h a u s -
bau zur Hilfe kam.
Betrachten wir weiterhin einmal die
technischen Fortschritte
und die dadurch erzielte höhere Förderung. Hier
ist vor allem entsprechend den Intentionen der
Groupe Centre die weitgehende Anwen-
dung der Druckluft als Arbeitsmittel zu
nennen. Zu diesem Zwecke wurden bret neue
starke elektrische Kompressoren (von je
800 PS.) nacheinander auf den Kolonie-, den Mel-
lin- und den Altenwaldschächten in Betrieb ge-
nommen. Sodann hat die Inspektion die Zahl
der Druckluftabbauhämmer bedeutend
vermehrt. Die Bergleute haben diese Neueinfüh-
rung gern gesehen, da sie sich des Werts moderner
Abbauwerkzeuge voll bewußt sind. Geht doch in
der Tat mit deren Einführung Hand in Hand eine
Vergrößerung der Förderleistung und damit auch
der Verdienstmöglichkeit für den Einzelnen.
Dazu kommen noch andere Vorteile, die zwar
nicht so leicht in die Augen springen, aber die
einen desto höheren Wert haben: ihr Gebrauch
ermöglicht es, den Abbau schneller vorzu-
treiben, wobei das Hangende bester bleibt wie bei
der altgewohnten Handarbeit. Die Bergleute find
somit weniger der Gefahr des Jn-
bruchgehens ausgesetzt.
26
Vor allem aber wird eine andere Gefahr
immer mehr beseitigt: die einer Ex-
plosion durch die Anwendung von Spreng-
stoffen. Wenn man an die schrecklichen Kata-
strophen denkt, die Camphausen und Reden heim-
suchten, so begreift man, weshalb die neue Ver-
waltung alles tut, die Ursache derselben, die
Sprengarbeit, immer mehr einzu-
schränken. Besser als eine langstilige Dar-
legung läßt uns unser Diagramm Nr. III ersehen,
welche Fortschritte man in dieser Hinsicht
dank der so vermehrten Einführung der pneuma-
tischen Abbauwerkzeuge gemacht hat.
Natürlich müssen derartige kostbare Werkzeuge
auch ständig sorgfältig gepflegt werden, um ihren
vollen Wert zu erhalten. Zu diesem Zweck hat
man zunächst in Altenwald eine Werkstätte
eingerichtet (Bild Seite 28), in der die Hämmer
ständig kontrolliert, geschmiert, und wenn nötig,
ausgebessert werden. Die erzielten Resultate
haben alle Erwartungen übertroffen; ein nicht
funktionierender Hammer ist eine Ausnahme.
Somit ist ein Grund zur Mißstimmung für den
Bergmann ausgeräumt, der sicher sein kann,
immer ein tadelloses Werkzeug zur Hand zu
haben. Infolgedessen wurden die Werkstätten er-
weitert und auch für Bohrhämmer, Schräm-
maschinen und Rutschenmotoren eingerichtet.
Auch auf Mellin wurde bei Einfüh-
rung der pneumatischen Abbauhämmer eine
solche Werkstätte eingerichtet.
Was die weitergehende Elektrisierung
der Anlagen angeht, so hat man sich nicht mit den
drei neuen Kompressoren begnügt. Zurzeit wird
auf A l t e n w a l d eine elektrische För-
dermaschine aufgestellt. Wenn sie in Betrieb
ist, wird auch die Klage der Einwohner von Al-
tenwald über die Rauchplage ver st um-
men. Endlich ist an dieser Stelle auch der Er-
weiterung und Modernisierung der
Feuerungsanlagen von Mellin zu ge-
denken. Die frühere Verwaltung hatte dort zwei
neue Feuerungsanlagen mit mechanischer Be-
schickung vorgesehen. Heute besitzt Mellin deren
vier, da die beiden ersten, die noch während des
Krieges konstruiert worden waren, Mängel aus-
wiesen. Aber die beiden letzten sind desto mehr
modernen Anforderungen entsprechend, sodaß eine
ganze Anzahl Arbeiter dadurch überzählig und für
andere Stellen frei wurde, und die Tätigkeit der
27
Gebliebenen sich bedeutend angenehmer gestaltet
hat.
Eine weitere bedeutende Verbesserung ist dis
Einführung von Grubenwagen aus
Eisenblech anstatt der bisher aus-
schließlich vorhandenen hölzernen. Zwar
ist dieser Austausch noch nicht beendet. Die Zahl
der Eisenwagen wächst aber von Tag zu Tag,
was in der Gegenwart, wo sich alle Kräfte auf
die Verminderung des Kohlenstaubs richten, sehr
wichtig ist.
Was weiterhin den Transport unter Tage an-
geht, so ist der Lokomotivenbetrieb auf
Altenwald vermehrt und desgleichen sind
Venzollokomotiven an Stelle der
bisherigen Pferdeförderung auch aus
Mellin eingeführt worden. — Auch hat diese
Grube in der 5. Sohle noch eine neu e Pumpe
von 5 in' Minutenleistung zu den zwei vorhan-
denen von 3,5 na' Leistung erhalten, ferner sind
die Steigrohrleitungen verdoppelt worden.
Werfen wir zum Schluß noch einen Blick auf
die Belegschafts- und die Förderziffern seit der
neuen Verwaltung:
Jahr Produktion Belegschaft
1919 874.957 t 5.034
1920 909.922 „ 5.662
1921 830.161 „ 5.780
1922 931.103 „ 5.726
1923 780.750 „ 5.751
1924 1.183.334 „ 5.851
1925 1.078.221 „ 5.731
Hieraus ergibt sich, daß 1925 gegenüber 1919
die Inspektion 700 Arbeitern mehr ihren Brot-
erwerb geboten und die Allgemeinheit um
200 000 t Kohlen reicher gemacht hat, deren
Gestehungskosten ihr in der Hauptsache in Form
von Löhnen, Einkäufen und Steuerleistungen zu
Gute kommen.
28
Kompressor Dujardin.
Altenivald: Reparaturwerfftätte sür Lufidruckhämmer.
Bilder zur Geschichte der Inspektion Y in àlzbach
Bergmannsleven.
Von Theodor Körner.
m
n das ew'ge Dunkel nieder
Steigt der Knappe, der Gebieter
Einer unterird'schen Welt.
Er, der stillen Nacht Gefährte,
Atmet tief im Schoh der Erde,
Den kein Himmetslicht erhellt.
Neu erzeugt mit jedem Morgen
Geht die Sonne ihren Lauf.
Ungestört ertönt der Berge
Uralt Zauberwort: „Glück auf!"
Durch der Stollen weite Länge,
Durch das Labyrinth der Gänge
Wandern wir den sichern Weg.
Uber nie erforschte Gründe,
Uber dunkle Höllenschlünde
Leitet schwankend uns der Steg;
Ohne Grauen, ohne Zaudern
Dringen wir ins düstre Reich,
Führen auf metallne Wände
Jauchzend den gewaltigen Streich.
lüil
Unter uns'res Hammers Schlägen
Nuillt der Erde reicher Segen
Aus der Fetfenklust hervor.
Mas wir in dem Schacht gewonnen,
Steigt;um reinen Glan; der Sonnen,
Zu des Tages Licht empor.
Herrlich lohnt sich unser Streben,
Bringet eine gotdne Welt
Und des Demants Pracht;u Tage,
Die in fmstrer Tiefe schwellt.
In der Erde dunklem Scho he
Blühen uns die schönsten Lose,
Strahlet uns ein göttlich Licht.
Einst durch düstre Felfenfpalten
Wird es seinen Glan; entfalten.
Aber w i r erblinden nicht.
Wie wir treu der Mutter bleiben,
Lebend in dem düstern Schacht,
Hüllt uns in der Mutter Schleier
Einst die ewig lange Nacht.
Aus den „Knospen".
30
Sulzbach: Totalansicht.
Gerichte -es Sulzbacher Gebiets
von I. Gayot.
a) Geschichte des Grtes Butzbach.
ulzbach, vom 16.—18. Jahrhundert Sultz --
b a ch geschrieben, hat, wie der gleichnamige
Bach, seinen Namen vom Salz. Es wurde näm-
lich daselbst Salz gekocht, wenn auch die Ausbeute
gering war.
Wann der Ort Sulzbach entstanden ist, darüber
fehlt jede Nachricht. Gewiß ist, daß'derselbe zu den
alten Stiftsgemeinden gehörte, welche wahrscheinlich
von St. Arnual aus gegründet, jedenfalls aber von
dort bedient worden sind. In der bekannten „Ge-
schichte der Grafschaft Nassau-Saarbrücken und der
Städte Saarbrücken und St. Johann (von Ruppers-
berq) wird der Name Sulzbach zum ersten Male er-
wähnt, als Gras Johann Ludwig von dem Mathias
Degen von Gersheim und der Joyanette von Franken
1536 deren Allodialgüter (Freigüter) erwirbt; des-
gleichen finden sich Notizen aus den Jahren 1648 und
1549, woraus wir ersehen, daß die Herren von Kerpen
(Besitzer der Herrschaft Illingen) und die Pfalzgrafen
von Zweibrücken hier Eigentum hatten. Damals muß
Sulzbach ein großes Dorf mit eigener Kirche und
eigenem Pfarrer gewesen sein.
Diese alte selbständige Pfarrei Sulzbach wurde 1576
aufgehoben und als Filiale mit Dudweiler verbunden,
nachdem bereits 1669 das Stift St. Arnual durch den
Grafen Johann IV. von Nassau-Saarbrücken auf-
gehoben worden war, und 1575 Graf Philipp III.
die Reformation durchgeführt hatte.
Der damalige Pfarrer von Dudweiler, Johann
Kratz vom Kloster Herbitzheim bei Saaralben, der
um 1557 die Stelle erhalten hatte, bekannte sich mi!
der ganzen Gemeinde zur Augsburgischen Konfession
Johann Kratz trat im Jahre 1611 von dem Pfan-
amte zuriick, nachdem er dasselbe über 50 Jahre lang
bekleidet hatte. Sein Nachfolger war Johann Fe-!
d erlin von Saarbrücken. 1613 finden wir stat!
seiner schon M. Johann Breidenstein erwähnt
Derselbe wurde 1622 nach Morschheim (in der nas-
sauischen Herrschaft Kirchheim) versetzt.
Zu Breidenstein's Zeit hatte der 30jährige Krieg
begonnen, der freilich in den ersten Jahren dem Saai-
und Bliesland außer Truppendurchmärschen und Ein-
quartierungen keine Drangsal brachte, da Graf Lud-
wig II. (ch 1627) sich neutral gehalten und damis
sein Land vor direkten Angriffen bewahrt hatte.
Aber im Jahre 1623 begann die P e st ihre mehl
als zwölfjährige Herrschaft und begleitete von da an
die Schrecken des Krieges, die sich bald fühlbar machen
sollten. Schon 1625 waren viele Dorfbewohner vo!
den Roheiten der kaiserlichen Soldaten in die be-
festigten Städte geflüchtet. Besonders schlimm hausten
hier die Soldaten der beiden Briider Kratz von Schm-
fenstein (1627—1628). In Sulzbach lag ein Detache-
ment des Obristleutnants Orsbeck in Quartier. Kon-
tributionen, Fouragelieferungen, Tischgelder für Of-
fiziere und Gelderpressungen werden, wie die anderen
31
^Sulzbach: Protestantische Kirche.
Orte der Grafschaft, auch Sulzbach um seinen Wohl-
stand gebracht haben. Es war damals ein beträcht-
liches Dorf, welches 1628 noch 1 Meier, 18 Unter-
tanen, 2 Witwen und 3 Hirten, also wohl 24 Haus-
haltungen mit ewa 130 Seelen gezählt hatte. Aber
nachdem die Schweden die Kaiserlichen bis an den
Rhein zurückgedrängt hatten, trat Graf Wilhelm-
Ludwig (1627—1640) der von Schweden mit den
evangl. Reichständen der 4 Oberdeutschen Kreise
(Schwaben, Franken, Ober- und Niederrhein) 1633
geschlossenen Evangl. Konföderation bei. Die Folge
war, daß unser Land alsbald zum Kriegsschauplatz
wurde. Denn schon 1635 rückte der kaiserliche General
Gallas, nachdem die Schweden im Jahre vorher bei
Nördlingen besiegt worden waren, mit seinen Kroaren
und Spaniern sengend und brennend bis an die Saar
vor. Wahrscheinlich ist von seinen Truppen S u l z -
bach eingeäschert worden, so daß, wie es in
einem Berichte des Jahres 1635 heißt, nur noch zwei
Untertanen in dem abgebrannten Orte lebten. Das
war das Ende des alten Sulzbach.
92 Jahre, von 1635 bis 1727, lag Sulzbach in
Ruinen. Es existierte als Dorf nicht mehr, als
Christian Ludwig Barthels als Pfarrer nach
D u d w e i l e r kam. Damals (1719) wurde das Salz-
Alt enmald: Katholische Kirche.
Werk wieder hergerichtet. „Wegen guter Jagd" wurde
ein Jäger dahin gesetzt, und endlich 1727 durch den
Grafen Friedrich-Ludwig dem Ort Sulzbach wieder
Dorfgerechtsame verliehen. Es war geplant, 12 bis
15 Untertanen, welche sämtlich Fuhrleute sein
sollten, dort anzusiedeln. Nach dem im Jahre 1728
erfolgten Tode des Grafen beschloß aber die Herr-
schaft, die Zahl der Ansiedler auf 6 herabzusetzen. —
Wahrscheinlich sollten diese „Fuhrleute" Holz und
Steinkohlen abfahren.
1733 brach der polnische Erbfolgekrieg aus, in dem
unsere Gegend unter Einquartierungen, Durchmär-
schen, Lieferungsauflagen und Kontributionen viel zu
leiden hatte. So marschierten am 6. April 1734 die
Regimenter des französischen mar6chal de camp de
Kleinhold gegen 8 Uhr in aller Stille durch Sulzbach.
Es war strenger königlicher Befehl, in der Grafschaft
größte Ordnung zu wahren. So bezahlten die durch-
ziehenden Soldaten alles, was sie nötig hatten, bar
und beleidigten uiemand.
Neue Unruhe entstand 1743, als im österreichischen
Erbfolgekriege der Generalfeldwachtmeister Mentzel in
die hiesige Gegend kam, und seine Husaren sich mit
den Franzosen vor den Toren von St. Johann auf
der neuen Straße durch das Sulzbachtal, die Fürst
32
Wilhelm-Heinrich gerade hatte chauffieren lassen,
herumschlugen.
Den „Jäger" erwähnten wir schon. Von 1724—
1783 war Sulzbach Sitz eines fürstlichen Oberförsters.
Der erste hieß Joh. Brunner. Seit 1742 hatte er
einen Adjunkten, Heinr. S ch ü tz l e r, der nach seinem
Tode 1757 sein Nachfolger wurde. Auf ihn folgte 1776
Christ. Lex mit dem Titel eines fürstlichen Wild-
meisters.
Aus den folgenden Jahren erfahren wir auch etwas
über den kulturellen Stand der Gegend.
Die Einwohner von Sulzbach, Friedrrchs-
th a l und Hühnerfeld erwarben nämlich ge-
meinsam von der Herrschaft ein im Orte Sulzbach
gelegenes altes Häuschen zum Preise von 60 fl. und
ließen dasselbe in den Jahren 1731—1733 renovieren
und als S ch u l h a u s einrichten. — Im Jahre 1735
ist dann Friedrich Peters Schulmeister in Sulz-
bach, wird aber schon 1736 versetzt. Auf ihn folgt in
demselben Jahre Joh. Heinr. Schuppman n,
Bürger und Schuhmacher zu Saarbrücken. Bei einer
Visitation im Jahre 1739 finden wir 14 Kinder in
der Schule vor, 4 sind abwesend. Nach Schuppmann
kam 1740 Joh. Mich. Stählinger, ein junger
Schneider von St. Johann, auf die Lehrerstelle zu
Sulzbach. — Es war eben damals die Zeit, in der es
noch keine seminaristisch gebildeten Lehrer gab, in der
Handwerker oft zum Schulstocke griffen, ihn manchmal
schnell niederlegten und nach kurzer Zeit wieder auf-
nahmen.
Es kam die Zeit der großen französischen Revolu-
tion. — Wie fast alle Gemeinden der Grafschaft
Nassau-Saarbrücken, gaben auch die Bewohner von
Sulzbach auf diese Kunde hin ihren Beschwerden
gegen die fürstliche Regierung Ausdruck. Sie ver-^
langten (September 1789) Befreiung vom sechsjährigen
Soldatendienst beim Niederrheinischen Kriegskontin-
gent, Zutritt zu den Waldungen, Weidegang, Srock-
und Gipfelholz, Ersatz für den Wildschaden oder Aus-
rottung des Wildes, freien Handel mit Branntwein
und AÜegfall des Kohlenfuhrgeldes. — Bekanntlich
machte die Nassau-Saarbrücker Regierung einige Zu-
geständnisse und setzte den Preis der Kohlen auf vier
Kreuzer für den Zentner fest (1 Kreuzer — 3 Cen-
times), endlich verordnete auch am 15. Febr. 1793 der
Fürst die Abschaffung aller Jagdfronden und Auf-
hebung der Leibeigenschaft. Aber trotzdem war bald
darauf seine Herrschaft zu Ende, denn im Herbst 1793
zog sich der Krieg zwischen Frankreich und Preußen
in unsere Gegend. Zwar hatten nach dem Siege des
Herzogs von Braunschweig bei Pirmasens preußische
Trrrppen die Franzosen über die Saar zurückgedrängt.
Doch da die Interessen Preußens damals nicht an der
Saar, sondern in Polen lagen, nahm es seine Truppen
in die Pfalz zurück. So 'erhielt das Saarland, also
auch Sulzbach, eine französische Besatzung und wurde
im Frieden von Basel 1796 wie das ganze Rheinland
französisches Land.
In der folgenden französischen Zeit bildete Sulz-
bach eine Gemeinde, die bei der Zählung von 1803:
Sulzbach: Das Rathaus.
33 —
j 314 und bei der von 1809 schon 450 Einwohner auf-
wies. Dies war hauptsächlich durch die Kohlen-
gruben, das wichtigste Unternehmen des Ortes,
begründet.
In der Folgezeit erlebte Sulzbach, wie die ganze
Gegend, einen namhaften Aufschwung durch die 1852
erfolgte Eröffnung der Eisenbahn Neun-
kirchen-Saarbrücken und den späteren wei-
teren Ausbau dieser und der Anschlußlinien.
Die Eisenbahn wirkte auch fördernd auf einen an-
deren Sulzbacher Industriezweig: die Glashüt-
ten. So wurde 1858 von Chevandier & Vopelius
eine neue Glashütte auf dem Sulzbacher Banne und
1865 von Eduard Vopelius eine Fensterglashütte
mit 3 Ofen am Mellinschacht dicht bei dem Sulzbacher
Bahnhof errichtet.
Kurz vor dem Weltkriege hatten sich die Hütte von
Chevandier & Vopelius, die Hütte Eduard Vopelius,
die alte Schmidtbornsche Hütte zu Friedrichsthal und
die Hütte von L. Wentzel dortselbst in den „Vereinig-
ten Vopelius'schen und Wentzel'schen Glashütten" mit
dem Sitz in Sulzbach zusammengeschlossen. Anfangs
1915 sah man sich gezwungen, den Betrieb der Glas-
hütte am Bahnhof Sulzbach endgültig einzustellen.
So schritt mit der Entwicklung der Neuzeit auch die
Größe und Bedeutung der Gemeinde Sulzbach stetig
fort. Infolge des Zuzugs zahlreicher katholischer Ar-
beiter, mußte in dem durch die Reformation protestan-
tisch gewordenen Ort wieder eine katholische Kirche
erbaut werden (1872), die 1885 zur selbständigen
Pfarrkirche erhoben wurde. Das Schulwesen blühte
gleichfalls auf (Realgymnasium seit 1906). — Heute
zahlt die Bürgermeisterei Sulzbach 22.000 Einwohner
und ist Sitz eines Amtsgerichts.
verfallen... 1668 verhandelte Graf Gustav-Adolph we-
gen Belehnung mit den Salzquellen. 1678 wurden 3
Brunnen 16—18 Fuß tief hergestellt, mit Pumpen ver-
sehen und eine neue eiserne Pfanne (24 Fuß breit, 26
lang und 1 Fuß tief) hergerichtet, jedoch das gewonnene
Salz zeigte sich „sehr grau und von schlechtem Ge-
schmack", zudem konnte aus 1 Zentner Sole noch nicht
voll 1 Pfund Salz ausgebracht werden. Durch Ver-
trag vom 25. September 1698 erhielten 3 Bürger von
Saarlouis das Werk auf 9 Jahre in Pacht, traten
aber schon 1700 wieder davon zurück, weil die Salz-
wasser sich verloren hatten" (Haßlacher).
1719 wurde der Salzbrunnen mit einem Kostenauf-
wande von 9—10.000 Gulden wieder instand gesetzt
und 1721 wurde schon wieder Salz gewonnen, aber nur
in einer ganz kleinen Pfanne. Die Herstellung des
Salzsuds dauerte bis Ende des Jahres 1722. Es waren
2 große neue Pfannen bestellt; mit einer wurde in-
dessen schon der Anfang gemacht. — Der Pfarrer
weihte das Salzwerk „in Gegenivart der Herren
Räthe" durch Predigt und Gebet ein und mußte hin-
fort daselbst wöchentlich eine Betstunde halten, wofür
er für seinen Haushalt das Salz frei hatte. Nach
einem Zusatze zu einem Exemplare der Nassau-Saar-
brückischen Kirchenordnung wurde in allen Gemeinden
des Landes gebetet: „Du wollest, Herr, auch die
Salzbrunnen in hiesigem Lande segnen, zu dem neu
angefangenen Salzwerk Deine Gnade geben und das-
selbe zu des Landes Besten erhalten".
Nach wenigen Jahren jedoch schon mußte der Be-
trieb eingestellt werden. Neue Hoffnungen erweckte
zwar ein Gutachten des 1730 zur Besichtigung des
Werkes entsandten fürstlich Nassau-Usingenschen Salz-
direktors Joseph T o d e s c o, unter dessen Leitung
d) Das Walzwerk.
„Die Salzquellen, wel-
chen das Dorf Sulzbach
seinen Namen verdankt,
scheinen niemals beson-
ders reichhaltig gewesen
zu sein, haben aber gleich-
wohl im Laufe der Jahr-
hunderte mehrfach zur
Salzgewinnung Veranlas-
sung gegeben. Nachdem
bereits im Jahre 1560 die
Gewerken vorstellig ge-
worden waren, ihnen den
Salzbrunnen gegen ein
Sechstel des zu gewinnen-
den Salzes zu überlassen,
wurde in den Jahren
1562—63 auf herrschaft-
liche Kosten die erste Salz-
pfanne errichtet... Es
wurde 1575 ein Pumprad
angelegt, indessen hatte
das ganze Werk es bis
1611 noch zu keiner wirk-
lichen Nutzbarkeit ge-
bracht, war vielmehr ver-
lassen, der Brunnen selbst
Sulzbach: Freibad.
3
34
t
Sulzbachi Neue Siedelung.
1731 die Brunnen tiefer gegraben wurden, und 1734
das Sieden nachmals bebaun. Todesco aber nahm
schon im Frühjayr 1735 fernen Abschied. — So wurde
im Jahr 1736 sehr Wenigs und inr Jahr 1736 in
4 Siedungen fast gar kein Lalz gewonnen. — Endlich
1738 am 25. Jum, wurden die Salzgebäude öffentlich
versteigert.
c) Die Sulzbacher Schmelze und die
Steinkohlenverkokung.
(Die Harzhütte.)
Als Ersatz der „im Schiedeborn" um das Jahr 1680
errichteten Schmelze ließ 1719 der Graf Friedrich-
Ludwig von Nassau-Saarbrücken eine „neue Eisen-
hütte an der Sulzbach" anlegen. Wie ein Bericht an
die Fürstin Charlotte Amalie zu Nassau-Usingen vom
Jahre 1728 ergibt, war die Sulzbacher Schmelze nach
dem Tode des Grafen (1725) durch die Saarbrücker
Rentkammer dem Beständer V i g a n d entzogen
worden und hatte dann still gelegen, bis sie im Jahre
1728 für herrschaftliche Rechnung wieder angeblasen
wurde, um allerdings sehr bald abermals auf längere
Zeit (bis gegen 1760) kalt gelegt zu werden.
Eine gewisse geschichtliche Bedeutung hat die Sulz-
bacher Schmelze durch die Versuche erlangt, welche
in den 1760er Jahren der Fürst Wilhelm-
Heinrich von Nassau-Saarbrücken auf ihr anstellte,
um Roheisen mit Koks zu erblasen. Es mag hier
der Ort sein, auf diese Versuche näher einzugehen.
Schon in einem Ver-
trage vom 2. Juni 1758,
welchen der Fürst mit
dein Hofkammerrat Georgs
Philipp H e u ß über die!
Anlage von Ruß- unb f
anderen Kohlendestilla-
tionsfabriken geschlossen!
hatte, war für den Fall,
daß „die ausgezogenen
Kohlen" (Koks) auch
zum Eisenerzschmelzen ge- i
braucht werden könnten,I
ein bestimmter Preis vor-!
gesehen worden.
Tie von Heuß auf dem
Sulzbacher Harzwerkest
begonnenen Versuche mit
deni „Ausziehen" oder
„Auslaugen" -der Stein-
kohle hatten zunächst nicht
den gewünschten Erfolg.!
Ein am 24. März 1761!
bei der Eisenschmelzet
zu Sulzbach veranstaltetes
Probeschmelzen mit Koks
führte zu keinem Ergeb-'
nis. Unterm 6. April!
1764 erbot sich Heus,
selbst die Sulzbachei
Schmelze mit Steinkohlen j
zu betreiben und die da-i
zu erforderlichen Einrich-
tungen zu treffen. In-
dessen ließ der Fürst die weiteren Versuche auf herr-
schaftliche Kosten vornehmen.
Eingehende Nachrichten über die Steinkohlenver-!
kokung zu Sulzbach und den sich anschließenden Koks-
betrieb verdanken wir dem Franzosen de G e u s s a ne
(1770); dieser war auf die Kunde von den
erfolgreichen Versuchen des Fürsten nach Sulzbach
geeilt, urn persönlich das neue Verfahren kennen zn
fernen. Das Ergebnis feiner Beobachtungen legte er
am 23. Juli 1768 der französischen Akademie der
Wissenschaften vor. Er gibt eine genaue, durc^ 3 Takeln!
Zeichnungen erläuterte Beschreibung der Sulzbacher
Koksöfen mit Schilderung ihres Betriebes und der
erzielten Erfolge.
Nachdem gegen Ende des Jahres 1767 die Sulz-
bacher Eisenhütte dem Pächter Beer Herz ver-
pachtet worden war, trat in der Verwendung von
Koks zum Eisenerzschmelzen eine Unterbrechung ein.
— Schließlich nahm die mit großen Hoffnungen be-
gonnene Sulzbacher Schmelze ein unrühmliches Ende,
indem die Schmelzgebäude am 10. März 1777 öffent-
lich versteigert wurden.
*) „Dar hagere abgelebt« Männchen", das Goethe betm Besuch!
des „brennenden Bergs" zu Dudweiler im Juni 1771 kennen lernte,
und irrtümlich „Stauf" nennt (siehe Bergmannskalender 1926), der
Faktor Stand, hatte sowohl die Harzfabrik und Rußhütte zu Sulz-
bach, wie auch die Alaunhütte zu Dudweiler erbaut und leitete deren
Betrieb. Bis zum Jahre 1786 wurde die 1765 erbaute Alaunhütt!
zu Dudweiler auf landesherrliche Rechnung betrieben. Zu Anfan?
des Jahres 1786 errichtete die Frankfurter Gesellschaft Sauerencker
u. Co. zu Sulzbach eine chemische Fabrik, welche in den 1790er Jahren
als Preußischblau- und Talmiakfabrik in das Eigentum von Car
Philipp Vopelius, später in dastenige der Gebr. Appold kam.
35
Bilder von der sRioiem.
Cannes: Die „kroinenÄäe äe 1a Lroisettk". (kdoto: J. Giletta, Nizza.)
Leber Leser, wenn der „Bergmannskalender"
dies Jahr dir eine Anzahl Bilder von der
Riviera bringt, so geschieht dies nicht
etwa mit dem Gedanken an eine touristische Pro-
paganda. — Denn die Riviera ist weit und die
Reise teuer. Aber wir möchten dir gern eine ge-
wisse Anschauung von diesem Land der Sonne
und des strahlend blauen Himmels geben, von dem
alle Welt spricht, dessen Namen du immer wieder
in den Zeitungen begegnest, bald aus Anlaß irgend
einer der vielen politischen Konserenzen, bald bei
Sport- und Kurberichten. Und endlich soll es
auch eine Freude für deine Augen sein!
Leider können unsere Photographien nur einen
schwachen Abglanz geben von dem Licht, in das
ein köstlicher Himmel dies gesegnete Land badet,
dem Schimmer der geringsten Dinge, den so klarer.
Konturen der Landschaft, der alle Erwartungen
übertreffenden Milde des Klimas.
Warum wohl, verehrter Leser, ist das Klima
an der Riviera das köstlichste in ganz Europa? —
Ich will es dir gerne zu erklären versuchen:
Unter der Riviera (ital. — Ufer) begreift man
die Mittelmeerküste, die sich von Marseille nach
Osten bis Genua erstreckt. Es gibt einen franzö-
sischen Teil mit Toulon, Hydres, der Cote des
Maures, dem Esterel, Cannes, Nizza, Monte
Carlo und Mentone (lauter Namen, die du hun-
dertmal gehört oder gelesen hast) und einen ita-
lienischen Teil mit dem dir nicht minder bekannten
Orte Rapallo. Der französische Teil ist der be-
kanntere und auch der interessanteste. Hier liegt
auch der eigentliche Mittelpunkt, von dem
aus man das Land nach allen Richtungen durch-
streifen kann, und wo man alle Vorzüge einer
Großstadt findet: Nizza.
Die Küste öffnet sich gegen Süden und ist gegen
Norden durch die Kette der Alpen geschützt; das
Land selbst ist außerordentlich gebirgig und zer-
klüftet. Aus diesem Grunde ist sein Klima im
Winter viel wärmer als das selbst solcher Ge-
genden, die weit südlicher liegen; man braucht hier
nur an Süditalien und Spanien zu denken. Der
starke Nordwind, welcher so oft das Rhonetal
3*
36
durchstürmt, findet in diesen durch die Alpen so
geschützten Küstenstrich keinen Einlaß. Sogar
Mimofen wachsen üppig und blühen dort in den
Wäldern. Orangen- und Zitronenbäume gedei-
hen im Freien überall, auch Palmen sieht man
häufig, und die Gegend von Nizza und Grasse ist
ein blühender Garten voller Blumen, deren
Kultur zu einer Industrie geworden ist, die ganz
Europa versorgt.
Natürlich ist die Riviera das Reiseziel zahl-
reicher fremder Besucher. Aus aller Herren Län-
der kommen sie, viele leben dort das ganze Jahr,
manche bleiben dann wohl aus Rücksicht auf ihre
angegriffene Gesundheit, die ein rauheres Klima
nicht mehr vertragen würde, dauernd dort.
Wir wollen hier nach so viel anderen die
zahllosen Schönheiten der „Cote d'Azur" („der
Küste des ewig blauen Himmels") nicht erneut
aufzählen. Wer ein wenig gereist ist, wird schon
an unseren Bildern erkennen, daß hier einer der
paradiesischsten Winkel unseres Planeten ist. Wir
können uns nicht unterfangen, hier von a l P den
so wunderbaren Seiten dieses einzigartigen Land-
strichs zu sprechen. Wir haben uns für heute da-
mit begnügt, eine Anzahl Bilder auszuwählen, die
jedes für sich einen charakteristischen Ausschnitt
geben, auch wenn, wie hier, die einfarbige Re-
produktion die farbenprächtige leuchtende Herrlich-
keit der Wirklichkeit nur unvollkommen wiederzu-
geben vermag.
Da ist zuerst die wilde und zerrissene
Cote des Maures, die „Maurenküste", und
„der Esterel", ein Küstengebirge von beson-
derer Romantik, die in den seltsam zerklüfteten
Felsengruppen des Trayas Ausdruck findet.
Dann folgt C a n n e s, das
Paradies der Söhne Al-
bions, eine Stadt, die sich
von Tag zu Tag weiter
ausbreitet, und die doch, >
wie paradox, ihre heutige
Blüte einer Choleraepide-
mie verdankt. 1834 wütete
nämlich diese schreckliche
Krankheit in der Provence, >
und die Regierung sah sich
genötigt, die von Westen
kommenden Reisenden zur
Unterbrechung ihrer Reise
zu zwingen, um eine Ver-
schleppung der Seuche zu s
verhüten. So konnte auch
ein vornehmer Engländer,
Lord Brougham, seinen
Reiseplan nicht weiter ver-
folgen, sondern mußte in
Cannes Halt machen, wel- i
ches damals ein armes
Fischerdorf war. Er fühlte
sich hier so wohl, daß er sich ansäßig machte, und
dadurch einen großen Teil seiner Landsleute ver-;
anlaßte, nunmehr hier die „Wintersaison" zrr ver- j
bringen.
Weiter kommt Grasse, die Blumenstadt, ein
wenig landeinwärts liegend.
Grasse ist eine der originellsten Städte der'
Provence. Sie entstand zur Römerzeit. Später
war sie eine Freistadt mit selbständiger Verwal-1
tung gleich den übrigen der provencalischen
Städterepubliken. Sie beherrscht ein Land, das l
eigentlich nichts anderes ist als ein ungeheurer j
Garten, voll von Jasmin, Veilchen, Rosen und I
Narzissen.' Denn, wenn man in Grosse auch Öl *)
produziert und kandierte Früchte, so ist doch das
ganze industrielle Leben der Stadt vor allem aus :
eins gerichtet: die Parfümfabrikation
Wohl fünfzig Fabriken verbrauchen dort Jahr ein, i
Jahr aus an 2.200.000 Kilogramm Rosenblätter,
500.000 Kilogramm Jasminblüten, 300.000 Kilo-
gramm Veilchen usw....
Grasse ist ferner die Heimat des großen Malers
Fragonard.
A n t i b e s liegt an der Küste zwischen Cannes1
und Nizza. Dieser Teil der Provence erinnert am
meisten an Griechenland. Deshalb gründeten die
griechischen Bewohner von Marseille **) dort eine
neue Niederlassung, die sie Antipolis (wörtlich:
„Gegenstadt") hießen, woraus der heutige Name
„Antibes" entstand. — Im Altertum gab es hier
*) Der Ölbaum ist die bevorzugteste Kulturpflanze der ganzen
Provence, deren Olivenöl weltberühmt ist.
**) Marseille, das alte Massilia, ist, wie so viele Orte der Provence,
eine Kolonie griechischer Seefahrer und Kaufleute.
37
Eine Straße in Orssse.
einen berühmten lokalen
Kultus der Venus als
Schützerin der Seeleute,
welcher alle Merkmale des
vbönizischen Astartekultus
zeigte.
Dies Land, schön wie
ein Traum, hat eine Ge-
schichte, voll von unaufhör-
lichem Kriegsgeschrei: Li-
gurier, Griechen, Römer,
Caesar und Pompeius
kämpften hier. — Und so
fort das ganze Mittelalter
hindurch bis-zu den Be-
lagerungen von 1592,
1707, 1746 und 1815. —
Immer wieder Gefahren,
immer wieder Raub, Mord
und Brand in diesem Lan-
de, dessen Anblick so die
Lebensfreude anfacht.
Wir kommen nun nach
Nizza, der großen Stadt,
von der wir einige Photo-
graphien bringen; dem internationalen
Treffpunkt der ganzen Welt. Alle Sprachen
der Erde klingen hier an unser Ohr.
Sind wir in Kosmopolis oder in Babylon? ...
Doch schön ist dies Leben und Treiben, berau-
schend. Und man glaubt gern, daß ein Fremder,
der sich plötzlich unter diesen ewig blauen Him-
mel versetzt sieht, an den Strand dieses Meeres,
aus dem nach der Sage der Alten eines Tages
der Göttinnen schönste, die „schaumgeborene"
Venus aufstieg, und mitten in eine Stadt aus
Tausend und einer Nacht, ein Feenmärchen zu
erleben glaubt.
Um so schlimmer für ihn, je weniger Seele er
hat; denn leider sucht er dann hier festen Fuß zu
fassen in Raum und Zeit, möchte sein Gepräge
aufdrücken dieser kosmopolitischen Stadt, die das
Aussehen hat, so ganz plötzlich entstanden zu sein,
so ganz modern und ohne Tradition.
Bis dann auf einmal er auf dem Hügel des
Château, dessen Fuß die Wellen umkosen, aus
dem Grün hervortauchend, eine Stadt des
Marmors entdeckt — Säulen, Statuen, Grab-
male — aufleuchtend vor dem tiefen Himmelsblau.
Und dann schwant es ihm mit einem Male, daß
die altersgraue Zitadelle von Nizza, wenn auch
ihrer Basttonsmauer schon seit 1706 beraubt, den-
noch auch heute noch mit ihren ehrwürdigen Grä-
bern diesen menschlichen Bienenstock beherrscht,
dessen Summen da unten an ihrem Fuße bis nach
Paillon hin ertönt: dieses Labyrinth von engen
Straßen, Strebebogen, und vor Alter zerfallenden
Häusern, von Palastruinen, zwischen denen ein
wimmelndes Gedränge von Fischern in ihrer
„lateinischen" Mütze, von Fischhändlern, die ihre
„Putina" ausschreien, von Straßenhändlern mit
Stoffen und Lebensmitteln, und dazwischen die
glutäugigen Schönen, von deren Lippen lachend
und singend einer der eigentümlichsten Dialekte
des Mittelmeers erklingt.
Das ist die A l t st a d t, das erste Nest. — Hier,
wo sich der pittoreske Schatten der Provence schon
mit der Farbenfreude der genuesischen Riviera
vermählt, hier ist gleichzeitig Arles und A n -
t i b e s, aber auch San - Remo und S a -
v o n a.
Und der Fremde begreift nun, däß Nizza doch
nicht nur eine Art internationaler Karawanserei
ist, mehr oder minder banal, sondern daß er hier
steht auf dem Boden eines alten Kulturlandes, an
der Wiege einer stolzen Rasse, die sich ihre eigene
Sprache und Sitte streng bewahrt, und die auf
die Höhe ihrer alten Festung, das will sagen, hoch
über allem Anderen, den Kult ihrer Ahnen ge-
stellt hat.
Diesen Gegensatz zwischen Alt- und Neustadt
findet man mit der gleichen Überraschung wieder
in Monaco und Mentone; deswegen kann man
auch das Nizzaer Land allein in Mentone, wenn
dort auch das Herz der Riviera, nicht verstehen
lernen, seinen Charme nicht voll genießen, ohne
seine Vergangenheit zu kennen.
Man hat viel darüber disputiert, ob die Phöni-
zier im 6. oder 4. Jahrhundert vor Christus ihre
Kolonie zu Nizza begründeten; sei dem, wie es sei,
jedenfalls scheint nichts die Annahme zu recht-
fertigen, daß der Name „Nizza" von dem griechi-
fchen Wort „Nike" (= Sieg) zum Gedächtnis an
38
einen hypothetischen Sieg über die Ligurier her-
geleitet wäre.
Weiter östlich an der Küste, gegenüber der alter-
tümlichen Stadt V i l l e f r a n ch e (oder ital.
Villafranca) mit ihren Treppenstiegen, engen
Gäßchen und altersgrauen Häusern, der amüsanten
Buntscheckigkeit ihrer Dächer, an der trefflichen,
durchschnittlich 40 m tiefen Bai, erstreckt sich das
Kap Ferrat mit seinen Pinien, seinen
Myrtengebüschen und seinen schönen Landhäusern.
— Am andern Ufer des Kaps, dem Golf von St.
Hospice folgend, finden wir bei dem kleinen
Fischerdorfe St. Jean die Spitze von Saint Hos-
pice, wo sich ein Fort befindet, das Bergwick 1706
sprengen ließ. Heute ist es Privatbesitz. Ich wüßte
kaum eine Promenade, die einen größeren Reiz
aufwies als ein Gang zu Fuß längs des Ufers
von St. Jean bis Beaulieu. Der kleine Weg
folgt allen Krümmungen der Küste, beschattet von
den schönsten Bäumen der Welt. Die einzelnen
Bilder wechseln fortwährend, und herrlich ist die Ge-
samtheit des Panoramas auf dieses lächelnde
Meer, wo sich die drei Buchten von Beaulieu,
Eze und Rossette öffnen mit der Bergkette im
Hintergrund bis zum Auslauf der C o r n i ch e,
über die der Rücken der Revtzre und der majestä-
tische Gipfel des Mont Agel sich beherrschend
erheben.
Die Route de la Grande Corniche,
die „Uferstraße", zieht an Stelle eines alten
Römerpfades, zuerst von Napoleon I. ausgebaut,
etwas landeinwärts auf der Höhe von Nizza
über La Turbie nach Mentone (und weiter
nach Spezia). Das 30 km lange Stück Nizza-
Mentone ist reich an prächtigen Aussichts-
punkten, wobei der Straßenbau mit großer Kühn-
heit durchgeführt ist. Unser Bild „Blick auf
E z e" gibt davon einen sehr guten Begriff. E z e
selbst ist ein altes Sarazenennest, das
während einer Anzahl Jahre einer der Stützpunkte
dieser Piraten war, und das noch heute, nicht nur
in Häusern, Durchgängen, Gassen und Toren,
sondern sogar in den Familiennamen seiner Be-
wohner an jene Sarazenenzeit erinnert.
Weiter gelangen wir nach dem Fürstentum
Monaco, dem bekannten kleinen unabhängigen
Staate von winzigem Ausmaße, ringsum von
französischem Gebiete eingeschlossen. Dieses
„Reich" umfaßt lediglich den Felsen von Monaco,
wovon wir zwei schöne Photographien bringen,
und eine Handvoll Erde, genannt Monte Carlo,
von dem wir ebenfalls ein Bild bringen. Die Be-
völkerung dieses Staates, die 1765 nur 900 Seelen
betrug, ist heute 30.000 Köpfe stark. Heute ist das
Ganze eine Stadt, die bereits in ihrem Wachsen
die Grenzen des winzigen Fürstentums gesprengt
hat und sich aus französischem Boden weiter
ausdehnt.
Zuletzt, weiter nach Osten und unmittelbar an
der Grenze gegen Italien liegt Men tone, der
Endpunkt der „Route de la Grande Corniche".
Mentone erstreckt sich auf etwa 6 km längs jenes
wundervollen Küstenstrichs, der bei den Römern
schon den Namen « sinus pacis », die „F rie-
be n s b a i", trug, heute « Golfe de la Paix » ge-
nannt. Hier sieht man nicht mehr, wie in Monaco,
wild zerklüftete Felsen. Ein freundliches Becken
öffnet sich, eine unvergleichliche Gegend voll von
Obstgärten und Wiesen. —
Mögen diese Bilder, lieber Leser, deine Augen
einige glückliche Minuten fesseln und dich ent-
führen in jenes Land der Sonne!
Beim Deller Christian.
SS Novelle von Theodor Storm. .^7^7'.
ein Vetter Christian hatte wirklich schon mit
zwanzig Jahren seine schönen blauen Augen;
und doch behaupteten die Mädchen, Hand aufs
Herz, daß sie ihnen völlig ungefährlich seien. Das aber
kam daher, weil er nach des Vaters frühem Tode zwischen
zwei so überwiegend energischen Frauennaturen aus-
gewachsen und nach kurzen und fleißig benutzten Uni-
versitätsjahren wieder in ihre Obhut zurückgekehrt war.
Die eine derselben, seine Mutter — Gott habe sie
selig! — meine gute Tante Jette, hat auch mich als
Knaben einmal unter ihrer rührigen Hand gehabt,
als Christian und ich uns von ihren großen Schatten-
morellen eine Limonade gegen den beißen Sommer-
durst bereitet hatten; der anderen verstand ich kunstvoll
aus dem Wege zu gehen. Es war dies „die alte Caro-
line", welche in schon betagter Jungfräulichkeit als
Kindsmagd bei dem kleinen Christian ihren Dienst im
Hause angetreten und schließlich nach des Hausherrn
Tode als Magd für alles in der Familie hängen-
geblieben war.
Meine Tante Jette besaß nach ihres Mannes Tode
nur ein schmales Einkommen, aber ein großes Haus.
Zum Glück wurde Christian als Kollaborator an
unserer Gelehrtenschule angestellt und bezog nur: die
oberen Zimmer, welche einst von seinem Vater bewohnt
gewesen waren.
39
Allein bald nach dem Amtsantritt ihres Sohnes be-
gann Tante Jette zu. kränkeln und konnte es sich
endlich nicht mehr verhehlen, daß sie das rüstige Leben,
das lustige Scheuern und Polieren, das Kochen und
Einmachen mit der für sie in keiner Weise passenden
ewigen Ruhe werde zu vertauschen haben. Als resolute
Frau tat sie indessen auch hier, was not war. Täglich
gab sie jetzt ihrem Kollaborator eine Unterrichtsstunde
in der praktischen Weisheit ihres Lebens. Am letzten
Tage vor ihrem Ende aber fügte Tante Jette ihren
Borträgen noch gleichsam einen Epilog hinzu. „Und,
Christian," sagte sie und legte alle noch übrige Kraft
in ihre Stimme, „daß du mir die alte Caroline nicht
von dir lässest! Die Leute sa-
gen zwar, sie sei ein Drache;
mir aber, wenn es doch ein-
mal auf einen Bergleich hin-
aus soll, scheint sie, mit ihren
runden Augen in dein breiten
Kopfe und den Borstenhärchen
unter der krummen Nase, mehr
einem alten Schuhn ähnlich
zu sein; und du weißt es, daß
dieser Vogel in dem Haushalt
der Natur eine nicht geringe
Stelle einnimmt."
Und als der Vetter sie zwar
ehrerbietig, aber doch mit et-
was zweifelhaften Augen an-
blickte, setzte sie hinzu: „Nein,
nein, Christian; glaub mir's,
du brauchst eine/ die dir die
Mäuse wegfängt; und die alte
Caroline wird das schon be-
sorgen."
-----So war denn die Alte
auch nach der Mutter Tode im
Hause verblieben, und ihr
junger Herr befand sich leid-
lich wohl dabei. Denn in der
Tat — wovon er freilich keine
Ahnung hatte — sie pracherte
mit Hökern und Gemüsewei-
bern um den letzten Dreiling,
sie wußte verschämte Bettler
und unverschämte in Wein rei-
sende Juden schon auf dem
Hausflur abzufangen; die
Bauern, die zur Stadt kamen
und die Städter mit ihrem
Torf betrogen, fürchteten die
Alte mehr als ihren Land-
vogt.
Zwar wenn der Doktor, was
ihm wohl geschehen konnte,
sich aus seinem Spaziergang
nach der Klasse über die Mit-
tagszeit hinaus verspätet hatte,
so wurden wohl die Stuben-
iüren etwas härter als nötig
zugeschlagen; auch flog wohl
einmal nach der Suppe der
Bratenteller auf den Tisch, als
sei es Trumpf-As, das die alte
Caroline vor ihm ausspielte;
aber der Vetter hörte das
so wenig, wie der Miets-
mann eines Bäckers das Geklapper der Beutel-
maschine.
Da, nach Ablauf einiger Jahre, geschah es, daß
dem Doktor zweierlei in den Schoß viel; das Sub-
rektorat seiner Gelehrtenschule und eine Erbschaft von
einer seiner vielen Tanten. Hatte er, dank seinem
Hausdrachen, schon vorher ein hübsches Sümmchen
von seinen Einkünften zurücklegen müssen, so wußte
er jetzt vollends nicht mehr, wohin damit. Das machte
ihn unruhig. Er ging in seinem großen Hause umher:
unten in das Wohnzimmer, wo Tisch und Stühle,
die Bilder an der Wand, alles noch so war wie zu
Lebzeiten der Mutter: in die danebenliegenden Räume,
Antibes.
Nizza: Die „Terrasse du Soleil“.
(Photo: J. Giletta, Nizza.)
die seit des Vaters Tode unbenutzt gestanden, in das
Eßzimmer, dann in das kleinere Spielzimmer. Das
Bild seines Vaters, des milden, braunlockigen Mannes,
war ihm mit einemmal so gegenwärtig; dabei sah er
sich selbst als Knaben, im grauen Habit mit runden
Perlmutterknöpfchen; er half seinem Vater den Tabak
für die Gäste mischen und rote und grüne Fedcrposen
auf die Kalkpfeifen fetzen, wobei oft eine linde Hand
liebkosend über seine Haare strich. — Ihn überfiel,
und stärker mit jedemmal, daß er hier verweilte, eine
Sehnsucht, diese Räume aufs neue zu beleben, wenn
auch die Toten nicht mehr zu erwecken seien. Die
Sippschaft in der Stadt war noch so groß; fast jede
Woche nmßte er zu irgendeiner Familiengesellschaft.
Wie hübsch mußte es fein, wie einst sein Vater es
getan, sie alle auch nun seinerseits im eigenen Hause
zu bewirten! Indessen — das war sonnenklar —
die alte Caroline allein vermochte das doch nicht zu
leisten.
Der Better refolvierte sich kurz und ging zu der
Großtante, der allen Frau Bürgermeisterin; und diese,
nachdem er seine Sache vorgetragen, empfahl ihm
zuerst eine Witwe, die eben ihren dritten Mann be-
graben, und dann eine reifere Jungfrau. Da der
Vetter jedoch bedachte, daß es in seinem Hause eigent-
lich an einer Caroline genug sei, so beschloß er,
zuvor noch die Meinung seines Onkels, des Senators,
einzuholen.
Und in der Tat; der Onkel wußte Besseres zu raten.
„Ich empfehle dir", sagte er, „mein Patchen, die
kleine Julie Hennefeder; ihr Vater — du weißt, unser
alter Kontorist — war so etwas von einem Tausend-
künstler, und trotzdem blieb er hintenum sitzen. Die
Witwe hat es knapp, und ich weiß, daß sie sich schon
nach einem soliden Platz für ihre Tochter umgesehen
hat. Das wäre ja denn so bei dir, Christian! Übri-
gens, das Mädchen sieht keineswegs aus, als wenn
ihr Familienname für sie erfunden wäre; im Gegen-
teil, sie ist ein schmuckes, voll ausgewachsenes Men-
schenkind und soll überdies so manches von der Kunst-
fertigkeit ihres Vaters ererbt haben, was sich auch
besser fiir ein Hausfrauchen als für einen alten Kon-
toristen schicken mag."
Und so setzte denn, als eben Goldregen und
Syringen im Garten des Vetters sich zum Blühen an-
schickten, ein braunes, rosiges Mädchen zum ersten-
mal den Fuß über die Schwelle seines Hauses; und
der Vetter konnte nicht begreifen, weshalb auch drinnen
die alten Wände plötzlich zu leuchten begannen. Erst
später meinte er bei sich selber, es sei der Strahl von
Güte, der aus diesen jungen Augen gehe. Die Groß-
tante freilich schüttelte etwas den Kopf über diese gar
so jugendliche Haushälterin, und womit die alte Caro-
line geschüttelt, das hat der Vetter niemals offen-
baren wollen.
Julie war keine schlanke Jdealgestalt; sie war lieb-
lich und rundlich, flink und behaglich, ein geborenes
Hausmütterchen, unter deren Hand sich die Dinge
geräuschlos, wie von selber, ordneten. Dabei, wenn
ihr so recht etwas gelungen war, konnte sie sich oft
einer jugerrdlichen Unbeholfenheit nicht erwehren;
fast als habe sie für ihre Geschicklichkeit um Entschul-
digung zu bitten.
Und wie von selber belebten sich die öden Räume
des Hauses. Die Fenster füllten sich mit Blumen, und
unten vom Wohnzimmer in das Treppenhaus hinauf
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klang morgens der helle Schlag eines Kanarienvogels.
Der Onkel, der jetzt öfter bei dem Vetter einsah,
behauptete, das ganze Haus habe eine Wendung
weiter nach der Sonnenseite hin gemacht.
Selbst die alte Caroline stand eines Tages mit
eingestemmten Armen und sah den kunstfertigen
Händen der „Mamsell" zu, die eben den Studier-
sessel des Doktors neu gepolstert hatte und nun
so flink einen blanken Nagel um den anderen
einschlug. Freilich, als sie sich darauf ertappte,
eilte sie eilig in ihre Küche zurück, scheltend über
sich selbst und über die fingerfixe Person, die dem
Nachbar Sattler das Brot vor dem Munde wegnehme.
Je weniger aber die alte
Jungfrau die Tüchtigkeit und
die ruhige Freundlichkeit des \ «agg
Mädchens verkennen konnte, s
desto schärfer spähte sie nack
allen Seiten aus, und bald
konnte man sie gegen die
Mittagsstunde zwischen ihrem
Feuerherd und der auf dem
Flur stehenden Hausuhr un-
ruhig auf und ab wandern
sehen. Es war unzweifelhaft,
der Doktor kam niemals
mehr zu spät von seinem
Mittagsspaziergang- ja, er
sah oft ganz erhitzt aus,
wenn er anlangte; er mußte
schier gerannt sein, um nur
die rechte Stunde nicht zu
verfehlen. Um i h r e t -
willen, die sie ihn doch auf
diesen ihren Armen getragen
hatte, war noch niemals ein
Tropfen Schweiß vergossen
worden!
Die Lippen der Alten be-
gannen vor sich hin zu plap-
pern: sie schluckte, als könne
sie es nicht hinunterwürfen.
Es war augenscheinlich,
die Küche hatte jene Son-
nenwendung des übrigen
Hauses nicht mitgemacht.
Inzwischen gingen die
Jahreszeiten ihren Gang.
Beim Brechen des Kern-
obstes, das der Garten in
den feinsten Arten hervor-
brachte, leistete diesmal der
Better selbst den besten
Mann. Kühn wie ein Knabe
holte er die großen Graden- »
steiner Apfel von den höchsten
Zweigen. Von draußen guck-
ten die Nachbarsbuben mit
gierigen Augen über die
Planke und riefen in ihrem
Plattdeutsch: „Lat mi Hel-
den. Int rm JwThimt
brauchte die Buben gar nicht, er konnte sich allein
helfen. Dagegen, in der Freude seines Herzens, warf
er oftmals einen Apfel zwischen sie, worüber denn
jenseits der Planke ein lustiges Gebalge sich erhob;
die schönsten aber, die mit den rotgestreiften Wangen,
flogen zu seiner jungen Wirtschafterin hinab, die mit
vorgehaltener Schürze unter dem Baume stand. Nur
war sie heute nicht geschickt wie sonst; denn ihre
Augen folgten dem Better ängstlich auf die schwanken
Zweige, und ein etwas größerer Apfel schlug ihr fast
jedesmal den Schürzenzipfel aus der Hand. Bei dem
Bücken nach rechts und links waren die schweren
Haarflechten ihr herabgeglitten und hingen lose in
a: Blick von der „kstite Oorruebe".
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den Nacken; nun, da der Äpfel noch immer mehr
auf sie zuflogen, bat sie flehentlich um Gnade.
„Christian, mein Junge!" erscholl jetzt plötzlich die
Stimme des Onkel Senators, der eben in den Garten
getreten war. „Wo steckst du denn? — Beim Gott
Merkurius! du scheinst nachgerade nun so jung zu
werden, wie du es deinem Taufschein schuldig bist!
Aber weißt du denn, daß es eben stvei vom Turme
geschlagen hat?"
Da flog noch ein Apfel glücklich in Juliens Schürze;
dann kam der Better selbst zur ebenen Erde. In der
Tat, er hätte fast die Klassenzeit versäumt; ja, noch
immer waren seine Gedanken in den grünen Zweigen.
„Was meinen Sie, Fräulein Julie", sagte er und
strich sich die gelben Blätter aus den Haaren; „ich
denke, um vier Uhr setzen wir die Arbeit fort! Wahr-
haftig, Onkel; ich hätte nicht gedacht, daß ich so klet-
tern tonnte!"
Nun war es tut November. Die Bäume waren
leer, der Garten stand verödet; aber Keller und Vor-
ratskammer waren gefüllt; lang und traulich wurden
die Abende; die vielbedachte große Familienfestlich-
keit sollte nun wirklich vor sich gehen.
Als man die einzuladenden Gäste zusammen-
rechnete, da waren es sechzehn, die beiden Haus-
genossen ungezählt; dazu ein armes Fräulein, das
von der Großtante alle Weihnacht ein Liespfund
Kaffee und zwei Hut Meliszucker zum Geschenk er-
hielt.
Zwar Caroline behauptete, es könnten nur acht-
zehn an dem Ausziehtisch sitzen; aber Julie sagte
sehr errötend: „Wenn der Herr Doktor es mir ver-
trauen wollten!" Und der Better lächelte still und
dachte: Nun hat sie wieder einen ihrer klugen Ein-
fälle! Dann setzte er auch den siebzehnten Gast mit
auf die Liste.
Und so war denn eines Sonntags der große Nach-
mittag herangekommen. Der Weg zum Hause führte
durch 'den seitwärts daran gelegenen Teil des Gar-
tens; aber schon mit Dunkelwerden leuchtete die über
der Haustür befindliche Laterne freundlich auf den
breiten Steig hinaus.
Drinnen im Wohnzimmer, im Schein der großen
Astrallampen, blinkten die Tassen und sauste schon die
Teemaschine. Nebenan im Spielstübchen hatte eben
der Better die Karten ausgebreitet und die Spiel-
marken zurechtgelegt, während hinter den noch ge-
schlossenen Türen des Eßzimmers Julie die Tafel
revidierte, welche nach langen Jahren wieder ein-
mal mit dem geblümten Damastgedeck und den
schweren silbernen Leuchtern prangte.
_ Schon hatte es sechs geschlagen, und der Vetter,
seine goldene Taschenuhr in der Hand, durchmaß mit
unruhigen Schritten die noch immer leeren Räume.
Da endlich begann draußen auf dein Flur das Schel-
len der Haustürglocke; fröhliche Stimmen, junge und
alte, wurden laut und — da kamen sie: der Onkel
und die Tante Senator, zwei andere Tanten, zwei
Bettern und zwei Muhmen und von übriger Sipp-
schaft sieben, das arme Fräulein ungerechnet. Schließ-
lich rollte auch noch die Klosterkutsche vor das Garten-
tor, die Großtante wurde herausgehoben, und die alte
Caroline, in einer großen Haube mit Rosaschleifen,
kam zum Vorschein und nahm der Frau Bürger-
meisterin den schweren Atlasmantel ab.
Die Gesellschaft war vollzählig. Am Teetisch in
der Ecke stand die kleine, freundliche Wirtin des
Hauses und drehte das Hähnchen der Teernaschiue und
schenkte in die Tassen; zwei junge Bäschen gingen um-
her und präsentierten, die eine den duftenden Trank,
die andere die sämtlich nach Fagnlienrezepten ge-
backenen Kuchen. Eine Luft der Behaglichkeit war
verbreitet, daß alles wie von selber an zu plaudern
fing. Die Großtante hatte aus der Sofaecke mit
ihren noch immer scharfen Augen eine Weile rings-
umher gesehen und nickte nun beifällig nach dem Eck-
tischchen hinüber. „Wie gut, mein Lieber", sagte sie
und drückte dem Vetter Christian die Hand, „daß wir
die Kutsche in der Stadt haben! Wie hätte ich sonst
in all dem Wetter zu dir kommen sollen!" Und
Christian verstand gar wohl den Beifall, der in diesen
Worten lag.
Nicht lange, so saßen inr Nebenzimmer die alten
Herrschaften bei ihrer Whistpartie. Julie hatte soeben
der Frau Bürgermeisterin ein weiches Fußkissen
untergeschoben: als auch der Better hereintrat, um
dein ehrenfesten Spiele zuzusehen, blickte der Onkel
ganz schelmisch zu ihm auf. „Nun, Christian," sagte
er, indem er zierlich einen neuen Stich auf die Tisch-
platte schnippte, „das ist heut doch ein ander Ding
als vorigen Winter, da du immer allein da droben
auf deiner Rauchkammer saßest! Und wie angenehm,"
fuhr er, inzwischen immer neue Stiche machend, fort
— „unserer kleinen Hennefeder die rosa Busenschleife
zu ihren braunen Flechten läßt! Im Vertrauen,
Christian, noch hübscher als deiner Caroline die
Schleifen auf ihrer großen Flügelhaube. Auf alle
Fälle aber ist Rosa heut die Farbe deines Hauses;
und — sieben Trick, groß Schlemm, meine Damen!
Was sagst du dazu, Christian!"
Der Vetter nickte und ging vergnügt zu den an-
deren, die im großen Zimmer schon am Pochbrett
saßen. Es war noch ein echtes, altes, ein Erbpoch-
brett mit Scharwenzel, Vizebuben, Umschlag und
Braut und Bräutigam. Und lustig ging es her; die ,
Stimmen riefen durcheinander, die Rechenpfennige .
klirrten; die Seele des Spieles aber war ein ver- i
wachsenes ältliches Jüngferchen, welches den ganzen !
Kopf voll grauer Pfropfenzieherlöckchen hatte. Sie '
wurde, weil sie zur Erhöhung ihrer kleinen Person
sich beim Sitzen einen ihrer Füße unterzuschieben
pflegte, in der Familie „Lehnten Ehnebeen" genannt, s
„Vetter Christian!" rief sie. „Es ist höchst gemütlich
bei Ihnen; Sie machen ein reizendes Haus. Aber
kommen Sie flink! Ich bin just am Kartengeben!"
„Um Entschuldigung, Cousine; ich bin heute ja der
Wirt!" entgegnete der Vetter und winkte mit der
Hand.
Da wollte eben die kleine Wirtin des Hauses, mit
geleerten Kuchenkörben beladen, an ihm vorüber-
gehen; nun aber stand sie einen Augenblick und sagte
schüchtern: „Spielen Sie doch nnt, Herr Doktor!
Wenn Sie es mir vertrauen wollen, ich würde alles
schon besorgen."
„Gewiß, gewiß, Fräulein Julie! Oh, ich vertraue
Ihnen sehr," flüsterte der Doktor hastig; und als er
sie im Fortgehen anblickte, sah er noch,' wie sie über
nnb über röt wurde und wie es ganz deutlich: „O
bitte, wenn Sie nichts dagegen haben!" in ihren
jungen brauen Augen stand.
Wie aber diese Augen glänzten, als Julie draußen
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Partie der „Orancks Corniche“ mit Blick auf Eze. (Photo: J. Giletta, Nizza.)
neben dem alten Drachen in Küche und Speisekammer
hantierte, das sah der Better nicht mehr; denn er
saß drinnen bei Cousine Ehnebeen und spielte Poch
und hatte alle Wirtschaftssorgen von sich geworfen,
denn — ja, das wußte er gewiß — sie waren in den
allerbesten Händen. Nur Caroline musterte bedenk-
lich die Augen ihrer jungen Vorgesetzten; und sie
wollten ihr um desto schlechter gefallen, als sie auch
in denen ihres Doktors schon öfters jenen ihr wider-
wärtigen Glanz bemerkt zu haben glaubte.
Aber der Abend rückte weiter. — Um neun Uhr
öffneten sich die Flügeltüren des dritten Zimmers;
und da strahlte die blumengeschmückte Tafel im
hellsten Damast- und Kerzenglanz. Der Vetter bot
der Großtante den Arm, der Onkel hatte sich geschickt
sein Patchen einzufanaen gewußt. , Zwar sie meinte,'
ihr geschehe zu viel Ehre, aber sie mußte.
„Heut, mein kleines Patchen," sagte der Onkel,
„sind Sie die Dame des Hauses und müssen schon ein-
mal mit mir altem Burschen fürlieb nehmen!" wo-
rüber denn die junge Dame ganz beschämt wurde und
die alte Caroline, welche eben mit einer Schüssel
Karpfen in die Stube trat, dem guten Herrn eiuen
giftigen Blick hinüberschoß, den dieser jedoch, leider,
nicht bemerkte. Als man indessen an den Tisch
getreten war, machte Julie nrit allerliebstem Lächeln
einen Knicks und fort ivar sie; und da half es nun
mcht weiter, der Onkel sah sich plötzlich neben der
Großtante eingeschoben und die Tafelreihe geschlossen.
Der Vetter rieb sich vergnügt die Hände, wie er
da die ganze Freundschaft so an seinem Tisch bei-
sammen habe; er sah auch wohl, wie Julie neben der
alten Caroline hie und da eine Schüssel reichte; aber
beiin Fischessen muß jeder hübsch die Augen auf dem
Teller haben. So bemerkte er nicht einmal, daß er
selbst die Karpfen wie den säuerlichen Rahmschaum
stets nur von der Hand seiner alten Haustyrannin
erhielt, noch weniger, wie diese ihren Schnurrbart
sträubte, wenn das junge Kind sich einmal mit einer.
Schüssel in seine Nähe wagte.
Doch nun erschien der Braten, stattlich, als solle
er das Kerzenlicht verdunkeln; und alle Augen und
Zungen waren wieder freigegeben. Feierlich stand
der Vetter auf, und mit dem Messer an sein Glas
klingend, hub er an: „Unsere liebe, allvcrehrte Groß-
tante, sie lebe------" Aber er stockte plötzlich, als er
in diesem Augenblick zum. erstenmal die ganze Tafel-
runde überschaute. „Hm!" sagte er. „Wo ist denn
Fräulein Julie?"
Da scholl aus der untersten Ecke des Zimmers eine
helle Stimme: „Hier bin ich, Herr Doktor!" Und als
er hinblickte, da saß sie dort am Katzentischchen.
„Unsere allverehrte Großtante, sie lebe hoch!" sagte
nun der Vetter.
„Hoch! Hoch!" Und alle standen auf und klingten
mit der Großtante an, und auch Julie tat es; und
danach, trotz dem alten Hausdrachen, stieß sie auch
noch mit dem Vetter an, und als dieser wie in freund-
lichem Tadel ihrer selbstgewählten Erniedrigung
gegen sie den Kopf schüttelte, blickte sie ihn so demütig
und um Verzeihung flehend an, daß er darüber ganz
verwirrt wurde. Denn zu seiner eigenen Verwunde-
nuiß saß er schon wieder aus dem Stuhl, bevor er
auch nur mit einem Schlückchen die von ihm selber
ausgebrachte Gesundheit bekräftigt hatte- erst, als die
alte Dame erhobenen Fingers sagte: „Aber, Christian,
du meinst es doch Wohl ehrlich mit deiner alten
Großtante!" stürzte er hastig das ganze Glas
hinunter.
Doch schon hatte Cousine Ehnebeen auss neue ihr
Füßchen unten weggezogen und nahm nun in ganzer
Gestalt die Aufmerksamkeit der Gesellschaft in An-
spruch. Erhobenen Glases stand sie da, und mit an-
genehmer Krähstimme rief sie: „Ich bin verliebt!"
und nachdem sie sich herausfordernd im Kreise um-
geblickt und niemand gegen diese Behauptung etwas
einzuwenden gefunden hatte, fragte sie mit noch nach-
drücklichem Pathos: „Worin?"
Und als auch hierauf die Gesellschaft schwieg, er-
teilte sie zur Überraschung aller, welche ihren Trink-
spruch noch nicht kannten, deren jedoch zufällig heute
niemand zugegen war, die gewiß befriedigende Ant-
wort :
„In Redlichkeit und Treu!
Ein abgesagter Feind
Von aller Heuchelei!"
Es war ein schöner, langer Trinkspruch; aber sie
brachte ihn tapfer zu Ende und verneigte sich lustig
gegen alle, die ihr das Glas hinüberreichten oder mit
ihr anzustoßen kamen.
Noch immer heiterer wurde es; und als beim
Nachtisch der große Marzipan, worauf sich das
Lübecksche Rathaus nebst den: ganzen Markt präsen-
tierte, zuerst herumgereicht und dann von der Groß-
tante zierlich zerlegt war, da befahl der Vetter, seine
drei Flaschen noch vom Vater ererbten Johannis-
bergers aus ihrem staubigen Winkel heraufzuholen,
was auf jung und alt den angenehmsten Eindruck
nicht verfehlte, da die grimmigen Selbstgespräche, mit
denen die alte Caroline die Kellertreppe hinabstapfte,
hier oben gar nicht zu hören waren. Und als nun
erst die Pfropfen gezogen wurden und der lang ver-
schlossene köstliche Duft herausstieg und das Zimmer
wie mit frischer Lebenslust erfüllte, da stimmte der
Onkel an:
„Vom hoh'n Olymp herab ward uns die Freude!"
und es half den Jungen nicht, daß sie das Lied ver-
altet fanden; sie stimmten doch alle mit ein, aus
großem Respekt vor dem Onkel.
--------Draußen aus der Gasse, auf seinen Morgen-
stern gestützt, stand der Nachtwächter, der alte Mat-
thias, der immer so hell die Neujahrsnacht ansang,
und hörte zu, bis das Lied zu Ende war. Dann,
verwundert, was in dem sonst so stillen Hause des
Doktors heute vorgehe, rief er die elfte Stunde und
setzte seine Runde 'fort.-----
Wie aber alle Lust ein Ende nimmt, so war end-
lich auch auf dem großen Familienfest des Vetters
der Johannisberger'ausgetrunken. Schon rückte man
die Stühle, als der Onkel noch einmal an sein Glas
klingte: „Nicht zu vergessen unseren alten Landes-
trinkspruch! Lieben Freunde, up dat es uns wull gaa
up unse ölen Dage!"
Und auch die Jungen stießen andächtig an, als
sähen auch sie den warnenden Finger, der gegen uns
alle aus der dunklen Zukunft sich erhebt. Der Vetter
aber hatte die Augen nach dem Katzentischchen und !
dachte: Ja, jetzt, jetzt geht's dir Wohl; aber wie wirds j
dir gehen in deinen alten Tagen?
„Christian, mein Lieber," sagte die Großtante leise, !
„das war ja heute fast wie einst bei deinem guten
Vater selig."
Da stand er auf und führte die alte Dame in das
Wohnzimmer zurück. Und als alle sich „Gesegnete ;
Mahlzeit" gewünscht hatten, erschien Caroline mit I
Pelzen, Mänteln und Muffen; draußen klatschte der
Kutscher von dem Bock der schon längst wieder vor-
gefahrenen Klosterkutsche; dann begann wieder die
Haustürglocke zu schellen, die Gäste nahmen Abschied,
und bald waren nur noch der Vetter und Fräulein
Julie in den leeren Zimmern. Sie räumten die !
Karten fort, legten die Teppiche zusammen und lösch-
ten die Überzahl der Lichter.
Dem Vetter lag es auf dem Herzen, als habe er
Fräulein Julie noch was Besonderes mitzuteilen;
er suchte danach in seinem Kopfe, aber er konnte es ;
dort nicht finden. Freilich, daß sie nicht wieder am !
Katzentischchen sitzen dürfe, das wollte er ihr auch
gelegentlich sagen; aber das war es doch so eigentlich
nicht. Er rückte hier und da an. einigen Stühlen, an
denen nichts zu rücken war, und auch Fräulein Julie
wischte schon ein ganzes Weilchen mit ihrem Schnupf-
tuch um nichts an einer spiegelblanken Tischplatte;
errdlich wünschten sich beide gute Nacht.
Als nach einer Weile draußen auf der Gasse der
alte Matthias die zwölfte Stunde abrief, sah er, dah
schon alle Fenster dunkel waren. Ein Werlchen stand
er noch und wiegte seinen grauen Kopf. Erne Hoch-
zeit konnt's doch nicht gewesen sein! Bei solch einer
Familie, da hätten drunten im Hafen die Schiffe doch j
geflaggt; auch für die Nachtwächter wäre wohl eins
gutes Trinkgeld nicht gespart worden! — Und mit !
sich selber redend, setzte der Alte seine Runde fort,
bis der neue Stundenschlag ihn auf andere Gedanken
brachte.
Noch ganz erfüllt von seinem gestrigen Feste und s
dem anmutigen Walten seiner kleinen Hausdame,'
griff am anderen Morgen der Vetter nach seiner
längsten Pfeife, um mit diesem erprobten Beistände
in den Weg des täglichen Lebens wieder einzulenken.
Als er in die Küche trat, wo er am Herdfeuer seinen
Fidibus anzuzünden pflegte, traf er dort die Alte mit
dem Putzen der Gesellschaftsmesser beschäftigt. Er
konnte dem Drange seines Herzens nicht widerstehen:
„Caroline," sagte er und tat die ersten kräftigen Züge
aus seiner Pfeife, „die Julie ist doch ern gutes
Mädchen!"
Caroline arbeitete eifrig an ihrem Messerbrett.
„Hört Sie nicht, Caroline?" wiederholte der Dok-
tor; „ich sage, die Julie ist doch ein sehr gutes
Mädchen!"
Die Alte kniff den Mund zusammen, daß sich die
Barthärchen auf ihrer Oberlippe sträubten.
„Sie denkt gar nicht an sich selber, das liebe Kind!"
fuhr der Doktor rauchend und wie zu sich selber
redend fort.
„Gar nicht an sich selber?" Das war der Alten doch
zuviel; sie wetzte so wütig, daß die Messer und Gabeln
mit großem Geprassel auf die Fließen stürzten.
Der Vetter, der wohl wußte, daß bei seiner alten
Freundin Tag und Stunde nicht gleich seien, fragte
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ruhig: „Aber, Caroline, was hat Sie denn nur ein-
mal wieder heute?"
„Ich? Ich habe nichts, Herr Doktor!" Und sie
bückte sich und warf mit beiden Händen die Messer
und Gabeln wieder auf den Küchentisch. „Aber ich
sage bloß: lassen Sie sich nur nicht bestricken! Ja, das
sage ich, Herr Doktor!" Sie stand schon wieder vor
ihrem Herrn und nickte oder zitterte vielmehr heftig
mit ihrem großen grauen Kopfe.
Dieser war aufrichtig betreten, so daß er sogar die
Pfeife bei Fuß gesetzt hatte; dann aber fragte er
nachdenklich: „Bestricken, Caroline? Was meint Sie
mit Bestricken?"
„Da kann man viel damit
meinen!" erwiderte die Alte
unverfroren.
„Das freilich, Caroline;
aber hat denn Sie keine be-
stimmte Meinung?"
„Ich habe so meine Mei-
nung, Herr Doktor; und wenn
meine Augen auch alt sind, so
sehen sie doch mehr als manche
junge Augen!"
„Nun, nun, Caroline!" —
Der Doktor verließ die Küche
und ging hinüber in das
Wohnzimmer, wo Julie eben
den Kaffee in seine Tasse
schenkte; sie sah ganz rosig aus
in ihrem Morgenhäubchen.
Rauchend schritt er ein paar-
mal auf und ab; dann, als
falle ihm das plötzlich schwer
aufs Herz, blieb er vor dem
Mädchen stehen und sagte:
„Bekennen Sie es nur, Fräu-
lein Julie, Sie haben gewiß
manchmal Ihre Not mit un-
serer guten Alten?"
Aber Julie sah ihn mit der
ganzen Ehrlichkeit ihrer jun-
gen braunen Augen an. „Wir
vertragen uns ' schon, Herr
Doktor," sagte sie; „wer sollte
mit alten Leuten nicht Geduld
haben?"
Da schlug es an der Haus-
uhr acht; der Doktor mußte
eilen, daß er in die Klasse
kam.
Die Wochentage liefen hin.
Aber mit jedem Tage wurde
es dem Vetter deutlicher, daß
er an einer innerlichen Un-
ruhe leide, deren Ursache er je-
doch vergebens zu erforschen
strebte. Seine Gesundheit ließ
nichts zu wünschen übrig, sein
Haus war besser bestellt als
je zuvor, und auch sein Ge-
wissen — so viel glaubte er
behaupten zu können — war
im wesentlichen unbelastet.
Blick auf Monaco.
Mitunter fiel ihm ein: wenn er nur einmal recht
weit von hier könnte! Wenn nur die Weihnachts-
ferien erst da wären, so wollte er fort zu einem Uni-
versitätsfreunde und bei dem das Fest verleben.
Aber wenn er dann der Sache näher nachdachte, so
überkam es ihn immer wie eine Trostlosigkeit, auch
nur einen Tag anderswo als im eigenen Hause zu-
zubringen. Es war höchst sonderbar.
Freilich, wenn er die alte Caroline gefragt hätte,
die würde ihm Bescheid gegeben haben. Sie kannte
die Krankheit mit allen ihren möglichen und unmög-
lichen Folgen und hatte sogar eben erst ein neues
Symptom derselben entdeckt. Ja, statt wie sonst um
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höchstens elf Uhr, ging jetzt der Doktor meistens erst
um zwölf nach feinem int Erdgeschoß belesenen
Schlafzimmer. So lange saß er oben auf seiner
Studierstube; er verachtete den Schlaf, den er sonst
so sehr geliebt hatte. Und die alte Caroline verstand
es, ihre Schlüsse zu machen!
Und nun geschah es am Freitagvormitlage, daß
sie, wie gewöhnlich, eine Flasche frischen Wassers nach
der Stube der „Mamsell" hinaustrug. Aufräümungs-
lustig, wie immer, blickte sie umher; mtd da kein an-
derer Gegenstand sich ihren Augen darbot, so nahm
sie, damit dem dringenden Triebe doch in etwas Ge-
nüge geschehe, ein auf der linken Seite der Tür-
hängendes Kleid der Mamsell, um es auf den Halen
an der rechten Seite der Tür zu hängen. Dabei fiel
aus der Tasche des Kleides ein zusannnengesaltetes
weißes Schnupftuch, das. sie an den Namensbuch-
staben sofort als das unzweifelhafte Eigentunr des
Doktors, ihres Herrn, erkannte.
Was bedeutete das? Wie kam das Tuch hierher,
in die Tasche der Marnsell? Sie starrte darauf hin,
daß ihr die runden Augen aus dein Kopfe traten.
Plötzlich siel ein schneidendes Licht auf den Gegen-
stand ihrer Betrachtung; der Groß türke —ja,
das hatte ihr Brudersjohn, der Schiffer, einmal er-
zählt — wenn der aufs Freien wollte, so schickte er
vorher sein Schnupftuch an das junge Frauen-
zimmer! Und ihr Herr, der Doktor, er rauchte
r ü rkischen Tabak, er hatte vergangenen Som-
mer türkische Bohnen im Garten gezogen,
er war überhaupt sehr für das T ü r k i sch e !
— Eine Borstellung jagte die andere im Hirn der
braven Alten. Herr du'des Himmels! Das Zimmer
hier war ja nur durch die kleine Kramstube, in der
auch die Mamsell ihre Kommode stehen hatte, von
dem Studierzimmer des Doktors getrennt, und die
Verbindungstüren waren allzeit unverschlossen! Die
Alte schauderte. Der Doktor kannte die Welt nicht;
wenn es wirklich nun zu einer Hochzeit käme! Mit
einer Person, die aus gar keiner Familie war! •—
„Hennefeder" hieß sie; sie konnte ebensogut „Hahne-
wippel" heißen oder sonst dergleichen, was nirgendwo
zu Haus gehörte. Aber s t e, die alte Caroline,
wollte ihre Augen offen haben!
Nachdem sie so mit sich aufs reine gekommen war,
steckte sie das verdächtige Schnupftuch wieder in die
Tasche des Kleides und ging hinab in ihre Küche.
Aber den ganzen Tag wär sie wie hintersinnig, und
statt des Kaffeekessels setzte sie die Bratpfanne aus
den Dreifuß.
Mit dem Abend steigerte sich ihre Unruhe. Als die
Uhr halb elf geschlagen chatte, hörte sie die Mamsell
die Treppe hinauf nach ihrem Zimmer gehen; der
Doktor war schon seit neun in seiner Studierstube.
Mehrmals trat sie aus der Küche in den Hausflur;
aber immer pickte die große Uhr so laut, daß sie nichts
vernehmen konnte.
Sie wollte warten, bis ihr Herr in sein Schlaf-
zimmer gegangen wäre. Zittermd und frierend, die
Arme in ihre Schürze gewickelt, saß sie neben dem
kalten Herde auf dem hölzernen Küchenstuhl; aber die
Uhr schlug zwölf, und es rührte sich noch immer
nichts.. Ta hielt sie sich nicht länger; sie war es
seiner seligen Mutter schuldig; ja, sie hatte ihn selber
mit erzogen; wieder stieg sie die Treppe hinauf, und
als dort alles still blieb', öffnete sie resolut die Tür
des Studierzimmers. — Da saß der Doktor in seinem!
bunten Schlafrock und rauchte aus seiner türkischen
Pfeife. Kein Buch, kein Schreibwerk lag vor ihm, er
rauchte bloß; die Studierlanrge war ausgetan, das
Licht, mit dem er in sein Schlafgemach zu gehen k
pflegte, brannte aus dem Tische mit einer langen
Schnuppe. Das alles war höchst verdächtig.
Als ihr Herr sie gar nicht zu bemerken schien, trat
sie an den Tisch und putzte das Licht.
Da sah der Better auf. „Mein Gott, Caroline,
was will Sie denn?"
„Ich wollte nur sagen, Herr Doktor, daß Ihre >
Schlafstube unten zurecht sei."
„Das glaube ich Wohl, Caroline; aber was ist denn l
eigentlich die Uhr?"
„Es ist nach Mitternacht, Herr Doktor!"
„Mitternacht? Aber, was wandert Sie bei Ahrem
Alter denn so spät im Hause, herum! Geh Sie doch!
schlafen, Caroline!"
So! dachte die Alte; also das ist's! Ich muß erst
fort sein in meine Bodenkammer! Und laut setzte sic
hinzu: „Ich war unten in der Küche eingenickt; aber!
ich will nun schlafen gehen. Gute Nacht, Herr
Doktor!"
„Gute Nacht, Caroline."
Mit harten Tritten stieg sie die Bodentreppe hin-
aus und klappte dann ebenso vernehmlich die Tür j
ihrer Kammer auf und zu. Sie hatte aber nur das:
mitgebrachte Licht hineingestellt. Sie selber tappte -
zwischen den umherstehenden Kisten und sonstigem j
Hausgerät auf den dunklen Boden hinaus. Als sie ^
mit der Haud einen Bettschirm fühlte, der noch voni
der letzten Krankheit der seligen Frau hier oben stand,
huckte sie nieder und legte das Ohr auf den Fuß |
hüben; der Schirm, das wußte sie, befand sich gerade
über der kleinen Kramstube.
Es blieb alles still; nur die türkischen Bohnen, die ;
zum Trocknen reihenweise an aufgespannten Fäden
hingen, raschelten im Nachtzuge, der durch die Ritzen
des Tuches fuhr. Draußen von der nahen Kirche
schlug es eins. — Ter große Kopf der Alten wurde
immer schwerer in der unbequemen Lage; lange war
es nicht mehr auszuhalten. Da — was war das?
Wie ein Blitz schlug es ihr durch alle Glieder; sie
hatte unter sich die eine Tür der Kramstube knarren
hören; aber in demselben Augenblick — denn ihre
Beine waren zuckend hintenausgefahren — stürzte
auch der Bettschirm mit Gepolter auf sie herab. Mil
dem Kopfe hatte sie die Tapetenbekleidung durch-
stoßen, und er steckte nun darin, wie in einem mittel-
alterlichen Folterbrette. Eine Katze sprang von einem
nebenstehenden Schrank und pustete sie an.
„Pust nur!" sagte die Alte. „Ich werde auch pusten!",
Sie hatte genüg gehört; und noch dazu, einen heil-
samen Schreck müßte es denen da unten doch gegeben
haben; bis morgen würde der schon vorhalten, und
— übermorgen, da sollte vorher schon noch etwas an-
deres passieren! Noch einmal horchte sie, und da nichts
sich hören ließ, zog sie behutj'am ihren Kopf heraus
und kroch zurück in ihre Kammer.
Aber die Pläne, einer noch gewaltsamer als bet;
andere, die ihren Kopf durchkreuzten, ließen sie nicht
schlafen. Zehnmal warf sie ihr Kopfkissen herum, sie
zerwühlte ihr ganzes Bett und wußte bald nicht mehr,
ob sie in der Lange oder in der Quere lag. Als end-
lich der erste Dämmerschein durch die kleinen Fenster-
47
scheiben fiel, saß sie, wirklich einem Schuhn nicht
unähnlich, zusammengekauert im Fußende des Beltes.
Es sah überhaupt aus wie in einem Eulenneste; in
der Kammer umher lagen die Bettsedern wie von
kleinen zerrissenen Bögelchen. Aber die alte Caroline
war fertig mit ihrem Plane. „Der gerade Weg der
beste!" brummte sie und stieg — soweit waren ihre
Gedanken über die nächsten Dinge hinaus — mit
dem linken Bein zuerst aus ihrer Bettstatt.
-----Als Julie am Morgen in die Küche kam
und das kümmerliche Aussehen der Alten bemerkte,
stagte sie dieselbe teilnehmend, ob sie etwa keine gute
Nacht gehabt habe?
Caroline, die am Tische bei
ihrem Frühstück saß, pustete
erst ein paarmal in den heißen
Kaffee; dann, als spräche sie es
nur gegen die Wände, aber
mit deutlicher Betonung sagte
sie: „Es hat mancher schon
eine schlechte Nacht gehabt, der
doch mit Ehren seinen Kops
aufs Kissen legte."
„Nun, das tut Sie ja gewiß,
Caroline", erwiderte das Mäd-
chen lächelnd; „aber Sie hat es
vielleicht auch oben bei sich
spuken hören?"
„Ich dachte, es hätte unten
gespukt!" sagte die Alte, ohne
aufzublicken.
„Oh, das war ich, Caroline;
ich holte noch etwas aus der
Kramst übe."
„Um Glock eins? Ich meinte,
die Mamsell sei schon um halb
elf nach Ihrem Zimmer ge-
gangen!"
Aber ich besserte noch an
meinen Kleidern."
Die Alte nickte. „Ja, die
Mamsell hat auch eine recht
ordentliche Mutter, und auch
eine recht sittsame Mutter, die
ihren Kindern gewiß kein
schlecht Exempel gibt."
„Oh, niemals, Caroline! Ich
habe eine gute Mutter." Julie
fühlte eine Anzüglichkeit des
Tones heraus, aber sie sann
vergebens nach, wohin das
ziele.
Mittlerweile hatte die Alte
ihre Tasse zurückgeschoben.
„Ich habe heute vormittag
noch einen Gang zu tun, nicht
für mich, es ist um anderer
Leute willen. Die Kartoffeln
sollen auch schon vorher ge-
schält sein."
„Gewiß, Caroline; Sie wird
ja nichts darum versäumen."
„Nein," sagte die Alte, „es
soll, so Gott will, nichts ver-
säumt werden."
Und richtig, nach kaum einer Stunde hatte Caroline,
welche sonst fast nie das Haus verließ, ihren großen
schwarzen Taffeihut aufgebunden; und so, einen blau-
karierten Regenschirm unter dem Arm, sah Julie von
dem Wohnstubenfenster aus sie die Straße hinabsegeln.
Eine Weile später schaute auch Julies junges
Antlitz aus einem schwarzen Sammethütchen, und
nachdem sie der Scheuerfrau, die auf dem Flur ihr
Sonnabendswerk verrichtete, das Nötige anempfohlen
batte, verließ sie ebenfalls das Haus und trat bald
darauf in eine am Markt gelegene Ellenwarenhand-
lung. Als der Ladendiener mit feinem verbindlichen
„Was steht zu Diensten?" sich zu ihr hinüberbeugte.
Monaco: Der exotische Garten.
48
legte jie das verhängnis-
volle Schnupftuch auf den
Ladentisch. „Das Dutzend
ist unvollständig gewor-
den; Sie haben doch noch
mit solcher Kante?"
Er hatte noch mit sol-
cher Kante, und mit flie-
S"en Fingern war das
abgerissen und ein-
gewickelt.
Nein, sie hatte sonst
nichts zu befehlen; sie
war schon wieder drau-
ßen, froh über das herge-
stellte Dutzend, ihren Ein-
kauf in der Tasche. Ein
Weilchen stand sie und
blickte die lange Straße
hinauf, bei sich bedenkend,
ob sie noch eine „Stipp-
visite" bei ihrer Mutter
wagen dürfe, die dro-
ben in einer Quergasse
wohnte. Nun aber sah
sie von dort die alte Ca-
roline in die Hauptstraße
einbiegen und in voller
Arbeit mit Regenschirm
und Taffethut nach dem
Markt heruntersteuern.
Ein Lächeln flog über
das Gesicht des Mäd-
chens. „Nein, nein!" sagte
sie sich selber; „nun
geht's nicht, nun wird
mit allen Händen ange-
griffen!" Und munter
schritt sie die Marktstraße hinab, dem Hause des
Vetters zu, das jetzt ja ihre Heimat war Sie
bemerkte dabei gar nicht, daß ein kleines Schutz-
engelchen mit weißen Schwingen, lächelnd, wie sie vor-
hin gelächelt hatte, auf dem ganzen Wege über ihrem
Haupte flog.
Sonnenuntergang an der Riviera.
„Ich bin nicht ver-
gnügt, Herr Doktor."
„Nun, so bitten Sie
Madame Hennefeder, sich
herein zu bemühen!"
Die kleine runde Frau,
welche draußen vor der
Tür gewartet hatte, wur-
de fast mit etwas lieben-
der Gewalt von Caroline
in des Vetters Studier-
stube hineingeschoben. Sie
schien in großer Auf-
regung, die künstlichen
Kornblumen auf ihrem
Hute zitterten heftig; auf
des Vetters Einladung,
Platz zu nehmen, setzte sie
sich nur auf die eine Ecke
des angebotenen Stuhles.
Caroline warf der of-
fenbar verzagten Frau
einen halb ermutigenden,
halb unwilligen Blick zu,
aber es gab keinen Bor-
wand zu längerem Ver-
weilen. Sie ging hinaus,
schlurfte die paar Schritte
bis zur Treppe und blieb
dann wieder unschlüssig
am Geländer stehen. Nord
einmal und aus purer
Neugierde horchen, das
wollte sie denn doch nicht!
— Aus diesen Gedanken
wurde die Alte durch den
scharfen Klang der Glocke
aufgeschreckt, die, aus des
Doktors Zimmer führend, jetzt gerade über ihrem
Kopfe läutete.
Als sie nach einer Weile hereintrat, da saß Frau
«der und hatte beide Augen voll Tränen; der
oktor stand noch, den Griff des Klingelzuges
in der Hand. „Frau Hennefeder," sagte er, „laßt
Fräulein Julie bitten, zu uns herauszukommen."
Oben in seinem Studierzimmer saß der Vetter im
Vollgefühl des freien Sonnabendnachmittags, eine
Tasse Kaffee neben sich, die Zeitung vor der Nase.
Freilich las er nicht allzu eifrig, denn unter chm im
Wohnzimmer saß jetzt, wie er wußte, das treffliche
Mädchen und nähte seinen Namen in das neue
Schnupftuch; ja, selbst der Lehnstuhl, worin er saß,
war von ihrer kleinen Hand gepolstert. Das alles
kam ihm zwischen seine Zeitung.
Da tat sich die Tür auf; Caroline trat herein und
meldete die Madame Hennefeder.
„Führe Sie die Frau Hennefeder zu ihrer Tochter!"
sagte der Vetter.
„Aber sie wünscht den Herrn selber zu sprechen!"
Und in der rauhen Stimme der Alten glänzte so
etwas, das den Better stutzen machte.
Er blickte von seiner Zeitung auf. „Warum sieht
Sie denn so vergnügt aus, Caroline?" fragte er. „Sie
hat ja ganz blanke Augen!"
Carolin suchte in dem Gesicht ihres Herrn zu lesen.
Wie stand die Sache? Es war etwas in den Augen
ihres kleinen Christian, das ihrer und der mütterlichen
Erziehung Hohn zu sprechen schien. Aber es half
nichts, sie mußte den erhaltenen Auftrag ausrichten.
Und bald darauf flog ein junger, elastischer Tritt die
Treppe hinauf und verschwand oben in des Vetters
Studierzimmer; die alte Caroline blieb im Unter-
hause und wanderte unstet, viel unverständliche Worte
bei sich murmelnd, zwischen Küche und Hausflur auf
und ab.
Da stürmte es die Treppe herunter. Es war der
Doktor; sie sah ihn noch eben die Haustür hinter sich
zuwerfen; dann war er fort und sah nicht einmal,
wie seine alte Caroline stumm und ratlos aus ihrem
Küchenstuhl zusammensank. Denn eilig schritt er die
Straße hinab, einmal rechts, dann wreder links und
dann in das Haus des Onkel Senators. Ohne anzu-
klopfen trat er in dessen Privatkontor.
„Christian, mein Junge," sagte der alte Herr, in-
dem er von seinen Büchern aufblickte, „was hast du?
Blick auf Beaulieu
(Photo : J. Giletta, Nizza.)
Monte- Carlo, Gesamtansicht.
(Photo: J. Giletta, Kizza.)
49
— Bist du es denn
aber auch selber? Du
strahlst ja wie die
Morgensvnne!"
„Ich weiß nicht,
Onkel; aber ich habe
dir etwas Außeror-
dentliches mitzuteilen."
So setzte dich auf
diesen Stuhl!"
„Nein, Onkel, ich
danke; es ist nicht zum
Sitzen."
„Nun, so kannst du
stehen! Ich aber darf
doch Wohl in meinem
Sibreibstuhl bleiben.
So — und nun rede,
Wenn du magst!"
Der Vetter holte ein
paarmal recht tief
Atem.
„Du weißt es, On-
kel," begann er dann,
„ich bin eigentlich ein
verwöhnter Mensch;
mein seliger Vater —
„Ja, ja, mein Jun-
ge, das war ein guter
Mann; aber was denn
weiter?"
„Dann, Onkel, war
bis vor wenigen Jah-
ren noch meine Mut-
ter da, und als die
starb — siehst du! auch
die alte Caroline hat
es immer gut mit nur
gemeint."
Der Onkel sprang
von seinem Sitze auf
und legte beide Hände
auf des Vetters Schul-
tern. „Christian," sagte
er, „du bist eine Seel' von einem Menschen! Aber,
was denn nun noch weiter?"
„Nur, Onkel, daß ich heute ein vollständiges Glücks-
kind geworden bin! Die Frau Hennefeder —."
„Was? Auch die, mein Junge?"
„Aber, so höre doch nur! Frau Hennefeder, sie kam
vorhin zu mir; sie wollte mich persönlich sprechen;
aber ich weiß noch diese Stunde nicht, was die gute
Frau eigentlich von mir gewollt hat. Dann aber sagte
sie seltsamerweise, und ich habe noch immer nicht be-
griffen, wie sie dazu veranlaßt werden konnte, von
solchen Dingen zu mir zu reden — sie könnte ja nicht
erwarten, sagte sie, daß ich eine Tochter von meines
Onkels Kontoristen heiraten werde, was denn doch
offenbar nur auf Julie verstanden werden konnte."
„Nein," sagte der alte Herr mit schelmischer Trocken-
heit, das konnte sie freilich nicht erwarten."
Der Vetter stutzte einen Augenblick. „Doch, Onkel,"
sagte er, „sie konnte es erwarten. Denn ich für mein
Teil hatte nun genug verstanden. Heiraten! Julie
heiraten! Siehst du, Onkel, wie ein Sonnenleuchten
fuhr es mir durchs Hirn; das war es ja, was
Provencalische Landschaft (Cypresseu und Olbäume).
mir trotz dreistündigen
Rauchens gestern nacht
nicht hatte einfallen
wollen.
„Und das Mädchen
hat dir keinen Korb
gegeben, Christian?"
„Doch, beinahe, On-
kel!" erwiderte der Vet-
ter, und ein Lächeln
der vollsten Lebens-
freude überzog sein
hübsches Antlitz; „denn
als ihre Mutter jene
heikle Frage an sie tat,
nämlich ob sie meine,
des Subrektors Chri-
stian, Ehefrau werden
wolle, da schlug sie
die Augen nieder und
stand, mir zum höch-
sten Schrecken, eine
ganze Weile stumm
und wie betäubt; nur
ihre kleinen Hände fal-
teten sich ineinander.
Dann aber, zu mei-
nem Glücke, öffneten
sich ihre Lippen, und:
,O bitte, wenn Sie
nichts dagegen haben!'
tönten aus dem rosi-
gen Tore ihres Mun<
des zwar leise, aber in
entzückender Deutlich-
keit jene Worte, die ich
bisher nur in stummer
Schrift in ihren Au-
gen gelesen hatte. Und
nun — wenn auch
alles fest uud unwider-
ruflich ist für die kurze
(Photo : Illustration, Paris.! Ewigkeit dieses Lebens,
mein lieber alter On-
kel, so frage ich dich doch: Hast denn du etwas da-
gegen?"
„Ich? Nein, mein Junge!" Und der alte Herr schloß
seinen Neffen fest in seine Arme. „Aber, Christian,
was werden die Großtante und die alte Caroline dazu
sagen?"
Die Großtante, infolge der geschickten Vermittelung
des Onkels und des Wohlgefallens, das sie an dem
Mädchen schon vordem gefunden hatte, sagte freilich
nicht allzuviel. Bedenklicher war es auf der anderen
Seite; denn während obiges im Hause des Onkels
geschah, stand in des Vetters Küche die kleine runde
Äiadame Hennefeder, die Augen noch immer in Freu-
dentränen schwimmend, vor der alten Caroline, deren
beider Hände sie sich bemächtigt hatte, und rief eins
über das andere: „Alles in Ehren, Caroline, alles in
Ehren!" und dankte ihr in überströmenden Worten für
ihre freundschaftlichen und rechtzeitigen Bemühungen
in dieser delikaten Angelegenheit.
Die Alte sagte gar nichts; nur ihr großer Kopf
begann allmählich und immer gewaltsamer zu zittern
4
50
und zu nicken, als würde er durch im Innern heftig
arbeitende Gedanken in Bewegung gesetzt, welche ver-
gebens die Erlösung des lebendigen Wortes suchten.
Die gute Madame Hennefeder wurde von der un-
heimlichen Vorstellung befallen, die alte Caroline
könne sich am Ende noch den schweren Kopf vom
Rumpf herunternicken. Allein plötzlich hatte diese
ihre Sprache wiedergefunden. „So," sagte sie, „so wird
man aus dem Hause gestoßen! Aber mein Abschied
ist heute noch geschrieben!"
-----Er wurde nicht geschrieben. War es nun
die Macht der Tatsachen oder die Liebe für ihren
kleinen Christian und für die Wände seines Hauses,
die alte Caroline blieb als zwar grimmiger, aber ge-
treuer Hausdrachen auf ihrem Posten.
Dann, im wunderschönen Monat Mai, im Hause
des Onkels, gab es eine Hochzeit. Mit Goldregen und
Syringen war das Haus geschmückt, auf allen Wänden
lag der Frühlingssonnenschein; im Hafen flaggten alle
Schiffe. Und niemand war vergessen; Küster und
Organisten, Nachtwächter und Armenvogt, alle hatten
ihren silbernen Freudengruß empfangen; an der Hoch-
zeitstafel aber waltete, zur besonderen Genugtuung
des Onkels und aus aller Dienerschaft hervorragend,
die alte Caroline in ihrer Rosaflügelhaube. Die Braut
durfte keine Schüssel aus einer anderen als aus ihrer
Hand empfangen; weiter jedoch dehnte sich ihre Gunst
nicht aus; die kleine Madame Hennefeder, die strah-
lend an des Onkels Seite saß — sie gönnte ihr alles
Gute; im übrigen — das konnte niemand von ihr
verlangen!
-----Und die Stunden flogen. Lind war die Nacht;
drüben in der anderen Straße um das alte Familien-
haus stand einsam und dufterfüllt der Garten. Da
klirrte die Pforte; es war der Vetter mit seinem
jungen Weibe. Der Nachthauch säuselte in den Zwei-
gen, oder waren es nur die Blüten, die aus der
Knospenhülle drängten? Wie durch Adams Bäume
vor Tausenden von Jahren, so schien auch heute noch
der Mond.
Als Hand in Hand das junge Paar die Schwelle
seines Hauses überschritt, hörten sie draußen von der
Gasse den alten Matthias singen:
„Wie schön ist Gottes Welt
Und jedes seiner Werke!"
Vier Jahre sind seitdem verflossen. In dem alten
Hause springt jetzt zwischen Christian und Julie ein
kleinerer Vetter über Treppen und Gänge, ein aller-
liebster Bursche. Freilich ist er nicht ganz wie seine
Mutter, denn er bittet nicht immer und hat oft sehr
viel dagegen. Auf der alten Caroline reitet er sogar,
wie Amor auf dem Tiger; man sieht es leicht, er hat
sie ganz und gar gezähmt. Es tut ihr gut, der Alten,
daß sie ihren Überwinder gefunden hat, sie ist ganz
heiteren Gemüts geworden; ja, wem? die Sonne in
das Küchenfenster scheint, so kann man mitunter von
dort aus einen grunzenden Gesang vernehmen, der
zu dem Sausen des Teekessels keine üble Begleitung
macht.
------Aber es ist acht Uhr! Frau Julie erwartet
mich an ihrem Teetisch; ich soll ihr beistehen gegen
ihren Mann, damit er sich nicht auch noch in die
Volksbank wählen lasse. Er wird ihr gar zu regsam,
der Vetter, er hat seine Augen und Hände jetzt allent-
halben. Frau Julie in ihrer Herzensunschuld ahnt
vielleicht nicht, daß sie der Urquell dieses Lebens ist;
aber, nichtsdestoweniger, für ein paar Abende der
Woche meint sie doch das Recht auf ihren Mann zu
haben.
Und also, lieber Leser, gehab dich wohl!
Des Saarlands Höhen und Tiefen.
Von Obermarkscheider Schlicker.
a) Wichtige Höhenpunkte.
Wahlschiederhöhe........................... 444,2 m NN
Neunkirchen (Hütte Stumm Eingang) . . . 442,0 „ „
Stennweiler Kipp .......................... 419,5 „ „
Littremont.......................... . . . . 413,3 „ „
Höhe südlich Hangard, Ltchtenkopf.......... 408,9 „ „
Bildstockerhöhe............................ 404,7 „ „
Scheidterberg.............................. 355,6 „ „
Spichererberg.............................. 348,0 „ „
Neuweilerberg.............................. 346,1 „ „
Bischmisheimerberg......................... 334,6 „ „
Eschberg .................................. 332,1 „ „
Höhe westlich Püttlingen................... 320,0 „ „
Winterberg..................................301,0 „ „
b) Saarhöhc.
Nullpunkt des Saar-Pegels an der Schleuse
zu Blittersdorf......................... 185,22 m NN
Nullpunkt des Saar-Pegels an der Schleuse
zu Saarbrücken . . . ...................181,00 „ „
Nullpunkt des Saar-Pegels an der Brücke zu
Saarlouis .............................. 174,57 „ „
Nullpunkt des Saar-Pegels an der Steingut-
fabrik zu Mettlach......................156,51 „ „
c) Die tiefsten Stollcnlagcn.
n n Ztehwald-Stollens in Neun-
kirchen ...................+ 259,68
Diese Tiefenangaben beziehen sich, wohl bemerkt, alle auf den
stets wechselnde Teufe der Gruben selbst ist hier also nicht zu ersehen.
Sohle des Reden-Stollens..................+ 256,50 m N N
„ „ Palmbaum-Stollens in Welles-
weiler ...................................+ 238,82 „ „
„ „ Venttz-Stollens..................+ 238,65 „ „
„ „ tiefen Saar-Stollens in Saarbr. + 191,66 „ „
„ „ Veltheim Stollens der Jnsp. 11 -f 191,51 „ „
„ „ Ensdorfer Stollens...............+ 183,21 „ „
d) Die tiefsten Sohlen.
666 m-Sohle im Beaunierschacht II der
Inspektion II . . , . . . .............- 456,40 m NN
IV. Sohle im Brefeldschacht II der In-
spektion XI.................................- 396,01 „ ..
630 m-Sohle im Steinbachschacht I der In-
spektion III ...............................- 362,50 „ „
III. Sohle im Gustavschacht I der Jnsp.XU — 341,61 „ „
III. Sohle im HelenenschachtU der Jnsp. IX — 313,91 „ „
VI. Sohle im Rcdenschacht der Jnsp. VI — 299.87 „
VI. Sohle im Stoleyschacht der Jnsp. IV — 250,19 „ „
VI. Sohle im Wtlhelmschacht I der In-
spektion VIH . ....................- 237,51 „ „
XII. Tiesbansohle im Duhamelschacht der
Inspektion I...........................- 221,80 „ „
VI Sohle im Altenwaldschacht III der In-
spektion V................................ - 208,00 „ „
VI. Sohle im Dechcnschacht ll der Jnsp. VI — 170,00 „ „
V. Sohle im Hubertusschacht I St. Ingbert — 64,00 „ „
V. Sohle in, Bexbackschacht I Mittelbexbach 4- 53,16 „ „
Meeresspiegel (NN — Nullpunkt des Amsterdamer Pegels); die eigentliche
51
„Federn" — Kamtnschirm.
(Photo: L'Illustration, Paris.)
Das Nest — Kaminschirm.
(Photo : L’Illustration, Paris.)
Moderne Runstschnnedearbeiten.
Werke von Edgar Brandt.
as Schmiedehandwerk hat von jeher zu
den bevorzugtesten und geschätztesten Berufen
der Menschen gezählt. Bei allen Völkern genoß
der kundige Verfertiger eisernen Geräts ein hohes
Ansehen. Wir wissen, daß in der klassischen Mytho-
logie der hinkende Gott der Schmiedekunst, Hephaistos
(oder lateinisch Vulkan) die schönste der Göttinen als
Ehegemahl heimführte, ein Beweis, wie hoch und wert
seine Kunst geschätzt war bei Göttern und Menschen.
Von seinem mit kostbaren Schmiedearbeiten verzierten
Palast aber sagt Homer, er sei
„Sternenhell, unvergänglich, in strahlender Pracht vor
den Göttern,
Welchen aus Erz er selbst sich gebaut, der hinkende
Künstler".
Im germanischen Sagenschatz spielt der kunstsinnige
Schmied Wieland eine große Rolle, wobei hervorzu-
heben ist, was die Hochschätzung der Menschheit be-
sonders hervorrufen sollte: der treffliche Schmied
der Waffen ist gleichzeitig Schöpfer
köstlicher Geräte und Schmuck st ücke.
Und in der Tat, sobald dem bloßen Bedürfnis nach
Waffen genügt war, fing auch schon der Mensch an,
nach Schmuck und schöner Form seines täglichen Geräts
zu verlangen. Seit dem 10. Jahrhundert etwa kommen
die Erzeugnisse der Schmiedekunst für den Hausrat in
Betracht, im 11. Jahrhundert entwickelt sich bereits
ein eigener künstlerischer Stil. Aus dem 12. Jahrhun-
dert stammen die ersten künstlerisch geschmiedeten Git-
ter, Gitterschranken und eisernen durchbrochenen Tü-
ren, wie wir sie u. a. an zwei alten Kulturstätten sehen
können, an der Kathedrale zu Paris und an der Braun-
schweiger Türe der Residenz des berühmten Welfen,
Heinrich des Löwen, der nicht nur ein großer Kriegs-
mann, sondern auch ein Fürst mit großen kulturellen
Interessen war. In den folgenden Jahrhunderten ent-
wickelt sich eine Gotik des Eisens: Rosetten,
mit Buckeln belebte Kreuzblumen der Türbeschläge,
Gitter, Wand- und Kronleuchter, ja, ganze architek-
tonische , Bauten, wie das berühmte «Chambre
ardente» im Kloster auf dem Nonnenberg bei Salz-
burg, oder die „Brunnenlaube" vor der Kathedrale von
4*
52
Der Stand der Firma auf der Pariser Kunsi-AuSstellung 1925. (rhoto: L’lliustratiou, Paris.)
Antwerpen. Mit der Einführung des S t a be i s e n s
e r w e i t e r t e sich dann das Gebiet der Kunstschmiede-
arbeiten außerordentlich. Laubwindungen mit figür-
lichen Motiven werden leicht und luftig ausgeführt, ge-
triebene, gravierte und geätzte Verzierungen bedecken
die eisernen Truhen, Beschläge und Schlösser. Insbe-
sondere letztere sind deshalb besonders zu erwähnen,
weil sich nunmehr aus dem Schmiedehandwerk ein be-
sonderer Beruf abspaltete: der Schlosser. — Aber auch
der Schmied war nicht müßig; Meisterleistungen aus
jener Zeit finden sich namentlich in Spanien in den
Chorgittern berühmter Kirchen. Die Blütezeit
der Kunst aber fällt ins 18. Jahrhundert. Die Portale,
die nach einem Entwurf des Jean M a r o t für das
Schloß Maisons-sur-Seine gearbeitet, jetzt den Ein-
gang zur Apollogalerie und zum Saal der antiken
Bronzen im Louvre zu Paris schmücken, zeigen die
Schmiederei auf der Höhe technischer Vollendung. Die
Barock- und Rokokozeit, die Zeit der abso-
luten Fürsten, die ihre Prachtliebe auch an kleinen
Höfen über alles stellten (wir Saarländer brauchen
da nur an Stengels Werke und an Mettlach,
Wadgassen, Blieskastel usw. zu denken *) gab den
Meistern des Eisens reiche Arbeit. Überall, namentlich
an Gittertoren und an Balkönen, sehen wir Schmiede-
werk, das wie Laub und Gerankc unter dem Hammer
sich schmiegt und biegt. Ihren Mittelpunkt hatte die
Kunst, wie das ganze barocke Kunstgewerbe, in Paris
in der von Louis XIV. gegründeten Manufacture
Royale des Meubles de la Couronne, in der Künst-
ler und Handwerker durch großartige Arbeiten heran-
gebildet wurden. Der ,sK ö n i g unter den
Schmiede n" war Jean Lomour. Er schmückte auf
Befehl des kunstsinnigen vertriebenen Polenkönigs Sta-
nislaus Leczinski, der, nachdem er für Zweibrücken
l £_*) Siehe Seite 95 ff. des Kalenders.
so viel getan, nunmehr als Herzog von Lothringen auch
seiner neuen Hauptstadt höchsten Glanz zu verleihen
bestrebt war, den Königsplatz in Nancy
mit seinen prächtigen Gittern, die noch heutigen Tages
die Bewunderung jedes Besuchers der Stadt hervor-
rufen und sicher vielen unserer Leser bekannt sind.
Nach diesem Höhepunkte stagnierte die edle Kunst.
Das 19. Jahrhundert brachte ähnliche originale Werke
nicht niehr hervor, namentlich, als nach der kühlen, an-
tiken Vorbildern nachstrebenden, Empirekunst und der
einfachen schlichten Biedermeierzeit die trüben Jahre
kamen, in denen der Geschmack der Menge unter den
Schlagworten der romantischen Epoche verwilderte.
Jene Stimmung, die man hernach treffend mit dem
Worte „Butzenscheibenpoesie" charakterisierte, galt auch
für alle sonstigen Produkte der Zeit, in der man Bahn-
höfe int Festungsstil baute (in Saarbrücken haben wir
noch das Beispiel), in gotischen, romanischen oder Re-
naissanceformen schwelgte, in Räumen hauste, denen
malerisch draperierte Vorhänge und Decken, getrocknete
Makartbouquets und tausenderlei Kleinkrams das Aus-
sehen eines Museums verliehen; in der man, bezeich-
nend genug, Dampfmaschinen mit allerlei Säulen, Bal-
dachinen, maurischen Hufeisenbögen und dergl. ver-
zierte, um ihren „prosaischen" Anblick dem Auge „er-
träglicher" zu machen. So begnügte man sich denn
auch bei etwaigen Eifenarbeiten, Fenstergittern, Toren
usw. mit einer sklavischen Nachahmung mittelalter-
licher Formen, während für Haus- und Ziergeräte das
Eisen durch den Bronce imitierenden „Kunstguß" er-
setzt wurde, oder auch billigere Stanzware an Stelle
handgeschmiedeter Stücke trat. — Zcvar entdeckte man
Ende des Jahrhunderts wieder die S ch ö n h e i t des
Eisens, aber nur bei rein technischen Zweckbauten,
Hallen, Brücken usw. Kurzum, in der Technik
nahm zwar nach dem Grundsatz: „Einfachheit,
Zweckmäßigkeit, Materialechtheit und Schönheit sind
54
eins" das Eisen wie-
der seine alte Stellung
ein. In der K u n st
sollte es diese voll-
ständig e r st im
20. Jahrhundert wie-
der erobern, wenig-
stens für größere
Objekte, während
haudgeschmie-
detes Kleinge-
rät, hauptsächlich
künstlich als „Alteisen"
patiniert, teilweise auch
in Verbindung mit
handgehämmertem
Kupfer,Altmessing und
dergleichen, wie Lam-
pen, Leuchter und
Ähnliches, schon län-
gere Zeit wieder sei-
nen gebührenden Platz
im Kunstgewerbe sich
zurückerobert hatte.
Heute hat die
Kunst des Schmiedens
eine neue hohe
Blüte erreicht. Der
„Werkbund" in
Deutschland hat in
dieser Hinsicht ebenso
bahnbrechend gewirkt,
wie in anderen Län-
dern die Arbeit der
dortigen Erneuerer des
Kunstgewerbes, so in
Frankreich der «Union
Lontrals clo8 Art«
D6coratifs», deren
Bedeutung wir in un-
serem Aufsatz über ihr
letztes großes Werk, mit dem sie vor die O
trat, die Pariser Ausstellung 1925 *), eingehend wür
digten. Unter den Künstlern, die auf ihr als Er-
neuerer altfranzösischer geschmackvoller Qualitäts-
arbeit glänzten, steht in erster Linie ein Kunstschmied,
der inailrs-ktzri'Onnier Edgar Brandt. Vor
allem sein A u s st e l l u n g s st a n d, in der Form
einer Halle oder Diele, die den Durchgang von
draußen zum Vorzimmer und Empfangszimmer ver-
mittelt, groß, licht, macht einen prächtigen Eindruck
(Bild 3). Die Wände zeigen zwischen Marmor
*) Siehe BergmannStalender 1926, Seite 150 ff.
JltNentüoAlteiseN patiniert. (Photo : L’Illustration, Paris.)
statt etwaiger Holz.
täfelungen oder Leder-
tapeten prunkvolle
Eisentreibar-
beit e n. In den schön
gezierten Nischen stehen
große eiserne Vasen
antiker Form. Ein ge-
waltiger Tisch mit
fein geschwungenen
Konsolfüßen, steht vor
der großen Spiegel-
wand. Der L ü st e r ist
ebenfalls eine wunder-
volle Schmiedearbeit.
Prächtig ist die Ju-
ne n 1 ü r, von der wir
auch noch eine beson-
dere Ausnahme brin-
gen (Bild 5), mit ih-
rem fein geschwunge-
nen Rankenwerk aus
patiniertem Eisen und
ihrent schönen Relief.
Weiter fallen zwei
Feuerschirme ins
Auge, betitelt «Iss
plumes» und «le nid»
(Bild 1 u. 2). Während
die tamburinschlagende
Tänzerin im Mittel-
relief des ersten aus-
gezeichnet in dem gra-
ziösen Spiel ihrer
Glieder mit dem leich-
ten Schwung der „Fe-
dern" harmoniert, zeigt
der zweite mit dem
stilisierten Vogelrelief
im „Nest" inmitten
der Blumenranken eine
gewisse Verwandschaft mit dem Stil der Tapisserien
aus der Zeit Louis XIII. Als Hauptausstellungsstück
endlich ist der große fünfteilige Wand-
schirm anzusehen (Bild 4). Der mittlere Teil zeigt
einen stilisierten Springbrunnen. Oberhalb der
Wasserstrahlen erblühen Riesenblumen, deren Blät-
ter, inkrustiert mit Kupferplatten, sich von dem aus
engem Spiralwerk bestehenden Untergrund prächtig
abheben.
So ist der Geist des „Königs der Schmiede" in
unserer Zeit wieder lebendig geworden, würdig des
„Zeitalters des Eisen s".
3221;
Der Sternenhimmel.
„Zwei Dinge," sagt der große Philosoph Kant,
„sind es, die das Menschenherz mit immer neuer Be-
wunderung und Ehrfurcht erfüllen: das moralische
Gesetz in uns und der gestirnte Himmel
über u n s."
Es ist dies eine tiefe Wahrheit, die von altersher
die Menschen bewegt hat, so sehr, daß sie den Gestirnen
Einfluß auf ihr Leben und Wirken zuschrieben. Im
ganzen Altertum war die „A st r o l o g i e", die Stern-
tz e u t e r e i", eine heilige Wissenschaft, und noch im
Mittelalter erlebte sie vom 14.—17. Jahrhundert einen
solchen Aufschwung, daß selbst große Astronomen und
55
Gelehrte, wie Tycho Brahe
und Melanchthon, unter
ihrem Einfluß standen.
Mit der allgemeinen An-
erkennung des Kopernika-
nischen Weltsystems trat
sie niehr und mehr in den
Hintergrund zugunsten
ihrer Schwester, der
„A st r o n o m i e", der
Stern künde, die gleich
jener uralt ist. Schon un-
ter Fohi, um 3400 vor
Christus, soll man in China
angefangen haben, die
Laufbahn der Sterne zu
beobachten. Seit 2500 vor
Christus sind uns chinesi-
sche Beobachtungen über-
liefert, von: Jahre 2296 die
erste Kometenbeobachtung,
im 22. Jahrhundert vor
Christus beschäftigten sich
die chinesischen Gelehrten
bereits mit der Vorausbe-
rechnung der Sonnenfin-
sternisse. Auch die Inder
und Ägypter betrieben die
Astronomie eifrig, und die
Chaldäer stellten bereits statistische Tafeln für die
Vorausberechnung der Laufbahnen auf. — Es würde
zu weit fiihren, hier von den Fortschritten unseres
Wissens zu sprechen, das namentlich seit der Erfin-
dung des Fernrohrs einerseits, der Entwicklung der
mathematischen, physikalischen und chemischen Wissen-
schaft andererseits außerordentlich gewonnen hat. ..
Aber seltsam, je mehr die menschliche Kultur, oder
hier sagen wir richtiger wohl: Zivilisation, fort-
schreitet, desto mehr wird der Einzelne dem Wissen
seiner Voreltern entfremdet, desto mehr glaubt er,
daß dazu ein Spezialstudium gehöre, das nur wenige
durchführen könnten. Während die sogenannten
wilden oder nur halbzivilisierten Völker am Himmel
noch sehr gut Bescheid wissen, erlischt diese Kenntnis
bei uns schon auf dem Lazhe mehr und mehr, und der
Städter vollends weiß sich unter den Sternen fast
gar nicht mehr zurechtzufinden. Gewiß, den Großen
Bären, den kennt wohl jeder, aber wenn es sich schon
darum handelt, einen der anderen Planeten zu fin-
den, da versagen die meisten. Nun ist es aber für
jeden, der sich in etwa für die Gesetze des Kosmos
interessiert, unerläßlich, wenigstens die hauptsäch-
lichsten der Sternbilder und die prächtigsten der Fix-
sterne zu kennen. Denn wie kann ich beispielsweise
vom Mars zu meinen Kindern reden wollen, wenn
ich ihnen denselben nicht einmal am Himmel zu
zeigen weiß.
Unter den Sternen unterscheidet man seit dem
Alterturn die Planeten, die „Wandelsterne", die
als Geschwister unserer Erde gleich ihr sich um den
Mittelpunkt unseres eigenen 'Systems, die Sonne,
drehen, und die F i x st e r n e. Natürlich bewegen sich
auch die letzteren, von denen unsere Sonne durchaus
nicht einer der größten ist; aber bei ihrer Bewe-
gung erleiden ihre gegenseitigen Stellungen
keine Veränderungen. Wenn wir sie beobachten,
ist es uns gerade so, als
wenn alle diese Lichtfunken
am Firmamente festsäßen
wie an der Innenwand
einer ungeheuren Hohl-
kugel, die sich um uns
drehte. Diese Beobachtung
ist, wie gesagt, schon in
uralter Zeit gemacht wor-
den, und davon rührt auch
der lateinische Name «stel-
lae flxae», angeheftete Ge-
stirne, her.
Diese Tatsache erleichtert
das Sichzurechtfinden am
Nachthimmel sehr, da die
Sternfiguren selbst allzeit
dieselben bleiben und nur
im ganzen ihre Stellung
zum Gesichtskreise verän-
dern, aus- und untergehen.
Das geschieht derart, daß
die gleiche Stellung in je-
dem folgenden Monate
zwei Stunden früher er-
reicht wird. Dieser jähr-
lichen Veränderung des
Firmamentes tragen die
bekannten, überall käuf-
lichen „drehbaren Sternkarten" Rechnung, die durch
Einstellen eines Schiebers die Himmelsstellung für
jede Zeit des Jahres sofort ermitteln lassen. Hasten
wir aber erst die zur Zeit der Beobachtung gerade
sichtbaren Fixsterne, dann ist es uns auch leicht, die
Planeten zu finden.
Natürlich (um kein Mißverständnis aufkommen zu
lassen) wäre es falsch, nun zu glauben, daß man
ohne eine solche Karte am Himmel nichts finden
könnte; sie bewahrt den Anfänger lediglich davor,
solche Sternbilder finden zu wollen, die zu dem
Zeitpunkt der Beobachtung für ihn gar nicht sichtbar
sein können, und erleichtert ihm das Suchen. — Aber
man hüte sich davor, nun an einem Abend den ganzen
Himmel auf einmal kennen lernen zu wollen. Des-
wegen geben wir hier zwei kleine Kärtchen bei, die
man dem ersten Studium zugrunde legen kann.
Am sichersten geht man dabei von einem leicht auf-
zufindenden Sternbilde aus. Da kommt zunächst der
allbekannte Große Bär oder Himmels-
wagen in Betracht. Von ihm aus finden wir
leicht den P o l a r st e r n, wenn wir, wie aus
unserem Kärtchen zu ersehen, die beiden Hinterräder
des Wagens durch eine Linie verbinden und diese nach
rechts (im Sinne eines im Wagen Sitzenden) etwa
aufs Fünffache ihres Abstands verlängern. Die Linie
stößt dann auf einen ebenfalls recht hellen Stern,
der, wie uns zunächst scheint, einsam dasteht, und
durch seine Stellung, etwa 50 0 über dem Nordpunkte
des Horizonts, unzweideutig als der Polarstern zu
erkennen ist. Wenn wir genauer zusehen, entdecken
wir dann, daß er doch nicht allein steht, sondern eben-
falls zu einem Sternbild gehört, dem Kleinen Bären
oder Wagen, dessen Deichselspitze er bildet. Das war
uns nur deshalb nicht gleich aufgefallen, weil
im Gegensatz zum Großen Bären die Verbindung
zwischen den beiden Hinterrädern und der Deichsel-
56
spitze aus lichtschwä-
cheren *) Sternen be-
steht. Bei beiden Bil-
dern unterscheiden wir
gewöhnlich je sieben
Hauptsterne, von de-
nen z. B. der mittlere
Teichselstern des Gro-
ßen Wagens ein
Doppel st ern ist.
In Wirklichkeit ist die
Gesamtzahl der zum
Sternbilde gehörigen
Fixsterne eine weit
höhere: der Große
Bär hat (nach Heis)
227 mit bloßem Auge
sichtbare Sterne, der
Kleine 54. —
Weiterhin finden wir
leicht in derselben
Himmelsgegend, wenn
wir von dem ersten
Deichselstern des Gro-
ßen Wagens eine Li-
nie durch den Polar-
stern ziehen, in ihrer
Verlängerung einen
anderen sehr hellen
Fixstern, der die mitt-
lere Spitze eines gro-
ßen lateinischen W
einnimmt, das aus 5 Fixsternen gebildet wird (siehe
Skizze). Es ist dies das Sternbild der Cassiopeja.
Auch das zwar ausgedehnte, aber sehr einprägsame.
Bild des Drachen ist, nachdem wir die vorerwähn-
ten Sterne gefunden, leicht zu entdecken, schwieriger
schon Giraffe und C e p h e u s.
In den Wintermonaten, wenn der Bergmanns-
kalender gekommen, ist ein weiteres leicht zu finden-
des Sternbild, der Orion**) (siehe Skizze 2), gut
an den drei gleichmäßig hellen Sternen 2. Lichtklasse,
die den „Gürtel des Jägers Orion" bilden (auch für
sich „Jakobstab" genannt), sowie an dem gelblichen
oberen Stern 1. Größe Beteigeuze und an
*) Die Sterne werden nach ihrer Lichtstärke in Klassen eingeteilt,
die auf den großen Sternkarten gewöhnlich mit den griechischen
Buchstaben a, ß, J, d usw. bezeichnet werden.
**) Der Orion hat eigentlich 194 Sterne 1. bis 7. Größe.
dem bläulich-weiß fun-
kelnden Stern R i -
g e l, der ungefähr
ebenso weit rechts un-
terhalb der Gürtel-
sterne glitzert, wie Be-
teigeuze links ober-
halb, gefunden wird.
Verbindet ntan die
Gürtelsterne durch eine
Linie und verlängert
diese nach links her-
über, so stößt man auf
den allerhellsten Fix-
stern des ganzen Him-
mels, den Hauptstern
des Großen Hun-
des (lat. Name: ca-
nis major), den S i -
r i u s. Mit ihm und
Beteigeuze zusammen
bildet dann wieder ein
dritter Stern erster
Größe ein gewaltiges,
fast gleichseitiges Drei-
eck, Procyon, der Hanpt-
ftern im Kleinen
Hund (eanis mi-
nor), der ungefähr in
gleicher Höhe wie Be-
teigeuze steht. An-
schließend an Orion
und kleinen Hund ist es dann nicht niehr schwer, auch
die Zwillinge (gemini) mit C a st o r und
P o l u x, den Stier (Naurus) und das hoch-
kreisende Bild des Fuhrmanns mit der Ca-
st e l l a kennen zu lernen.
Selbstverständlich ist die Betrachtung des Stern-
himmels mit dem bloßen Auge nur der Anfang
des Eindringens in die Wunder des Kosmos. Schon
das gewöhnliche Opernglas, noch mehr aber der licht-
starke Feldstecher von 6—12facher Vergrößerung,
zeigt uns manche Überraschung. Auch ein einfaches
selhstgebautes Galileisches Fernrohr, wie wir es im
vorigjährigen Kalender bei unserem Artikel über den
Mond (Seite 61) beschriebe^, kann gute Dienste tun.
Mit ihm bieten die Pl'ejaden und Hyaden
im Stier (tanrns) ebenso wie so manche Stern-
nebel, so der des Orion, einen reizvollen Anblick.
Der Kohlenbergbau in Amerika. ^
■■■■■■■■HaHHMUHHBHBHSHH!
uropa gegenüber hat Amerika einen überraschen-
den fsieichtum an Kohlen voraus. Demgemäß
ist auch die Förderziffer eine sehr hohe. Für
unsere Betrachtung kommt hier ausschließlich das
Gebiet der Vereinigten Staaten von Nord-
amerika in Betracht, die heute an der Spitze der
Weltproduktion stehen.
Bei den amerikanischen Kohlen lassen sich vier
IBBBHBHHHHHHBBSHBRBflflHH»
Hauptsorten entscheiden: Anthrazit, Halbanthrazit,
halbbituminöse und bituminöse Kohlen. — Das ge-
samte Kohlengebiet ist von dem staatlichen geologischen
Überwachungsdienst in 6 große Gebiete (provinces)
eingeteilt, die ihrerseits in verschiedene Bezirke zer-
fallen. Wir nennen hier nur kurz die wichtigsten:
das Anthrazitgebiet von Pennshlvanien und Rhode-
Jsland, den appalachischen Bezirk mit bituminösen
— 57
Abb. 1. Amerikanische Grube. Stollenausgang mit Kabelschlepperförderung.
und halbbituminösen Kohlen, der sich vom westlichen
Pennshlvanien über Westvirginia, Ohio, Maryland,
Georgia, das östliche Kentucky und Tennessee bis
Alabama erstreckt, den atlantischen Bezirk mit triassi-
schen Kohlen in Nordkarolina und Richmond. Diese
zusammen bilden die erste „province", die bei weitem
wichtigste, da auf sie _ etwa */io der hochwertigen
Kohlen des Landes entfallen. Demgegenüber sind die
Lignitfelder des Golf- und Nordgebiets, die bitumi-
nösen Felder des Jnnengebiets (Mississippital, Jova,
Missouri, Kansas, Arkansas, Oklahoma, Texas und
Michigan), und die Steiukohlenvorkommen im Ge-
biet des Felsenaebirges (Kolorado, Neu-Mexiko usw.)
wie des pazifischen Gebiets (Washington, Kalifornien,
Oregon) von geringerer Bedeutung.
Die Förderung in den U. S. A. betrug:
a) Anthrazit: 1922: 55, 1923: 95, 1924: 90,
1925: 62 Millionen tons*);
b) Fettkohle: 1922: 408, 1923: 545, 1924: 483,
1925 : 523 Millionen tons.
Die Zahl der Beschäftigten liegt uns nur für 1922
bor. Sie betrug damals in den Anthrazitgruben
156.849 und in den Fettkohlengruben: 687.958 Mann.
*) Soweit im folgenden Gewichte angegeben, sind immer ameri-
kanische Tons — 907 kg gemeint.
Diese Zahlen ergeben, verglichen mit der gesamten
deutschen Produktion, eine drei- bis vierfach so hohe
Förderung.
Die Kohlenvorkommen sind im allgemeinen für die
Gewinnung außerordentlich günstig, die Flöze sind
meist außerordentlich stark und liegen häufig, 6—7
Fuß mächtig, dicht unter der Oberfläche in gleich-
mäßiger, fast ebener, für den Abbau sehr vorteilhafter
Lage; daher sind tiefe Schächte selten, meist
kann das Flöz durch einen horizontalen Stollen-
betrieb erreicht werden (Abbildung 1). Dem
Kohlenreichtum entsprechend erfolgt auch der Abbau
nicht systematisch, sondern man läßt weniger ergiebige
Flöze einfach liegen.
Es ist daher auch für einen hiesigen Bergmann ein
erstaunlicher Anblick, eine amerikanische Tagesanlage
zu sehen (Abbild. 1 und 8). Tagesbetriebe, wie
wir sie gewohnt sind, gibt es nicht; nur die
allernotwendigsten Betriebsräunie,
Lampenstube, Magazin und Werkstätten, sind in ein-
fachen, niedrigen Schuppen untergebracht. Wasch-
kauen für die Arbeiter sind erst neuerdings
auf einer Anzahl Gruben vorhanden, B a be-
räume oder dergl. gibt es nirgends.
Auch Kohlenwäschen gibt es nur bei
58
wenigen Zechen, da gewöhnlich die Flöze so edel sind,
daß eine nasse Bearbeitung unnötig ist, die Kohlen
vielmehr nach dem Auslesen der Berge trocken gesiebt
und dann verkauft werden können.
Nach all dem Geschilderten könnte es scheinen, als
ob der hiesige Bergmann ans dem amerikanischen
Kohlenbau nichts lernen könne, da er verhältnis-
mäßig primitiv sei. Aber das wäre ein großer Irr-
tum. Denn gerade in bezug auf eine weitgehendste
Arbeitsteilung und Mechanisierung des Betriebs —
werden doch nach einer amerikanischen Statistik 70 %
der Gesamtförderung maschinenmäßig gewonnen —
bietet der amerikanische Kohlenbergbau außerordent-
lich viel Interessantes.
Soweit Schächte in Frage kommen, bietet ihr
Abteufen bei den günstigen Gebirgsverhältnissen nur
wenig Schwierigkeiten. Die tiefsten Schächte (im
Anthrazitgebiet) gehen bis zu 650 m, im Pittsburger
Bezirk, im Illinois und Alabama sind die Gruben
nur 80—300 m tief. Die Schachtscheibe ist fast immer
rechteckig mit flacher Abrundung der kurzen Seiten.
Die einzelnen Trume sind nebeneinander angeordnet,
wodurch der Schachtquerschnitt häufig recht groß ist.
Wir fanden z. B. einen Hauptschacht erwähnt, in dem
sich 4 Fördertrume und 1 Wettertrum nebeneinander
befinden, und der 15,20 m lang ist bei 3,20 Breite.
Mit Rücksicht auf die geforderten großen Förder-
leistungen stehen die Schächte häufig vom Füllort bis
beinahe zu den Seilscheiben in Eisenbeton. Die
Schachtgerüste sind gewöhnlich über der Rasenhänge-
bank an einer Seite vollständig offen,
damit das Schachtinnere beim Auswechseln der För-
dergefäße bequem zugänglich bleibt. Neuerdings führt
man die Schachtgerüste auch in Eisen-
b a u a r t aus, in ähnlicher, jedoch weit leich-
terer Form wie bei uns.
Neben diesen Hauptschächten findet man ziemlich
häufig tonnlägige Nebenschächte (slope),
die nur aushilfsweise für die Förderung, sondern
mehr für Nebenzwecke dienen. Die Seilfahrt
der Belegschaft erfolgt entweder durch diese
„8lop68" oder in seigeren Nebenschächten.
Die bei uns übliche Art der Schachtförderung, daß
die Förderwagen am Füllort auf die Fördergestelle
aufgeschoben und an der Hängebank abgezogen werden,
um nach Entleerung wieder in die Grube zurückzu-
kehren, ist in Amerika fast gar nicht mehr zu finden.
Vielmehr werden entweder die dort üblichen För-
de r w a g e n, die weit größer als bei uns sind
(2,5—61), auf einbödigen Körben zutage gezogen und
an der Hängebank, ohne den Korb zu verlassen, durch
Neigung des Korbbodens gekippt, oder meisten-
teils verbleiben sie überhaupt in der Grube
und werden am Füllort mit Hilfe großer
Kreiselwipper entleert.
Die kippbaren Förderkörbe sind sehr
leicht gebaut, haben fast n i e Fangvorrichtungen
und nur selten Verschlußtüren, wenn auch ein leichtes
eisernes Dach. Von dem Dachgestell hängen Stangen
oder Ketten herab; an denen sich die Leute während
der Seilfahrt festhalten. Der Korbboden ist außer-
halb der Korbmitte drehbar gelagert. Die Stirn-
wand des Wagens ist aufklappbar; die Verriegelung
wird an der Hängebank durch einen dort stehenden
Anschläger mit einem eisernen Haken zur Entleerung
des Wagens beim Kippvorgang gelöst. Es gibt auch
Wagen mit festen Stirnwänden. Bei diesen werden
die Korbböden mitsamt den Wagen bei der Entlee-
rung um 135 ° gekippt. Hier geht
die Entleerung ganz automatisch
vor sich, der Anschläger fällt fort.
Das Kippen selbst erfolgt in
beiden Fällen dadurch, daß das
Fördergerüst an der Entladungs-
stelle mit gebogenen Führungs-
schienen versehen ist.
Die meisten Schächte haben
aber statt der Gestell- eine
Kübelförderung. Die Kü-
bel haben 6—15 t Inhalt, wer-
den entweder auch gekippt oder
haben Bodenentleerung. — Bei
dieser Art bleiben, wie gesagt,
die Wagen unter Tage und wer-
den am Füllort mittels Kreisel-
wippers in die Kübel entleert.
Da die Förderwagen auf den
meisten Gruben Drehkupp-
lungen besitzen, ist ein Ab-
kuppeln der Wagen nicht erfor-
derlich; die Entleerung erfolgt
vielmehr im geschlossenen Zuge,
so daß an der anderen Seite des
Wippers der leere Zug wieder
fertig hinausläuft. Aus diese
Weise werden gewaltige Leistun-
gen erzielt: Förderungen von
6000—8000 t, entsprechend einer
Leistung von 8—10 t je Mann
Abb. 2. Akkumulator-Lokomotive.
(Leistung 450 St. Amp. 99 St. Kw.) (Photo: Coal Age.)
59
und Schicht mit einer ein-
zigen derartigen Förder-
maschine stehen nicht verein-
zelt da.
Im allgemeinen pflegen die
amerikanischen Zechen (mit Aus-
nahme der Anthrazitgruben)
nur von einer Sohle
zu fördern, die vom Liegenden
des Flözes selbst gebildet wird.
Die Hauptförderstrecken liegen
sämtlich im Flöz und haben bei
dem guten Hangenden und den
geringen Einfällen recht ansehn-
liche Querschnitte. Infolgedessen
können auch die F ö r d er-
wäg e n weit größer sein wie
bei uns. Wagen von 2,5 t In-
halt gehören zu den kleinsten
und solche von 6 t nicht zu den
Ausnahmen. Die Wagen sind
entweder aus Holz mit Eisen-
beschlag oder ganz aus Eisen-
blech. Die Spurweite beträgt
1 m bis 1,20 m. Die Beförderung erfolgt durchweg
durch elektrische Lokomotiven, die, da die
Lüge bis zu 80 Wagen zählen, 80—200 PS zu
haben pflegen (Abbild. 2). Die Fahrgeschwindigkeit
in langen geraden Strecken ist dann der eines Eisen-
bahnzuges ' gleich. — Diese Lokomotiven haben
meistens Oberleitung mit durchschnittlich 250 Volt
Spannung. Für die Befahrung neuer in Arbeit be-
findlicher Strecken, die noch keine
Oberleitung haben, sind die
Lokomotiven zum Teil mit
Kabeltrommeln ausge-
rüstet. Das Kabel wird mit
einem Stechkontakt an die Lei-
tung der Hauptstrecke ange-
schlossen, worauf die Lokomotive
unter Abrollung des Kabels die
drahtlose Strecke befährt und
auf der Rückfahrt das Kabel
wieder aufwickelt. Andere Loko-
motiven sind für diesen Zweck
mit Reserveakkumulatoren ver-
sehen.
Neben der Lokomotivförde-
rung besteht häufig auch noch
eine Ba nd f ör d er u n g. Diese
Bänder sind Gumm ib än -
der (rudden dolts) von ganz
vorzüglicher Qualität. Sie wer-
den auch vielfach zur Verladung
usw. verwandt. Eine besonders
bemerkenswerte Anlage befindet
sich auf der Kolonialgrube der
Frick Coke Co. Dort sind 2
Kreiselwipper von je 100 in
Länge. in eine Strecke parallel
nebeneinander eingebaut. In
drese Wipper werden ganze Züge
von 40 Wagen zu je 2,5 t auf
emmal gestürzt. Die Kohlen
lallen in einen Zwischenbehälter
bon etwa 200 t Fassung und
Abb. 3. Kleinere Schrämmaschine der Jeffrey-Company.
werden dann einer Bandförderung von insgesamt
9 km Länge zugeführt. Diese besteht aus 19 ein-
zelnen Gummibändern von 1,20 m Breite und
mehreren hundert Metern Länge. Jedes Band*lvird
durch einen Elektromotor getrieben und gießt die
Kohlen auf das folgende aus. Die Bänder laufen auf
insgesamt 50.000 Rollensätzen; das Oberband wird
in Muldenform auf je 3 Rollen geführt, während das
Abb. 4. Schrämmaschine verbunden mit Schüttelrutsche der Jeffrey-Company.
60
Unterband auf glatten walzenförmigen Rallen zu-
rückläuft. Tie Geschwindigkeit der Bänder beträgt
2,5 m/sk; die Bedienung der ganzen 9 km
langen Strecke erfordert nur 8 Mann. Das
letzte Band führt durch ein Stollenmundstück im Tale
des Monongahelaflusses zutage, wo am Ufer eine
umfangreiche Behälteranlage über dem Fluß errichtet
ist, so daß die 1000 t fassenden Schleppkähne unmittel-
bar unter den Verladerutschen anlegen können. Tie
Leistung der Bandförderung beträgt 10.000 bis
11.800 t Kohle in 8 Stunden; die Beladung eines
Kahns erfordert 8 Minuten. —
Bei dem eingangs erwähnten S t o I l en-
det r i e b kommt gewöhnlich eine Förderung durch
Becherketten oder Kabelschlepper in Anwen-
dung. Die in Abbildung 1 gezeigte Anlage hat eine
Länge von 906 Fuß, eine Neigung von 17 bis 25 °
und eine Stundenleistung von 150 t. —
Was den A b b a u angeht, so ist die verbreitetste
Abbauart ein K a m m e r - oder Pfeilerbau, bei
dem das flach gelagerte Kohlenflöz durch ein Netz
von streichenden und einfallenden Strecken in Abbau-
felder von etwa 300 m Breite zerlegt wird. Der
Abbau der einzelnen Pfeiler erfolgt dann von rück-
wärts, wobei man schmale Sicherheitspfeiler, die ver-
loren gehen, stehen und das Hangende zu Bruch
gehen läßt. — Bergeversatz kommt im allge-
meinen nicht in Frage, weil sich der Bergbau
meist in nicht oder nur wenig besiedelter Gegend
bewegt.
Die im Durchschnitt 2—3 m mächtigen Flöze er-
lauben nicht nur, daß der Bergmann seine Arbeit
aufrechtstehcnd verrichtet, sondern gestatten auch die
Verwendung schwerer besonders leistungsfähiger
Abba u m as ch i n e n, die ebenso wie die großen
Förderwagen ohne Schwierigkeit unmittelbar bis vor
die Betriebspunkte gebracht werden können. Grund-
satz ist allgemein, das Gut massenweise zu gewinnen,
zu verladen und zu fördern, was durch weitgehende
Arbeitsteilung erreicht wird, indem sich Schräm-,
Schieß-, Lade- und ZimmerungLmannschaften nach-
einander vor derselben Arbeitsstelle ablösen. Bekannt-
lich waren unsere ersten Gesteinsbohrmaschinen ame-
rikanischen Ursprungs. Sie sind jetzt größtenteils durch
Schrämmaschine n ersetzt, die durchschnittlich
schwerer wie die unsrigen sind. Neben einer viel
in Gebrauch befindlichen Karrenschräm -
m a s ch i n e, bei der eine Stoßmaschine zwischen
zwei Räder eingespannt ist und an Ort und Stelle
von Hand bewegt wird, und die den Vorteil hat, daß
sie wenig Raunl beansprucht und leicht zu bedienen
ist (Jahresleistung etwa 10.000 t) werden Scheiben-
schrämmaschinen und vor allem Kettenschräm-
maschinen benutzt. Die Scheibenschräm-
Maschine besteht hauptsächlich aus einer ziemlich
großen, einer Kreissäge ähnlichen, am Rand mit aus-
wechselbaren Schneiden und Spitzen ausgestatteten,
flach am Boden zwischen zwei Eisenblechplatten ge-
lagerten Scheibe, die als Kegelrad ausgebildet ist, in
das ein Ritzel eingreift. Der Vorschub der auf einem
Schlitten ruhenden Maschinen folgt durch ein Draht-
seil. Die Konstruktion der Kettenschrämpiaschine ist
bekannt *). Sie arbeitet sich zunächst an einer Stoß-
ecke in den Kohlenstoß hinein und dann an einer
Förderkette selbsttätig am Kohlenstoß entlang weiter.
Die Förderketie ist an beiden Enden durch je einen
zwischen Hangendem und Lie-
gendem eingeklemmten eisernen
Pfahl auf dem Liegenden fest-
gekeilt. Die Schrämarbeit wird
durch besondere Schrämleute
ausgeführt, die mit der Ma-
schine, die dann jedesmal auf
einen besonderen, mit Elektro-
motor und Stromabnehmer aus-
gerüsteten Wagen gesetzt wird,
von einem Stoß zum andern
fahren. Der Schram hat durch-
schnittlich 2 ui Tiefe und 0,20 m
Breite. (Abbildungen 3, 4, 6.)
Die unterschrämte Kohle wird
dann durch Sprengarbeit herein-
gewonnen und unmittelbar an
' der Gewinnungsstelle in Förder-
wagen verladen.
Auch die Beladung der
Wagen erfolgt meistens ma-
schinenmäßig, wobei besonders
zwei Arten von Verlade-
m a s ch i n e n Verwendung fin-
den, solche, die entweder mit zwei
gekrümmten, mit Fanghaken ver- j
sehenen Kratzarmen arbei-
ten, die auf einem flachen eisernen
Abb. 5. Eine moderne kombinierte Schräm- und Lademaschine.
(Photo : Coal Age.)
') Siehe Artikel: Kalender 1925.
Teller um eine Achse drehbar
verlagert sind, die Kohlenbrocken
erfassen und über den Teller
weg nach rückwärts einem För-
derband zuführen, oder es sind
Sch a uf e l m a s ch i n e n. Ihr
Wirksamer vorderer, als große
Schaufel ausgebildeter Teil wird
stoßweise in das Haufwerk
hineingeschoben und wirft jedes-
mal einen Schaufelinhalt nach
rückwärts auf ein Förderband.
Zwecks besserer Verwendbarkeit
sind die Ladebänder bei beiden
Arten von Maschinen schwenk-
bar angeordnet. Die Leistungen
betragen bis zu 700 t Kohlen je
Schicht (Abbildung 4). Neuer-
dings werden Schräm- __ und
Lademaschinen bzw. Schüttel-
rutsche auch verbunden (Abbil-
dung 6).
Als A n t r i e b für alle Loko-
motiven und Maschienen wird
sozusagen ausschließlich Elektrizität, die aus
den überall durchgeführten Leitungen mittels^Siech-
kontakts entnommen wird, verwandt. Preßluft
ist demgegenüber völlig in den Hintergrund getreten.
Allerdings ist in den amerikanischen Bergwerken die
Schlagwettergefahr gegenüber den euro-
päischen Gruben auch bedeutend geringer.
Es erübrigt sich noch, in diesem Zusammenhang
von der Wetterführung zu sprechen. Sie wird
durch Ventilatoren, die an der Hängebank des Neben-
schachts aufgestellt sind, und meistens blasend wirken,
aber auch saugend umgestellt werden können, bewirkt,
und hat bei dem guten Gebirge
und den großen Querschnilten
der Wetterwege, die fast voll-
ständig in der Lagerstätte selbst
liegens keine Schwierigkeit. Ähn-
lich einfach ist die Masse r *
Haltung, da die Zuflüsse
meist so gering sind, daß ein
Motor von 100 PS schon als
starke Maschine gilt.
Mag es nun manchem unse-
rer Leser nach Vorstehendem
scheinen, als- wenn bei 'diesen
Verhältnissen, den durch die
Mächtigkeit der Flöze und den
großen Querschnitt der Strek-
ken gegebenen bequemeren Ar-
beitsbedingungen, den vielen,
die körperliche Anstrengung ver-
meidenden Hilfsmaschinen usw.
der amerikanische Bergmann ein
besonderes schönes Leben hätte,
namentlich, wenn er noch von
den hohen Löhnen hat erzählen
hören, so trifft das in Wirklich-
keit doch nicht zu. Die Ma-
schinen sind ja gerade des-
wegen eingeführt, unc die
Notwendigkeit menschlicher Ar- Avb.
beitskraft auf ein Minimuiu zu (Ein
Abb. 6. Schwere Schrämmaschine der Jeffrey-Company.
beschränken (siehe das oben erwähnte Beispiel der
Förderanlage der Frick Coke Co). Die Schicht
beträgt unter Tage 8, über Tage 8% Stunden. Die
M aschine nimmt zwar die eigentlich schwere große
körperliche Arbeit zur Hauptsache ab, verlangt aber
eine ununterbrochene Aufmerksamkeit und Regsam-
keit. A r b e i t e r s i e d e l u n a e n, die von den
Werken eingerichtet sind, trifft man n u r . s e l -
t e n. Man überläßt es dem Arbeiter, zu sehen, wo
er bleibt, oder wie er sich evtl, ein Eigenheim schaffe.
Diese sind dann gewöhnlich auch nur Holzhäuser
(Bild 9). Auf Garten- und Feldbau wird
7. Hcmptfördermaschine der Wtreleh-Mine.
Motor von 500 ]?8, Tagesleistung 40C0 t.) (Photo: Coal Age.)
62
Abb. 9. Partie der Bergmannssicdelung der Wireleß-Mine.
(Photo : Coal Age.i
Vereinigte Staaten . 24,1 23,4 28,9
Preußen 20 20,45 16
Frankreich 9,4 8,2 6,9
Belgien 8,9 9,3 10,9
Großbritannien . . . 6,6 9,5 10,6
Allerdings macht sich in letzter Zeit auch in
Amerika eine starke Strömung dahin geltend,
daß diese immer höhere Unfallzahl bekämpft
werden soll. Aber auch hier zeigt sich wieder
die amerikanische Art: anstatt des Erlasses von
durch gesetzlichen Zwang allgemein gültigen
Vorschriften begnügt man sich lieber mit dem
Aushängen von Töarnungsbildern (security
first), es so dem einzelnen Arbeiter über-
lassend, ob er sie befolgen will (und evtl, auch
kann!) oder nicht.
Abb. 8. Tagesansicht der „Wireleß Mine".
dabei wenig Wert gelegt; im allgemeinen macht
die Umgebung einen ungepflegten, verwahrlosten
Eindruck, überhaupt ist es amerikanische Art, der
Initiative des einzelnen alles zu überlassen. So gibt
es auch keine gesetzliche Sozialversiche-
rung, sondern nur freiwillige private Versicherungen
gegen Unfall, Krankheit usw. Allerdings besitzen
größere Werke, wie Ford und die Tennessee Coal Jron
an Railroad Co eigene Krankenhäuser, die gegen einen
mäßigen Satz (bei der letztgenannten z.' B. 1,25 $
(Photo : Coal_Age.)
täglich) Aufnahme gewähren.
Auch gibt es Stiftungen, Spar-
kassen und dergl. Aber all das
sind keine gesetzlich zu beanspru-
chenden Einrichtungen. Was end-
lich die Gewerkschaften angeht,
die „Unions", so ist der Zusam-
menhang ein loser; nach jedem
Lohnkampf pflegt die Mitglieder-
zahl gewaltig zurückzugehen. Hin-
zu kommt noch, daß die Berg-
arbeiter sich aus den verschie-
densten Völkern und Rassen zu-
sammensetzen. Besonders die
Rassenfrage spielt eine große
Rolle. Die zahlreichen Neger
— im Alabamabezirk 80 % der
Belegschaft — die in den Unions
keine Aufnahme finden, sind
ebenso wie Asiaten manchmal
recht unerwünschte Konkurrenz.
Was endlich den „hohen Dollar-
lohn" angeht, so ist zu berück-
sichtigen, daß auch die Ausgaben
entsprechend hoch sind. Die Werk- j
konsumanstalten verkaufen nur
gegen bar, während sonst die
amerikanische Kaufmannschaft
von der Lieferung auf Abzah-
lung großen Gebrauch macht.
Aber gerade diese vielfachen Ab-
zahlungsschulden können, sowie
einmal ein Lohnausfall eintritt,
für die Familie verderbnis-
dringend sein.
Es muß auch noch auf einen
anderen Umstand hingewiesen
werden, der das Leben des amerikanischen Gruben-
arbeiters weniger rosig erscheinen läßt, als man glau-
ben sollte, nämlich die hohe Anzahl der Un-
glück s f ä l l e. In dieser Beziehung stellen die ame-
rikanischen Gruben einen Weltrekord auf. Nach
einer Statistik des belgischen Arbeitsministeriums ist
auf je 10.000 beschäftigte Arbeiter die Anzahl der
tödlichen Unfälle im Kohlenbergbau der :
einzelnen Länder folgende:
1921 1922
1923
1921
63
Bleibt noch ein Blick auf die wirtschaftliche
Lage der amerikanischen Kohlenindustrie zu werfen.
Und die ist zurzeit alles andere wie rosig. Die meisten
der im Krieg entstandenen Zechen sind wieder still-
gelegt; trotzdem ist noch eine gewisse Überproduktion
vorhanden. Die Folge sind Absatzschwierigkeiten, die
um so größer werden, je mehr die Konkurrenz von
Erdöl, Naturgas und mit Wasserkraft billig erzeugter
Elektrizität sich fühlbar macht. In der Äeichkohlen-
industrie von Pittsburg und Illinois wird z. B.
wöchentlich nur an 2—3 Schichten gearbeitet. Vielfach
werden die Werke auch nur im Winter betrieben.
Das ist die Kehrseite der glänzenden Medaille. Im-
merhin aber bleibt der amerikanische Bergbau für uns
außerordentlich interessant und lehrreich. Aber man
kann ruhig sagen, daß auch bei uns die Technik des
Bergbaus sich auf den gleichen fortschrittlichen Bahnen
bewegt, die man in Amerika erfolgreich beschritten hat,
und daß die europäische Technik die Fortschritte der
amerikanischen gerade so gut im Bergbau ein- und
auch überholen wird, wie z. B. der europäische Näh-
und Schreibmaschinenbau — vom Automobil gar nicht
zu reden — dem amerikanischen zum mindesten eben-
bürtige Leistungen hervorbringt.
Rechtsfragen -es täglichen Lebens.
Etwas vom Nachbarrecht.
Das „Bürgerliche Gesetzbuch" regelt das Nachbar-
verhältnis nur in wenigen Bestimmungen, während
es in den weitaus meisten Fällen die bestehenden
landesgesetzlichen Vorschriften in Kraft gelassen hat.
Hauptgrundsatz des E i g e n t u m s r e ch t e s ist nun
der, daß der Eigentümer mit seiner Sache oder seinem
Grundstück machen kann, was er will. Demgegen-
über gibt es im Verhältnis des Eigen-
tümers zu seinem Nachbarn aber das
Verbot der Schikane, welches verbietet,
ein Recht auszuüben, wenn diese Ausübung
nur den Zweck hat, dem anderen Schaden zuzu-
fügen. Man darf z. B. nicht eine so hohe Mauer
auf einem Grundstück errichten, daß sie dem Nach-
bar Licht und Luft wegnimmt.
Das Betreten fremder Grundstücke ist an sich
naturgemäß verboten; der Nachbar darf es aber
trotzdem, wenn eine gegenwärtige Gefahr, z. B.
ein Brand, ihn dazu veranlaßt, oder bei Verfol-
gung seines eigenen Eigentums-
rechtes, wenn z. B. sein Bienenschwarm oder ein
Haustier sich auf das Grundstück des Nachbars ver-
irrt. Natürlich darf das nicht dahin führen, daß ich
nun bei Verfolgung meiner Hühner z. B. dem Nach-
barn seine frisch bestellten Beete zertrample oder gar
in ein Kornfeld oder dergl. hineinlaufe. Hier kämen
sonst g. F. die Strafbestimmungen des Feld- und
Forstpolizeigesetzes gegen mich in Anwendung. Eben-
sowenig darf ich natürlich, wenn eins meiner Hühner
irrtümlich dorthin legen geht, ohne seine vorherige
Erlaubnis, den Stall des Nachbars öfsnen, um ihn
deswegen zu revidieren. — Richten meine Tiere auf
dem Nachbargrundstück Schaden an, so bin ich als
„Viehhalter" haftbar. Umgekehrt kann ich natürlich
die Tiere des Nachbars, die bei mir Schaden an-
richten, gewaltsam verjagen, evtl, auch festhalten und
einsperren, wobei er mir noch wegen des Schadens
regreßpflichtig bleibt.
Eine weitere Ausnahme sind Einschränkungen
des Eigentums, die sich derart vollziehen, daß das
Eigentum nicht erheblich gestört ist, z. B. die
Errichtung von Telegraphenleitungen und die Anlage
von Bergwerken, deren Rechte ja auch gesetzlich be-
sonders geregelt sind. Ähnlich ist eine Belästi-
gung durch Rauch, Ruß, Gase oder dergleichen
nicht verboten, wenn die Schädigung durch diese
Einwirkungen unwesentlich, oder durch die
örtlichen Verhältnisse gegeben ist, wie
z. B. in einem Fabrikviertel oder bei dem allge-
meinen Gebrauch stark rußender Kohle, wie hier-
zulande üblich. Nebenbei ist hierzu noch zu bemerken,
daß selbst in solchen Fällen, in denen die Belästi-
gung eine wirklich schwere ist, bei Anlagen
mit behördlicher Genehmigung nicht die Beseiti-
gung derselben, sondern nur die Einrichtung
von Maßnahmen verlangt werden kann, die
den geschädigten Nachbar möglich st vor den Be-
lästigungen schützen. — Bei Störung des Eigentums
durch Geräusche, z. B. nächtliche Musik in Wirt-
schaften, übermäßiges Hundebellen usw., sind die
polizeilichen Vorschriften anwendbar.
Kein Nachbar darf ferner durch Veränderung,
z. B. Vertiefung des eigenen Grundstücks, dem Nach-
bargrundstück die Stütze entziehen. Hingegen darf ein
Nachbar dem andern herüberwachsende oder herein-
raaende Aste undWurzeln von Bäumen oder
Pflanzen abschneiden und für sich behalten, desgl.
Früchte, die auf sein Grundstück yerüberfallen.
Bei Grenz st reitigkeiten ist jeder Nachbar
zur Mitwirkung an der Errichtung fester Grenz-
zeichen oder der Herstellung unkenntlich gewordener
verpflichtet. Mauern, Hecken usw. auf den Grenzen
von Nachbargrundstücken gelten im Zweifel als ge-
meinschaftlich, so sind auch Grenz-
bäume nebst ihren Früchten als gemeinsames
Eigentum der Nachbarn anzusehen. — Weiter wäre
noch das Notwegrecht über ein Nachbargrund-
stück zu erwähnen. Dies kann aber nur dann
in Anspruch genommen werden, falls dieser Weg ein
unumgänglich notwendiger, also wirklich ein N o t -
weg ist. — Endlich seien hier noch einige wichtige
Einschränkungen des Eigentumsrechtes zugunsten des
Nachbars erwähnt, so das Verbot der' Anlage
von Dünger st ätten in unmittelbarer Nähe
des Nachbargrundstückes, desgleichen die allzu
nahe Anlage von Kanälen zur Wasser-
abführung sowie von Bodenerhöhungen, die
das benachbarte Grundstück schädigen können. Sodann
dürfen neue, airf das Nachbargrundstück füh-
rende Türen, u. U. auch F e n st e r, nicht ange-
legt werden, ebensowenig z. B. feuergefährliche
L f e n und dergleichen. Neu errichtete Gebäude,
neue lebende Hecken und Zäune müssen eine be-
stimmte Entfernung vom Nachbargrundstück einhalten,
deren Maß durch polizeiliche Vorschriften bestimmt
wird. Rechtsanwalt Dr. B.
-» Verglied. «—
Von Theodor Körner.
lück auf! Glück auf! in drr ewigen Nacht;
Glück auf! in dem furchtbaren Schlunde,
Wir klettern hinab durch den felsichten Schacht
Zum rrzgeschwängerten Grunde.
Tief unter drr Erde, von Grausen bedeckt,
Da hat uns das Schicksal das Ziel gesteckt.
Wir wandern tief, wo das Leben beginnt,
Auf nie ergründeten Wegen.
Der Gänge verschlungenes Labyrinth
Durchschreiten wir kühn und verwegen.
Wie es oben sich regt im Sonnenlicht,
Der Streit über Tage bekümmert uns nicht.
And wenn sich Herrscher und Völker entzwei'n
And dem Ruf der Gewalt nur gehorchen,
Nationen im blutigen Kampf sich bedräu'n,
Dann sind wir geschützt und geborgen.
Drum,wem auch dieWelt,die entstammte, gehört,
Nie wird in der Tiefe der Frieden gestört.
Zwar ist auch uns wohl manch'gräßlicher Streil
Im Dunkel der Schächte gelungen;
Wir haben die Nacht von Geistern befreit
And den mächtigen Kobold bezwungen
And bekämpft das furchtbare Element,
Das in bläulicher Glut uns entgrgenbrennt.
Z w ar toben uns tief.w o nichts Mensch lich es w aGtt,
Die Wasser mit feindlichen Ringen;
Doch der Geist überwindet die rohe Gewalt,
And die Flut muh sich selber bezwingen.
Gewältigt gehorcht uns die wogende Macht
And wir nur gebieten der ewigen Nacht.
Drum ward uns ein fröhlicher leichter Mut
Zugleich mit dem Leben geboren;
Die zerstörende Sucht nach eitlem Gut
Ging uns in der Tiefe verloren.
Das Gefühl nur für Vaterland, Lieb' und Mich!
Begräbt sich im Dunkel der Erde nttfjf.
And bricht einst der grosie Lohntag an,
pmj And des Lebens Schicht ist verfahren, Dann schwingt sich der Geist aus der Tiefe hinan, Aus dem Dunkel der Schächte zum Klaren, P|g
M4
mm And die Knappschaft des Himmels nimmt ihn auf
And empfängt ihn jauchzend: „Glück auf! Glück auf!"
Aus den „Knospen".
Constantin Meunier: Mineur.
(Der Bergmann )
65
St, Michael Ln Saarbrücken,
Ein moderner Rirchendau,
ereits im Kalender 1925 haben wir darauf
hinweisen können, wie auch im Kirchen-
bau der moderne Eisenbetonbau
ein neues vielversprechendes Feld gesunden habe.
Inzwischen ist hier in Saarbrücken die da-
mals noch im Bau befindliche neue St. Mi-
chaels-Kirche (am 27. September 1924)'
feierlich geweiht und ihrer hehren Bestimmung
übergeben worden.
Auch im Innern
ist die Einrichtung
der Vollendung ent-
gegengereift, und wir
können daher nun-
mehr unsere Leser
auch im Bilde mit
dieser unter den
neuenBauwerkendes
Saargebiets beson-
ders hervorragenden
Schöpfung des Archi-
tekten Hans Her -
k o m m e r aus
Schwäbisch - Gmünd
bekannt machen.
Was die Kirche
zunächst auszeichnet,
ist ihre beherrschende
Lage im Stadtbild,
auf dem Rothen-
berg, einer mit Bäu-
men bepflanzten An-
höhe, die nordwest-
lich des Rathaus-
platzes gelegen ist.
Durch Jahre hin-
durch einer der be-
liebtesten Ausflugs-
stätten der St. Jo-
hanner, ward ihnen
dieser Fleck Erde be-
sonders teuer, da er
in den Jahren 1846—
1883 als Friedhof
diente. Heute bildet
dieser alte Friedhof
im Schatten der
Kirche eine ungemein
stimmungsvolle An-
lage.
Eine ausdrucksvolle Freitreppe führt von der
Rothenberg- über die Schumann-Straße, an dem
rechter Hand liegenden stattlichen Schulgebäude
vorbei zur Kirche hinauf, die sich mit ihren zwei
45 ni hohen Fronttürmen und dem langgestreckten,
durch keinerlei überflüssigen Schmuck die Einfach-
heit der großen Linien störenden Langschiffe (Ge-
samtlänge des Bauwerks 62 in, größte Breite
32 m) beherrschend erhebt. Die bis zur Dach-
traufe 22 in, in der
Mitte 27 m hohe
Vorderfront wirkt
durch ihre Wucht,
betont einzig allein
durch die hohe Por-
talsnische, imposant.
Über der Portals-
nische erhebt sich
nunmehr die 5 ra
hohe Statue des
Erzengels Michael,
des Schutzpatrons
der Kirche und gleich-
zeitig des verstorbe-
nen Trierer Bischofs
Michael Felix
K o r u m, dessen
Lieblingsgedanke die
Errichtung dieser Kir-
che war, deren Er-
stehen er indes nicht
mehr erleben sollte.
Die Außenmauern
der Kirche sind aus
hiesigen Bruchsteinen
erbaut, und zeigen
Hausteinverblen-
dung, die Jnnen-
pfeiler und das Ge-
wölbe bestehen aus
Eisenbeton. Die zwei
Türme, die im Vier-
eck enden, tragen an-
statt der gewohnten
Turmspitze als ein-
zigen abschließenden
Schmuck ein eigen-
artiges, mit Kupfer-
platten belegtes Holz-
gerüst, überragt vom
Kreuze. (Abb. 1+2.)
St. Michael, Front mit der Rothenbcrgtreppe.
66
Ähre Hauptwir-
kung hat die Kirche
ohne Zweifel im In-
nern. Trotz aller An-
klänge an eine by-
zantinische Basilika
zeigt der Stil mit
seinen Eisenbetonge-
wölben doch einen
durchaus neuzeit-
lichen Charakter. Der
Blick des Beters fällt
ungehemmt auf das
Chor, das, gleich
dem altberühmten
Chor von St. Gereon
in Köln hochgelegen,
alle Schwingungen
der Baulinien auf
sich vereinigt. Auf ©t, Michael, Gesamtansicht,
unserer Photogra-
phie 3 steht noch der
alte Altar. Er ist inzwischen durch einen neuen
stilgemäßen Hochaltar in leuchtend
blau-violetter Majolika ersetzt worden, dessen Ab-
bildung wir ebenfalls bringen. — Unter dem
Chore befindet sich eine Krypta. Um ihren
Eingang steht im
Halbkreis die Haupt-
Kommunionbank.
Die Höhe des
Hauptschiffs beträgt !
20 in, die Länge
von der inneren Git-
tertür bis zum Vor-
chor 37 m, die Tiefe f
des Chorraums ins-
gesamt 12 m, und
das mächtige Eisen- ;
betongewölbe des
Hauptschiffs hat 20
Meter Spannweite.
Viereckige, 80/222 em
starke Pfeiler tragen !
das Gewölbe und ■
teilen die 25 m lan- ,
gen und 5 m brei- |
ten Seitenschiffe vom
Hauptschiffe ab.
Von der inneren Einrichtung der Kirche ist noch
besonders die neue Orgel, ein Werk der Firma
Gebrüder Späth in Ennetach-Mengen (Würtem-
berg), zu erwähnen, die mit 4000 klingen-
den Pfeifen, von denen die längsten etwa
Rechts der alte St. Johanner Friedhof.
(Photo! K. C. Kirschmann, Saarbrücken.)
St. Michae , Inneres. Blick auf das Chor.
(Photo : K. C. Kirschmann, Saarbrücken.)
— 67 —
St. Michael: Der neue Hochaltar.
(Photo: K. C. Kirschmann, Saarbrücken.)
5*
68
4 m und die kleinsten 11 cm lang sind, die
größte Orgel der ganzen Diözese Trier darstellt.
Der Spieltisch zählt auf 4 Klaviaturen und Pedal
262 Tasten und der gesamte Registerapparat
298 Klappen, Züge und Tritte, wohingegen das
Werk in der alten St. Johannen Pfarrkirche nur
135 Tasten, 30 Züge und Tritte zählt. Es sind
3 Manuale vorhanden, ferner ein Fernwerk
über dem Gewölbe der Kirche, das durch ein
58 m langes Kabel mit dem Spieltisch verbunden
ist. Da der treffliche Kirchenchor 150 Sänger
zählt, so sind somit alle Vorbedingungen erfüllt,
an den kirchlichen Festen den Gottesdienst be-
sonders schön und feierlich zu gestalten.
Die Hauptwirkung des Kircheninnern ist neben
dem großartigen Eindruck des gewaltigen von
keinerlei Rippen oder dergl. geteilten Gewölbes
der Farbe zuzuschreiben, die wir leider in der
Photographie nur unvollkommen zum Ausdruck
bringen können. Das gilt namentlich vom Chor,
der schön und feierlich wirkt, während man bezgl.
der sonstigen Bemalung, die sich auch auf die
Füllungen der Holztüren usw. erstreckt, ebenso wie
bezgl. der Formen der Beleuchtungskörper usw.
geteilter Meinung sein kann, desgl., ob nicht der !
Eindruck der Kirche noch gewinnen würde, wenn
die Außenmauern der Kirche anstatt der jetzigen
Hausteinverblendung die Eisenbetonkonstruktion
klar erkennen ließen.
Alles in allem ist jedoch die St. Michaels-Kirche
ein Monumentalbau, auf den, namentlich wenn
die innere Ausstattung ganz vollendet, die neue
Kanzel statt der vorläufigen und die Nebenaltäre
aufgestellt sind, der Architekt wie die opferfreudige
Gemeinde und nicht zuletzt das ganze Saarland
stolz sein kann.
Die -Sonne verglüht....
(Photo : L’Illustration.)
69
SWnp, das Land drs tioip Eises. M
Von Christoph Klees, Markscheider, Div. St. Ingbert.
Spitzbergen: Der Eisfjord bei Mitternachtsonne.
wein Gott will rechte Gunst erweisen.
Den schickt er in die weite Welt;
Dem will er seine Wunder weisen
In Berg und Tal und Strom und Feld!
urze fünf Monate war ich aus Indien zurück,
wo ich auf Sumatra, Java und Billiton meine
ewige Sehnsucht nach fernen, schönen Ländern
im Märchenlande selber hatte stillen dürfen, noch war
ich in der Heimat nicht seßhaft geworden, als mich
ein Brief aus Holland erreichte ' mit der schicksals-
schweren Frage, ob ich Lust habe mit einem alten
indischen Bekannten nach Spitzbergen zu ziehen,
wo eine holländische Gesellschaft eine kleine Kohlen-
grube von den Russen gekauft hatte und einen neu-
zeitlichen Betrieb einrichten wollte.
To war ich knapp acht Monate nach meiner Rück-
kehr aus Indien schon aus einem blitzsauberen nor-
wegischen Dampfer auf dem Weae nach dem hohen
Norden.
Am 1. Mai 1921 liefen wir^ in den Hafen von
T r o m s ö ein, der n ö r d l i ch st e n Stadt Nor-
wegens und damit Europas. Die norwegischen
Postboote verkehren nur bis Tromsö. Hier mußten
wir uns also nach anderer Fahrgelegenheit bis Spitz-
bergen umschauen. Für unsern Transport von 43
R ü h r b e r g l e u t e n und 2 Beamten, so-
wie einer Menge Material fürwahr keine Kleinigkeit.
Doch glückte es uns, die „Braganza", ein Polarsegel-
schiff mit Hilfsmotor von etwa ZOO tz Wasserverdrän-
gung, für unsere Zwecke zu chartern.
Wehmütige Gedanken wollten mich beschleichen am
Tage der Abfahrt von Tromfö, meinem Geburtstage.
Nach 7jährigem Aufenthalte in Indien hätte rch
diesen Tag zum ersten Male wieder im Kreise meiner
Lieben feiern können und nun hatte mein Zigeuner-
blut mich ans andere Ende der bewohnten Erde
getrieben. Wiederum mußte ich, wie so oftmals in
Indien, ein Fest in stillem Gedenken allein durch-
kosten. Anstatt Freude zu empfinden, senkte sich ein
Schleier trüber Gedanken mir auf die beimwehschwere
') Die Bilder sind Aufnahmen des Verfassers, der 3 Jahre dort weilte.
70
Spitzbergen: Landschaftsbtld im Mai.
Seele. Doch horch, da klingen liebe deutsche Lieder
an mein Ohr. Unsere Bergleute singen zur Betäubung
ihrer eigenen Sehnsucht und zur Freude der zahlreich
erschienenen Norweger zuerst wehmütig-sentimentale,
dann flotte, jauchzende Abschiedslieder. Noch lange
ein herzliches Winken vom Schiffe zum Land und
vom Lande zum Schiff; dann gleiten wir langsam
hinaus in den Fjord und haben bereits nach 6 stun-
den die offene See, das nördliche Eismeer erreicht.
Ein schwerer nördlicher Wind und mächtige Dünung
wühlen tiefe Furchen ins Wasser und bald wird unser
kleines Schifflein geschaukelt, daß eine Landratte nach
der andern mit bleichem, seekranken Gesicht still ver-
schwindet, um 3 Tage lang nicht wieder an Deck zu
erscheinen. Denn der Wind wird zum Sturme, unser
Schifflein ist ein Spielball der Wellen. Das Wasser
fegt meterhoch übers Deck und läßt alles zu Eise
erstarren. Erstaunlich ist für uns alle die Ruhe und
Entschlossenheit der Schsissbesatzung, die in zäher
Arbeit trotz Kälte und Sturm ausharrt, bald dies,
bald jenes Segel beisetzt oder wieder rafft und unsere
Nußschale allen erzürnten Meeresgöttern zum Trotz
doch vorwärts zu bringen weiß. Drei Tage dauert
dies grausame Spiel der Wogen, drei lange Tage
liegen wir wie Gefangene in unsern Zellen mit Hän-
den und Füßen gegen die Wände gestemmt, um nicht
von der Pritsche geschleudert zu werden. In meiner
Kabine steht das Wasser 10 cm hoch, und mein
Handköfferchen schwimmt lustig wie ein Kinderschiff-
lein in der Badewanne aus einer Ecke in die andere.
Nur beim Gongschlage zur Essenszeit raffe ich mich
aus, um im Eßzimmer dicht nebenan wenigstens etwas
dem schwachen Magen zu Gemüte zu führen. Ein
wahres Wunder, wie bei diesem Hexensabbath der
Koch noch etwas Warmes liefern kann. Viel braucht
er allerdings nicht aufzutischen; denn von 45 Passa-
gieren essen in der Regel nur drei. Der Rest liegt
schwer seekrank in den Kojen, und manch einer, der
nie auf dem Wasser gewesen, glaubt seine letzte
Stunde gekommen und jammert kläglich.
Endlich legt sich der Wind, und es legen sich die
Wellen. Um Mitternacht des dritten Tages ist das
Schiff so ruhig, daß selbst die Todeskandidaten von
gestern wieder' an Deck erscheinen. Und welch herr-
liches Bild bietet sich uns. Die Mitternacht-
sonne bescheint mit glutroter Pracht ein meilen-
weites Feld von Treibeis. Im Osten erkennen wir
die schneebedeckten Berge von Spitzbergen, schwach mit
Nebel überzogen. Im' Treibeise Seehunde ohne
jede Scheu, bis wir vom Schiffe aus ein regelrechtes
Schnellfeuer eröffnen. Keiner von uns ausgelassenen
Passagieren ahnt, daß jetzt, wo wir uns geborgen
glaubten, Kapitän und Mannschaft der „Braganza"
schweren Stunden entgegen gehen. Den
Gürtel von zirka 50 Kur Treibeis gilt es zu
durchqueren, um die Einfahrt des Eisfjordes zu er-
reichen. Ein offene Rinne könnte den Weg erleichtern,
aber so hoch wir auch im Westen der Treibeiskanie
71
nach Norden hallen, nirgends ist eine Lücke zu finden.
So heißt es denn quer durch das Treibeis auf das
Ziel lossteuern. Der sechzigjährige Kapitän selber
klettert in das Krähennest am Hauptmaste, um aus
luftiger Höhe den jeweiligen Kurs für das Schiff an-
zugeben. Und nun beginnt ein 22stündiges Lawieren
durch die Eisschollen, ein Zickzackkurs ohnegleichen, ein
Ausweichen, Abstoppen
und Wiederanfahren, ein
Kommandieren und Ach-
lunggerufe, um einen
Zusammenstoß mit den
gefährlichen großen Eis-
blöcken zu vermeiden. Im
Stillen senden Kapitän
und Mannschaft ein
Stoßgebet ums andere
zum Himmel, daß er
jetzt keinen Wind auf-
kommen lasse. Denn
dann wäre es aus mit
dem Schiffe inmitten
der Eiswelt. Doch der
Himmel hat ein Einse-
hen; die Luft bleibt klar,
immer deutlicher winkt
die Küste Spitzbergens
herüber, schon ist das Alk-
horn gesichtet, in Erman-
gelung anderer Signale
ein Äerg als Wahrzeichen
für die Schiffe, die in
den Eisfjord einlaufen
wollen. Endlich ist auch
der Gürtel Treibeis
durchbrochen und der Eis-
stord erreicht. Noch 2
Stunden, und wir könn-
ten Barentzburg, die neue holländische Nieder-
lassung, anlaufen, wäre nicht der „Grüne Hasen",
an dessen Ostküste Barentzburg liegt, auch jetzt am
8. Mai noch zugefroren. Nun gilt es für unser
Schifflein, wieder zu zeigen, daß es ein Polarschiff
ist. Gleich einem Seehunde klettert „Braganza" in
langsamster Fahrt mit dem Bug auf das feste Eis;
schon ist der Vorderteil
des Schiffes so hoch über
Wasser, daß Passagieren
und Zuschauern das Herz
stillzustehen droht vor
Angst, das Schiff werde
jeden Augenblick umkip-
pen, da — ein Krach und
ein Plumps; das Eis ist
unter dem Gewichte des
Schiffes geborsten, und
das Schiff fällt stöhnend
und in allen Fugen er-
zitternd in sein Element
zurück, die gebrochenen
Schollen dabei seitlich
aufs Eis drückend. So
bahnt sich unsere „Bra-
ganza" langsam aber si-
cher den Weg bis zum
kleinen veralteten Kai.
Noch ein begeistertes Hoch
für unseren wackeren Ka-
pitän und seine wetter-
feste Mannschaft, und
schon stürmen wir ans
Land, wo etwa hundert
Norweger und Russen
uns in unverständlicher
Zunge willkommen heißen.
■ra-i —»• -»"■ft*”
Karte von Spitzbergen.
72
Die holländische Kohlengrube und Niederlassung Barentzburg.
Bereits vor Stunden, als die Küste Spitzbergens
deutlicher sichtbar wurde, die ganze Ode dieses
sch nee- itnd eisbedeckten Landes ohne
jegliche Vegetation sich offenbarte, legte sich ein Ge-
fühl der Beklemmung
auf so manches taten-
frohe Herz. Tie Be-
grüßung in frenrden
Lauten, so gut sie ge-
meint war, ist nur da-
zu angetan, unser aus-
kommendes Heimweh
noch zu steigern. Beim
Stampfen durch me-
terhohen Schnee und
beim Anblick der inr
Schnee versunkenen
Holzbuden, unserer zu-
künftigen Heimat, er-
faßt alle Neulinge nur
ein Gedanke: „hier
lasset alle Hoffnung
fahren"! Mag die
Mitternachtsonne das
Land in noch so gol-
dene Farben tauchen,
mag man auch später
manch herrliche Stun- Der „Grüne Hafen
den des Sports und der Jagd erleben, dieses erste
Gefühl vollständiger Verlassenheit wird man aus
Spitzbergen nie wieder los.
Im Wonnemonat Mai sind wir ange-
kommen, und noch
liegt meterhoher
Schnee. Erst im
I uni tritt die
Schneeschmelze
ein und im Sep-
tember fällt schon
wieder Neuschnee.
Wirklich schneefrei,
wenigstens in den
Tälern, ist nur der
Juli und A u g u st.
Tie ganze Sommer-
herrlichkeit dau-
ert allenfalls drei
Monate; und in
diesen 3 Monaten
sind Frühling und
Herbst miteinbegrif-
fen. Neun lange Mo-
nate aber regiert der
Winter mit Frost und
Eis. Die mittlere
" im Sommer. Jahrestemperatur
73
liegt daher außerordentlich tief, ^ bei — 9° C-
Tie Höchsttemperatur im Sommer beträgt
-j-12° 6, die tiefste Temperatur im Winter
etwa —40° C- Dabei ist Spitzbergen gegenüber an-
deren arktischen Ländern, wie etwa Grönland, noch in
einem großen Vorteile, da seine Westküste vom G o l f -
st r o m e umspült wird. Die warmen Wasser des
Golfstromes (bei Spitzbergen immer noch 4- 5° 0),
machen sich selbst in dem hohen Norden noch bemerk-
bar. Die Eisdecke der Fjorde und Buchten der West-
küste wird von ihnen von Mai ab gesprengt; bis Ok-
tober-November bleiben die Buchten dann etsfrei. Der
Einfluß des Golfstromes ist am besten zu erkennen
durch die Abnahme der Temperatur des Landes von
Westen nach Osteit. Während die Westküste nur klei-
nere Vergletscherungen aufzuweisen hat, liegt bereits
im Innern des Landes und besonders auf den öst-
lichen Inseln eine ewige, bis zu 6 0 0 m dicke
Eisschicht.
Was die erwähnten Gletscher Westspitzbergens
angeht, so erreicht ihre Stirnwand eine durchschnitt-
liche Höhe von 30—50 m. Das Eis der Gletscher
fließt langsam nach dem Meere ab und bricht an
seiner Stirnwand von Zeit zu Zeit unter donnerähn-
lichem Krachen in gewaltigen Blöcken los. Diesen
Vorgang nennt 'man das Kalben der
Gletscher. Das Gletschereis liefert damit die auf
dem Meere treibenden Eisberge, die für die
Schiffahrt so gefährlich werden können.
Das nuv in großen Massen die Schiffahrt hindernde
Treibeis stammt von den im Winter zugefrorenen
Fjorden und wird nicht dicker als ein Meter. In
Jahren mit viel Eis kann die ganze Westküste Spitz-
bergens mit einem 100 km breiten Gürtel von Treib-
eis umlagert sein, der die Fjorde und Buchten der
Westküste blockiert. Diese Treibeisfelder kommen und
gehen mit dem jeweils herrschenden Winde. Selbst im
Hochsommer kommt es vor, daß bei entsprechendem
Winde die eine oder andere Bucht durch Treibeis
für die Schiffahrt gesperrt ist. In den Fjorden
beginnt Ende Oktober das Wasser zu gefrieren. Fjorde
mit weiten Mündungen werden aber selbst den Winter
über immer wieder vom Eise entleert. Bei Springflut
wird nämlich das Eis am User durch die starke He-
bung und Senkung zerbrochen und ein geringer see-
wärts gerichteter Wind befreit dann die Fjoroe sehr
rasch von den Eisschollen. In manchen Fjorden bleibt
das Eis aber auch bis Mai oder Juni fest; der Bell-
sund ist gar nur 2 Monate im Jahre eisfrei.
Vom Treibeis wohl zu unterscheiden ist das P a ck -
e i s, das nördlich und nordöstlich von Spitzbergen
den Sommer überdauert. Durch Übereinander;chievcn
der Schollen beim Sturme kann Packeis eine Dicke
von 10—15 m erreichen. Packeis ist praktisch unpas-
sierbar; denn es besteht aus übereinandergeschobenen
Schollen und Trümmern von Treibeisschollen mit of-
fenen Stellen dazwischen. Schneeschuhe und Schlitten
sind in diesem Eisgemenge eine Unmöglichkeit. Zu
Fuß aber ist der Mensch im Packeise vollständig hilflos.
Lage und Größe.
Spitzbergen liegt zwischen 76° 10' und 80° 30' nörd-
licher Breite, sowie zwischen 8° und 29° östlicher Länge.
Sein Abstand vom Pole beträgt nur 1200 km, eine
Strecke, die ein Flugzeug in 10 Stunden zurücklegen
könnte. Ungefähr derselbe Abstand trennt Spitzbergen
von Nordnorwegen. Das Land besteht aus einer
Gruppe von 5 größeren und vielen kleinen Inseln
mit einem Gesamtflächeninhalte von etwa 68 000 km",
der etwa der Größe Bayerns gleichkommt. Von den
5 größeren Inseln sind Westspitzbergen und Nordost-
- 74 —
Kalbende Gletscher.
land die bedeutendsten. Während das Letztere voll-
ständig mit Eis überdeckt ist, birgt Westspitzbergen
reiche Kohlenschätze in seinem Schoße.
Geschichte.
Schon die norwegischen Wikinger kannten Spitzber-
gen und nannten es „Svalbard"; nach einer Auszeich-
nung des isländischen Landnamabuches, also einer al-
len Bevölkerungsstatistik, entdeckten sie das Land ums
Jahr 1194. Da die öden Inseln für die Wikinger
wahrscheinlich ohne jede Bedeutung waren, geriet diese
Entdeckung bald wieder in Vergessenheit. Erst 1576
wieder melden russi-
sche Schreiber das Be-
stehen eines Landes
„Grumant" im hohen
Norden, das für Spitz-
bergen gehalten wirds
mit Sicherheit läßt
sich dies aber nicht
feststellen. Geschicht-
liche Tatsache ist da-
gegen die Wiederent-
deckung des Landes
durch die Holländer
Barentz und Heems-
kerk im Jahre 1596.
Diese-wollten damals
für den Seeweg nach
Ostindien die soge-
nannte n o r d ö st -
liche Durchfahrt
suchen und stießen da-
bei auf Spitzbergen.
Zwischen den drei Lan-
dern Rußland, Nor-
wegen und Holland
geht nun um die Ehre
der Entdeckung Spitz-
bergens ein literari-
scher Streit, der bis
heule noch nicht entschieden ist. Norwegen hal aller-
dings insoweit gewonnen, als das Land ihm heule
gehört. Im Vertrage von Versailles wurden nämlick
Norwegen die Hoheitsrechte über Spitzbergen zuer-
kannt, das jetzt wieder den alten Wikingernamen
„Svalbard" trägt.
Walfischfang.
Den Holländern, die 1596 aus ihrer Suche nach
Indien auf Spitzbergen stießen, fiel sofort der Reich-
tum an Walfischen und Seehunden in den Gewässern
und Buchten des Landes auf, und als tüchtige Ge-
schäftsleute verlegten
sie sich auf den Wal-
fischsang. Bald folg-
ten ihnen auch die
Engländer, die Dänen
und Hamburger Han-
seaten; etwas später
auch die Franzosen.
Über ein Jahrhundert,
von 1600—1740, stand
der Walfischfang in
hoher Blüte. Weit über
1000 Mann sandten
allein die Holländer
alljährlich nach dem
hohen Norden, wo sie
in einer Kolonie na-
mens Smeerenburg in
vielen Trankochereien
die Walfische und See-
hunde verarbeiteten.
Bei der großen Kon-
kurrenz konnte tzs na-
türlich nicht ausblei-
ben, daß Zank und
Streit um die besten
Fanggebiete in förm-
liche Schlachten aus-
arteten. Und so hal
Treibeis auf dem Fjord.
Endlich Somnier: Eiderentennest inmitten der Blüte.
Spitzbergen wie jedes andere Land, wo etwas zu holen
ist, auch seine Kriegsgeschichte. Das kann auch weiter
nicht wundernehmen, wenn man hört, daß die Hol-
länder um 1700 herum alljährlich 2OO Schiffe nach
Spitzbergen sandten, wo sie in 4 kurzen Sommer-
monaten für 4,6 Millionen Gulden Speck und Elfen-
bein (vom Walroß) erbeuteten. Gegen 1740 erreichte
der Walfischfang seinen Höhenpunkt und nahm dann
infolge der Ausrottung der Tiere rasch ab. Heute
ist im ganzen nördlichen Eismeere kaum noch ein
Walfisch zu sehen.
Überwinterung.
^ Schon im Jahre 1617 versuchten die Engländer auf
Spitzbergen, das im übrigen vollständig unbewohnt
ist. zu überwintern, um ihre Trankochereien gegen die
Holländer zu sichern. Sie versuchten, finnländische Lap-
pen zu überreden, und setzten hohe Belohnungen aus
für Engländer, die es wagen wollten, den Winter über
auf Spitzbergen zu bleiben. Aber alle Bemühungen
blieben erfolglos. Selbst zum Tode verurteilte Ver-
brecher, denen Begnadigung zugesagt wurde für den
Fall der glücklichen Ueberwinterung, zogen es vor,
nachdem sie das Land gesehen hatten, im Herbste wie-
der nach London zurückzukehren, um sich aufhängen zu
lassen. Im Jahre 1630 wurden aber durch einen
Schiffsunfall am Grünen Hafen acht Engländer zu
der ersten unfreiwilligen Überwinterung gezwungen.
Da sie den Mut nicht sinken ließen und eifrig auf
Jagd gingen, konnten sie sich stets mit frischem Eis-
bärenfleisch versehen und wurden im folgenden Früh-
jahr wohlbehalten gerettet. Aus Anlaß des glücklichen
Ausganges dieser Überwinterung unternahmen 2
Jahre später zwei Gruppen von je sieben Holländern
freiwillig das Wagnis. Von ihnen kam eine Gruppe
durch Skorbut, die gefürchtete Stoffwechsel-
krankheit, um, während die andere dank der ausge-
übten Jagd und steter Arbeit und Bewegung die
Probe glänzend bestand. In den letzten Jahren,
elwa seit dem Kriege, überwintern nunmehr auf den
verschiedenen Gruben alljährlich etwa 1000—1500
Bergleute. Die Unterbringung der Arbeiter in doppel-
wandigen Holzhäusern ist gut, und die Verpflegung
unter den obliegenden Verhältnissen ausgezeichnet.
Leben auf Spitzbergen.
Auf Spitzbergen selber gibt es überhaupt
kein Geld; es ist auch durchaus unnötig, da in
dem Lande ja nichts zu kaufen ist, es weder Städte
noch Dörfer, noch Restaurants oder Kaffees, öffentliche
Theater oder Kinos gibt, mit dem besten Willen also
der Mensch auf Spitzbergen kein Geld ausgeben kann.
Die geringen Bedürfnisse der Arbeiter an Kleidung,
Schuhen und an Rauchwerk befriedigen die Gesellschaf-
ten in einer Kantine, in der alles gegen Gutschein ver-
ausgabt wird. Am Monatsende wird dann auf den ver-
76
dienten Lohn verrechnet. Von dem Lohn werden -A
an die in Europa gebliebenen Angehörigen der Berg-
leute ausgezahlt, % bis zur Abkehr einbehalten. Da
Norwegen wie Amerika trocken gelegt ist, gibt es bei
den norwegischen Unternehmungen auf Spitzbergen
eine Alkoyolfrage überhaupt nicht. Tie hol-
ländische Gesellschaft aber lieferte ihren Arbeitern in
der Kantine auch Bier und gab außerdenr täglich
zum Essen zwei Schnäpschen zum besten.
Klima.
Von bestimmendem Einflüsse aus alles Titn und
Treiben der Menschen auf Spitzbergen sind die klima-
tischen Verhältnisse, und zwar in der Hauptsache der
Frost und die lange Winternacht. Ter Boden ist
ans Spitzbergen ent-
sprechend der unter
0 Grad liegenden
mittleren Jahrestem-
peratur ständig etwa
400 in rief^ge-
froren. Im Som-
mer taut davon
nur e t w a ein
Meter auf. Das
Wasser kann da-
her zur Zeit der
Schnee sch m e l z e
nicht, wie in unseren
Breiten, in den Bo-
den versickern, sondern
verwandelt die oberste
Erdschicht in einen
unbegehbaren Sumpf
und fließt in strö-
menden Bächen ober-
irdisch ab. Ter Som-
mer ist daher ans
Spitzbergen für den
Wanderer nicht ge-
rade die beste Zeit. — Zum Sommer kann man rech-
nen die Zeit von Ende Juni bis Anfang September
Herbst und Frühjahr fehlen. Mitte Juni beginnt
der Schnee des letzten Jahres zu schmelzen und im
September fällt schon wieder Neuschnee. Das Land
liegt also gut 9 Monate unter Eis und Schnee be-
graben. Trotz dieser ungünstigen Verhältnisse zaubert
der kurze Sommer Moosteppiche und Alpenmalten
hervor, die man in solcher Reichhaltigkeit der Blumen-
arien aus Spitzbergen nicht erwarten sollte. Bisher
sind bereits ca. 2 3 0 B l u m e n a r t e n festgestellt.
Aber keine dieser Pflanzen darf es wagen, ihr Haupt
hoch in die Luft zu erheben, alle müssen sich ängstlich
an den Boden schmiegen und im Moose verstecken,
um vor der Kälte und den rauhen Winden geschützt
zu sein. — Sträucher und Bäume gibt es
auf Spitzbergen nicht. Als einzige Vertreter der
Baumarten findet sich eine kleine Är e i d e, die aber
ihre Zweige im Moospolster versteckt, und eine
Z w e r g b i r k e, die nicht höher als 10 cm
wird. Ms unfreiwilliger Witz kann es daher wohl
bezeichnet werden, wenn eine Firma der holländischen
Grubengesellschaft die Lieferung eines vollständigen
Sägewerkes anbot, um ihren Bedarf an Grubenholz
aus Spitzbergen selber zu schneiden.
Wassermangel.
Infolge des 400 m tief gefrorenen Bodens gibt es !
auf Spitzbergen natürlich auch kein Quellwasser. Die I
Wasserversorgung ist daher eine besonders schwierige
Frage. In den drei kurzen Sommermonaten ist durch
die 'Schneeschmelze Wasser im Überflüsse vorhanden.
Sowie aber im September die Nachtfröste einsetzen
und die Sonne die Kraft zum Schneeschmelzen ver-
liert, dann beginnt üble W a s s e r n o t. Der Schnee
ist dann in der Hauptsache bereits weggeschmolzen
und die noch fließenden spärlichen Rinnsale frieren ,
zu. Neuschnee fällt zwar schon von September ab,
in nennenswerten Mengen aber erst im Dezember.
Von Dezember ab hilft man sich daher mit dem
Schmelzen von Schnee in den Häusern; eine stattliche
Zahl Arbeiter ist dann
den ganzen Tag mit
Anfahren von Schnee
an die Häuser beschäf-
tigt. Für eine Nieder- |
lassung von 400—500
Menschen eine teure
Sache. Viel schlimmer
noch steht es mit dem
Wasser in der Über-
gangszeit von Sep-
tember bis Dezember.
In diesen Monaten !
bleibt nichts anderes !
übrig, als mit den,
Motorboote aus kilo-
meterweiter Entfer-
nung Gletschereis an-
zufahren oder aber auf
dem Meere schwim-
mende Eisberge ein-
zusangen, am Strande !
zu zerkleinern und das
Eis nach Bedarf an
die Familien und Kü-
chen zu verteilen. Eine einfache Berechnung zeigt, I
daß zu dieser Zeit auf Spitzbergen Wasser teurer ist l
als Sekt. Man hat probiert, die Wasserfrage durch
Verdampfung von Meereswasser zu lösen. Aber das i
auf solche Art destillierte Wasser schmeckt selbst noch
in Kaffee und Tee nach Brackwasser und kann nicht
. aus Monate hinaus als Speisewasser für Menschen
in Betracht kommen. Die Unternehmungen hatten
daher manch harten Strauß mit ihren Arbeitern aus-
zufechten wegen des mangelnden Wassers.
Winternacht und Mitternachtsonne.
Neben dem Froste ist aus Spitzbergen der zweite,
alles menschliche Leben durchaus beherrschende Faktor
die lange Winternacht. Am Nordpole stellt sich der
Weg der Gestirne am Himmel dem Beschauer anders j
dar als in den mittleren Breiten oder gar am Aqua- i
tor. In den Tropen ist es das ganze Jahr hindurch j
12 Stunden hellichter Tag und 12 Stunden Nacht
Bei uns, in Mitteleuropa, werden in: Winter die
Tage bedeutend kürzer als im Sommer. Je weiter
man nach Norden kommt, desto deutlicher tritt dies!
in Erscheinung; schon in Tromsö, in Nordnorwegen
gibt es um Weihnachten herum ein paar Tage, anj
Aufbruch zur Fahrt über Land.j
77
denen die Sonne gar nicht aufgeht. Auf Spitzbergen,
etwa 10 Breitegrade nördlicher, geht am 20. Oktober
die Sonne vollständig unter. Es herrscht
dann Wohl noch bis Beginn Noveinber eine täglich
abnehmende Dämmerung, die aber Mitte November
völliger nächtlicher Dunkelheit Platz macht. Diese
nur hie und da durch Mondschein oder Polarlicht
unterbrochene Dunkelheit dauert bis Anfang Februar.
In der ersten Februarwoche beginnt es über Mittag
wieder zu tagen. Am 20. F e b r u a r endlich er-
klettert die Sonne zum ersten Male wieder
den Horizont und vergoldet, allerdings 'für Minuten
nur, mit ihren heißersehnten Strahlen das eis- und
schneebedeckte Land. Nun steigt die Sonne täglich
rasch und ist bereits Mitte April zirkumpolar,
blende l, daß er bald nicht mehr unterscheiden
kann, ob er Berg oder Tal vor sich hat. Gar manches
Holzkreuz bezeichnet aus Spitzbergen die Stelle, wo
ein unvorsichtiger Jäger im Mondenscheine abstürzte
und seinen Wagemut mit dem Leben büßen mußte.
Polarlicht.
Neben dein Mondlichte gibt es auf Spitzbergen im
Winter noch eine andere Lichtquelle, die aber nur aus
Stunden und sehr unregelmäßig leuchtet. Es ist das
Polarlicht. Durch Experiment und rechnerisch ist nach-
gewiesen, daß die Ursache des Polarlichtes Kathoden-
strahlen sind, die zusammen mit allen anderen Strah-
len von der Sonne ausgesandt und im magnetischen
schlitten
unterwegs.
d. h. selbst um Mitternacht steht die Sonne noch über
dem Horizonte, sie geht also den ganzen Tag nicht
unter. Diese schöne Zeit der Mitternachtsonne dauert
bis zum 25. August, also ganze 4 Monate. Aus Spitz-
bergen ist es also 4 Monate lang ununterbrochen
Tag und 4 Monate ununterbrochen Nacht. So-
wohl die Zeit der Mitternachtsonne wie auch die
dunkle Winternacht beeinflussen den Menschen krank-
haft und machen ihn nervös und schlaflos. Diese
Nervenkrankheit, die etwa dem Tropenkoller der süd-
lichen Breiteü entspricht, nennt man Spitzbergen-
psychose; sie äußert sich am meisten in Schlaflosig-
keit, Schwermut und Verfolgungswahn. Zeitweise
tritt diese Krankheit, ähnlich der Grippe, ans den
Gruben epidemisch aus.
Wie bereits erwähnt, geht während der langen
Winternacht auf Spitzbergen auch der M o n d aus
und unter. Zur Zeit des Vollmondes leuchtet er dabei
so hell, daß man in dem schneebedeckten Lande bis
zu 50 weit sehen kann. Je nach dem Wetter kann
man dann natürlich auch ins Freie und vielleicht
selbst auf Jagd gehen. Gefährlich ist das aber immer-
hin. Abgesehen von Schneestürmen, die jeden Augen-
blick einsetzen können, lauert noch eine große Gefahr
aus den unermeßlichen, von keinem schwarzen Punkte
unterbrochenen Schneefeldern. Der Skiläufer wird
schon nach kurzer Zeit im Freien von der Spiegelung
des fahlen Mondlichtes auf der Schneedecke so g e -
Kraftselde der Erde von ihrer geraden Bahn abge-
! lenkt wdrden, wodurch sie beim Aufprall auf die Erd-
atmosphäre diese zum Leuchten bringen. Das Polar-
licht kann man sich am besten vorstellen als einen
riesigen Schleier in den Regenbogenfarben, der von
unsichtbarer Faust bewegt am Himmel flattert, bald
hier, bald da in allen Farben hell aufleuchtet, dann
wieder als einfarbig grünes, blaues oder auch farb-
los graues Band dem Beschauer ins Auge schillert.
Bezüglich der Helligkeit des Polarlichtes täuscht sich
der Mensch allerdings sehr. Das in der allgemeinen
Dunkelheit weit geöffnete Auge wird geblendet und
überschätzt sie dadurch. Der einsame auf Spitzbergen
überwinternde Mensch aber erfreut sich mit Recht des
bunten Farbenfpieles des Polarlichtes, der einzigen
Abwechslung mit heulenden Schneestürmen und knir-
schendem Froste, die ihm dies eiserstarrte Land zu
bieten hat.
Tierwelt.
Trotz des rauhen Klimas beherbergt Spitzbergen
noch eine verhältnismäßig reiche Tierwelt. An Säuge-
tieren finden wir den Eisbären, das Renn-
tier, den Polarfuchs, den Seehund und
den Weiß w a l. Der Walfisch ist, wie bereits ein-
gangs dargelegt, so gut wie ausgestorben. Auch der
Seehund geht infolge der ruchlosen Jagd, die auf ihn
gemacht wird, in absehbarer Zeit ebenfalls der Aus-
78
Bereister Grubeneingang.
rottung entgegen. Eisbären und Polarfüchse sind aus
denselben Gründen gegen früher schon recht selten
geworden. Es muß eine der ersten Maßnahmen der
norwegischen Regierung sein, das gänzliche Aus-
rotten der Tierwelt durch eine vernünftige Jagd-
ordnung zu verhindern.
Im Sommer ist Spitzbergen außerordentlich reich
au Vogelwild. Ketten von Hunderten von W i l d -
gänsen und Eiderenten beleben die Fjorde;
drei Mövenarten kreischen und zanken sich um jeden
Abfall am Tische der Natur, darunter die schneeweiße
Bürgermei st er möve mit 1,50 m und
mehr Flügelspannweite. Taucher und
Haubentaucher tummeln sich in vielen Arten
und in ganzen Völkern auf dem Wasser; am Strande
hüpfen graue und rostbraune Strapdläuser
und suchen im Seetang ihre Nahrung. In großen
Massen nistet eine Seeschwalbe im Sommer
auf schmucklosem Neste am Boden und vollführt
bei der Annäherung von Menschen einen Heidenlärm.
Ja, sie scheut sich auch nicht, den Menschen unmittel-
bar anzugreifen, und ihm in den Kopf zu
picken. Manch böse Verwünschung ist schon von Jägern
gegen diese Seeschwalbe ausgestoßen worden, da fie
durch ihr Geschrei alle Tiere warnt, und so eine Jagd
unmöglich macht. Alle die genannten Vögel sind
Zugvög e l, die im Herbste Spitzbergen verlassen.
Als einziger Vogel überwintert nur
das Schneehuhn, eine schneeweiße Abart unseres
Feldhuhnes. In strengen Wintern kommt esi mitunter
in Massen in die Niederlassungen der Menschen und
ist dann mühelos von den Dächern der Häuser zu
schießen. Im Sommer zieht sich das Schneehuhn hoch
ins Gebirge zurück. Dafür tritt dann in Menge unser
allbekannter Bruder Spatz, nur mit eir^ paar !
weißen Federchen geschmückt, als Polar- oder Schnee-
sperling auf. Und' er ist da oben im hohen Norden I
ebenso frech wie in seiner Heimat Europa.
Geologie und Bergbau.
Durch Meereslotungen ist festgestellt, daß Spitz-
bergen in einer Tiefe von 600 m unter dem
Meeresspiegel mit dem Festlandsockel von Rußland
und Norwegen zusammenhängt. Von diesem
Sockel stürzt der Meeresboden im Westen und Oster
in das mehrere 1000 irr tiefe Eismeer steil ab. Nam-
hafte schwedische und norwegische Geologen schließen j
aus dieser Tatsache und anderen geologisch wichtigen
Erscheinungen, daß Spitzbergen in früheren
Zeiten mit Norwegen und Rußland
ein Festland bildete. Es ist daher auch kein Zu-
fall, daß die Gesteine, aus denen Spitzbergen aus-
gebaut ist, im großen und ganzen dieselben sind, wie
die in Europa. An der Küste der Wood-Bai im Nor-
den Spitzbergens finden sich selbst ein erloschener
Vulkan und, in dessen Nähe warme Quel-
len von + 24° C. Die Gebirgsschichten sind
im allgemeinen flach gelagert und zeigen sich
oft als regelrechtes Tafelland. Nur an der
Westküste sind sie stellenweise gefaltet und steil aus-
gerichtet. Eis und Frost haben natürlich die flachen
Taselgebirge wild zerrissen, so daß von weitem der
Eindruck vieler hoher Spitzen entsteht, die
dem Lande den charakteristischen Namen eingetragen
haben.
79
Bei der Arbeit in der vereisten Grube. (In der Mitte der Verfasser.)
&
3*
An Mineralien sind auf Spitzbergen nach-
gewiesen: Blei- und Eisenerze, Marmor, Gips und
Kohle. Auch die Möglichkeit des Vorkommens von
Diamanten an der Westküste Zentralspitzbergens ist
gegeben. Gefunden sind allerdings noch keine. Für
die Ausfuhr kommt aus den verschiedensten Gründen
vorläufig nur Kohle in Betracht. Die erste Kunde
von dem Vorkommen von Kohle auf Spitzbergen ver-
danken wir Walfischfängern. Schon 1610 haben nor-
wegische Jäger Kohle als Brennmaterial für die
Heimreise aus der Königsbucht mitgenommen. Aber
erst in neuerer^Zeit wurde von wissenschaftlichen
Untersuchungsexpeditionen an den verschiedensten
Stellen des Landes Kohle in gewaltigen Mengen
nachgewiesen. Die ältesten Kohlen Spitzbergens stnd
die der Steinkohlenformation, des sogenannten Kar-
bons. Diese Grubenfelder gehören einer schwedischen
Gesellschaft und enthalten schätzungsweise 6000 Mil-
lionen Tonnen Kohle. Abbau geht auf diesen Flözen
noch nicht um, da die Eisverhältnisse des innern Eis-
fjords der Schiffahrt große Hindernisse in den Weg
legen. — Die nächstjungeren Kohlen sind in der
Kreideformation gesunden, und zwar nur zwei Flöze
von wechselnder Mächtigkeit, die durch Schiefer stark
verunreinigt sind, so daß ihr Abbau aufge-
geben werden mußte. Uber den Flözen der Kreide-
zeit liegt ein Konglomerat von 0,40—1,00 m Mäch-
tigkeit, das den Abschluß der Kreideformation und
gleichzeitig die Basis des Tertiärs bAdet. — Die ter-
tiären Schichten sind die wichtigsten kohlenführenden
Schichten Spitzbergens überhaupt. Die beiden vor-
handenen Flöze treten unmittelbar über dem er-
wähnten Konglomerate auf und haben eine Mächtig-
keit, schwankend zwischen 0,75 bis 2,50 m. Da Sto-
rungen selten sind, kann das Ausgehende der beiden
Flöze nahezu über das ganze Gebiet vom Grünen
Hafen im Westen bis zum Storefjord im Osten zwi-
schen 0 und 700 m Meereshöhe verfolgt werden. Die
Kohle liegt ziemlich flach mit einem Einfallen nicht
über 15 °.
Nicht weniger als 5 Gruben stehen gegenwärtig aus
den Flözen des Tertiärs in Betrieb. Davon sind 2 in
norwegischen Händen, je eine wird von einer schwe-
dischen, holländischen und englisch-russischen Gesell-
schaft betrieben. Der Kohlenvorrat der Felder dieser
Gesellschaften wird auf 1600 Millionen Tonnen ge-
schätzt; in den Tertiärablagerungen überhaupt dürf-
ten etwa 5 Milliarden Tonnen anstehen. Wenn man
mit Potoniö annimmt, daß die Kohlenflöze durch
untergegangene tropische Wälder entstanden sind, und
man sich dabei das heutige Klima Spitzbergens vor
Augen hält, dann steht man vor einem gewaltigen
geologischen Rätsel, das bisher nicht gelöst werden
konnte.
Die Kohle der tertiären Flöze steht einer G a s -
flammkohle nahe. Sie verbrennt mit langer,
rußiger Flamme, ist bituminös, ziemlich fest und tief-
schwarz; sie bricht großstückig und hat das spezifische
80
Gewicht 1,3. Der Aschengehalt der Flöze beträgt in
Stückkohle etwa 8 %; in dem Durchschnitt der Förde-
rung jedoch 14—17%. Der Heizwert liegt
zwischen 7100 und 7800 W. E. Die Teeraus-
beute ist bei allen Verkokungsproben sehr hoch (gut
15 %); der Koks ist aber wegen seines Schwerel-
gehaltes fiir den Hochofen unbrauchbar. Das
Liegende und Hangende der beiden ter-
tiären Flöze ist im allgemeinen ausgezeichnet. Die
Reinheit und Mächtigkeit der Kohle ist aber in dem
ausgedehnten Felde großen Schwankungen unter-
worfen. Während am Grünen Hafen das Unterslöz
nur 0,75 m reine Kohle führt, baut die schwedische
Grube in der Braganza-Bai dasselbe Flöz mit einer
Mächtigkeit von 2,44 m. Das Oberflöz ist am Grünen
Hasen 0,70 m mächtig, in der Braganza-Bai 0,90 bis
1,00 m und in der Aovent-Bai 1,20—1,80 m.
Vorteile und Nachteile.
Das Klima Spitzbergens steht dem Bergbau, lote
eine langjährige Erfahrung zeigt, nicht im Wege.
Nur sehr selten wird wegen heftiger Schneestürme rm
Winter gefeiert. Die niedrige Außentempe-
ra l u r ' ist bei der völlig trockenen Luft
Spitzbergens leicht zu ertragen. Wenn man als
europäischer Bergmann zum ersten Male eine Spitz-
bergengrube befährt, dann staunt man über die Ein-
fachheit und die Borteile des arktischen Bergbaus,
der überall auf den wichtigen tertiären Flözen als
S t o l l e n b a u betrieben werden kann. Schächte
fallen also ganz weg. Die Stollenmundlöcher liegen
durchweg unmittelbar an der See, wodurch die kost-
spielige'Eisenbahnbeförderung zum Schiffe ^vollstän-
dig fortfällt. Die Temperatur liegt in Killen
Gruben ständig unter 0" C-, und zwar im Som-
mer bei etwa -- 2 °, im Winter bei — 4°. Diese
niedrige Temperatur zwingt alle in der Grube be-
schäftigten Arbeiter während ihrer achtstündigen
Schicht ständig zu arbeiten, um nicht zu frieren. Die
D u r ch s ch n i t t s a r b e i t s l e i st u n g ist daher
auf Spitzbergen bedeutend höher als in Europa.
Man rechnet allgemein mit rd. 3 f Leistung je Kopf
der Gesamtbelegschaft, während für europäische Ver-
hältnisse 1 t Förderung als normal angesehen wer-
den kann.
Weitere Vorteile für den arktischen Bergbau
sind die völlig trockene Lust und der Frost. Sie b e -
wahren den Holzausbau der Gruben un-
begrenzt vor Fäulnis. Der Frost läßt natür-
lich keinerlei Grubenwasser aufkommen,
da ja Kohle und Gestein gefroren sind. Wegen des
Fehlens von Grubengas wird überall die
offene Karbidlampe gebraucht. Die stark zur Staub-
bildung neigende Kohle schließt allerdings die Ge-
fahr' von Kohlenstaubexplosionen
nicht aus. Tatsächlich sind auch große Felder der
norwegischen sowie der schwedischen Grube durch
Kohlenstaubexplosion in Brand geraten. Da eine
Berieselung mit Wasser bei den herrschenden
Kältegraden nicht möglich ist, hilft man sich
durch B e d e ck u n g der Streckensohlen mit Schnee
und stellt auch Schneezonen nach Art der Gesteinslaub-
zonen her. Bei einer etwaigen Explosion hofft man,
daß der Schnee beim Entstehen der Explosion durch
die entwickelte Wärme schmelzen und die Strecken
hinreichend befeuchten wird.
Die Nachteile des Spitzbergen-Bergbaus lie-
gen nicht im Grubenbetriebe selbst, sondern vornehm-
lich in den arktisch-klimatischen Verhältnissen. Die
Schwierigkeit und die hohen Kosten der Wasserver-
sorgung sind weiter oben schon besprochen. Infolge
dieses Wassermangels und der niedrigen Temperatur
in der Grube ist nicht nur, wie gesagt, ein Berieseln
der Strecken unmöglich, sondern auch die dringend
notwendige Kanalisation der Niederlassung.
Es sind daher besondere Arbeiter für den Reinigungs-
dienst und für hygienische Maßnahmen erforderlich,
also Verteuerung des Betriebes. Die im Juni ein-
setzende S ch u e'e s ch m e l z e läßt das Wasser gleich
Wildbächen bergab strömen und verursacht regel-
mäßig großen Schaden an den Bauten, Außenwerken
und Gleisen. Die oberste Erdschicht taut etwa 1 m
tief auf und schiebt sich als zähe Masse die Abhänge
hinunter. Dieser Zustand verlangt außerordentlich
feste und tiefe Gründungen für Zentralen, Maschinen-
häuser usw.
Eine Hauptschwierigkeit liegt in der kurzen
Verschiffungszeit auf Spitzbergen. Nur
4 Monate im Jahre, fiir die schwedische Grube sogar
nur 2—3 Monate, besteht wegen der Eisverhältmsse
die Möglichkeit zur Ausfuhr der ganzen JahreS-
förderun'g. Selbst in diesen 4 Sommermonaten ist
die Verschiffung durchaus -nicht sicher vor Störungen
durch Treibeis. Die Kohle muß also wenigstens
acht M o n a t e lang auf die Halde ge-
stürzt werden, vermischt sich dabei mit Schnee und
friert so fest, daß sie mitunter wieder mit Spreng-
schüssen gelockert werden nruß. Die Verladung
ist also schwierig und zwingt zu gewaltigen Anlagen
mit großer Leistungsfähigkeit. Ein beträchtliches Ka-
pital ist demnach fiir Anlagen festzulegen, die acht
Monate im Jahre brach liegen; dazu kommt noch der
Zinsverlust durch das erforderliche Aufstapeln der
Kohlen während der Winterzeit. Im Herbste muß
Proviant fiir die gesamte Belegschaft und Ma-
terial für alle Betriebe für gut' 10 Monate
angefahren werden, wodurch gewaltige Ma-
gazine mit besonderen Einrichtungen gegen Tem-
peraturschwankungen erforderlich sind. Bei der von
allenr Verkehr abgeschnittenen Lage der Gruben muß
die Verwaltung für alle Lebensbedürfnisse der Be-
legschaft sorgen, die notwendigen Facharbeiter, wie
Köche, Schuster, Schneider, Metzger usw. stellen und
die gebotenen Einrichtungen zur geistigen und sport-
lichen Betätigung bereithalten. Alles dies erfordm
erhebliche Mittel, die den Gestehunashreis der Kohle
bei der verhältnismäßig geringen Förderung schwer
belasten. Schließlich müssen auch die Beaniten und
Arbeiter häufiger in ihre Heimat beurlaubt werden:
die Kosten der Fahrt hat natürlich die Gesellschaft zu
tragen. Zu all dem kommt hinzu, daß die Spitz- >
bergenkohle ihrer Qualität nach vorläufig nicht mit
guter europäischer Kohle in Wettbewerb treten kann:
sie hat daher auch stets einen geringeren Preis als
diese erzielt. Bedingt durch alle die angeführten Nach-
teile und Hemmungen klimatischer Natur hat daher
bis heute noch keine einzige Spitzbergengrube auS
sich selbst heraus bestehen können, geichweige denn
Überschüsse abgeworfen. ' I
Aus all den geschilderten Verhältnissen geht her-
vor, daß das Leben der Bergleute und Zager auf
Spitzbergen überaus trostlos und einsam genannt
werden kann. In einem Lande von der
<53 r ö ft e Bayerns finden wir nur an 4—5
81
Plätzen Niederlassungen von M e n s ch e n, und
zwar im Höchstfälle ca. 500 Mann auf einer Grube,
darunter vielleicht 10—20 Frauen. Die Möglichkeit
des gegenseitigen Verkehrs zwischen den einzelnen
Niederlassungen besteht fast nicht, bzw. ist durch die
klimatischen Verhältnisse außerordentlich beschränkt.
Im Sommer kann man natürlich zu Schiff die Nach-
bargrubeu besuchen. Aber da die einzelnen Gruben
ganz verschiedenen Gesellschaften gehören, also gar
nichts miteinander zu tun haben, so besteht natürlich
keinerlei regelmäßiger Verkehr von Grube zu Grube.
Es ist daher auch im Sommer schließlich nur den
Direktoren der Gesellschaften möglich, mittels Motor-
boot dem Nachbar einen Besuch abzustatten. Die
große Masse der Arbeiter und Beamten aber sind
das ganze Jahr hindurch an ihr Dörflein gebunden.
Und dies Dorf besteht aus ca. 20—40 Holzhäusern,
liegt 9 Monate meiertief im Schnee begraben, ist
8 Monate vom Verkehre mit der Welt abgeschnitten,
davon 4 Monate in Dunkelheit gehüllt, von Schnee-
stürmen umbraust, rnit trüben Gedanken um die
Lieben in der Heimat erfüllt und von Heimweh um-
lagert. Briefe und Zeitungen sind sagenhafte Ein-
richtungen einer andern Welt; höchstens bringt ein
teures Radiotelegramm eine Trauernachricht von
Hause und steigert dadurch die Qualen der Einsam-
keit ins Unendliche. Kein Wunder, daß da so
mancher von Schwernmt befallen zum Alkohol greift
und untergeht. Kein Wunder auch, daß das ganze
Dorf in einent Taumel von Freude versinkt, wenn
Ende Mai oder Juni das erste Schiff aus Europa
gemeldet wird. Dann stehen 400—500 Mann bei
Tag und bei Nacht auf der Wacht, die höchsten Berge
werden erklettert, um ja der Erste zu sein, der das
Schiff erblickt. Was dieses auch bringen mag, Leid
oder Freude, brausender Jubel umtönt bei seiner An-
kunft das Schiff, als Zeugen der Kultur, als Ver-
treter einer andern Welt.
Vorbei ist dann die Einsamkeit, vergessen alles
Leid; wer möchte dann schelten den in seligem
Rausche überlaut FröhUchen, dessen Zeit zur Heim-
kehr gekommen ist? Schon liegt ja da unten im
Hafen sein Schiff, das ihn nach Hause bringt, —
nach Hause!
(Photo: L’Illastration, Paris.)
Die Hirfchjagd.
Eine photographische Naturaufnahme, kein Gemälde.
6
Jennnot und Colín
von Vo ltaire.
Frany. Marie Arouet-
Vo ltaire zählt zu
den berühmtesten Dich-
tern und Denkern nicht
nur Frankreichs, son-
dern der Welt. In ihm
verkörpert sich der Geist
der modernen freiheit-
lichen Weltanschauung
gegenüber der überlie-
ferten Tradition des
damaligen Absolutis-
mus. Geboren 1694 zu
Paris, ausgebildet auf
einem Gymnasium un-
ter der Anleitung von
Dichtern und Literalen,
mit 21 Jahren ein
Opfer der Ungerechtig-
keit, als er wegen einer
regierungsfeindlichen
Satire, deren Verfasser
er jedoch nicht war, in
die Bastille gesperrt
worden war, bewahrte
er sich Zeit seines Le-
bens eine große Liebe
zur Gerechtigkeit und
empfand einen unaus-
löschlichen Haß gegen
lebe Tyrannei, Be-
drückung und Heuchelei.
Gegen sie kämpft er in
all' seinen Schriften
mit der ganzen Schärfe
seines satirischen Gei-
stes. Aber es wäre ver-
fehlt, in ihm lediglich
den Satiriker zu sehen;
suchte er doch in jeder
Art der Poesie den Lor-
beer zu erringen. So sind auch z. B. unter seinen
Dramen zwei, Mohamed und Tankred, gerade da-
durch gekennzeichnet, daß der größte deutsche Dichter,
Goethe, sich selbst an ihre Übersetzung gab. — Aller-
dings wurden feine geschichtlichen, philosophischen und
satirischen Werke vielfach von eifrigen Vorkämpfern
der „Aufklärung" falsch gedeutet, was wiederum die
Anhänger der „alten Ordnung" zu desto wütenderem
Kampfe gegen ihn veranlaßte. Demgegenüber gilt aber
die alte Lebenswahrheit, daß der sicherste Maßstab der
menschlichen Wertschätzung das Urteil eines
großen Mannes über einen anderen ist. Den-
ken wir daran, daß z. B. Goethe und Napoleon von
einander nur in den Ausdrücken der höchsten Achtung
sprachen. So klingt es auch Voltaire gegenüber
aus folgendem Briefe Friedrichs des
Großen:
... „Ihre Werke sind,
wenn man sich st^ aus-
drücken kann, Schätze
des Geistes, und mit so
vielem Geschmack, so
vieler Kunst gearbei-
tete Stücke, daß ihre
Schönheiten jedesmal
neu scheinen, so oft man
sie liest. Ich glaube
darin den Eharakter
ihres geistreichen Ver-
fassers erkannt zu ha-
ben, der unserem Jahr-
hundert und dem mensch-
lichen Geiste Ehre macht.
Denn Sie verbinden mit
der Eigenschaft eines
vortrefflichen Dichters
eine Unmasse anderer
Kenntnisse, die aller-
dings einige Verwandt-
schaft mit der Dichtkunst !
haben, aber die doch erst
durch Ihre Feder ihr
eigentümlich geworden
sind. Niemals hat ein
Dichter metaphysische!
Gedanken in Verse ge-
bracht; die Ehre war i
Ihnen als dem ersten
vorbehalten.
Tie Nachsicht und die
Unterstützung, welche
Sie allen denen ge-
währen, die sich den
Künsten und Wissen-
schaften widmen, lassen
mich hoffen, daß Sie
mich nicht von der Zahl ]
derer ausschließen wer-
den, die Sie würdig finden Ihrer Belehrung. I
Tenn s o nenne ich einen Briefwechsel mit Ihnen,
der jedem denkenden Wesen nur nützlich sein kann.
Ja, ohne das Verdienst anderer verkleinern zu,
wollen, behaupte ich sogar, daß auf der ganzen
Erde, ohne Ausnahme, niemand ist,
dessen Lehrer sie nicht sein könnten.
Deshalb halte ich mich, da ich Ihre Werke besitze,
für reicher, als ich es durch den Besitz aller der
flüchtigen und verächtlichen Glücksgiiter sein würde, ■
die man durch Zufall erhält und wieder verliert, i
Denn die ersteren, das heißt Ihre Werke, kann man
sich durch Hilfe des Gedächtnisses zu eigen machen, j
und so bleiben sie uns so lange als dieses. Ta ich den
geringen Umfang des meimgen kenne, so schwanke l
ich sonst lange, ehe ich mich iiber die Wahl dessen
entschließe, was ich darin aufzunehmen würdig finde. >
Voltaire,
Du suchtest von der Vorurteile lVahn
Die Menschen zur Vernunft zu leiten;
Dem freien Denken brachest du die Bahn,
Seher und Wegbereiter besserer Zeiten.
83
Aber Ihre Gedichte haben Eigenschaften, die Sie i
vcrehrungswürdig und der Bewunderung und des |
Studiums edler Rienschen wert machen. Sie sind ein f
Lehrbuch der Moral, wonach man denken und Han- .
bellt lernt. Die Tugend wird darin mit den schönsten
Farben geschildert. Der Begriff vom wahren Ruhnt
ist darin festgestellt; und «ie flößen auf eine so
feine und zarte Art den Geschmack an den Wissen-
schaften ein, daß, wer Ihre Werke gelesen hat, das
Verlangen fühlt, Ihren Fußstapfen zu folgen.
In solchen Augenblicken habe ich gefühlt, daß die
Vorzüge der Geburt und der Tunst der Größe, wo-
mit die Eitelkeit uns einwiegt, nur wenig, oder rich-
tiger gesagt gar nichts nützen. Es sind Unterschci- !
dungsmerkmale, die nicht zu uns selbst gehören, und
die nur die Außenseite schmücken. Wie sehr sind
ihnen nicht die Talente des Geistes vorzuziehen!
Was ist man diesen Leuten nicht schuldig? — Uns
Fürsten aber kotnmt es zu, ihre durchwachten Nächte
zu belohnen.
Berlin, den 8. August 1736. Friedrich."
Leider sind Einzelwerke Voltaire's im Deutschen
selten verlegt und daher verhältnismäßig wenig be-
kannt. Wir glauben daher, unsere Leser zu erfreuen,
wenn wir ihnen heute mit der Erzählung Jeannot
und Colin (nach der Übersetzung von Prof. Dr. H.
Wernecke) eine der schönsten Proben bieten.
ie mir mehrere glaubwürdige Personen er-
zählten, kannten sie I e a n n o t und C o -
l i n noch als Schüler in der Stadt
Issoire in der Auvergne, einer Stadt, die durch ihr
Jesuitenkolleg und ihre Kessel in alter Welt bekannt
ist *). Jeannot war der Sohn eines sehr angesehenen
Maultierhändlers; Colin verdankte sein Dasein
einem braven Bauern der Utngegend, der mit vier
Mauleseln sein Land beackerte und, wenn er den
Zehnten, die Kopfsteuer, die Salzsteuer und andere
Abgaben bezahlt hatte, am Jahresschlüsse auf keinen
mächtigen Reichtum mehr blicken konnte.
Für Auvergnaten **) waren Jeannot und Colin
recht hübsch; sie liebten sich sehr und lebten in jenem
herzlichen und ungezwungenen Verkehre, dessen man
sich immer gern erinnert, wenn man sich später in
der Gesellschaft wieder trifft. —
Ihre Studienzeit ging zu Ende, da brachte eines
Tages ein Schneider Jeannot einen dreifarbigen
Sammtanzug und dazu einen gar prächtigen Rock
aus echt Lyoner Seide; das ganze war von einem
Briefe an Herrn de la ^eannotierc be-
gleitet. Colin bewunderte den Anzug und war nicht
neidisch; aber Jeannot nahm gleich eine hochfahrende
Miene an, welche Colin weh tat. Von diesem
Augenblicke an studierte Jeannot nicht mehr, sondern
betrachtete sich nur noch im Spiegel und verachtete
alle anderen.
Einige Zeit danach kam ein Kammerdiener mit
der Post an und brachte dem Herrn M a r q u i s de
la Jeannotisire einen zweiten Brief; es war
eine Drder von seinem Herrn Vater, seinen Herrn
Tohn nach Paris kommen zu lassen. Jeannot be-
stieg die Kutsche, indcin er mit einem vornehm herab-
lassenden und gönnerhaften Lächeln Colin die Hand
reichte. Colin fühlte seine Nichtigkeit und weinte,
Ieannot aber fuhr im ganzen Pompe seines Ruhmes
davon.
Meine Leser, welche es lieben, auf dem lausenden
zu sein, müssen nämlich wissen, daß Herr Jeannot,
der Vater, mit seinen Geschäften ziemlich rasch ein
gewaltiges Vermögen erworben hatte. Sie fragen,
wie man zu einem solchen Vermögen komnit? —
Nun, wenn man Glück hat. ...
Und das war der Fall bei Herrn Jeannot, dem
*) Siehe Bild im Beegmannskalender 192(>, Seite 37.
**) Die Bauern aus der Auverqne galten als plump und unge-
schlacht.
1 Vater, der bald Herr de la Jean notiere
wurde und, nachdem er sechs Monate später e i n
M a r q u i s a 1 gekauft hatte, den Herrn Mär-
quis, seinen Sohn, von der Schule nahm, um ihn in
Paris in die vornehme Welt einzuführen.
Der immer liebevolle Colin schrieb seinem früheren
Kameraden einen Brief, worin er ihm gratulierte.
Ter junge Marquis gab ihm aber keine Antwort:
Colin wurde vor Schmerz darüber krank.
Vater und Mutter gaben zunächst dem jungen
Herrn Marquis einen Hofmeister. Dieser, der ein
vornehmer Herr war, aber nichts wußte, konnte
seinen Zögling auch nichts lehren. Ter Herr Vater
wollte, daß sein Sohn Latein lernte; Madame war
dagegen. Sie wählten deshalb einen Autor, der da-
mals durch seichte Werke berühmt war, zum Schieds-
richter. Er wurde zum Essen eingeladen. Ter Haus-
herr begann damit, daß er zu ihm sagte: „Werter
Herr, da Sie Latein können und ein Hofmann
sind..." — „Ich soll Latein können, Herr Marquis?
Nicht ein Wort verstehe ich davon," erwiderte der
Schöngeist, „und Gott sei dafür gedankt: es ist klar,
daß man seine Sprache viel besser redet, wenn man
seinen Fleiß nicht zwischen ihr und den fremder
Sprachen teilt. Bedachten Sie alle unsere Damen,
sie haben einen angenehmeren Esprit als die Männer,
ihre Briefe sind hundertmal anmutiger geschrieben;
sie haben vor uns diese Überlegenheit, weil sie eben
kein Latein können."
„Hatte ich nicht recht'" sagte Madame. „Ich will
daß mein Sohn voll Geist sei, daß er in der Welt
vorwärts komme, und ihr Zcht, wenn er Latein
könnte, wäre er verloren. Spielt man denn Sper
und Komödie auf Latein? Plädiert man auf Latein,
wenn man einen Prozeß hat?" Der Marquis, den
diese Gründe blendeten, trat dem Urteile bei, und so
wurde beschlossen, daß der junge Herr mit dem Stu-
dium von Cicero, Horaz und Vergil keine Zeit ver-
lieren sollte. „Aber was s o l l er denn lernen?
Denn er muß doch etwas wissen; könnte man ihn
nicht etwas Geographie lehren?" — „Wozu sollte
ihm das nützen?" erwiderte der Hofmeister. „Wenn
der Herr Marquis auf seine Güter geht, so kennen
doch die Postillone die Wege; sie werden ihm aber
sicherlich durch solche Kenntnisse nicht ebenbürtig.
> Man kommt ganz bequem von Paris nach der Au-
vergne, ohne daß man nötig hat, zn wissen, unter
welcher Breite man sich befindet."
6*
84
„Sie haben recht," erwiderte der Vater, „aber ich
habe bon einer schönen Wissenschaft reden hören, die
man, wie ich glaube, Astronomie nennt." —
„Dummes Zeug," entgegnete der Hofmeister, „richtet
man sich in dieser Welt nach den Sternen? Und
soll der Herr Marquis sich totschwitzen, um eine
Sonnenfinsternis zu berechnen, wenn er sie auf die
Minute im Kalender findet, der ihm obendrein die
beweglichen Feste sowie das Alter des Mondes mit-
samt dem Alter aller europäischen Prinzessinnen
offenbart."
Madame war natürlich ganz der Meinung des
Hofmeisters. Der kleine Marquis war außer sich
oor Freude. Der Bater allerdings war sehr unent-
schlossen und fragte: „Ja, was soll ich denn meinen
Sohn lernen lassen?" — „Liebenswürdig sein," ant-
wortete ein Freund, den man um Rat fragte; „wenü
er zu gefallen weiß, so weiß er alles: es ist das eine
Kunst, die er bei seiner Frau Mutter lernt, ohne
daß beide sich die geringste Mühe zu geben brauchen."
Bei dieser Rede umarmte Madame den schmeicheln-
den Ignoranten und sagte zu ihm: „Man sieht, mein
Herr, daß Sie ein wahrhaft geistvoller Weltmann
sind; mein Sohn soll ganz nach Ihrer Meinung er-
zogen werden. Aber gleichwohl deucht mir, daß es
nicht übel wäre, wenn er etwas Geschichte lernte." —
„Ja, gnädige Frau, wozu taugt das?," antwortete
jener. Sicherlich gibt es nichts Angenehnieres und
Nützlicheres als die Tageschronik. Aber die alte
Geschichte ist, wie einer unserer Schöngeister sagte,
nichts weiter als eine Sammlung von Fabeln;
und was die neuere betrifft, so ist das ein Chaos,
aus dem man nicht klug wird. Was braucht Ihr
Herr Sohn denn zu wissen, ob Karl der Große zwölf
Paladine hatte, und ob sein Nachfolger stotterte?"
„Das heißt den Nagel auf den Kopf treffen," rief
der Hofmeister, „man erstickt den kindlichen Geist
unter einem Haufen unnützer Kenntnisse; aber von
allen Wissenschaften ist nach meiner Ansicht die
Geometrie die d ü m m st e, und zugleich am
meisten geeignet, jede Art von Geist und Witz zu
ersticken. Denn diese lächerliche Wissenschaft hat
wahrhaftig Flächen, Linien und Punkte zum Gegen-
stände, die in der Natur gar nicht existieren! Man
leitet im Geiste zwischen einem Kreise und einer
geraden Linie hunderttausend krumme Linien, ob-
gleich man in Wirklichkeit keinen Halm dnrchleiten
kann. Genau besehen, ist die Geometrie nur ein
fauler Witz."
Der Herr Baron und seine bessere Hälfte ver-
standen zwar nicht recht, was der Erzieher sagen
wollte, aber natürlich waren sie ganz seiner Ansicht.
„Ein Junker, wie der Herr Marquis," fuhr
dieser fort, darf sich nicht mit solchen nichtigen Stu-
dien den Kops zerbrechen. Wenn er eines Tages
einen perfekten Geometer nötig hat, um seine Liegen-
schaften aufzunehmen, so wird er für sein Geld schon
einen finden? Wenn er das Alter seines
Adels, der in die f e r n st e n Zeiten zur ü ck -
geht, feststellen lassen will, so wird er einen ge-
lehrten Benediktiner holen lassen. Ebenso ist es mit
allen anderen Künsten. Solch ein hochgeborener
Junker ist weder Maler, noch Musiker, noch Archi-
tekt, noch Bildhauer; er sorgt allein dafür, daß alle
diese Künste blühen, indem er sie durch seine Frei-
gebigkeit ermuntert: ohne Zweifel ist es nobler, sie
zu protegieren, als sie selber zu betreiben. Es ge-
nügt, wenn der Herr Marquis Geschmack hat; den
Künstlern obliegt es, für ihn zu arbeiten; und in-
sofern hat man wohl recht, zu sagen, daß Leute von
Stand — ich meine die, welche sehr reich sind —
alles wissen, ohne etwas gelernt zu haben, weil sie
in der Tat mit der Zeit über alle Sachen urteilen
lernen, die sie bestellen und bezahlen."
Jetzt itahm auch der liebenswürdige Ignorant das
Wort und sagte: „Sie haben sehr wohl bemerkt,
Madame, daß der große Zweck des Menschen der ist.
in der Gesellschaft'Erfolg zu haben. Aufrichtig ge-
sagt, erzielt man denn was durch die Wissenschaften?
Kommt man denn je in guter Gesellschaft auf den
Gedanke»!, von Geometrie zu reden? Fragt »nan je
einen anständigen Menschen, welches Sternbild
heute mit der Sonne aufgeht? Oder erkundigt man
sich etwa beim Souper, ob Clodion der Langhaarige
über den Rhein ging?" — „Nein, gewiß nicht!" rief
die Marquise de la Jeannotitzre, „und mein Herr
Sohn soll nicht sein Talent durch das Studiuin eines
solchen Wustes ersticken; aber was soll nran ihn
schließlich lehren? Denn es ist gut, daß ein junger
Baron bei Gelegenheit, wie mein Herr Gemahl,
brillieren kann. Ich erinnere mich, daß ich einen
Abb4 habe sagen hören, die angenehmste Wissen-
schaft sei ein Ding, dessen Namen ich vergefsen habe...,
das aber mit einen» H anfängt." — „Mit einem
H, Madame? Sollte das etwa die Hydrographie
sein?" — „Nein, von Hydrographie redete er nicht;
es begann mit einem H, sage ich Ihnen, und endete
mit einem ik." — „Ah, ich verstehe, Madanre, es ist
die Heraldik *). Das ist in der Tat eine tiefgründige
Wissenschaft; aber sie ist nicht mehr modern, seitdem
man die Gewohnheit verloren hat, sein Wappen an
den Verschlag seiner Karosse zu malen: es war das
die nützlichste Sache von der Welt in einem wohl-
gesitteten Staate, Übrigens würde dieses Studium
endlos sein; es gibt heute keinen Barbier, der nicht
sein Wappen hat, und Sie lvissen, daß alles, was
gemein »vird, wenig gilt."
Schließlich, nachdem man die starke und schwache
Seite aller Wissenschaften geprüft hatte, wurde ent-
schieden, daß der Herr Marquis das Tanzen er-
lernen sollte.
Außerdent hatte die gütige Natur ihm ein Ta-
lent verliehen, das sich bald mit wnnder-
barem Erfolge entwickelte, nämlich: in an-
genehmster Art — Gassenha u e r vorzu-
tragen. Die Anmut der Jugend in Verbindung
mit dieser höheren Begabung machte, daß man
ihn als einen Jüngling ansah, der zu den größten
Hoffnungen berechtigte.
Die Frau Marquise glaubte jetzt, die Mutter eines
Schöngeistes zu fein, und gab den Pariser Schön-
geistern ein Souper. Dem jungen Manne toar der
Kopf bald verdreht: er lernte rasch die Kunst, zu
reden, ohne sich selber zu verstehen, und vervoll-
komrnnete sich in der Gewohnheit, zu nichts zu
taugen. Als sein Vater ihn so beredt sah, bedaucric
er lebhaft, daß er ihn nicht doch Latein hatte lernen
lassen, denn dann hätte er ihm ein hohes Amt in
der Justizverwaltung gekauft. Die Mutter aber,
»velche ein vornehmeres Empfinden hatte, übernahm
*) Wappenkunde.
es, sich um ein Regi-
ment °) für ihren Sohn zn
bemühen.
Bald darauf fand sich auch
eine junge Witwe von Stand,
ihre Nachbarin (die nur ein
mäßiges Vermögen besaß),
die sich herbeiließ, das große
Vermögen von Herrn mtb
Frau de la Jeannotière in
Sicherheit zu brin -
g e n, indem sie es sich an-
eignen und den jungen Mar-
quis — heiraten wollte. Sie
wurde die b e st e Freundin
des Vaters und der Mutter.
Eine alte Nachbarin spielte
den Heiratsvermittler; von
dem Glanze einer solchen Ver-
bindung geblendet, gingen sie
mit Freuden auf den Vor-
schlag ein: sie gab ihren Sohn
ihrer intimen Freundin; der
junge Marquis würde ein
Weib heiraten, das er an-
betete, und das seine Liebe er-
widerte; die Freunde des
Hauses gratulierten ihm;
mau sehte den Ehekontrakt
auf und arbeitete an den Hochzeitskleidern und
-Gedichten. —
Da — eines Morgens, als er bei seiner reizendetl
Braut, die er mit seiner Achtung und Freundschaft
beglücken sollte, weilte, kommt ein Kammerdiener
seiner Frau Mutter ganz verstört herein und sagt:
„Wissen Sie das Neueste? Gerichtsvollzieher
räumen das Haus des gnädigen Herrn und der gnä-
digcn Frau aus; alles wird von den Gläubigern mit
Arrest belegt; man redet von Verhaftung! Ich werde
mich bemühen, meinen Lohn zu erhalten." — „Sehen
wir doch einmal," sagte der Marquis, „was denn das
bedeutet?" — „Ja," sagte die Witwe, bestrafen Sie
diese Schurken; machen Sie schnell!" Er eilt hin,
er kommt ins Haus; da war sein Vater schon im
Gefängnis; die ganze Dienerschaft war laufen ge-
gangen und hatte alles mitgenommen, was nicht niet-
uud nagelfest war; seine Mutter war allein, ohne
Hilfe, ohne Trost, in Tränen aufgelöst; es blieb ihm
nichts als die Erinnerung an sein Vermögen, seine
Schönheit, seine Fehler und seine törichten Aus-
gaben. Lange weinte der Sohn mit der Mutter,
endlich sagte er zu ihr: „Verzweifeln wir nicht; die
junge Witwe liebt mich leidenschaftlich; sie ist ebenso
edelmütig wie reich, des bin ich sicher; ich eile zu
ihr und werde sie herführen." Er kehrte also zu der
Dame zurück. — „Was! Sind Sie es, Herr de la
Jeaunotière? Was wollen Sie hier? Verläßt
man so seine Mutter? Gehen Sie zu der armen
Frau und sagen Sie ihr, daß i ch ihr stets wohl
will: ich brauche eine — Kammerfrau und würde
i h^r den Vorzug geben." —
ì Ttarr, Wut im Herzen, suchte er feinen früheren
Hauslehrer auf, schüttete an dessen Busen seine
Schmerzen aus und bat ihn um Rat. Jener schlug
*) Zu jener Seit waren die militärischen Schargen käuflich.
ihm vor, Hofmeister zu wer-
den ivie er. Aber er ant-
wortete: „Ach, ich w e i ß
ja nichts; Sie haben
mich nichts gelehrt und sind
die erste Ursache meines Un-
glückes," und er schluchzte
bei diesen Worten.
Von allen feinen Freun-
deil wurde er ähnlich behan-
delt, und er lernte die Men-
schen jetzt in einem halben
Tage besser kennen als in
seinem ganzen vorherigen
Leben.
Als er nun so von tiefer
Verzweiflung übermannt auf
der Straße stand, sah er eine
altertümliche Kutsche auf sich
zukommen, eine Art verdeckter
Karosse mit Vorhängen aus
Leder, der vier mächtige voll-
beladene Lastwagen folgten;
in der Kutsche saß ein junger
Mann in grober Kleidung mit
einem frischen runden Gesicht,
das Sanftmut und Frohsinn
atmete. Seine kleine Frau,
eine etwas bäuerische, aber
allgenehme Brüllette, ließ sich an seiner Seite in dem
Rumpelkasten schaukeln. Der brauste nicht dahin, wie
die Kalesche eines Stutzers, sondern rmlipelte gemäch-
lich; der Reisende hatte somit reichlich Zeit, den
Marquis zu betrachten, der unbeweglich dastand, in
seinenl Schmerze verloren. „Ei, gütiger Gott," rief
er plötzlich, „ich glaube, das ist Jeannot!" Bei diesem
Namen hob der Marquis deil Kopf; der Wagen hielt.
„Ja, es ist Jeannot selber, es ist Jeannot!" Der
kleine Mann stürzte mit einem Satze seinem alten
Kameraden in die Arme. Jeannot erkannte Colin,
Scham lind Tränen bedeckten sein Gesicht, doch Colin
sagte: „Du hast von mir nichts wissen wollen, aber
magst du auch ein hoher Herr sein, ich werde dich
immer lieben." Verwirrt und gerührt erzählte ihm
Jeannot unter Schluchzen einen Teil seiner Ge-
schichte, und Colin sagte zu ihm: „Komm in den
Gasthof, wo ich logiere, um mir das Weitere zu er-
zählen; umarme meine kleine liebe Frau, und speisen
wir zusammen!"
Sie gingen alle drei zu Fuß, wobei die Bagage
ihnen folgte. „Was bedeutet denn dieser Warenzug?
Gehört der dir?" — „Jawohl; alles gehört mir und
meiner Frau. Wir kommen aus der Heimat: ich
leite ein einträgliches Eisen- und Kupferwerk; ich
habe die Tochter eines reichen Kaufmannes gehei-
ratet, der einen Handel mit Utensilien betreibt, die
groß und klein nötig hat; wir arbeiten viel und Gott
segnet uns; wir sind unserem Stande treu geblieben
und glücklich; wir werden auch unserem Freunde
Jeannot helfen. Laß den „Marquis" fahren; alle
Größe wiegt nicht einen guten Freund auf!"
Ganz außer sich schwankte Jeannot zwischen
Schmerz und Freude, Scham und Rührung und sagte
sich leise: „Alle meine vornehmen Freunde haben
mich verraten, und Colin, den ich verachtet habe,
kommt mir allein zu Hilfe. Welche Lehre!"
Voltaire bet Friedrich.
Port de Boin
Karte des Kanals von der Rhone nach Marseille.
(L’Illustration, Paris.)
rg’Tryg'yi renryTT3-< nryr.rare rareres? rereire«
i767riS7S7v^ 7S7S7Ü7S7S^ »7-7-747-7»^ rö-4 47»:S'PSNrasre raSTSTSS? raSISIS^ »7S7S7S7SK PS7S7»7S7»Ii raSreiV.'i
Marseille, der bedeutendste Hasen nicht nur
Frankreichs, sondern auch einer der wich-
tigsten der ganzen Welt, hat nicht wie Ant-
werpen, Rotterdam, Hamburg, Bremen und andere
Welthäfen den Borzug, gleichzeitig an der M ü n -
düng eines Stromes zu liegen, der auch
das Binnenland der Schiffahrt aufschlösse. Zwar
gehört auch fein Hinterland zum Gebiet eines be-
deutenden Stromes, der R h o n e. Doch die Natur
dieses stolzen Alpenstromes gestattet bei seiner starken
Strömung die Schiffahrt für größere Fahrzeuge nur
von Lyon bis Arles, d. h. auf einer Strecke von
289 km. Kurz unterhalb der altberühmten Stadt
aber teilt er sich in die östliche „kleine Rhone", die
heute etwa 14 bis 15 % der Wassermassen führt, und
die westliche „große Rhone", die zwar heute die
eigentliche Flußmündung darstellt (einst war es um-
gekehrt), die auch 500—1000 m breit ist und deren
Strömung gering, die aber andererseits durch die
Stärke des dort wehenden Mistrals fiir die Schiff-
fahrt zum Meer hinab kaum in Betracht kommt. Zu-
dem baut sich die Mündung bezw. die inmitten des
Deltas liegende Insel Camargue durch die starke
Sedimentsuhrung von jährlich rund 21 Mill. Kubik-
meter immer weiter in das Meer hinaus. Aus diesem
Grunde ist es ein alter Gedanke, der Rhone
einen Ausgang nach der schon im Altertum
hochbedeutenden Hafenstadt M a r s e i l l e, dem
alten „Massilia", zu schaffen. 1507, unter Lud-
wig XII. von Frankreich, wurde ein solcher Kanal-
bau zum erstenmal erörtert. Doch die Schwierig-
keiten schienen zu groß, als daß diese Idee durch
Jahrhunderte hindurch hätte Gestalt annehmen kön-
nen. Erst 1820 wurde das Projekt wieder aufge-
griffen, 1840 genauer präzisiert, 1879 wurde es zum
„avant-pro.iet officiel" erklärt, schließlich wurde
am 24. Dezember 1903 ein Gesetz betr. den Bau
eines 81 km langen Kanals auf Meeresniveau von
Marseille nach Arles angenommen.
Heute endlich ist das Werk der Bollendung ent-
gegengereift. Der alte Traum sieht seine Verwirk-
lichung in einem s ch l e u s e n l o s e n Kanal, der
von Marseille aus, 35 km lang, durchschnittlich 25 in
breit und 4 m tief, für Fahrzeuge von 1200 t be-
fahrbar, nach Port de Bouc führt, von wo aus
der bereits bestehende und nur noch zu erweiternde
Kanal nach Arles die Fortsetzung bildet, sofern man
nicht die Überfahrt über den Golf nach St. Louis
vorzieht.
Wodurch ist nun dies lange Hinauszögern des Pro-
jekts, das erst durch die moderne Technik seine Ver-
wirklichung finden sollte, zu erklären?
Werfen wir einen Blick aus die Karte! — Zwischen
Arles und Port de Bouc bietet der Bau keinerlei
besondere Schwierigkeiten, und in der Tat befindet
sich der dortige Kanal auch an einer Stelle, wo schon
der römische Feldherr Marius bei der Abwehr^der
das römische Reich bedrohenden Cimbern und Teu-
tonen einen langen von der Rhone gespeisten, kanal-
artigen Graben, die „f o s s a Mariana", aus-
geworfen hatte, nach der der Meerbusen zwischen
St. Louis und Port de Bouc heute noch Golfe de
F o s heißt. Westlich von Port de Bouc erblicken
wir dann den großen Strandsee „E t a n g d e
B e r r e", der 25 km lang, 6—10 km breit, wie
gegeben scheint, einen herrlichen Binnenhafen mit
seiner über 15.000 ha großen Wasserfläche, die zum
Teil 6—8 in tief, also fiir Schiffe von 8 bis 10.000 r
ausreichend, darzustellen. Doch nun kommt das „Aber".
Zwischen diesem See, der in dem Kanal von Mar-
tigues einen Ausgang zum Golfe de Fos und damit
zum Meere hat, und dem ersehnten Zielpunkt Mar-
87
seilte erhebt sich, auf keiner Seite zu umgehen, das
Massiv von N e r t h e. Die P. L. M.-Eisenbahn
durchbricht es in dem Tunnel von Nerthe, den wir,
4.638 in lang, in mehr als 200 m Höhe westlich aus
der Karte erkennen.
Aus mancherlei Gründen konnte eine Überwin-
dung dieses Hindernisses in der sonst bei Kanälen
gewohnten Art, nämlich durch eine Schle u sen-
treppe, unter keinen Umständen in Betracht
kommen. Aus diesem Grunde blieb denn auch der
Plan jahrzehntelang ein schöner Vorsatz, bis endlich
die Technik der heutigen Zeit es ermöglichte, hier
durch einen T u n n e 1 b a u Abhilfe zu schaffen.
Dieser Tunnelbau (durch den Roveberg) bot
Schwierigkeiten m i n d e st e n s in dem g I ei ch e n
Maße wie der Bau der großen Alpentun ne l,
welchen wir im Kalender '1925 eingehend erläuterten.
Denn war auch im Vergleich zu diesen die Länge
von 7.120 m verhältnismäßig gering, so mußte da-
für der Durchmesser der Tunnelbohrung ein um so
größerer sein, da er nicht bloß für einen Eisenbahn-
zug, sondern für einen Wasserweg für große
Transportschleppkähne (wie oben erwähnt, von
1.200 t) einen Weg bieten sollte.
Demgemäß ist auch, wie sich auf unserer beigefügten
Zeitung Nr. 2 ergibt, die Breite der Tunnelsohle
22 m, die durch die Wasserfüllung bedingte Höhe
15,10 ni, während der vorerwähnte, in der Nachbar-
schaft liegende zweigleisige Eisenbahntunnel nur
8,20 in breit und 6,50 m hoch zu sein brauchte. Ent-
sprechend war auch die auszuschachtende Masse un-
gleich größer, wie sich dies aus nachstehender Tabelle
ergibt:
Länge Ausschachtung
Lötschbergtunnel................. 14605 m 770.000 cbm
St. Gotthardtunnel............. 14 984 „ 1.000.000 „
Simplontunnef (2Stollenv.40grn) 19800 „ 1.600.000 „
Novetunucl....................... 7.266 „ 2.300.000 „
Die Leitung der Arbeiten, welche 1911 begonnen,
erhielt aus Grund eines Wettbewerbs der bekannte
Senator Leon C h a g n a u d, der unter vielen
anderen bemerkenswerten Projekten auch die e r st e
S e in eunterführung der Pariser Untergrund-
bahn (der Metropolitain) bei der Station Saint-
Michel-La Cite erbaut hatte. Man begann zunächst
mit dem Bau der «Dranelröe de Gignac », einer,
wie ans dem Namen ersichtlich, tief in das Gebirge
eingeschnittenen Verbindung zwischen dem Strandsee
von Bolmon, der dem See von Berre vorgelagert ist,
und der Nordausgangsstelle des geplanten Tunnels.
Am 16. Februar 1916, nach Überwindung mannig-
facher Schwierigkeiten infolge des inzwischen aus-
gebrochenen Weltkrieges, begann man dann mit dem
Vortreiben der Stollen, ähnlich, wie wir dies beim
Lötschbergtunnel beschrieben haben, jedoch baute man
wegen der vorgesehenen bedeutenden Breite der
Tunnelsohle außer dem F i r st - nicht einen, sondern
zwei S o h l st o l l e n. Das Wegschaffen der Erd-
massen erfolgte aus dem Firststollen durch schräg ab-
wärtsgetriebene Kamine in die beiden untern Stollen
und aus diesen nach draußen mittels Druckluftzüge.
Die endgültige Ausmauerung erfolgte sodann nach
dem Vollausbrechen des Tunnels in Ringen von 6 m,
die isoliert und fest aneinander gereiht wurden. Wie
Blick durch den Rovekanal. Man sieht den über 7 km entfernten Ausgang.
(Photo: L’Illustratiou, Paris.)
88 —
bei allen Tunnelbauten, waren
auch hier ein zu Bruch ge-
hen der Gesteinsmassen sowie
W a s s e r e i n b r ü ch e zu
überwinden. Namentlich letztere
waren beträchtlich; in der Regen-
zeit ließ an einigen Stellen das
durchlässige Kalkgestein wahre
Wasserfälle entstehen, deren
Stärke fast 2000 cbm in der
Stunde betrug. Da nun, durch
den Zweck als künftiger Kanal-
boh.cn bedingt, die Sohle des
Tunnels genau horizon-
t a l gebaut wurde, mußten
starke Pumpstationen eingerichtet
werden, um die einbrechenden
Wassermassen herauszuschaffen.
Ter Tunnel mündet im
Porte de la Lade, dem nördlichsten der Mar-
seiller Häfen. Trotz der Länge ist er so schnurgerade
gebaut, daß man, wie unser Bild zeigt, sogleich nach
dem Eintritt den fernen Lichtpunkt des anderen Endes
vor sich schimmern sieht. An den beiden Seiten-
wänden sehen wir Quaimanern. Auf un-
serem, während des Baues aufgenommenen Bilde hat
das Meer noch keinen vollen Zutritt; wenn dies der
Fall ist, wird das Wasser volle 4 m hoch stehen.
Der Rovekanal war, wie gesagt, zwar das kürzeste,
aber das schwierigste Stück der ganzen Marseille-
Rhone-Verbindung; demgemäß hat sein Bau von der
ausgeworfenen Gesamtsumme von 220 Millionen
Franken allein 120 Millionen beansprucht.
S ch o n jetzt ist durch die am 27. Juni 1926
erfolgte Eröffnung des Kanaltunnels von Rove
eigentlich das fo lang geplante Werk gelungen. Ohne
Umladung, ohne Aufenthalt durch schleusen oder
dergleichen können Schiffe von 1200 t von Marseille
durch den Kanal zur Rhone gelangen, indem sie
seinem Laufe durch den Tunnel, die Tranchee de
Gignac, und weiter durch flaches Land bis in den
See von Berre folgen. Durch ihn fließt der Kanal,
abgedeicht, wie aus der Karre
ersichtlich, am Süduser, berührt
die alte Stadt M a r l i g u e s
und ergießt sich in den erbrei-
lerten Flaschenhals, der unter
dem Namen Etang de Caronte
den See von Berre mit dem
Golfe de Fos verbindet. In
Port de Bouc hat der Kanal
sein vorläufiges Ende, da die
bereits vorhandene Strecke von
dort nach Arles noch die alten
Maße zeigt, und demgemäß noch
ausgebaut werden muß. Aber
die Schiffe können jetzt schon
die nur 10 km lange Über-
fahrt über den Golfe
de Fos, welcher infolge seiner
geschützten Lage glatt und ruhig
ist wie ein Binnensee, nach St. Lours machen, und
so dort schon, also unterhalb Arles, in die Rhone
gelangen. Der in Angriff genommene Ausbau der
letzten Kanalstrecke von Port de Bouc nach Arles
ist also für die Schiffahrt zwischen Marseille und
Rhone selbst nur eine kleine Verbesserung, aber er
bedeutet einen Aufschluß des ganzen Hin-
terlandes, und das gleiche gilt in noch verstärk-
tem Maße für den See von Berre selbst. Wenn jetzt
noch die Reisenden vom Rivieraexpreß ans seinen
melancholischen Reiz bewundern, und bedauern, die
riesige Wasserfläche so still inmitten einer fast noch
menschenleeren Landschaft zu sehen, so wird sich das
bald ändern. Die 68 km Seeufer, nunmehr zu
Wasser verbunden mit Marseille, mit der Rhone und
dem Meer, werden sich bald beleben. Industrie aller
Art wird sich ansiedeln *1 und Marseille wird ein
seiner Bedeutung als altberühmter Welthafen wür-
diges Hinterland finden.
*) Die P. L.M.-Bahn hat dort bereits den AuSladehafen für ihre
eigenen Kohlentransporte.
{Zeichnung nach L’Illustration, Paris.)
r
TO
Das Wetter,
MM
%
j%lVj\aä für eine Bedeutung das Wetter im
||T / menschlichen Leben hat, wissen wir wohl
alle. Nicht nur, daß der menschliche Orga-
nismus durch seine Erscheinungen, durch Hitze oder
Kälte, Trockenheit oder Feuchtigkeit, beeinflußt und
in seineni Wohlergehen empfindlich gestört werden
kann, darüber hinaus ist die Witterung, d. h.
die Zusammenfassung der atmosphärischen Erscheinun-
gen innerhalb längerer Zeiträume nicht nur für
Handel und Wandel von größter Bedeutung, sondern
insonderheit für unser täglich Brot.
Was Wunder, daß daher schon seit alten Zeiten die
Beobachtung der Witterungsvorgänge und die Zu-
sammenfassung der aus mehrjähriger Beobachtung
abgeleiteten „mittleren Zustände" den Geist zahl-
reicher weiser Männer fesselte, daß darüber hinaus
der Aberglaube sich breit machte, und die Kunst des
„Wettermachens" gesucht wurde. Ja, daß diese ver-
meintliche Kunst nicht nur im Mttelalter gar man-
cher Frau und manchem Manne zum Verhängnis
wurde, die fiir irgendwelche Unwetter als vermeint-
liche Urheber verantwortlich gemacht und wegen
Hexerei grausam bestraft wurden, sondern daß auch
heute noch bei wilden Völkern das Wetter- oder
Regenmachen der größte Nymbus der Zauberer
und Medizinmänner ist.
Aber auch der von diesem Aberglauben nicht Be-
herrschte suchte schon seit uralten Zeiten auf Grund
der Erfahrung nach Wetterregeln, wie solche
in den „Bauernregeln" heute noch lebendig sind.
Insbesondere spielte dabei der Wind eine
Hauptrolle, da man ihn lange Zeit für die Ur-
89
fache aller atmosphä-
rischen Veränderungen
ansah. Indessen lehrte
später die genaue wis-
senschaftliche Beobach-
tung, daß umgekehrt
der Luftdruck die Ur-
sache des Windes, sa,
daß sogar mit einer
bestimmten Luftdruck-
verteilung auch immer
ein bestimmter Wit-
terungscharakter ver-
bunden sei. Diese 1820
von Brandes gefun-
dene und 80 Jahre
später von Buy-Bal-
lot neu entdeckte Er-
kenntnis bildet die
Grundlage der heuti-
gen Wetterprog-
nose. Während man
sich früher bei der
Aufstellung der Wel-
lerangaben lediglich
auf die Erfahrung an
ein und dem-
selben Ort stützte,
hatte schon Brandes
seinen Beobachtungen
das ganze Mit-
teleuropa zugrunde
gelegt, indem er die Abweichungen des Luftdrucks auf
der Karte durch Isobaren vermerkte. Indes
blieben seine Arbeiten unbeachtet, und Buy-Ballot
mußte sie neu entdecken.
Die Einrichtung eines regelmäßigen Wetter-
dienstes in allen Kulturländern ist hauptsächlich aus
den schweren Sturrrt von Balaklava zurückzuführen,
der am 14. November 1854 in der Gegend des
schwarzen Meeres, die gerade damals Schauplatz des
Krimkrieges war, große Verheerungen anrichtete. Die
Erwägung, wieviel Schaden hätte vermieden werden
können, wenn man am Tage vorher eine Sturm-
warnung gehabt hätte, führte dazu, solche Warnungen
aus öffentlichen Mitteln einzuführen. Zuerst geschah
dies in Frankreich, wo der berühmte Astronom L e -
der r i e r, Direktor der Pariser Sternwarte, zuerst
W e l 1 e r k ä r t e n regelmäßig herausgab. Ihm
folgten die anderen Kulturländer, Deutschland mit
der Begründung der Hamburger Seewarte
1875. — Zuerst begnügte man sich mit der leichteren
Airfgabe, aus der aus den Meldungen der einzelneit
europäischen Wetterwarten gewonnenen Kenntnis
der am Morgen vorhandenen Wetterlage Ände-
rungen von Luftdruck und Wind herzuleiten und ent-
sprechende Nachrichten und namentlich Sturmwar-
nungen an die einzelnen Küstenstationen, die sie
dann den Schiffen signalierten, zu geben. Auf diese
Art war ja nun die Schiffahrt im wesentlichen
befriedigt, aber die binnenländische und namentlich
die landwirtschaftliche Bevölkerung
legt naturgemäß weniger Wert auf diese
Nachricht a l s auf das Borherwissen von
Temperatur und Niederschlägen. Aus
diesem Grunde entstand nach und nach ein ganzes
N e tz von Sta-
tionen, die ihre
Beobachtungen nicht
nur untereinander aus-
tauschen, sondern auch
einer Zentralstelle
mehrmals täglich wei-
ter geben, die darnach
die 'Wetterkarte
herausgibt. Solche ha-
ben sich nämlich als
weit wichtiger als die
bloße Bekanntgabe der
Wetterprognose erwie-
sen, zumal inzwischen
auch die Lusrschiss-
fahrt regelmä -
ß i g e Verbindungen
eingerichtet hat, für
deren genaue Dnrch-
fiihrung die Kenntnis
derWitterungslage aus
sehr großen Ge-
bieten unbedingt er-
forderlich ist.
Bei der Beobach-
tung ist besonders
wichtig auch das Ma-
terial aus der Höh e.
Es sind daher bei
einer Anzahl Obser-
vatorien Drachen-
stationen eingerichtet, an denen regelmäßig Re-
gistrierapparate mittels Drachen hinaufgesandl wer-
den. Daneben treten neuerdings noch die drahtlosen
Meldungen von Luftschiffen und Flugzeugen aus,
deren hohen Wert man schon aus den Registrierungen
bei Freiballonfahrten kannte. Überhaupt trat mit der
drahtlosen Telegraphie eine besondere
Verbesserung im Meldedienst ein.
Europa hat augenblicklich rund ein halbes Hundert
Wetter-Sendestationen, von denen der Eiffelturm die
größte Reichweite mit etwa 10.000 km hat; 5000 km
haben Bukarest, Karlsborg, Königswusterhausen, Oslo
und Osmanie (Türkei). Jede der vielen Funkstationen
hat mehrmals täglich ihre bestimmte Sendezeit. An
das europäische Funknetz sind auch nordasrtkanische
Stationen angeschlossen. Das übrige Afrika verfügt
heuce über 9, Asien über 30, Amerika über 85, Austra-
lien nebst Ozeanien über 33 Wettersendestellen. Sämt-
liche Stationen haben ihr besonderes Rufzeichen und
ibre besondere Wellenlänge. Dazu kommen dann noch
die Meldungen der Schisse auf hoher See. Für den
inneren' Wetterfunkverkehr bestehen in Deutsch-
land 18 Stationen, desgl. in den anderen Ländern.
Das (chiffrierte) Funkentelegramm hat folgendes
Schema:
Luftdruck in Zehntel Millimetern, aus 0 Grad und
den Meeresspiegel reduziert; Windrichtung in 32
Strichen (z. B.'08 —Ost); Windstärke, Skala 0 bis
12; Witterung zur Zeit der Beobachtung: Tempera-
tur in ganzen Graden Celsius; Verhalten des Luft-
drucks in den letzten drei Stunden vor der Beob-
achtung; Einerzisfer der Lustdruckveränderung in den
letzten'drei Stunden in Halbmillimetern: Witterungs-
verlauf seit der letzten Beobachtung; Horizontale
Abt. I. Eine Wetterkarte, die das typpche Bild starker
Gewitterbildurigen zeigt.
90
Skizze II.
Isobaren.
Sichtweite; relative Feuchtigkeit; Art der niedrigen
Wolken; Größe der Himmelsbedeckung mit niedrigen
Wolken; Art der hohen Wolken; Größe der Gesamt-
bewölknng in Zehnteln des Hinimels; Höhe der nie-
drigen Wolken; Niederschlagsmenge seit der selten
Beobachnrng in Millimetern; Minimaltemperatur
in der letzten Nacht; Zeit des Beginns des Nieder-
schlages.
Küstenstationen ntelden auch noch den Seegang
und die Dünung.
Tie unserem Aufsatz beigegebene Wetterkarte, eine
Wetterlage vor rund 2 Jahren darstellend, ist für eine
Zeit periodisch schwerer Gewitter typisch. Sie zeigt
die Fortbewegung des das Sturmzentrum bildenden
barometrischen Minimums, kurz „Tief" genannt
(auf der Karte ein T) von Südwesten nach Nord-
osten, gefolgt von einem Hoch, dessen Randgebiet sich
bereits über Spanien, Frankreich und die Schweizer
Grenze und einen Teil Englands und Irlands er-
streckt. Andererseits sehen wir im Südwesten, in der
rechten unteren Ecke der Karte eine neue Tiesbildung.
Das Zentrum des erstgenannten, das sich über der
skandinavischen Halbinsel befindet, hat infolge des
Überschreitens der Berge usw. bereits nterklich in
feiner ursprünglich runden Gestalt gelitten; erst recht
gilt das für die Randlinien, die I f o bare n
(welche, wie aus den dabeistehenden Zahlen leicht zu
ersehen, die Orte gleichen Luftdrucks verbinden).
Diese weisen recht starke Einbuchtungen ihrer ur-
sprünglichen Kreis- und späteren Eli'psenform aus;
die äußeren zerreißen und können sich iticht mehr
schließen.
Die diesen Isobaren entsprechenden um das Zen-
trum kreisenden W i n d st r ö in u n g e n, die infolge
der Erdumdrehung bei einem „Tief" stets im um-
gekehrten Zinne des Uhrzeigers *) kreisen, und in-
folgedessen int Westen des Tief stets kalte und trockene
Nordwinde, int Süden Westwinde und im Osten eines
„Tief" warme und meist regenreiche Südwinde sind,
treffen nun in den Randgebieten auf die entgegen-
gesetzt wehenden Winde des benachbarten „Hoch^. 'Bei
der aus unserer Karte dargestellten Wetterlage sind
es also die kalten Nordwinde, welche auf die warmen
Südwestwinde des Hoch prallen, und so entsteht dann
eine dauernde und, da sich das Zentrunr des Zu-
*1 Bei einem „Hoch" im Uhrzeigersinn;
ist es umgekehrt.
auf der südlichen Halbkugel
sammenstoßes gerade über
der Schweiz befinbet, durch
die Bergketten in den Tal-
kesseln festgehaltene und
nur langsam sich verschie-
bende ständige starke Ge-
witteratmosphäre. —
Wie wir schon eben
sahen, ist denk „Hoch"
rechts wieder ein „Tief"
benachbart. Das zeigt
uns, daß ein Hoch stets
von einem Tief und dieses wieder von einem
Hoch begrenzt ist. Daher ergibt sich für die Iso-
baren, von denen die äußeren auf unserer Karte
ja nur zum Teil zu sehen sind und die wir uns um
die ganze Erdkugel herumgezogen benfen müssen, eine
wellenförmige Gestalt, deren Erhöhungen stets von
einem „Tief" und deren Täler stets von einem „Hoch"
ausgefüllt werden, wie dies uns unsere Skizze 2
zeigt. Diese Isobaren können nun sowohl in west-
östlicher als auch in nordsüdlicher Richtung verlaufen,
und sich demgemäß in zweierlei Richtungen über uns
herbewegen. Dies und die Nähe des atlantischen
Ozeans verursacht die Kälterückfälle int Frühjahr.
Was die Wettervoraussage angeht, so
kann man sie heute für die nächsten 24—36 Stunden
richtig abgeben, ferner für etwa K Jahr eine allge-
meine Charakteristik des Wetters, hingegen ist der
l 00jährige Kalender reine Berntutung.
Zum Schluß wollen wir noch kurz die Verhältnisse
unseres Saargebiets betrachten. Auch hier in Saar-
brücken haben wir eine Wetterdienststelle. Ihre Ar-
beit wird aber zurzeit dadurch noch empfindlich er-
schwert, daß wir im Saargebiet selbst keine Emp-
fangsstation haben, die s ä mtliche Wetterfunk-
sendungen aufnehmen könnte. Man ist somit auf
das Sammeltelegramm des Eiffelturms angewiesen,
wodurch die Angaben einer ganzen Anzahl sin die
geographische Lage Saarbrückens wichtiger Orte aus-
fallen und das Petz verhältnismäßig dünn wird. Zu-
dem erhält man die Nachrichten nur einmal täglich,
kann also am Abend ihre Entwicklung nicht noch
einmal kontrollieren, was ebenfalls auf die Sicher-
heit der Wetterprognose ungünstig einwirkt. — Unter
den Apparaten der Wetterstelle' ist allerdings be-
sonders einer zu erwähnen, den die meisten anderen
nicht haben: ein Pluviograph (Regenschreiber), der
nicht nur die Menge, sondern auch die Zeit der
Niederschläge genau aufzeichnet, was besonders für
nachträgliche gerichtliche Zeitfeststellungen in Zivil-
wie Strafprozessen wichtig ist.
Aber ist auch der saarländische Wetterdienst somit
noch unvollkommen, so kann das Saargebiet um so
nrehr stolz sein auf eine neue Einrichtung, die außer
ihnr in den größten Ländern nur ein paar Stationen
besitzen, in Deutschland beispielsweise nur drei:
Hamburg, Potsdam und das aeronautische Observa-
torium in Lindenberg a. d. Havel, nämlich die
l u f t e l e k t r i s ch e Station zur ständigen
Messung und Aufzeichnung der L u f t e l e k t r i z i -
t ä t. Zweierlei will mit ihr der hiesige Wetterdienst-
leiter, Herr Dr. Pfaff, feststellen: den Einfluß der
Luftelektrizität auf bett Funkverkehr und ihren Ein-
fluß auf den ntenschlichen Organismus.
91
Unsere Grubenlampen,
benso wie bei den Beleuchtungskörpern des
gewöhnlichen Lebens ist auch ini Aussehen und
der Konstruktion der G r u b e n l a mp e n,
die unsere Bergleute bei ihrer Arbeit unter Tage
benutzen, im Laufe der Jahre eine völlige Umwälzung
vor sich gegangen, wenn dies auch nicht in einer so
schnellen Weise geschah, wie sie die Entwicklung
unserer modernen Zimmer- und Straßenbeleuchtung
(cs genügt die Hauptetappen: Kienspahn bezw. Ol-
lampe — Petroleum — Gas — el. Licht zu nennen)
kennzeichnet.
Das ist aber leicht zu begreifen: denn bei der Kon-
struktion einer neuen Grubenlampe müssen stets zwei
Bedingungen beachtet werden:
1. muß es eine zwar robuste, aber unterwegs wie bei
der Arbeit für den Träger nicht durch ihr Gewicht
oder ihre unhandliche Form lästige Hand-
lampe sein;
2. muß ihre Konstruktion die größtmöglichste
Sicherheit gegen die Möglichkeit der Ent-
zündung schlagender Wetter und sonsti-
ger brennbarer oder explosibler Gase
bilden.
Gerade diese zweite Forderung aber
berührt eine Schwierigkeit, welche die Be-
leuchtungstechnik über Tage nicht kennt. —
Tenn die Zahl der Gruben, bei denen eine
Schlagwettergefahr nicht besteht, und in
denen demgemäß heute noch der Gebrauch
solcher Lampen, deren Flamme lediglich
durch einen offenen Glaszylinder geschützt
ist, gestattet werden kann, ist int Verhältnis
zur Gesamtzahl verschwindend gering.
Daher erschien denn auch die alte, primi-
tive Bergmannslampe mit qualmendem,
offenem Ollicht, wie sie unser Titelbild als
„Einst" zeigt, schon Anfang des vorigen
Jahrhunderts, als ein nach heutigen Be-
griffen ordnungsmäßiger systematischer Bergbau be-
gann, für den praktischen Gebrauch zur Arbeit unter
Tage vor Ort unmöglich, und man suchte nach einer
die Gefahren bannenden Konstruktion. Bereits 1816
kam dann auch eine solche auf in der Davyschen*)
Lampe. Diese erste Konstruktion besaß zwar nur
einen einfachen Drahtkorb und noch keinen
verriegelten (Sicherheits-) Verschluß, behielt auch
den alten Brennstoff, das Ol, bei, stellte aber trotz-
dem durch ihr Prinzip schon die erste Verwirk-
lichung der Wünsche nach einer zündungssicheren
Lampe dar. In den Saar gruben wurde die
D a v ysche Lampe, wie wir z. B. aus dein Bericht
über die Inspektion 5 ersehen, im Jahre 1826
eingeführt, und zlvar zunächst lediglich f ü r
die Wettermänner. Schrittweise kam man
dann zu immer weiteren Verbesserungen dieser ersten
Idee, womit eine planmäßige Ergänzung
der Gebrauchs- und Sicherheitsanweisungen
für die Bergleute Hand in Hand ging. Vor
rd. 17 Jahren endlich hatte die Lampenkou-
struktion einen Stand erreicht, der im
wesentlichen heute noch gültig ist. Diese
Lampe weist folgende Merkmale auf:
a) Als Brennstoff dient Benzin, das
bei 80—120? destilliert ist; man verwendet
einen Flachoocht; der Luftzutritt er-
folgt von unten her; der Brenner wird,
ohne daß die Lampe dazu geöffnet
werden muß, durch ein paraffiniertes
Zünd band angezündet;
b) als Sicherheits Vorrichtung dient
ein Kristallglaszylinder, der einen
doppelten Drahtkorb hat, und
o b e n und u n t e n von einem u n be-
weg l i ch e n Blechzylinder umgeben
ist; '
*) Davy, * 1779 -j- 1829, Präs, der Royal Societv in
London.
Abb. 2.
Lampe 6.
92
Abb. 3. Abb. 4.
Lampe EA. Lampe LD.
c) als Verschluß kommt der bekannte M a g -
n e l v e r s ch l u ß in Betracht, der nur in der mit
den dazu erforderlichen Einrichtungen versehenen
Lampenstube, nicht aber eigenmächtig von dem Träger
in der Grube geöffnet werden kann;
d) das Gewicht beträgt durchschnittlich \y2 kg;
e) die Lichtstärke beträgt etwa 0,7 Hefner-
kerzen.
Letztere ist also schwächer wie bei der alten
offenen Öllampe. Es ist eben klar, daß man eine
solche Vervollkommnung der Sicherheitslampe nur er-
reichen konnte, wenn man bei der Lichtstärke ein Opfer
zugunsten der Sicherheit brachte, namentlich auch
deshalb, weil man der unter d genannten Notwendig-
keit, ein eigenmächtiges Offnen der Lampe durch
einen f e st e n Verschlußzylinder zu verhindern, un-
bedingt Folge geben mußte (Abb. 1, Nr. 3 u. Abb. 2).
Es ist klar, daß der Siegeszug der Elektrizität an
der Grubenlampe nicht vorbeigehen konnte. Hatte
man doch in der Glühlampe eine Lichtquelle, bei der
im Gegensatz zu den bisher üblichen Be-
leuchtungskörpern keine Flamme mehr
vorhanden war, und deren Lichtträger,
der glühende Draht, mit der Außenluft
gar nicht in Berührung kommen konnte.
Sobald man daher in der Lage war,
Akkumulatorenbatterien von
für eine tragbare Handlampe — denn
nur eine solche und nicht eine an der
Leitung hängende Lampe konnte natur-
gemäß für die Arbeit vor Ort in Frage
kommen — passender Größe und ent-
sprechendem Gewicht fabrikmäßig herzu-
stellen, die den notwendigen Ansprüchen
an Helligkeit und namentlich an Brenn-
dauer genügten, begann man denn auch
sogleich mit Konstruktionsversuchen.
Und so erschien dann nach einiger Zeit
die elektrische Grubenlampe
auf dem Markt. Was für sie fprach,
war klar: ihre gleichmäßige genügende
Leuchtkraft und die Sicherheit,
die sie gegen die Entzündung explosibler
Wetter bot. Weiter sprach dann für sie die Möglich-
keit ihrer Verwendung a n O r t e n, an denen
wegen Sauer st offmangels andere Lampen
nicht brennen können, was sie namentlich für Ret-
t u-n as a k t i o nen geeignet scheinen ließ. Gegen
ihre sofortige allgemeine Einführung sprach natürlich
zunächst der Kostenpunkt, da jci nicht nur Lam-
pen,' sondern auch Neueinrichtungen für Lampen-
stuben, Ladestationen usw. zu beschaffen war. Gegen
die Lampe s e l b st konnte man dann weiter noch
einen anderen Untstand geltend ntachen, daß nämlich
gerade ihre Unempsindli chkeit gegen die
A u ß e n l u f t u. U. ein Fehler sei, weil sie da-
durch, im Gegensatz zur Benzinlampe, das Vorhanden-
sein schlechter Wetter nicht anzeige.
Dadurch sei einmal die Möglichkeit gegeben, daß diese
Gase durch die Einatmung G e s u n d h e i t s -
schädigungen Hervorrufen könnten, zunr an-
deren, daß der nicht durch feine Lampe
gewarnte Bergmann auf andere Weise, etwa bei der
Schießarbeit, eine Explosion hervorrufe.
Dieser Umstand bedingte daher den Gebrauch
beider Arten von Lampen nebeneinander.
Gewöhnlich war in den Betriebsvorschriften der Auf-
sichtsbehörde ein bestimmtes Z a h l e n v e r h ä l t -
n i s vorgesehen, das lange Zeit hindurch die Vorteil«:
der elektrischen Lampe nicht so sehr in Erscheinung
treten ließ, zumal auch noch die umständ-
liche und kostspielige Einrichtung doppel-
ter Lampenausgaben usw. damit ver-
bunden war.
Die guten Erfahrungen, die man je-
doch trotzdem während langer Jahre bei
dem Gebrauch elektrischer Lampen ge-
macht hatte, ließen aber nach und nach
eine Milderung der diesbezüglichen Vor-
schriften angebracht erscheinen. Heute
sind wir nun so weit, daß der allge-
meinen Einführung der
elektrischen Sicherheitslampe
nichts mehr im Wege steht.
Die älteren Modelle waren Bleiakku-
mulator-Lampen. Das zugrunde liegende
Prinzip findet auch heute noch Anwen-
dung (vergl. hierzu und zum folgenden
den' Artikel im Kalender 1925 k Weiter
kamen dann Lampen auf den Markt, die
mit einem alkalischen Nickel-Kadmium-
Akkumulator, der auf eine Konstruktion
Edifons zurückging, ausgerüstet waren.
Abb. 7.
Schnitt durch
die Lainpe LD.
Abb. 5.
Akkumulatortopf.
Abb. 6.
Akkumulator „SAFT".
93 _
Unsere Leser dürste hier vor allem der auch auf den
Caargruben in Gebrauch befindliche, besonderen Ruf
genießende „8AE1"-Akkumulator (Fabrikat der So-
ci6te des Accumirlateurs Fixes et de Tractiqn
in Romainville), dessen alleiniges Vertriebsrecht für
alle französischen Gruben die 8oci6t6 Ano-
nyme d’Eclairage et d’A p p 1 i c a t i o n s
Electriques zu Arras besitzt, und den sie
in ihre elektrischen Sicherheitslampen einbaut, inter-
essieren. _ .4. _ '
Abb. 9. Einzelne Platte.
Abb. 10.
Rahmen
auseinander-
genommen.
Verweilen wir noch etwas bei diesen Lampen. Es
kommen da hauptsächlich zwei Modelle in Frage: der
Typ EA (Abb. 3) mit Bleischraubenverschluß (das
allererste Modell, das indessen auch heute noch nichts
von seinen Vorzügen: Einfachheit, Solidität und
Leichtigkeit, verloren hat) und ferner das Modell IM
mit patentiertem Magnetverschluß (Abb. 4
ttnd 7), der dank seiner starken Sperrfeder eine unver-
letzliche Verriegelung darstellt, wobei jedoch die Ver-
schraubringe von Glas und Jsolierungsplatte ein
leichtes Auswechseln des Schutzglases und der Birnen
gestatten.
Für beide Modelle kommt sowohl ein Blei- wie
auch ein Eisen-Cadmium-Nickel-Akkumulator in Frage.
Bei dem ersteren besteht bekanntlich der Elektrolyt aus
einer festen Masse, die wie Paraffin in den Akkumula--
tortopf eingegossen wird und erstarrt. Die ganze Lampe
_________ ___________________ _________________________!_i_______——.—J
Abb. 11. Ladebank für Bleiakkumulatoren. Abb. 12. Ladebank für Alkaliakkumulatoren.
Abb. 13. Eine Lampen-Ladestation ouf den Saargruben.
hat also praktisch nur zwei Teile, den Topf und den
Lampenaufsatz. Das Laden geschieht auf besonderen
Ladebänken in mehreren Reihen übereinander (Abb.
11). Sowohl Unterhaltung wie Reinigung stellen keine
großen Ansprüche, und man hat den' Vorteil, daß die
zwei Pole ständig isoliert bleiben, da die aktiven Plat-
ten in einem Ebonitkästchen ruhen, ohne daß ein Pol
die Masse berührte.
Ter Eisen-Nickel-Cadmium-Akkumulator hat be-
kanntlich einen f l ii s s i g e n Elektrolyten, nämlich
eine Pottaschelauge von 25 B^. Das Modell zeichnet
sich durch eine große Widerstandsfähigkeit sowohl gegen
mechanische (die vereinigten Platten haben die Festig-
keit eines Stahlblocks) wie gegen chemische Einflüsse
aus. Ter Akkumulator kann daher auch eine fast un-
begrenzte Zeitdauer sowohl geladen als auch ent-
laden im Magazin stehen, ohne daß die Platten
irgendwie angegriffen würden; auch ist er gegen Span-
nungsschwankungen wenig empfindlich. Seine Halt-
barkeit im Gebrauch ist recht gut; die Gebrauchsfähig-
keit ist fiir drei Jahre garantiert (gegenüber einer
solchen von nur einem Jahr bei den meisten Blei-
akkumulatoren) und hat sich in der Praxis vielfach als
noch größer erwiesen, so daß trotz des höheren An-
schaffungspreises und der etwas geringeren elektri-
schen Leistungsfähigkeit er sich im Gebrauch sehr vor-
teilhaft stellt.
Die -^Elektrode des Akkumulators hat eine aklive !
Masse aus der Basis Cadmium-Nickel, die — Elektrode !
eine solche auf Eisenbasis. Die Konstruktion der ein- !
zelnen Elektroden ist ähnlich der im Kalender 1925 be-
schriebenen, und aus den beistehenden Abbildun-
gen gut zu erkennen; das gleiche gilt von den Sicher-
heitsvorkehrungen gegen die Aktivität der Pottasche-
lauge. Während der Ladung geht der Strorrr von der !
-H zur —Elektrode, d. h. vorn Nickel zum Eisen;
während der durch den Gebrauch herbeigeführten Ent- I
ladung ist es umgekehrt. Dabei wird das Nickel von!
dem Sauerstoff, den es während der Ladung aufge- !
nommen hat, frei, und das Eisen oxydiert. Es ist in
der Hauptsache diese Oxydation des Eisens, die in
elektrische Energie umgewandelt wird, wobei der >
Elektrolyt lediglich die Rolle eines Transportmittels j
für die Sauerstoff-Ionen spielt.
Jeder Akkumulator besteht aus zwei hintereinander
gespalteten Elementen, deren Stärke am Ende der
Ladung (2.1,8—) 3,6 Volt beträgt. Nach Illstündigem
Gebrauch bei einer Glühlampe von 0,7 amp., während- ;
dessen die Stärke sich ziemlich konstant aus etwa 2,1 j
Voll hält, bleibt noch eine Stärke von etwa 2,2 Volt. l
Auch bei dieser Lampe ist dem Bergmann die Mög- !
lichkeit geblieben, das Licht auszuschalten; ein Um-
stand, der namentlich dann wertvoll ist, wenn bei '
einem Unglück abgeschnittene und eingeschlossene Berg- ,
leute sich eine Lichtreserve bewahren wollen.
95
Stengels Neubau des Residenzschlosses in Saarbrücken.
Sarock und Rokoko an öer Saar
von I. Gayot.
as Erstehen einer völlig neuen Stadt inmitten
einer gewissermaßen im Dornröschenschlaf da-
liegenden Umwelt ist naturgemäß für diese von
um so größerer Bedeutung, je mehr die neue Ächöp-
sung in allen Einzelheiten den Stempel eines
Meisters zur Schau trägt, wie aus einem Gusse er-
scheint. So war es denn auch der Fall, als S a a r -
louis sich auf Geheiß Ludwig XIV., nach den
Plänen Baubans, plötzlich aus dem Nichts erhob. Es
ist daher klar, daß die bei seiner Erbauung tätigen
Ingenieure und Architekten auch auf das' gesamte
übrige Bauwesen an der Saar einen befruchtenden
Einfluß ausübten.
Die Saarbrücker Lande standen zu jener Zeit imter
der Regentschaft von Eleonore Clara von Hohenlohe,
Witwe des Grasen Gustav Adolf von Saarbrücken
(1677—1697). Diese tat alles, was in ihren Kräften
stand, um das Schloß S a a r b r ü ck e n in besse-
ren Stand setzen zu lassen. Zu diesem Zwecke berief
sie den französischen Architekten und Ingenieur
I. C. Bl o t t e, âit la Bouté, auch wohl
Monsieur de la Bouté genannt, aus dein eben neu
geschaffenen Saarlouis. Dieser Joseph Motte scheint
damals ein bekannter und sehr gesuchter Architekt
gewesen zu sein. Schon 1696 hatte er einen Riß vorge-
legt der uns zeigt, in welcher Weise man die alte Re-
naissancebura den von Frankreich herüberkommenden
neuzeitigen Anschauungen anzupassen bestrebt war.
Die schmalen Fenster des Schlosses sollen in breite
Öffnungen verwandelt werden, eine doppelseitige
Freitreppe legt sich mitten^vor den Bau, dessen Ein-
gang eine Portalanlage betont. Der gleiche Bleister
entwarf auch für den Grasen Ludwig-Kraft die Pläne
für das Lustschloß Halberg, und zwar nach dem Bor-
bild von Marly bei Bergailles in einer aufgelösten
Grnndrißanlage. ^
Als ausführende Kräfte erscheinen der Saarbrücker
Zimmermeister Daniel Kießling und besonders
der Saarwerdener Paulus Bucklisch sowohl beim
Umbau des Schlosses als auch beim Halberger Neu-
bau. Jakob Fin que de Bretoncourt lie-
ferte den nötigen Marmor. Bei der bildnerischen Aus-
schmückung des Parks war der Bildhauer Pisrard
C o r a i l! e aus Wilhelmsbrunn bei Kreuzwald
ebenso wie in Halberg in hervorragender Weise tätig.
Wenn uns auch von diesen Werken Corailles
nichts erhalten blieb, so können wir doch seine Art an
den pomphaften Grabmäler n, die er in der
kleinen gotischen Schloßkirche errichtete, studieren.
— Das bedeutendste von ihnen ist das Denkmal des
Grafen Gustav-Adolf und seiner Gemahlin Eleonore-
Clara, das um 1700 entstand. — Das Wandgrab des
Grafen Ludwig-Crato (ch 1713) und seiner Gemahlin
Philippine-Henriette von Hohenlohe steht dagegen in
seinem Ausbau und auch in der Gruppierung stark
zurück. — Auch das dritte, das des Grafen Karl-
Ludwig (ch 1723) nebst seiner Gemahlin Christiane von
Ottweiler und seinen zwei Kindern, ist in der Auf-
fassung recht trocken. — Weit höhere Anerkennung
verdient dagegen der ebenfalls von dem gleichen
Meister stammende, reichbewegt aufstrebende Epitaph
des Reichsfreiherrn Henning von Strahlenheim,
Herrn zu Forbach (ch 1731) in der St. Arnual er
Stiftskirche.
96
Prospekt üec beiden Stäbe Saarbrücken und St. Johann.
1. Vas fürstliche Schloß. S. ver Herrschaftliche Marstall. 3. Vas Rathhouß. 4. die evangelische Lutherische
Schloßkirche. 5. die Lutherische Luöwigskirche. 6. vie Reformierte Kirche. 7. vie kafserne. 3. vie Saarbruck.
9- ver Kranen, an welchem öle Schiffe ausgelaöen werben. 10. Vie Saar. 11. Vie Lutherische Kirche in St.
Zohann. 12. die Katholische Kirche. 13. Vas St. slrnualer Stifts 14. vie Kohlwage. 15. Vie Herrschaftliche
Gehlmühle. 16. Vas fürstliche Lustschloß auf öem Haiberg. Gebrückt 1825.
Ter bürgerliche Wohnbau dieser frühen
Epoche des 18. Jahrhunderts kam demgegenüber noch
zu keiner besonderen Bedeutung. Und auch im Bau
der evangelischen Kirche in St. Johann,
die in den Jahren 1725—1727 ausgeführt wurde,
zeigt sich die allgemeine Armut ausgeprägt. — Das
gilt auch von der inneren Ausgestaltung, wenn auch
ein Bildhauer, F e r d i n a n d ' G a n a'l von Saar-
louis, den Schalldeckel der Kanzel in der Schloßkirche
lieferte und um die Kanzel der St. Johanner Kirche
der Maler Bellon „einen blauen Fürhang, so von
2 Engelfiguren fliegend gehalten wird", malte.
Das Jahr 1728 bedeutet für das Saarbrücker Land
einen höchst bedeutungsvollen Wendepunkt seiner Ge-
schichte. Damals siel durch das Aussterben der gräf-
lichen Linie Nassau-Saarbrücken-Ottweiler die Erb-
schaft an das gefürstete Haus Nassau-Usingen. Die
Witwe Wilhelm-Heinrichs von Usingen, Charlotte-
Amalie von Oranien-Dillenburg, ergriff alsbald die
Regentschaft für ihre Söhne, von denen dann der
Jüngere, Wilhelm Heinrich (geb. 1718) die diesseits
des Rheins liegenden nassauischen Länder erhielt. Mit
Wilhelm-Heinrich kam in Saarbrücken ein
Fürst zur Regierung, der die Klugheit seiner Mutter
mit einem bemerkenswerten Kunstsinn verband.
Inzwischen war, während der Regentschaft des Her-
zogs von Orleans für den unmündigen Ludwig XV,'
der steife, frömmelnde Ton der letzten Jahre Lud-
wigs XIV. in sein Gegenteil umgeschlagen. Mit dein
neuen Geiste kam auch der neue Stil in die Kunst
das eigentliche „B a r o ck" wurde von dem « style
R6gence » und dem späteren « style Louis XV », st
Deutschland „Rokok o" genannt, abgelöst. An die
Stelle der Geradlinigkeit, der Symmetrie, der Stili-
sierung der Natursormen, setzt das Rokoko die Kurve, s
die Ungleichmäßigkeit, den Naturalismus. Nicht
immer naturgetreu, aber immer von einer tändelnden
Eleganz sind die Formen. Das Ornement ist M
Selbstzweck geworden. Dieser französische Stil fand
bald auch in Deutschland Eingang. Das deutsche
Rokoko ist aber viel bewegter. Bewegter ist der
Schmuck, stärker sind die Ornamente.
Der große Meister barocker Kunst, Frie-
drich I o a ch i m Michael Stengel, geboren
1694 in Zerbst, kam im Jahre 1735 naa
Saarbrücken. Auf Grund seiner Berichte ent-
Grabdenkmäler in der Schloßkirche zu Saarbrücken.
TI TT!
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Die evangelische Ludwigskirche in Saarbrücken: Altar, Kanzel und Orgel.
97
schied der Fürst (1739),
daß „das Res idenz-
schloß zu Saar-
brücken wegen
seiner Baufälligkeit
ganzvom Grund
a u s n e u erbaut"
werden solle und über-
trug ihm die Bau-
leitung ; Stengels erste
Tat war der fürstliche
Marstall, der nach der
Saarseite zu neben
dem linken Flügel des
späteren Palastes zu
stehen kam. 1748 war
der Schloßbau vollen-
det. Dann wurde der
ganze Schloßplatz zu
einem einheitlichen
Bild zusammengefaßt,
nach einander entstan-
den von den 50ger
Jahren ab das Rat-
haus, das Erb-
prinzenpalais,
die Lingerie, das Kutschenhaus und zahlreiche Häuser
der Hofkavaliere.
Hinter dem Schlosse schuf Stengel einen Park. Da-
zu mußte auf der Beraseite der Felsen weichen, auf
der Talseite der Fluß sein altes Bett verlassen, auch
ließ Stengel seine eigene erste Schöpfung, den Mar-
stall wieder abreißen, um für seine neuen groß-
zügigen Pläne Platz
zu bekommen. Ein der-
artiges Wiedernieder-
legen eigener Bauten
zur Erzielung des ge-
schlossenen Eindrucks
späterer größerer
Schöpfungen finden
wir häufiger bei ihm.
Eine Schilderung des
prächtigen Eindrucks
des Neuen verdan-
ken wir Goethe.*)
Nunmehr schritt
Stengel, den Fürst
Wilhelm-Heinrich zu
seinem Baudirek-
t o r gemacht hatte, zur
Erfüllung des fürst-
lichen Lieblingswun-
sches, einer völligen
Umgestaltung des
Bildes der Residenz-
stadt Saarbrücken
wie auch des gegen-
überliegenden S t.
Johanns. Ein Bebauungsplan wurde aufgestellt,
neue gradlinige Straßenzüge dehnten sich aus, neue
Plätze' wurden geschaffen, und stattliche Wohnbauten
fügten sich allenthalben harmonisch in das neue Bild.
Stuch der Kirchenbau wurde nicht vernachlässigt. Schon
*) Vergl. im Kalender 1926 Seite 66.
Die Katholische St. Joiephskirche von St. Johann.
(Photo: K. C. Kirsehmann, Saarbrücken.)
Stengels letztes Werk: Die evangel, (luther.) Ludwigskirche in Saarbrücken.
7
98
1743 war in der neuen
W i Ih e l m st r a ß e, die,
heule Wilhelm-Heinrich-
Straße genannt, auch jetzt
nach trotz mancher Än-
derungen am klarsten
Stengels einheitlich-groß-
zügig zu einem Mittel-
punkte hinstrebende Städ-
tebaukunst zeigt, die re-
formierte Kirche
entstanden, deren wir-
kungsvoll ausgebildeter
Turm der Silhouette der
Stadt einen besonderen
Reiz verlieh *). Durch
späteren zweimaligen Um-
bau (erst zum Gymna-
sium, dann zur altkatho-
lischen Kirche) blieben
eigentlich nur noch die
Außenmauern dieses
Stengelschen Werkes uns
erhalten.
Auch St. Johann
bekam die Segnungen der
fürstlichen Baupolitik zu
spüren, wovon Marktplatz
mit Zierbrunnen und
Marktstraße heute noch
zeugen. Hier war das
Hauptwerk der Neubau
der katholischen
Kirche (an der Türken-
straße), die in den Jahren
1754—1764 mit großen
Zuschüssen des Königs von Frankreich und des könig-
lich-polnisch und kurfürstlich-sächsischen Herrscherhauses
erbaut wurde. Sie gibt uns sowohl außen wie innen
ein vortreffliches Beispiel der Kunst des Barock-
klassikers Stengel, wobei der harmonische Zusammen-
klang der Turmform in der Stadtsilhouette mit dem
Turme der reformierten Kirche für den städtebaulichen
Blick des Meisters wiederum charakteristisch ist.
Mit besonderer Liebe war Stengel auch daran ge-
angen für seinen Fürsten ein glänzendes Lustschloß
ei Neunkirchen zu entwerfen: im Jahre 1752 wurde
der Bau angefangen und erhielt 1777 von dem neuen
Fürsten Ludwig,'dem Sohn Wilhelm-Heinrichs, den
Namen „Jägersberg". Von der ganzen Pracht dieses
Jagdschlosses steht nur noch ein Nebengebäude, das
sogenannte Jägermeisterhaus, später evang. Pfarr-
haus?*) All' die andere Herrlichkeit, Schloß, Anlagen,
Terrassen hielten den Stürmen der Revolution nicht
stand. Ein anderes Nassau-Saarbrücker Lustschloß, das
ebenfalls in den Revolutionskriegen zerstört wurde
war der L u d w i g s b e r g. Es wurde 1769 von dem
Fürsten Ludwig angelegt.
In Ottweiler ließ Fürst Wilhelm-Heinrich
in den Jahren 1758—1759 gleichfalls ein kleines Pa-
lais nach den Plänen- Stengels errichten, den noch
stehenden sogenannten Pavillon, einen Bau
von vier Fensterachsen, ein Muster vornehmer Barock-
eleganz. Gleichzeitig scheint auch noch ein beachtens-
wertes Haus in Oti-
weiler erbaut worden zu
sein (Bisniarckstraße 17),
desgleichen läßt das in
die alte evange-
lische Kirche 1757
neueingebaute Portal den
Einfluß des Meisters
deutlich erkennen. Ein
weiterer fürstlicher Bau
in Ottweiler war die
P v r z e l l a n Manu-
faktur. Das Haupt-
gebäude dieser Porzellan-
und späteren Fayence-
fabrik lag nicht weit von
dem Pavillon im fürst-
lichen „Herrengarten".
1804 wurde es abgerissen.
Der bedeutendste Bau
aber, der nach den Plänen
Stengels in Ottweiler
errichtet wurde, ist das
„W i t w e n p a l a i s",
das 1760 Wilhelm-Hein-
rich für seine Gemahlin,
Sophie von Erbach er-
bauen ließ, welche es
denn auch nach seinem
Tode (ab 1768) bewohnte.
Den Glanzpunkt der
Tätigkeit Stengels und
Krönung seines Lebens
aber bildet die Errichtung
der L u d w i g s k i r ch e
und des Ludwig-'
Platzes. Ist dieser Platz mit seinen Palast-
gebäuden *) und der Durchbruch der Wilhelm-
Heinrich-Straße nach dem alles beherrschenden Mittel-
punkte die Krone seiner städtebaulichen Ideen, so
schuf er in der Kirche selbst sein Ideal eines prote-
stantischen Gotteshauses. Erblicken wir in der St.
Johanner Kirche eine reine Schöpfung des katho-
lischen Kirchentyps in dem zum beherrschenden Chore
hinstrebenden Schiff, so fehlt dem gegenüber der
Ludwigskirche als dem Typus der protestantischen
Predigtkirche ein Chorabschluß; hier sind
Kanzel und Altar in die Mitte der Zentralanlage
gestellt.
Fürst Wilhelm-Heinrich erlebte die Vollendung des
Baues nicht mehr. Unter seinem Nachfolger, dem zu
Ehren sie Ludwigskirche heißt, wurde sie 1775 ein-
geweiht. Stengel selbst war damals 81 Jahre alt.
Von den unter Stengel tätigen Kräften seien vom
St. Johanner Kirchbau die Bildhauer und Stukka-
teure Jacques G o u n i n aus St. Zlvold sowie
M i h m und Wunnibald Wagner genannt. Bei
der Ludwigskirche sind außerdem noch der bei der
künstlerischen Ausschmückung beteiligte Franzose
G o u n i n, der überhaupt lange Jahre in Saar-
brücken unter Stengel tätig war, sowie Franzis-
c u s B i n ck zu nennen, ferner der Saarbrücker
Künstler Stein, der Architekt Sachsenröder,
der Werkmeister D o d e l, und Stengels ältester
Beichtstuhl in St. Joseph.
(Photo: K. C. Kirschmann..)
*) Siehe Bilder im Kalender 1922.
**> Heute Wohnung des Ing. Princ. der Jnsp. 8.
) Siehe Bilder im Kalender 1922.
99
Sohn, der spätere kaiserlich-russische Hofarchitekt
Johann Friedrich Stengel.
Stengel selbst starb 1787. Sein würdiger Nachfolger
in Saarbrücken wurde sein zweiter Sohn Baltha-
sar Wilhelm Stengel, auf den vor allem die
in den 80er Jahren errichtete Orangerie zurück-
zugehen scheint, ein schöner klassischer Bau, aber
in vielem auf den Überlieferungen des Barocks fußend.
Auch wurde von ihm das fürstliche Schauspiel-
haus in Saarbrücken aufgeführt, das jedoch bereits
1193 ein Raub der Flammen ward. Desgleichen fällt
die Anlage der sich entsprechenden Gruppen vor dem
St. Johanner Ob e rt o r in die Zeit von 1792.
So ist an dem Bruch'schen Haus (erbaut 1792) noch
ein besonders reiches Portal im Louis-Seize Stil
erhalten.
*
Doch wir finden die Spuren des neuen künstle-
rischen Lebens jener Zeit nicht allein im engeren
Saarbrücker Gebiet. Insbesondere auch die g e i st -
lichen Herren jener Epoche ließen sich gern zu
den großartigsten Bauten, die kam« im Verhältnis
zu der Bedeutung ihrer Territorien standen, hinreißen.
So hatte der A b t von Mettlach, Ferdinand von
Köhler (1691—1734), den hochbegabten Architekten
Christian Kretschmar kennen gelernt. Er
holte ihn nach Mettlach, wo er ihm den grandiosen,
mit seiner üppigen Formenbewegtheit hier an der
Saar gegenüber der beherrschten Stilart Stengels so
fremd anmutenden Klosterpalast am Flußufer erbaute.
Dieser prachtvolle Bau wurde nicht später als im
Jahre 1728 in Angriff genommen. Das Hauptportal
des Vorderflügels wurde 1734 errichtet. Dies beweist
wie langsam der ungeheure Bau vorwärts schritt.
Es ist darum mit besonderer Freude zu begrüßen,
daß später keine Änderungen vorgenommen, londern
stets getreu dem ersten Entwurf in den wuchtigen
Barockformen weitergebaut wurde.
Die monumentalen, immer noch allzuwenia beach-
teten Bauten von Mettlach sind uns glücklicherweise
erhalten geblieben und teilten nicht das Schicksal der
anderen großen Saarabtei, der von W a d g a s s e n.
Der dortige Abt, Michael Stein (1743—
1778), wird nicht mit Unrecht als baulustig geschil-
dert. Sein bedeutendstes Werk war die Basilika
in Wadgassen. Er ließ die zweitürmige Kirche, wie
sie uns noch ein Bild von 1763 zeigt, niederlegen. An
ihrer Stelle erhob sich eine neue, welche im Innern
eine Länge von 220, eine Breite von 76 und eine
Höhe von 66 Fuß hatte. St. Paulinus in Trier
ähnelnd, muß diese Abteikirche ein hervorragendes
Muster des Rokoko-Stils gewesen sein. Sie hatte nur
einen Hauptturm mit 8 Glocken. In dem von 14
Säulen getragenen Innern standen 7 Altäre.
Das Innere der Ludwigskirche, rechts die Fürstenloge.
(Die Anordnung der Sitze im Viereck um Altar und Kanzel ist für die beabsichtigte Wirkung einer protestantischen Predigikirche charakteristisch).
7*
100
HMs der Fnmilie Stadt-Marx in Merzig, jetzt Direktionsgebäude
der Akttenbrauerei Merzig.
*) Siehe Bergmannskalender 1926
Seite 136 ff. „Blieskastel und das
Bliestal*.
Leider findet man Banakten zur Geschichte dieser
beiden Abteien nur sehr selten. Doch ist man geneigt,
in Wadgassen weniger einen Einfluß von Kurtrierer
Seite zu suchen, als vielmehr zu glauben, das; diese
Abtei bei ihrem umfangreichen Bauwesen auch einen
eigenen Archtitekten besoldet hat, und sich bei
den nahen Beziehungen zu dem seit 1766 französischen
Lothringen dortiger Kräfte bediente. In der Tat
findet man einige Namen genannt: so 1763 „den
Klösterlich Wadgassischen Baumeister Heinrich
E ck a r d", desgleichen den Architekten B I o u c a t t e
aus Saargemünd, von dem auch die kleineren
K i r ch e n b a u t e n von Großblittersdorf
(1740—1750), Ensheim (1754—1755), B o u s
(1756), L i s d o r f (1764) und Düppeü Weiler
(1765) und vielleicht das Forst haus in Bous
(1769) stammen. Die Kirche von Nalbach bei
Düppenweiler wurde von Lorenz und Johann Peter
Pauli erbaut (1763—1767). Die St. Wende-
lin u s k a p e l l e bei St. Wendel, deren Inneres
so zierlich abgewogene Stuckdetails zeigt, wie man
sie in einer solch einsamen Landkapelle niemals er-
wartet hätte, läßt in dieser Ausstattung den Einfluß
von St. Jrmin in Trier erkennen. Am Hauptportal
sieht man die Jahreszahl 1765, doch mag die innere
Ausstattung später anzusetzen sein.
In Merzig zeugt von der Anwesenheit des
Archtikten Kretschmar, der dort bis 1755 wohnte,
das prächtige Patrizierhaus der Familie Stadt-Marx
(heute Aktienbrauerei), dessen künstlerische Durchbil-
dung auf einen großen Baumeister schließen läßt.
Desgleichen darf man wohl das Schlößchen in
Hilbringen Kretschmar zuschreiben. Es wurde
1745 erbaut.
Weit mehr noch den Einfluß der damaligen fran-
zösischen Kunst zeigen die Bauten des Zwei-
brücker Baudirektors C h r i st i a n Ludwig
H a u t t (in Nohfelden 1726 geboren, ch 1806), dessen
Turm der dortigen Alexanderkirche
das Wahrzeichen der alten Wittelsbacher Herzogs-
stadt geworden ist.
Uns interessiert hier vor allem sein Einfluß aus
die Bautätigkeit in der Gräflich von der Leyen'schen
Residenz B l i e s k a st e l, in der sich seine Kunst
mit der Stengels berührte. Von dem stattlichen R e -
s i d e n z s ch l o ß steht auch hier kein Stein mehr,
nur ein Seitenbau, eine Orangerie, die aber noch aus
dem Ende des 17. Jahr-
hunderts stammt, kündet
von verschwundener Herrlich-
keit. *)
An die weltweiten Be-
ziehungen des Zweibrücker
Herrschergeschlechts erinnert
in Zweibrücken die Karls-
k i r ch e, eine Schöpfung des
Schwedenkönigs Karl XII.
Sie wurde 1708—1711 von
dem schwedischen Baumeister
I. E. S u n d a h l erbaut
und zeigt heute noch das
schwedische Königswappen
über einem ihrer Eingänge.
— Der König, der zugleich
Herzog von Zweibrücken war,
hatte dort dem flüchtigen
Polenkönig Stanislaus Lesz-
czinskh für mehrere Jahre
ein Asyl gewährt. So wurde
dieser der Schöpfer der
Ob eren Vor st ad t, sowie
der Fasanerie in seinem
Wohnsitz Tschifflik. Ein wei-
terer herrlicher Bau, der
I u st i z p a l a st, wurde
von Sundahl auf Befehl des
Herzogs Gustav ? Samuel -
Leopold in den Jahren 1720
bis 1725 erbaut. Er diente
von 1725 bis 1793 den Zwei-
brücker Herzögen als Resi-
denzschloß. —' Herzog Chri-
stian IV (1735—1775) ist
der Schöpfer der nördlichen
„Neuen Stadt". Sein
101
Meltlach: Abtei, Gesamtfront — heute Fabrik von Villeroy & Boch.
(Erbauer: Kretschmar.)
Charakteristische Prosanbauten der Barockzeit an der ^aar.
(Photos: K. G. Kirschmann, Saarbrücken.)
Pavillon am Deutschherrenweg.
(Erbauer: Stengel.)
Mettlach: Abtei, Haupteingang.
102
-Nachfolger, Karl II. August, residierte meist auf dem
von ihm angelegten, heute verschwundenen Schlosse
Karlsberg bei Honiburg. 1777 begonnen, wurde
dies „Versailles" des Herzogs mit einem Kostenauf-
wand von 14 Millionen Gulden in drei Jahren fertig-
gestellt. In der Mitte stand das große zweistöckige
Schloß mit zwei Flügeln, rechts davon die Orangerie,
das Theater, Wohnungen für die Hofkavaliere, die
Kellereien, das Wintervogelhaus und die Chevaux-
legerskaserne. Links an das Schloß reihten sich Stal-
lungen, Remisen, ein Jägerhaus, der Hundezwinger,
die Grenadierkaserne, ein Hospital, Wohnungen, eine
Brauerei usw. an. Der Architekt dieser Riesen-
residenz war der große Maler Johann-
Christian von Männlich. Das Jagdschloß
Jägersburg, eine weitere prachtvolle Residenz,
wurde wohl von dem französischen Architekten D u -
ch e n o i s erbaut.
Neben der Baukunst erwachte auch die Malerei
in jener Zeit zu neuem Leben.
Die Zweibrücker Maler des 18. Jahr-
hunderts waren Johann-Georg Traut-
mann (1713—1769), Müller (1749—1825), Zie-
se n i u s (1716—1777) und besonders der Hofmaler
von Männlich (1741—1822). — Die Saar-
brücker Maler (Ende des 18. Jahrhunderts)
sind Johann-Friedrich Dryander
(1756—1812), dessen zahlreiche im Heimat-Museum
der Stadt Saarbrücken erhaltenen Ölgemälde, Pa-
stelle und Zeichnungen vor allem aus bürgerlichen
Kreisen uns so recht jene Epoche vor Augen führen
(sie sind für die Kenntnis der Trachten und der
Umgebung, in der die Saarbrücker damals lebten, von
besonderer Wichtigkeit), und auch Kaspar Pitz,
der 1756 in Saarbrücken geboren wurde und später
unter dem Einfluß Mannlichs in Zweibrücken ein
völliger Klassizist wurde.
HukUrn: Karl Lohme«er: „Saarbrücken" (Mitteil, des Rheinischen Vereins für Denkmalspflege, 6. Jabrg. Heft 1 (1912). — „Friedrich
Joachim Stengel" (Düsseldorf 1911). — „Johannes Seiz" (Heidelberg 1914V — „Die Kunst a. d. Saar" Schriften des Frankfr. Meßamts,
Heft 15, 1924). - Kell: „Geschichte des Kreises Merzig" (1925). — Lager: „Abtei Mettlach". — Tritz: „Abtei Wadgassen". — Rübel: ,.C. L.
Hautl" (Heidelberg, 1912). — Albert Becker: „Zweibrücken" (1917).
Echternach und die Springprozession.
oit den rauhen Ardennen herab wälzt die
Sauer ihre klaren Fluten rastlos der Mut-
ter Mosel entgegen. Als echter Gebirgsfluß
duldet er nur leichte Fischerkähne und Fährbote, aber
keine Flöße und schwere Lastschiffe auf seinem Rücken.
Seine Wogen treiben manch' fröhlich klappernde
Mühle, die im Schatten von Pappeln und Weiden
idyllisch daliegt, nirgends aber küssen sie die schmut-
zige Hand der Industrie. So bewahrt die Sauer sich
in ihrem Laufe stets das Gepräge ihrer unbändigen
Jugend, und in kühn gewundener Linie durchzieht sie
eine an Sage und Geschichte reiche, von der Natur
köstlich beschenkte Landschaft.
Bei Wallendorf vereinigt sich die Sauer mit der
O u r, welche die A r d e n n e n und die Eifel
geographisch und politisch trennt, und bildet dann
(bis Wasferbillig) die Grenze zwischen Luxemburg und
Deutschland.
Das Tal verengt sich, die waldbedeckten Berge rücken
näher zusammen, ein gewaltiger Bergstock tritt bei
Dillingen dem Flusse in den Weg und zwingt ihn
zu einer großen Schleife, bis dann plötzlich unver-
mittelt vor dem Blicke des Ankommenden der Tal-
kessel von Echternach, rings von hohen Berg-
rücken umsäumt, sich öffnet. Wir find hier inmitten
einer Gegend, die ihresgleichen weit und breit nicht
hat: eigenartig, anmutig und pittoresk zugleich, öffnen
sich romantische Täler, deren jedes den Eingang zu
einem weitverzweigten System von Gründen und
Schluchten darstellt, auf beiden Seiten des Sauertals.
Lichte Buchenwälder füllen Sohlen und Abhänge,
finstere Tannen und Fichten krönen die Höhen, ge-
waltige Felswände säumen die Täler ein, eine präch-
tige Flora zeigt sich allenthalben. Fortwährend bietet
Neues sich dem Auge; keine Felspartie gleicht der
anderen, neben sich kilometerlang hinziehenden zinnen-
artigen Gebilden sehen wir gewaltige Einzelblöcke,
die, wie der 80 m hohe Perekop, nur durch einen
Kamin auf alpine Art bestiegen werden können; enge
Schluchten, natürliche Tunnels und Höhlen geben
dem Wanderer nur beschwerlichen, aber dann desto
lohnenderen Zutritt.
Inmitten dieser so abwechslungsreichen Landschaft,
die mit Recht den Namen der luxemburgischen
Schweiz fiihrt, liegt das malerische altberühmte
Städtchen Echternach mit seinen beinahe tau-
sendjährigen noch zum Teil erhaltenen Ringmauern,
deren Türmbastionen über einen Kranz von Gärten
und Obstbäumen gebieterisch hervorragen, während
im Mittelpunkte der Stadt die majestätische Basi-
lika des hl. Willibrord und die ebenso
ehrwürdige St. Petrus-Pfarrkirche, beide die ältesten
christlichen Tempel des Landes, die Ansicht weithin
beherrschen.
Der weite, fruchtbare, von hohen Bergen gegen
widrige Winde geschützte Talkessel, der fischreiche Fluß
und die umgebenden Waldungen haben schon früh-
zeitig zur Niederlassung gelockt. Kelten, Römer und
Franken haben ihre 'Spuren allenthalben hinter-
lassen. — Die älteste schriftliche Erwähnung findet
man in den Schenkungsurkunden der Ende des
7. Jahrhunderts durch den späteren Apostel der
Friesen, Clemens Willibrord, gegründeten Benedik-
tiner Abtei, und zwar unter dem Namen Villa
E f t e r n a c u s als Krondomäne der fränkischen
Könige. Willibrord erhielt diese zum Geschenk durch
Pipin von Heristal. Als seine Nachfolger waren die
Abte des Klosters als „Herren von Echternach"
reichsunmittelbar von 698-bis 1795, wo die
Wogen der französischen Revolution auch Echternach
erreichten.
Die Stadt selbst, die heute rund 4000 Einwohner
zählt, zeigt noch viele Zeugen ihrer alten Vergangen-
103
heit; zwischen modernen Bauten alte Gibelhäuser,
die schon erwähnten Überbleibsel der mittelalterlichen
Befestigung, Straßennamen, welche zum Teil
schon in Urkunden des 13. und 14. Jahrhunderts
auftreten, und die heute noch ausgesprochen und
geschrieben werden wie zur Zeit des uns Saar-
ländern so wohlbekannten blinden Königs Johann
b. Böhmen, Grafen von Luxemburg, dessen schlachten-
müder Leib heute in der stillen Eremitage der Saar-
berge ruht. Den Marktplatz beherrscht mit seinen
Säulengängen der Dingstuhl (Denzelt), der
zwischen 1440—1460 als Sitz des Dinggerichls erbaut
wurde, ihm gegenüber befindet sich das alte Rat-
haus, „unter den Steilen" genannt, eine
Benennung, welche auch für die alten Rathäuser in
Trier und Luxemburg gebraucht wurde.
Ihre zwei Kirchen sind der Stolz der Stadt. Da ist
zunächst die Basilika des hl. Willibrord. Nach
dem großen Brande von 1016 wurde sie auf den
Grundmauern der ursprünglichen fränkischen Kirche
von Abt Urold aufgeführt, wobei der unter dem Schutt
erhaltene Teil der ursprünglichen Kirche zur
Krypta wurde, und 1031 konsekriert. Der ursprüng-
lich romanische Bau wurde gegen 1250 mehreren Än-
derungen unterworfen, die stäche Holzdecke durck ein
Gurtgewölbe, die kleinen romanischen Fenster durch
größere im englisch-gotischen Stil ersetzt. Anfang
des 19. Jahrhunderts im Privatbesitz und in eine
Fayancefabrik verwandelt, wurde sie durch den 1861
gegründeten St. Willibrord-Bauverein der Zerstörung
entrissen und in langjähriger Arbeit mit Unterstützung*
des ganzen Landes eingehend renoviert und ihrer Be-
stimmung wieder zugeführt. Eine Eigentümlichkeit
der Kirche ist namentlich der viereckige (gradlinige)
Ehorabschluß, eine Art, die sich in der englischen
Gotik des öfteren findet. Im Chor befindet sich der
prächtige Marmorsarkophag des Heiligen, der heute
wieder dort seine Ruhestätte gefunden, nachdem er
während der Nichtbenutzung "der Basilika in der
Pfarrkirche verehrt worden war.
Neben der Basilika liegt die Abtei, die jetzt
Staatseigentum ist und die mit allen Gebäuden,
Gärten und zugehörigen Häusern etwa X des
Flächeninhalts der Stadt einnimmt.
Gleichalterig mit der Basilika ist die Pfarr-
kirche St. Peter und Paul, welche aus
einem 10—12 m hohen Hügel inmitten der Stadt
liegt, an dessen Nord- und Südseite je eine breite
und hohe Treppe hinaufführt.
Einmal im Jahre, am Psingstdienstag,
hat Echternach seinen großen Tag, den Tag der
Springprozession, zu dem von nah und fern
die Menschen herbeiströmen, sodaß die Zahl der Teil-
nehmer zwischen 10—16.000 beträgt, die der Zuschauer
gar nicht abzuschätzen ist.
Die Prozession, im Mittelalter Prozession der
„springenden Heiligen" genannt, deren Ursprung voll-
ständig im Dunkel liegt, ist seit 1400 sicher nachweis-
bar, mit dem Grundgedanken der Aufopferung des
mühevollen Springens als Buß- und Bittübung zur
Bewahrung vor Fallsucht und Veitstanz (Herder). Die
Teilnehmer, mit Tüchern einander haltend, springen
nach der einfachen aber eindringlichen Melodie der
uralten Prozessionsweise, 5 bezw. 3 Schritte vor und
dann wieder 3 bezw. 1 rückwärts. Allenthalben im
Zug verteilt sieht man kleine Musikkapellen (größten-
teils keine Berufsmusikanten). Und, rührend in ihrem
Glauben, sieht man alte Leute in der Prozession, deren
Springen nur noch ein Andeuten ist, sowie Kranke,
die vom mitleidigen Nachbarn unterstützt, die Fürbitte
des Heiligen erflehen. Vormals erstiegen sie springend
die 60 Stufen zur Pfarrkirche; seit der Translation
der Reliquien in den neuen Sarkophag nimmt die
Prozession ihren Weg wieder nach der Basilika, wo
sie nach der üblichen Spende sich auflöst.
Aber, wie eingangs gesagt, Echternach verdient es,
daß man auch sonst im Laufe des Jahres es besucht.
Mögen diese Zeilen dazu beitragen, daß recht viele
unserer Landsleute in der „Luxemburgischen Schweiz"
ihre Erholung suchen und finden.
— 104 —
sRurtd um den Mout-BIanc.
Reifebriefe und Cagebud)blätter.
Redigiert von Prof. Dr. Baur.
Ein Saarbrücker Landsmann, der im vorigen
Jahr eine große Alpenreise gemacht hat, und
den wir um eine Schilderung seiner Erlebnisse
für den Bergmannskalender baten — denn
wir wissen Wohl, welch' großes Interesse un-
sere Leser, selbst Kinder eines Landes der
Berge und Wälder, für Wanderungen und
Hochgebirgstouren hegen — stellte _ uns die
nachstehend abgedruckten Briefe an seine Gat-
tin und Tagebuchnotizen zur Verfügung. —
„So ist der Eindruck viel unmittelbarer, . als
wenn ich erst eine lange Geschichte schreiben
sollte," meinte er. — Der Verfasser hat von
Lyon aus mit der Bahn, im Auto und zu Fuß
sozusagen das ganze Gebiet durchstreift, rund
um das Mont-Blanc-Massiv, das sich in Form
eines Vierecks über Frankreich, die Schweiz
und Italien erstreckt und dessen höchster Gipfel
(4.810 m über N. N.) auf französischem Gebiet
liegt.
Nach Chamomx..
Sallanches,
den 2. Juli 1925.
Liebe Else,
Meinen letzten Brief
erhieltst du von Lyon,
der vielen unserer Lands-
leute, dank der bequemen
Bahnverbindungen über
Mülhausen wohlbekann-
ten Stadt. Ich schrieb
dir, wieviel Abwechslung
und wieviel des Schönen
diese moderne Großstadt,
die bei all' ihrer indu-
striellen Geschäftigkeit in
ihren alten Vierteln ihre
ehrwürdige Tradition ge-
wahrt hat, dem Besucher
bietet. Natürlich habe ich
auch das Gewebemuseum
besucht; es war eins mei-
ner interessantesten Er-
lebnisse. Auch auf den
Turm der Kirche unserer
lieben Frau aus dem
ourvitzre, die auf ihrem
ügel die Stadt be-
herrscht, bin ich geklet-
tert. Ich war neugierig,
ob ich wohl, wie meine
Gastgeber mir erzählten,
schon von dort aus die
Alpen und den Mont-
Blanc sehen würde. Sie Sallanches.
mögen wohl recht haben — aber, ehrlich gesagt, ich
hatte kein Glück. — So einen großen Herrn be-
kommt man eben nicht auf den ersten Schlag zu
sehen! — Die Lyoner sind nette, wenn auch etwas
eigenartige Leute, große Musikfreunde, stolz daraus,
daß sie als erste Französin, noch vor der Pariser
Opéra, Wagners „Meistersinger" gegeben haben. —
Doch genug von Lyon.
Heute sitze ich im Hotel Beausijour in Sal-
l a n ch e, dem hübschen kleinen Städtchen an der
Arve, und ruhe mich jetzt nach dem Frühstück *) ein
wenig aus, müde von siebenstündiger Tour. Es ist
kühl, recht windig, die Häuser sind bei dieser anor-
malen Temperatur voller Fliegen — es ist schlimm;
ich wehre mich, so gut ich kann. Laß' Dir meine Reise
erzählen: von Lyon fuhr ich nach Aix-les-Bains und
von da mit dem Autobus über die wunderbare Abime-
Brücke nach Annecy. Das ist wahrhaftig ein
Flecken, den man nicht so schnell vergißt. Prächtig
die Lage an dem gleichnamigen See, den ringsum
eine Reihe von Villen-
orten, im Grünen ge-
schmiegt, umgeben, dar-
unter die berühmten
Menthon und T a l -
loires. Der See wird
von einem Gebirgsmassiv
beherrscht, dessen höchste
Spitze, die Tournette,
2.357 irr hoch ist. Ich
blieb in Annecy über
Nacht und fuhr gestern
morgen mit der Klein-
bahn am Seeufer ent-
lang nach Thones,
einem vielgerühmten Kur-
ort, und von dort mit
dem Autobus weiter zum
Col des Aravis (Aravis-
paß). Es war eine an-
genehme Fahrt mit herr-
lichem Ausblick von der
Höhe von Saint-Jean-de-
Sixte auf Entrernont. —
Auf dem Col des Aravis
(1.498 m) angekommen,
frühstückte ich dort in der
Sennhütte und stieg dann
weiter hinauf zum „Eiser-
nen Kreuz", um den
Mont-Blanc zu sehen. Das
*) Wenn im folgenden vom
Essen die Rede ist, so ist immer,
wie landesüblich, das Frühstück
um 12 Uhr und die Hauptmahl-
Die Gorges de Levnux. zeit um 7 Uhr gemeint.
Fliegeraufnahme des Mont-Blanc (4880 m) mit dem Blick auf den Boffonsgletfcher und das Tal
der Arve mit Chamonir (1050 in). (PUoto: L’mustration, Paris.)
Die Abime-Brucke bei Aix-les-Ba'ms (Strecke Lyon—Aix-les-Bains—Annecy).
(Photo: J Giletta, Nizza.)
Ersteigung eines Firngipfels (,,aigiulle'‘) im Mont-Blanc-Massiv
Im Mont-Blanc-Gebtet: Eine Sennhütte.
105
Wetter war köstlich, und die Gletscher erglühten voui
Nosaweiß bis Himmelblau. Ich nahm mir vor, am
anderen Morgen zum Sonnenaufgang nochmals hin-
zugehen. Wahrend ich die Aussicht betrachtete, hörte
ich Schritte hinter mir; es war ein Pferdewärter,
der nicht weit von dort kampierte. In einem wohl
etwas seltsamen Französisch erzählte ich von meiner
Absicht. Der Mann schnupperte den Wind und wiegte
den Kops: Ja, vielleicht sind Sie da, aber der
Mont-Blanc wird sich nicht sehen lassen,
meinte er. —
Lange stand ich dort. Bon den Matten ringsum
hörte ich das melodische Läuten der Kuhglocken. Dann
ging ich zum Essen zurück zur Sennhütte und legte
mich in Gedanken an Euch, Ihr Lieben, denen ich
diese Eindrücke schildere, schlafen. Ich schicke Euch
übrigens Photographien, damit Ihr meine Freude
besser teilen könnt. —
Heute morgen, 3 Uhr, war ich auf. Schnell ange-
zogen und hinauf im Nebel zum „Eisernen Kreuz".
— Ja, der Pferdewärter hatte recht behalten. —
Ich war allein dort zum Rendezvous. Die Sonne
kam nicht. Dicke Wolken verhüllten die Berge. —
Ich ging wieder zur Hütte zurück, frühstückte und
machte mich um 6 Uhr auf den Weg
nach Sallanche, immer noch im Nebel,
so daß ich von der'Aussicht nichts zu
sehen bekam. Der Weg ist angenehm
und leicht; fällt bis hierher fast an-
dauernd. — Gleich will ich weiter
nach St. Gervais. —
Gehabt Euch wohl. Wie geht's
Klein-Erika? Du schriebst etwas be-
unruhigt ihretwegen. Hoffentlich hat
sie sich 'wieder erholt. Tausend Grüße!
Euer Vater.
In Praz bei Chamonix.
Les Praz-Chamonix, den 6. Juli.
M e i n e L i e b e n, ich denke, Ihr
habt meine Ansichtskarten erhalten,
die ich Euch von Sallanche und St.
Gervais, wo ich mich nicht länger
aufhielt, schickte. Jetzt sitze ich im
Hotel Regina in Praz, einem klei-
nen Dorf, 2 km von Chamonix. In
Chamonix selbst zu bleiben, hatte ich
keine Lust. Es ist zu mondain, zu sehr
Modeort. — Das Tal hier ist herr-
lich, übertrifft alle Beschreibung. —
Bei der Ankunft war natürlich meine
erste Frage die aller Touristen:
„Sieht man den Mont-Blanc?" —
Ja, man sah ihn: wundervoll; ich
hatte ihn ja vom Aravis schon gesehen,
aber hier war ich direkt zu seinen
Füßen. Man macht sich kaum eine
Vorstellung von seiner Höhe; obwohl
man hier schon 1.000 m über dem
Meer ist, sind es noch rund 4.000 bis
zum Gipfel. Doch welche Strapazen
forderte und welche Opfer kostete die
Besiegung dieser 4000 m! —
Nach einem leuchtenden Sommer-
tag mit wundervoll sichtigem Wetter, ist ein Gewitter
hereingebrochen. Das kommt hier häufig vor. Hoch
oben die Gipfel mögen noch in Sonne gebadet sein
— wir armen Sterblichen hier unten im Tal sehen
nur schwarze Felsspitzen, die sich in das Düster
bohren, und, wenn die Wolken zerreißen, das blen-
dend abstechende Weiß der Gletscher. Der Donner
knattert fortwährend, in stetem Widerhall. — Dies
Toben der Elemente ist schrecklich bei aller Großartig-
keit — mit Entsetzen denkt man an Touristen, die
es vielleicht auf den Höhen überrascht — Gott sei
Dank; man hatte das Gewitter vorhergesehen — kein
Unfall war zu beklagen.
den 8. Juli.
Nun hab ich mich hier schon etwas eingelebt. Ich
fand hier viele Landsleute — ach, was ist die Welt
doch ein großes Dorf: richtig traf ich auch die Fa-
milie Müller aus Völklingen, mit der ich mich lange
von Haus unterhalten habe. — Auch machte ich hier
im Hotel die Bekanntschaft des Herrn Dr. I...........,
eines französischen Arztes aus Saarbrücken. Er spricht
Der Viadukt von Sainte-Marie bei Chamonix.
106
tadellos Deutsch — so unterhielten wir uns oft; da
er Land und Leute genau kennt, war unsere Unter-
haltung mir sehr wertvoll. Er erzählte mir auch von
der Geschichte des Tals, u. a., daß unser Goethe, was
ich gar nicht wußte, auch hier geweilt *). Damals
war die Tour sicher viel beschwerlicher wie heute. —
Allerdings, die Eisenbahn geht erst seit 1901 bis
Chamonix — aber man konnte doch Ende des vorigen
Jahrhunderts bei der steten Verbesserung der Straßen
schon mit dem Wagen Herkommen. — Heute ist's ja
sehr bequem. „Die Berge stehen gleich zur Auswahl
bereit, wenn man nur Geld genug hat", meint der
Dr. I.... Ich bin nicht ganz seiner Meinung:
nicht jeder kann ein Hochtourist sein — für einen
Familienvater ist's ganz schön, wenn er mit der
Bahn gleich bis an den Rand eines Gletscherfeldes
fahren kann, wie wir es gestern mit der Zahnrad-
bahn nach Montenvers, der Station am „Mer de
Glace" (Eismeer), taten. Die Tour ist sehr bekannt,
direkt banal geworden — aber hoch interessant bleibt
sie doch. Das „Eismeer" wirkt wie ein zwischen seinen
Felsufern erstarrter Strom. Von weitem zwar
erscheint die Oberfläche kaum bewegt; in Wirklich-
keit sind die „Wellen" aber doch mehrere Meter hoch,
und ich sah Leute darüber gehen, deren Schritt recht
unsicher war, trotz der Wollstrümpfe, die ihnen der
Führer über die Schuhe gezogen. Später kam der
Führer, Dr. I... s, namens Francois Payot aus
B o s s o n t, einem Dorf hier ganz in der Nähe. Er
ist der Neffe jenes alten Führers, der neulich bei
seinem Heimatsort den Leichnam eines vor über
20 Jahren durch eine Lawine fast auf dem Gipfel
des Mont-Blanc verunglückten Engländers fand. So
lange hatte es gedauert den Höhenunterschied von
2500 in bis nach Bossont herunter zu überwinden. —
Ja, die Gletscher wandern — sie leben!
Zum Bossonsgletscher.
L e s P r a z, den 12. Juli.
Gestern waren wir drei — der Doktor, Payot und
ich — zum „B o ss o n sg le t sch e r". Er bildet
einen Teil des gleichen Gletscherfeldes wie das Mer
de Glace, noch leichter zugänglich als dieses, indessen
voller Klüfte und voll tieferer und breiterer Spalten.
Unter dem Eis ist eine künstliche Höhle eingehauen,
und die durchscheinende Eiswand gibt der Atmosphäre
darinnen ein flimmerndes Blau. Eine Spalte ist
sogar zu überwinden, bevor man dorthin kommt;
man muß sie auf Leitern überschreiten, was dem un-
erfahrenen Touristen einen kleinen Schauer über--
laufen läßt ob der Gefahr, die er hier ja handgreif-
lich vor sich hat.
Trotzdem ist all' das natürlich noch kein richtiger
Alpinismus — aber es dürfte doch viel Leute geben,
die sich gleich mir schon daran genug sein lassen! —
Nun hatte zwar Payot sich in den Kopf gesetzt, nach
einem Training durch eine Anzahl Touren mich in
größere Höhen zu führen. Dem Mer de Glace fol-
gend, sollten wir über den G^ant-Paß und dann
direkt nach Courmayeurs heruntersteigen. — Aber
ein wiederholt vorgekommener Lawinenfall im. Hoch-
gebirge verbietet vorläufig diese Tour. Statt dessen
*) 1779; siehe: „Briefe aus der Schweiz".
bin ich dann zur Flegtzre (1877) hinaufgestiegen,
einem Bergvorsprung, der dem Mont-Blanc gerade
gegenüberliegt. Da bekommt man erst die richtige
Vorstellung von dieser Eisfläche, die von der Höhe
der Bergkette sich bis in die Tiefe des Tals hinab
erstreckt. —
Soeben kommt Dr. I. und macht mir den Vor-
schlag, mit ihm den Weg nach Courmayeurs durch
die Täler anstatt über die Gipfel zu nehmen. Wir
sollen zusammen über den Großen St. Bernhard,
und gelangen dann über Aosta auf die italienische
Seite nach Courmayeurs. —
Nun, warum denn nicht?! —
Die Eroberung des Mont-Blanc.
Les Praz, 13. Juli.
Wenn ein Fremder in meinem Tagebuch diese
Überschrift läse, so möchte er vielleicht an mich denken.
— Ach Gott; so ehrgeizig bin ich nicht; die Hotel-
gäste nennen mich gutmütig lächelnd „den Alpi-
nisten im A u t o b u s". — Aber da gerade
schlechtes Wetter ist, habe ich mich etwas in die Lite-
ratur, die ich über Berg und Land hier vorfand, ver-
tieft und notiere mir hier, was mir bemerkenswert
erscheint.
1786, am 17. August, setzten die ersten Menschen
ihren Fuß auf diesen höchsten Berg unseres Erdteils.
Es waren der Gemsjäger B a l m a 1 und Dr. Pac-
c a r d aus Chamonix. Tie Bevölkerung des Tales,
unterrichtet von ihrem Plan, hatte voll Unruhe ge-
harrt, bis sie endlich in ihren Ferngläsern die beiden
kühnen Pioniere des Alpinismus auf dem höchsten
Gipfel erscheinen sah. Unbeschreiblich war die freu-
dige Erregung, die Zurufe, der Jubel; unbeschreib-
lich auch die Bewegung der beiden Bergsteiger, die
zum erstenmal die menschliche Stimme erklingen
hörten in diesen Regionen, die seit Erschaffung der
Welt unberührt geblieben.
Unter den Zuschauern befand sich auch der Genfer
Gelehrte de Saussure, der seit langem eben-
falls sich mit dem Gedanken der Bezwingung des
Mont-Blanc getragen. Er brach sogleich am folgenden
Morgen dazu auf. Aber der Berggeist, wütend über
die eben erlittene Niederlage, wehrte sich: Unwetter
überfielen den neuen Angreifer; er konnte erst im
folgenden Jahr seine Absicht ausführen.
Seitdem datiert die Geschichte der Besteigungen der
einzelnen Gipfel des Massivs. Heute befinden sich
hoch oben zwei Schutzhütten, deren erste, nicht weit
vom Col von DHme (DHme-Paß) den Namen Joseph
Vallot's trägt. Desgleichen hat die Wissenschaft dort
oben ein gut eingerichtetes Observatorium gefunden,
errichtet durch die Opferwilligkeit des französischen
Gelehrten Haußen, zu dessen Ehren es benannt ist.
—■ Auch von St. Gervais aus hat man die Bestei-
gung unternommen; immer wieder finden sich kühne
Alpinisten, trotz der Todesopfer, deren Namen man
auf den Kirchhöfen im Tal lesen kann.
Dann kam die Technik. Die Zahnrad-
bahn zum Mer de Glace benutzte ich schon selbst.
Jetzt errichtet man eine Seilschwebebahn zur
Aiguille du Midi, einem der Nebengipsel, 3843 in
hoch. Bald wird man also dort hinaufkommen können,
die Zigarette im Mund und die Hände in den Hosen-
— 107
Die Aiguille du Dru, von Les Praz cius gesehen.
Argentière und der Dôme du Goûter.
laschen. Jetzt ist das Stück vom Bahnhof des Pele-
rins (1059 m hoch, ein paar hundert Meter von Cha-
monix abgelegen) bis „La Para" (1690 m hoch) be-
reits fertig; die zweite Station „les Glaciers" (die
„Gletscher", 2404 in) soll in der Saison 1926 ein-
geweiht werden. — Die Bauarbeiten, die man be-
reits 1909 begonnen hatte, waren durch den Krieg
unterbrochen worden und wurden erst 1923 wieder
aufgenommen. Ihre Schwierigkeit in dieser Höhe
und ihre Gefahren kann man sich vorstellen. — Ent-
wurf (nach dem italienischen System Ceretti) und
Bauleitung stammen von dem französischen In-
genieur Maurice de Blonay, der sich mit diesem
Werk unter die ersten Ingenieure unserer Zeit ein-
reiht. Der Wagen faßt 18 Passagiere und wiegt
4. Tonnen; die Fahrtgeschwindigkeit beträgt 2,50 na
^ek., so daß man in einer halben Stunde die 2600 m
born Ausgangsbahnhof bis zum Col du Midi zurück-
legen wird. Auf jeder Station wird ein Hotel er-
richtet, von denen das Hotel de Glaciers bereits im
Bau ist.
Aber die moderne Technik hat schon etwas Besseres
als die Schwebebahn. Das ist das F l u g z e u a, das
uns aus dem Tale sicher hinauf auf ein unberührtes
jyelb des ewigen Schnees, ja, auf die Spitze des
luont-Blanc bringt. Das ist kein Traum mehr, son-
dern schon Wirklichkeit; ist doch am 30. Juli v. Js.
manz D u r a f o u r aus Genf, mit seinem Flugzeug
von Chamonix aufgestiegen und auf dem Schneefelde
zwischen dem Dome du Gouter und der Felszacke,
auf welcher das Ballot-Observatorium und die
Bosses-Schutzhütte stehen (4362 m) gelandet. —
Allerdings gestand der Flieger dem Generalsekretär
des französischen Alpenklubs, Herrn Bergeault, der
auf einer Besteigung des Berges begriffen war und
den der Zufall gerade bei der Landung herbeiführte,
daß er den Versuch der Landung zum zweitenmal
nicht mehr unternehmen möchte, da zwischen den
Gipfeln ein Luftwirbel ihn um ein Haar in eine
riesige Gletscherspalte hineingeworfen hätte. — Der
Abflug ging jedoch nachher glatt von statten. — Ich
habe mir übrigens ein wunderbares Bild gekauft,
eine prachtvolle Photographie des ganzen Mont-
Blanc-Massivs nebst dem Tal von Chamonix, eben-
falls eine Fliegeraufnahme, aus etwa 6000 m Höhe
unter unendlichen Mühen und Beschwerden aufge-
nommen *).
Zum Großen St. Bernhard.
Bourg-Saint-Pierre, „Au Dejeuner de
Napoleon", den 15. Juli 1925.
Meine liebe Else,
^Nun sitze ich hier auf dem Weg über den Großen
St. Bernhard. — Kurz entschlopen, hatte ich den
Vorschlag Dr. J.'s angenommen, und wir verließen
*) Kunstbeilage nach S. 104.
— 108
diesen Morgen Les Praz.
Das Wetter ist großartig und
der Weg bis hierher voll
wechselnder schöner Bilder.
Und trotzdem gibt es auch
hier zu Lande Blasierte! —
Es war ein gerührter Ab-
schied im Hotel Regina. Auch
der Führer Payot war er-
schienen, hat mir die Hand
gedrückt, und mir bedauern-
de Vorwürfe gemacht, daß
wir hier „unten rum" nach
Courmayeurs wollten, an-
statt, wie's sich gehörte,
„über die Höhe", das will
heißen über das Mer de
Glace, den Gèant-Gletscher,
den G^ant-Paß usw. —
Nun, ich vertröstete ihn auf
nächstens! —
Die elektrische Bahn brachte
uns in überaus schöner und
kühner Linienftihrung längs
des Argentièregletschers, zu
dessen Füßen das Dorf Ar-
gentière liegt, längs der
Gletscher von Tour und von
Trient nach Vallorine. Dort
passierten wir die schweizer
Grenze und fuhren dann
weiter nunmehr abwärts
über Salvan (925 m), Ver-
nayaz 1461 m) nach Mar-
tigny. Dort stiegen wir um,
und nahmen die Kleinbahn,
die, wieder ein Tal hinauf
steigend, uns um 3 Uhr nach-
mittags nach Orsière brach-
te. Jetzt war's Zeit, unseren
Rucksack auf den Rücken und den
Saint-Pierre unter die Beine zu
kamen denn hier um 6 Uhr an.
Das Mer de Glace
(vom Tal aus gesehen).
Weg nach Bourg-
nehmen, und wir
— Unsere Straße
folgte größtenteils den Spu-
ren der alten Römer-
straß e, denn die Berge
lassen hier keine neue Weg-
führung zu.
Bourg-Saint-Pierre (St.
Peters Burg) war sicher
schon im Altertum be-
festigt; ein Teil der Mauern
steht heute noch; durch ein
im 14. Jahrhundert zerstör-
tes Tor geht von hier der
Sankt Bernhard-Weg aus.
Schon Karl der Große hatte
hier durchgemußt, als er
gegen die Sarazenen ins
Feld zog; eine lateinische In-
schrift, die in die Mauern der
unr 1009 erbauten Kirche
eingemeißelt ist, erwähnt die
frühere Okkupation dieser
Gegend durch die Mohame-
daner.
Wir machen Halt vor dem
Gasthos — ich glaube dem
einzigen der Gegend —, von
wo ich dir jetzt schreibe. Er
trägt den stolzen Namen:
Au Déjeuner de Napoléon.
In der Tat hat Napo-
leon I. einige Stunden hier
verweilt, und man zeigt uns
sein Zimmer und seinen
Sessel. Dieser Sessel, bequem,
ländlich, mit Strohsitz, ist,
als wir eintreten, beseht
durch einen Landsmann aus
Berlin, einem Bijouterie-
warenhändler, der hier seine
Sommerfrische gefunden hat.
schläft er sanft in Erwartung
Das Mer de Glace.
Als wir eintreten,
des Diners.
Es gibt eine gemeinsame Tafel. Das Essen ist gut,
die Zimmer sauber. Das
Haus ist im Besitz der glei-
chen Familie seit 1719, und
es ist uns gerade so, auch
wenn noch nicht von Napo-
leon gesprochen wurde, als
wenn er soeben erst zur
Tür herausgegangen wäre.
— Und so erwarten wir |
voll Neugier, daß man von
ihm erzähle, denn ist sein
Schatten nicht hierzulande!
ewig gegenwärtig? Gewiß
auch Karl der Große zog
hier durch — aber das ist
lange, lange her. Von ihm
weiß kein Mensch hier mehr
was. — Napoleon hingegen, |
das war gestern noch, und;
so ist die Frage aller Tou- jj
risten die gleiche: „Von wo
kam er, wo war er, was!
hat er gesagt?"
109
Nach dem Essen steckten wir eine Pfeife an und
plauderten. „Was halten Sie von Napoleon?," fragte
ich den Doktor. „O," antworte er, „das ist keine Frage,
die man so leichthin beantworten kann. Ganze Bücher
hat man darüber geschrieben. War seine Regierung
für Frankreich nun nützlich oder schädlich? — Ich weiß
es nicht. — Was wäre wohl geschehen, wenn er nicht
existiert hätte? — Indes, all' diese Fragen sind
müßige Spekulation. — Napoleon selbst hat einmal
gesagt: ,Wenn ich nicht gekommen wäre, wäre es ein
anderer gewesen/ — Er war der Mann der Auto-
rität. Er behauptete sich, er überwand Haß und In-
trigen, die Widerstände gegen seine Aktion: kurzum,
er war ein Führer.
Er also war das Haupt; aber in seiner Armee
gab es auch noch Offiziere — wer waren s i e?
— Es waren die Söhne der Republik. Zu jener Zeit,
von der wir sprechen, hatte Bonaparte sie schon aus-
suchen können. — Zweifellos war damals die Dis-
ziplin noch nicht so wie in unseren modernen Armeen,
und häufig mögen Soldaten und Offiziere über die
Ausführung der Befehle diskutiert haben; aber es
ab ein Gefühl der Zusammengehörigkeit, wie man
äufig in den Memoiren jener Zeit erwähnt findet."
„Und wie war es in der Armee, die hier
durchzog?," fragte ich.
„Der erste Konsul," antwortete der Doktor, „hatte
es verstanden, seine Leute mit außerordentlichem Elan
zu erfiillen; dieser junge Feldherr war bestrahlt von
der Sonne des Ruhms, man liebte ihn, so sehr man
auch Respekt vor ihm hatte, und dann, wie ich schon
sagte, das Glück war mit ihm!"
Der Doktor erhob sich und holte aus seinem Ruck-
sack ein kleines grünes Büchlein heraus.
„Hier, sehen Sie," sagte er zu mir, „das ist eine
der besten Schilderungen der Feldzüge des Kaiser-
reichs. Ich hatte es eingesteckt, um es hier an Ort
und Stelle nochmal zu lesen. Es sind die Aufzeich-
nungen des Hauptmanns Coignet. — Das war einer
l jener Braven der alten Armee, der als Jüngling sein
heimatliches Dorf verlassen hatte,
[ um Soldat zu werden; er kam
hier zu dieser Armee, die über die
> Alpen gehen sollte; er zog durch
Bourg-Saint-Pierre, wo wir jetzt
sind, und über den Großen St.
! Bernhard: ganz allein eroberte er
! ein feindliches Geschütz bei Monte-
bello; am Abend der Schlacht ward
er dem ersten Konsul vorgestellt,
; der ihn fragte: „Wieviel Dienst-
I jähre hast Du?" — „Es war
I meine Feuertaufe." — „Ah, das
J ist ein schöner Anfang," und sich
I an seinen Generalstabchef Berthier
wendend, „Berthier, merken Sie
ihn vor für ein Ehrengewehr. —
Du bist noch zu jung für die Garde,
dazu muß man 4 Feldzüge hinter
sich haben —, aber mach nur so
weiter; Du sollst schon zu ihr
kommen." — Und Coignet machte
: seinen Weg. Er war bei Marengo
und in Spanien. Er hatte 1804
aus des Kaisers Hand persönlich
, das Kreuz erhalten; er war in
l Österreich und in Preußen, bei
der Hochzeit (1810) wie in Rußland, wo er Leutnant
und hernach Hauptmann wurde; wir finden ihn bei
den Kämpfen 1813 und 1814 wie beim Abschied von
Fontainebleau. Nach dem Sturz des Kaisers auf hal-
ben Sold gesetzt, macht noch zehn Jahre Garnison-
dienst, verheiratete sich, und schreibt dann seine „Er-
innerungen", welche sich bis 1850 erstrecken. — Mit
Recht erwecken sie Interesse, denn sie enthalten ein
ganzes Zeitalter, und mehr als das, sie bringen das
Leben selbst, gesehen vom Standpunkt eines einfachen
Mannes aus dem Volke; in einem schlichten unge-
künstelten Stil, wie so ein Soldat schreibt, der sein
Leben lang nichts wie seine Pflicht gekannt hat."
„Und", so fragte ich, „was erzählt denn dieser Mann
von dein berühmten Marsch über den St. Bernhard?"
„Die Armee, zu der Coignet gehörte," erwiderte der
Doktor," hatte bei Lausanne gestanden und war dann
| bis Martigny vorgerückt, von dort war sie dem
nämlichen Weg gefolgt, wie wir heute, über Orsitzre
und Bourg-Saint-Pierre." — Unser Erzähler ist nicht
gerade entzückt von diesen: Dorfe, das nach seinen
Angaben nur aus holzgedeckten Baracken bestand mit
riesigen Scheunen, wo die Soldaten bunt durch-
einander kampierten. — „Jede Kanone wurde hier
demontiert und in eine Art Wiege gelegt, die man
aus einem Baumstamm gehöhlt, und so von zwanzig
Mann gezogen: 24 andere trugen die Zubehörteile:
2 eine Lafette, 2 ein Rad, 4 den Unterteil des Muni-
tionskastens, 8 den zugehörigen Kasten, 8 die Ge-
wehre. Der Marsch war anstrengend, wie man sich
gut denken kann, besonders als sie in die mit Eis und
Schnee bedeckten Regionen kamen. Endlich, nach tau-
send Mühsalen, kamen die Truppen beim Kloster an.
Die Offiziere fanden in den großen Sälen des Hospizes
Unterkunft, und die Leute blieben in den Gängen,
wo sie von den Patern einen Eimer Wein für je 12
Mann, ein Stück Gruyere-Käse und ein Pfund Brot
erhielten. War das eine Freude für diese Tapferen,
die bisher ausschließlich von Zwieback gelebt hatten.
Sie streichelten und liebkosten bte guten Bernhardiner-
Die Zahnradbahn-Station Montenvers ani Mer de Glace.
110
Das Überschreiten einer Gletscherspalte.
(Am Seil und mittels Leitern.)
Nach einem Unfall. Nachforschungen in einer Gletscherspalte.
Der Befsons-Gletscher.
111 —
Hunde, die sich dies gefallen ließen, als ob sie schon ringen gewußt, was den Übergang über diese gefahr-
alte Bekannte wären. reiche Stelle so erleichterte. — Dann verließ Coignet
Napoleon hatte das Wohlwollen der Mönche zu er- | das Kloster, um auf der anderen Seite nach St. Remy
Die Drahtseilschwebebahn zur Riguille du Midi.
112 —
herabzusteigen." — Und der Doktor blätterte noch in
seinem Buch und laß uns Einzelheiten daraus vor.
„Hier ist der erste Konsul jedenfalls nur ganz
kurze Zeit geblieben; er frühstückte hier, wie das
Firmenschild unseres Gasthofes besagt, und setzte dann
seinen Weg zum Hospiz fort. Es war im Monat Mai
1800, und man kann sich wohl vorstellen, welche
Schneemeugen auf diesen üblen Saumtierpsaden, die
die Armee benutzte, lagen. Der berühmte David hat
Bonaparte gemalt, wie er auf sich bäumendem
Pferde den St. Bernhard
überschreitet. Ein ande-
res Bild von D e l a -
röche zeigt ihn auf
einem Maultier, das ein
Führer am Zügel hält.
Das dürfte wohl wahr-
scheinlicher sein. Die Le-
gende erzählt, daß der
Konsul, die traurige
Miene seines Führes be-
merkend, ihn deswegen
befragt habe. Der Führer,
erst verlegen, faßte sich
ein Herz: er sei verliebt,
aber ohne Vermögen;
deswegen verweigere ihm
der Vater seiner Liebsten
ihre Hand. Jetzt scheine
ihm das Leben unerträg-
lich. — Da habe ihm der
Konsul gesagt: „Dann
sei glücklich; Du wirst
deine Liebste heiraten,
denn i ch werde sie dir
geben!" — Bonaparte
hielt nur einen Augen-
blick auf der Paßhöhe an,
um dann gleich den Weg
abwärts nach Italien zu
verfolgen. In 14 Tagen
hatte die französische Ar-
mee den Übergang be-
wältigt."
Noch lange plauderten
wir so. Und dann setzte ich mich noch hin, um mit
diesem Brief Dir zu zeigen, daß ich Eurer gedenke.
Wir werden morgen rechtzeitig nach dem Hospiz auf-
brechen, von wo ich Dir jedenfalls noch schreiben
werde. — In Liebe stets Euer Vater.
Auf dem Großen St. Bernhard.
Im Hospice von St. Bernard,
den 16. Juli 1926.
Liebe Frau!
Ich schreibe eben vor dem Frühstück hier vom
Hospiz aus. Wir verließen diesen Morgen frühzeitig
Bourg-St. Pierre. Das Wetter war frisch, der Himmel
bedeckt, angenehm zum Marschieren. Wir zogen zuerst
durch den Wald von Sarraire; als wir ihn durch-
quert hatten, traten wir in die Klamm von Proz.
Obgleich ihre Höhe mäßig (180 Meter), hat sie ein
wildes, verlassenes Aussehen; an ihrem Ausgang
liegt die Cantine de Proz, eine Art Herberge, die
letzte Wohnstätte vor dem Paß und dem Hospize.
Als wir aus der Felsenge heraustraten, sahen wir
in der Lust einige Schneeflöckchen wirbeln, und da es !
keine andere Wahl gab, beeilten wir uns. Glücklicher-
weise hatten wir keine große Terrainschwierigkeiten >
mehr vor uns; so ging es denn, ohne allerdings etwas ?
davon zu sehen, am Hospitalet vorbei, einer
Zufluchtsstätte bei Unwetter, 2100 m hoch gelegen,
dann über die Nudrybrücke, wo wir die Quelle der
Drause überschritten. Wir überschritten den Courbe
des Monts üblen Angedenkes. Der Schneefall wurde
stärker; dicke Flocken; nur
soeben nock mrterschieden
wir irr dunklen Massen die
Konturen der Felsen und
plötzlich sahen wir die
Gebäude des Hospizes vor
uns (2472 in).
Der Doktor ersteigt,
ohne zu zögern, die Trep-
pe, die, zwischen zwei
Gebäuden, zur Eingangs-
pforte führt. Er zieht den
Zug einer großen Glocke,
dieftn den Gängen wider-
hallt. Sogleich öffnet sich
die Türe, einer der Chor-
herren*) erscheint: „Seien
Sie willkommen, meine
Herren," begrüßt er uns
auf Französisch, „Sie
bringen ja ein schönes
Wetterchen mit!" — In
der Tat, obgleich mitten
im Sommer, sind wir
schneebedeckt. Unsere was-
serdichten Umhänge und
Kapuze haben uns indes-
sen wohl geschützt. Kaum
haben wir die Schwelle
überschritten, so sagt der
Pater: „Geben Die. mir
Ihre Mäntel und Ruck-
säcke; ich bringe sie in den
Trockenraum, und Sie
bekommen sie später ge-
trocknet zurück. Wollen Sie die Nackt hier bleiben?"
— „Nein, Hochwürden," antwortet der Doktor, „wir
sind nur auf dem Durchmarsch hier." — „In diesem
Fall," sagte der Chorherr, „gehen Sie in den Salon
und wärmen sich ein wenig, während Sie die Stunde
des Dejeuners um 12 Uhr erwarten. — Sie essen
dann im St. Brunosaal."
Der Weisung des Paters entsprechend, gingen wir
in den Salon. Das ist ein weiter Raum, gut ge-
heizt, gut erleuchtet durch zahlreiche Fenster; doch
von draußen sieht man nichts; der Schnee fällt noch,
dicht und schwer.
Ich entdecke im Salon Sessel, Stühle, Tische mit
Büchern, einige Zeitungen, die von Touristen mit-
gebracht wurden — sie sind natürlich weder von heute
noch gestern; auf Aktualitäten darf man sich hier
nicht spitzen —, dann ein gutes Piano, ein Geschenk
Eduard VII. von England. Er schenkte zwei, eins
1857 als er noch Prince von Wales war, ein zweites
1904 als König.
*) Das Hospiz wird von regulierten Augustiner-Chorherrn geführt.
Blick auf die Aiquilte Berte und den Dru.
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113
Während dieser Zeit
erzählt der Doktor tttir
einiges über Paß und
Kloster. Der Paß war.
seit alters bekannt;'
die Römer legten über
ihn eine ihrer Militär-
straßen, an denen
mehrere Unterkunfts-
stätten lagen. Eine
derselben, auf dem
Scheitel des Passes,
war mit entern Jupi-
tertempel verbunden.
Zahlreiche Inschriften
und sonstige Funde be-
weisen die Bedeutung
dieser Kultstätte. Nach
dein Zusammenbruch
des Röinerreichs schei-
nen zunächst ver-
sprengte Araber, die
der Schlacht bei Poi-
tiers entronnen wa-
ren, sich hier festgesetzt
zu haben. Später kam
der Paß in Händen
von Räuberbanden;
der Weg wurde ge-
fährlich. In der Mitte
des XL Jahrhunderts
wurde das jetzige Hos-
piz von deut Hl. Bern-
hard, damals Archi-
David: Bonaparte überschreitet den St. Bernhard.
(Versailles.)
diakonus von Aosta,
gegründet mit der
ausdrücklichen Bestim-
mung: „Zur Hilfe der
Reisenden". — Der
Dienst wird von einem
religiösen Orden, den
regulierten Chorherren
von St. Bernhard
(Augustiner) wahrge-
nommen. Die landes-
übliche Anrede ist « ML
le Chanoine ». Nach
ihrer Regel sollten sie
ständig im Röchet ge-
hen; aber da diese
Tracht da oben zu un-
praktisch, ist sie ersetzt
durch eine Art Spit-
zenband, das sie über
der Soutane tragen. —
Außer dem Gottes-
dienst in der Kapelle
ist ihre Hauptverpflich-
lung, den Wanderern
draußen im Schnee
beizustehen, die Ver-
irrten zu leiten, die
Verunglückten zu ret-
ten und zu bergen.
Das kommt stets in
Frage, im Sommer
wie im Winter. Denn
die mittlere Jahres-
E. Castres: Vonaparte auf dein groben St. Bernhard.
(Museum von Lausanne.)
8
114
temperatur hier oben beträgt nur —1,76° und selbst
für die kurze Sommerzeit ist das Mittel nicht höher
als ->-6,4°. Aus diesem Grunde vermögen die Patres
auch nicht dauernd hier oben zu leben; das Mutter-
haus des Ordens befindet sich in Martigny, und die
Zurückberufung erfolgt alle 10—15 Jahre. — Bei
ihrem Rettungswerk leisten den Chorherren ihre
Hunde, die berühmten Bernhardiner, treff-
liche Dienste. Sie haben eine besondere Dressur. Sö
sind sie gegen die Unbilden der Witterung sehr ab-
gehärtet. Jeden Tag nehmen sie in dem kleinen See
oben bei dem Hospiz ihr Bad. Manchmal muß das
Eis dazu erst aufgeschlagen werden. Gewöhnt an diese
Höhenverhältnisse" können sie sich im Tiefland schlecht
akklimatisieren und siechen gewöhnlich schnell dahin.
Die Aufnahme und Verpflegung im Kloster erfolgt
seit altersher unentgeltlich; allerdings auf einen Tag
beschränkt. Jedoch können Fremde, die in der Um-
gebung ihre Ausflüge machen wollen, mit ausdrück-
licher Ermächtigung des Probstes ihren Aufenthalt
etwas verlängern. Zurzeit werden jedoch lediglich
die einfachen Fußgänger, nicht die Automobilisten zu-
gelassen. Leider sind ' die Gaben, die dem Opferstock
in der Kapelle zufließen, recht gering. Die Ansprüche
sind hingegen groß; die Kosten werden immer brül-
lender. So hat die Ordensleitung denn jetzt den Be-
schluß gefaßt, eins der Nebengebäude des Hospizes in
ein Hotel umzuwandeln. Dieser Hotelbau, heute in
der Zeit des regen Touristenverkehrs und auch für
längeren Aufenthalt so notwendig, soll mit der näch-
sten Saison eröffnet werden. —
Als die Mittagsglocke läutete, waren etwas über
50 Personen in dem Salon. Wir beide, der Doktor
und ich, gingen in den St. Bruno-Saal. — Das Essen
war gut,'wenn auch einfach. — Natürlich, Tafelfreuden
darf man hier oben nicht erwarten! Allerdings, da
wir rechten Hunger hatten, erschien es uns etwas
wenig. — Nach dem Essen besichtigten wir das
K I o ft e r, lange Galerien, auf die sich die einzelnen
Zimmer öffnen. — Die Kapelle ist besonders
bemerkenswert. Erbaut 1686, enthält sie ein reich
geschnitztes Chorgeftühl und interessante Deckenfresko-
gemälde. In ihr befindet sich das Grab des Generals
Desaix, dessen Eintreffen in der Schlacht bei Marengo,
wo er fiel, den Sieg den französischen Fahnen sicherte.
Bonaparte, voll Erkenntlichkeit siir den Tapferen,
wünschte, daß sein Grabmal die Alpen zum Pidestal
hätte und die frommen Väter von St. Bernhard zu
Wächtern. — Das Basrelief des Denkmals stammt
von dem Bildhauer Rotte.
Nachdem wir dem Opferstock unsere Gaben anver-
traut, besuchten wir noch das M u s e u m. Es be-
findet sich dort eine sehr sehenswerte Münzensamm-
lung von über 5000 Stück, griechische, gallische und
römische mit den Prägungen fast sämtlicher Kaiser,
sowie weitere Funde der systematischen Ausgrabungen:
Statuen, Ornamente, Bronze- und Eisenwaffen,
Ringe, Lampen und Tongefäße. Besonders wichtig ist
die Kollektion der bronzenen Votivtafeln aus Anlaß
eines glücklichen Übergangs, die man an der Stätte
des Jupitertempels gefunhen hat. — Auch kann man
mit besonderer Erlaubnis die reichhaltige Bibliothek,
mit ihren vielen sehr alten Handschriften und einer
reichen Schenkung Napoleons III. besichtigten. An den
Übergang Napoleons I. erinnert nichts, fast gar nichts;
man zeigte uns in der Bibliothek lediglich ecu Flakon
mit eingraviertem bl, vielleicht zu einem Reisenezessär
gehörig,' das ein Priester von Martigny zum Geschenk
erhalten hatte. Bonaparte hatte beim Übergang
36.000 Franken für das Hospiz angewiesen; aber, so
behaupten böse Zungen, nur 18.000 seien zu ihrer
Bestimmung gekommen. —
Ich muß schließen. Eben kommt der Doktor und
sagt, daß es aufhöre zu schneien, und daß er einen
Wagen gefunden habe, der uns nach Aosta bringt.
Von dort erhältst Du meinen nächsten Brief, vielleicht
gleichzeitig mit diesem, den ich in den Briefkasten hier
im Kloster stecke. — Tausend Grüße! —
Courmaheurs, HHtel de l'Union,
den 18. Juli 1925.
Glücklich sind wir gestern hier
angekommen. Die Fahrt war
leicht. „ Im letzten Augenblick
kam noch ein alter italienischer
Priester und bat uns, gegen
Zahlung seines Anteils mitfah-
ren zu dürfen. Er war morgens
ebenfalls mit einem Gelegen-
heitswagen von Aosta heraufge-
gekommen. — Wir streichelten
noch einmal die jungen Hunde,
die sich mit ihrer Mutter im
Schnee herumtummelten, und
dann ging's los. Die Straße hat
starkes Gefälle mit gefährlichen
Krümmungen; indes davon sa-
hen wir, in Mantel und Kapuze
gehüllt, nicht viel. —
Der alte Pastor zeigte uns
E t r o u b l e, ein Dorf 1800 w
hoch auf einem Plateau liegend.
Es war früher eine römische
Niederlassung. Bonaparte kam
hier in der Nacht vom 20. zum
Eine Rettungsgruppe: .Chorherr von St. Bernhard mit seinen Hunden.
115
21. Mai 1800 durch. Hier setzte
man die für den Transport über
den Paß in St. Pierre demon-
tierten Kanonen wieder zusam-
men. — Heute ist es der Aus-
gangspunkt für die Touren aus
italienischer Seite zu den be-
nachbarten Gipfeln: der Velan
(3765 ui) und das Belvedere des
Mont-Fali^re (3062 m).
Der Schnee ward allmählich
zum Regen; auch nicht schöner!
— Der alte Pastor erzählte uns
eine amüsante Geschichte: „In
welchem Refektorium haben Sie
gegessen?," fragte er den Dok-
tor. — „Im St. Bruno-Saal."
— Aha, 2. Klasse!" — „Wieso,
2. Klasse?" — „Nun, es gibt
drei Klassen im Hospiz, alle drei
unentgeltlich und mit gleicher
Küche. Der Chorherr, der die
Gäste empfängt, stuft sie nach
ihrem Aussehen ein. — Natür-
lich kommen schon Irrtümer vor,
und so erzählt ruan, daß eines
Tages der neue Präfekt von
Aosta dem Hospiz einen Besuch machte, und, uner-
kannt, in die II. Klasse geschickt wurde. Als er schon
da sitzt, erkannte ihn jemand, und sagte den Patern
Bescheid. Große Aufregung und Entschuldigungen.
Man bat ihn, sich in die erste Klasse zu verfügen.
Aber er war ein vernüftiger Mann und ließ es!" —
Das Wetter wurde allmählich besser. Als wir in
A o st a einzogen, schien die Sonne. Aosta ist eine
nette italienische Kleinstadt. Was den Besucher zu-
nächst überrascht, ist die Enge der Straßen, die Ab-
flußrinne, die wir an beiden Seiten längs der
Bürgersteige gewohnt sind, liegt hier in der Mitte. —
Jedermann kann gut französisch, was für meinen
Reisegefährten sehr' angenehm war. — Zahlreiche rö-
mische Ruinen zeugen von der Bedeutung der Stadt
in alter Zeit. Da ist ein Triumphbogen zu Ehren des
Augustus, daneben das Denkmal an die Gründung
dieser Kolonie, dann eine römische Brücke, ein Prä-
torianer-Tor, Ruinen eines Theaters, dessen Fassade
fast ganz erhalten usw.; die Maße des Amphitheaters
sind auch benierkenswert, 86 m lang, 74 m breit,
faßte es rund 15.000 Zuschauer, was einer Einwohner-
zahl von rund 60.000 entspricht. Sehenswert sind wei-
ter der mittelalterliche Dom mit Grabmälern und
Schatzkammern sowie die Kirche St. Ours.
Wir blieben bis gestern mittag dort und benutzten
dann den Autobus hierher (47 km).
Courmayeurs ist das italienische Chamonix, unver-
gleichlich. Das Wetter ist prachtvoll und man kann
alle Schönheit des Tales beurteilen. Und doch welcher
Unterschied! Auch hier ist der Mont-Blanc der Herr-
scher, aber es ist ein Mont-Blanc der Felsen. Bis
zum Gipfel Felsen und Gestein überall anstelle der
Gletscher und des Schnees im Tale von Chamonix.
Die Tora Baltea belebt mit ihren schäumenden
Wellen den Talgrund.
Morgen wollen wir, Doktor I. und ich, über den
kleinen St. Bernhard wieder nach Chamonix zurück.
Hospiz auf dem St. Bernhard: Empfang eines Touristen.
Jetzt neigt sich nun auch meine Ferienzeit dem
Ende zu! Auf frohes baldiges Wiedersehen also! Tau-
send Grüße! Euer Vater.
Die italienische Seite: An der Brenva.
8*
116
J ni roten Haus
von fjonorc
Hoiiore be Balzac (geb. 20. Mai 1799 zu
Tours, f 18. August 1850 in Paris) zählt zu den
fruchlbaruen unb bekanntesten der grasten französischen
Erzähler. Ist er in mancher Hinsicht ber Begründer
ber modernen naturalistischen Richtung, die 'sich be-
sonbers in ber glänzenden psychologischen Schilderung
seiner Helben unb aer photographischen Treue seiner
Detailzeichnungen zeigt, so ist cr andererseits ausge-
zeichnet burch eine austerorbentliche Erfindungsgabe.
Nicht mühsam erarbeitet, zusammengestellt aus dem
Mosaik unzähliger kleiner Bausteine, sinb seine Werke,
sondern geniale Eingebungen seines rastlos das Ge-
heimnisvolle in der menschlichen Seele
suchenden Geistes. Die „Kunst des Fabelierens",
wie Goethe es nennt, hat er in hohem Maste und
vermag seinen Leier van Anfang bis zu Ende im
Banne seiner Erzählung zu hallen.
Balzac, der uns seine Kindheit selbst geschildert hat
in seinem Werke „Louis Lambert", wo er von sich
sagt: „Seine Sinne besasten eine austergcwöhnliche
Zartheit, und alles in ihm litt unter dem Zwang des
Zusammenlebens", der Knabe, der uns von seiner
Schwester geschildert wird als „still, verschlossen leibend,
unverstanden von Lehrern und Kameraden, apatisch
narb nutzen, aber ganz erfüllt von innerem Gesichten
und metaphysischen Ahnungen, die er in einer Ab-
handlung über die Natur der Seele niederlegt, begabt
mit okkulten Fähigleiien, durchdrungen von dem Ge-
fühl einer grasten Bestimmung, frühreif, genial, unter
der Umwelt schwer leidend, aber heimisch in geheimnis-
vollen Sphären" — hat sich diese Borliebe für das
Gehetninisvolle, das Rätselhafte des menschlichen
Denkens. Wollens und Gerriebenwerdens sein ganzes
Leben bewahrt. Als „Conwdre Humaine". als die
„menschliche Komödie" das Gefamtleben seiner Zeit
darzustellen, war sein gewaltiger Plan. — Wir bieten
in dem „Roten Haus" heute unseren Lesern eine
Probe. Auch hier waltet ein düsteres Geheimnis über
eine Untat, einen Mord, der vor langen Jahren be-
gangen wurde, für den ein Unschuldiger büßen mußte,
der dennoch auf seiner Seele das Bewußtsein einer
Schuld drücken fühlte,- geheimnisvoll bleibt auch die
Person des wirklichen Mörders, obwohl wir fühlen,
wie er unter dem Anhören der Erzählung seiner Tat
und ihrer Folgen leiden muß, und so ist diese Er-
zählung in ihrer quälenden Folgerichtigkeit, in der
man das Walten der ewigen Gerechtigkeit spürt, ein
echtes Kind seiner Muse.
*
in er meiner Freunde, ein Pariser Bankier, der
sehr ausgedehnte Handelsbeziehungen nach
Deutschland unterhält, hatte neulich einen
dortigen Geschäftsfreund, den Chef eines bedeutenden
■ (L’auberge rouge)1
de Balzac,
Nürnberger Handelshauses, namens H e r m a n n,
bei sich zu Gast.
Zu Ehren desselben hatte der Hausherr noch etliche
gute Bekannte, Kaufleute und Kapitalisten, zu Tisch
gebeten samt ihren hübschen und liebenswürdigen
Damen, deren anmutiges Geplauder und unge-
zwungene Natürlichkeit so gut mit des Gastes germa-
nischer Herzlichkeit harmonierten.
Ja, wirklich, wer, wie ich, die Freude gehabt hätte,
in diesem fröhlichen Kreis von Leuten zu weilen, die
jetzt einmal ihre Kaufmannskrallen eingezogen und
nur noch für die Annehmlichkeiten des Daseins Sinn
hatten — dem wäre es schwer geworden, das Zins-
nehmen zu hassen oder einen Konkurs zu verfluchen.
Kein Mensch kann eben immer Übles tun. Sogar
unter Piraten muß es dann und wann ruhige Stun-
den geben, während derer nran an Bord ihres
düsteren Schiffes sich auf einer friedlichen Schaukel
dünken kann. *•—
„Bevor Herr Hermann rins verläßt, tvird er uns
hoffentlich so eine richtige deutsche Geschichte erzählen,
bei der uns ein Schauer über den Rücken läuft?"
sagte beim Dessert ein bleiches, blondes, junges
Mädchen, dem augenscheinlich E. T. A. Hoffmanns
Novellen und Walter Scotts Romane im Köpfchen
spuckten. ES war die einzige Tochter des Bankiers,
ein entzückendes Wesen, das auf die Stücke, die im
Theater de Gymnase gespielt wurden, versessen war.
Bei ihren Worten wandten sich alle dem Deutschen
zu. Ich betrachtete die vom Licht der Kerzen be-
strahlten Gesichter, die das ausgiebige Mahl gerötet
hatte; reizvoll war ihr verschiedener Ausdruck zwi-
schen Kandelabern, edlem Porzellan und Kristall-
schalen voller Früchte.
Plötzlich wurde meine Phantasie durch einen Gast,
der mir gerade gegeniiber saß, gefesselt. Es war ein
Mann von mittlerem Wuchs, ziemlich korpulent, der
häufig lachte und das Aussehen und Gebaren eines
nicht übermäßig intelligenten Maklers hatte. Bisher
war er rnir noch gar nicht aufgefallen. Jetzt aber
hatte sein Gesicht im Flackern des - Kerzenlichts
gleichsam den Ausdruck verändert; es bot einen
schrecklichen Anblick, violette Töne durchzuckten es; es
sah aus wie das eines Sterbenden. Er saß unbeweg-
*) Mit Rücksicht auf den Umfang des Kalenders univesentlich gekürzt.
117
lieft, wie eine gemalte
Figur in einem Pano-
rama, seine Blicke hin-
gen stumpf an den
glitzernden Facetten ei-
nes Kristallstöpsels, der
vor seinem Teller lag;
er zählte sie aber sicher
nicht, sondern schien in
Gedanken der Zukunft
oder Vergangenheit ver-
loren.
Ich betrachtete dies
zweideutige Gesicht lan-
ge, und es machte mich
nachdenklich : „Leidet
er?" fragte ich mich.
„Hat er etwa zuviel
getrunken? Oder hat
die Baisse der Staats-
papiere ihn ruiniert?
Oder denkt er etwa nur
darüber nach, wie er
seine Gläubiger begau-
nern kann?" —
„Sehen Sie," sagte
ich zu meiner Nach-
barin, mit einer Kops-
bewegung nach dem
Gesicht des Unbekann-
ten weisend, „ist das
nicht ein Bankrott, wie
er leibt und lebt?" „Ach
was," erwiderte sie mir,
„d e r wird bald wie-
der lustig dreinschauen."
Und mit einem gra-
ziösen Kopfschütteln :
„Wenn der da je-
mals Bankrott machte,
würde ich mit der-Nach-
richt bis Peking laufen.
Der besitzt ja allein
in Grundstücken mehr
als eine Million. Es
ist ein ehemaliger Armeelieferant der kaiserlichen
Heere; ein Original. Aus Berechnung hat er sich
zum zweitenmal verheiratet, macht aber trotzdem
seine Frau ganz glücklich. Er hat eine hübsche natür-
liche Tochter, die er lange nicht anerkennen wollte;
aber der Tod seines im Duell gefallenen Sohnes hat
ihn veranlaßt, sie zu sich zu nehmen, denn er be-
kommt wohl keine Kinder mehr. Auf diese Art ist
ein armes Mädchen zu einer der reichsten Erbinnen
von Paris geworden. Ter Verlust feines einzigen
Sohnes hat den guten Mann aber in einen Kummer
gestürzt, der ihn nie ganz verläßt."
In diesem Augenblick hob der Armeelieferant die
Augen zu mir auf; sein Blick ließ mich erzittern, so
düster und gedankenvoll war er. Dieser Blick enthielt
sicher sein ganzes Leben. Aber plötzlich erheiterte sich
sein Antlitz wieder; er griff nach dem Kristallstöpsel,
setzte ihn mit einer mechanischen Bewegung einer vor
ihm stehenden Wasserflasche auf und wandte sich dann
lächelnd Herrn Hermann zu. — Wahrhaftig, dieser
Mann, den jetzt seine gastronomischen Freuden so
verklärten, schien zweifellos keine zwei Gedanken in
seinem Hirn zu wälzen.
Wahrscheinlich hatte er
an gar nichts gedacht.
Tatsächlich, ich war et-
was beschämt, meine
psychologischen Kennt-
nisse bei diesem feisten
Geldmanne verschwen-
det zu haben.
Und nun begann
Herr Hermann seine
Geschichte, betitelt:
Gedanke und
Tal.
„Es war Ende des
Vendemiaire im Jahre
VII nach der Zeitrech-
nung der Republik, nach
unserem Kalender also
am 20. Oktober 1799.
Da kamen zwei junge
Leute von Koblenz her
bei Sonnenuntergang
in der Nähe von An-
dernach, einer kleinen
Stadt auf dem linken
Rheinufer, an.
Damals manövrierte
dort das vom General
Augereau befehligte
französische Heer unter
den Augen der Öster-
reicher, die das rechte
Stromuser besetzt hiel-
ten. Das Hauptquar-
tier der republikanischen
Division war in Kob-
lenz, und eine Halb-
Honore de Balzac. brigade des Korps Au-
gereau hatte ihr Stand-
quartier in Andernach.
Auch die beiden Reisenden waren Franzosen. An
ihren blau und weißen Uniformen mit roten Samt-
aufschlägen, ihren Säbeln und vor allen: an ihrer
Kopfbedeckung mit dem trikoloregeschmückten ^Feder-
busch hätten selbst deutsche Bauern sie als Feld-
ä r z t e erkannt, als Leute also von Bildung und
Verdienst, welche überall beliebt waren, nicht nur
beim Heere, sondern auch bei der Bevölkerung des von
unseren Truppen besetzten Gebiets. Denn diese durch
das Aushebungsgesetz aus ihrem medizinischen Beruf
herausgerissenen Leute hatten es natürlich^ vorge-
zogen, ihre bisherige Tätigkeit auch auf bciu Schlacht-
feld fortzusetzen, zu heilen, anstatt mit der
Waffe zu töten. So taten sie stets hilfsbereit
mit ihrem Wissen in all den: Elend Gutes, und so
bestand eine Gesinnungsgemeinschaft zwischen ihnen
und den Gebildeten der Lande, durch die der uner-
bittliche Marsch der Republik hindurchging.
Unsere beiden jungen Leute also waren jetzt, aus-
gerüstet mit Paß und Legitimation als Feld-
Unterärzte, auf dem Wege zürn Standquartier
der Halbbrigade, welcher sie zugeteilt waren. Beide
118
Waren aus Beauvais. Sie stammten aus mäßig
begüterten Bürgerfamilien, bei denen gute Eitlen
und provinziale Ehrbarkeit seit Generationen herrsch-
ten. Eine bei jungen Leuten natürliche Neugier
hatte sie schon vor Ablaus der Gestellungsfrist aus
den Kriegsschauplatz geführt. So waren sie denn
bis Siraßburg mit der Post gereist und hatten von
da ab die Ufer des Rheins, Kurmainz und Kurtrier,
durchwandert, sich aus vollem Herzen der tiefen Be-
wunderung hingebend, von der alle Gebildeten beim
Anblick der Rheinufer zwischen Köln und Mainz er-
griffen werden. —
„Wahrhaftig, Deutschland ist doch ein herrliches
Land!" rief einer der jungen Leute, namens
Prosper M a g n a n, als sie nun, ihre Pferde
anhaltend, die Häuser Andernachs erblickten, die sich
am Fuße des Berges *) wie Eier in einem Korb
aneinanderdrängten. Zwischen den Häusern sah man
Bäume und blühende Gärten. Eine Zeitlang be-
wunderte er die spitzen Dächer mit den vorspringen-
den Giebeln, die Holztreppen und Galerien der fried-
lichen Heimstätten und die Boote, die sich auf den
Wellen aru Kai schaukelten." —
In dem Augenblick, da Herr Hermann den
Namen Prosper M a g n a n nannte, griff der
Armeelieferant zur Karaffe; er goß sich ein Glas
Wasser ein und leerte es mit einem Zug. Diese
Bewegung hatte meine Aufmerksamkeit auf ihn ge-
lenkt, ich glaubte zu bemerken, daß seine Hände zit-
terten, und Schweißtropfen von seiner Stirn rannen.
„Wie heißt denn dieser ehemalige Armeelieferant?"
fragte ich meine gefällige Nachbarin.
„Taillefer," antwortet sie mir.
„Fühlen Sie sich unwohl?" wandte ich mich an ihn,
da ich den sonderbaren Menschen erbleichen sah.
„Nein, nein," gab er mit einer freundlichen Geste
zurück. —
„Ich höre zu," wandte er sich mit einem Kopfneigen
wieder an die übrigen Mitglieder der Tafelrunde, die
sich infolge meiner Frage nach ihm umgewandt hatten.
„Ja," meinte Herr Herrmann, „da habe ich aber
nun den Namen des anderen jungen Mannes ganz
vergessen. Ich erinnere mich nur noch der Erzäh-
lungen Prospers, wonach er ein brauner ziemlich
hagerer Bursche und ein fröhlicher Geselle war. Da-
mit Sie nun die Personen meiner Erzählung nicht
verwechseln können, will ich ihn einfach „Wilhelm"
nennen." — Und damit nahm der biedere Deutsche,
nachdem er so wider alle Romantik und Wahrschein-
lichkeit einen französischen Unterarzt mit einem deut-
schen Vornamen getauft, den Faden seiner Erzählung
wieder auf:
„Wie gesagt, die Dunkelheit brach herein, als
unsere beiden jungen Leute bei Andernach ankamen.
Sie überlegten daher, daß sie auf der Suche nach
ihren nunmehrigen Vorgesetzten und bei der Meldung
zu viel Zeit verlieren würden und zu guter Letzt in
der von Soldaten überfüllten Stadt doch kein mili-
tärisches Quartier würden erhalten können. So ent-
schlossen sie sich, die Nacht, ihre letzte freie vor Dienst-
antritt, lieber in einem etwa 100 Schritt vor der
Stadt gelegenen Wirtshaus zu verbringen, das sie
schon vorher in den letzten Strahlen der untergehenden
Sonne, die die lebhaften Farben seines Fachwerkes
aufleuchten ließ, von weitem bewundert hatten. Denn
*) Der Kranenberg.
dieser Gasthof fiel in der Landschaft gar reizvoll auf;
nicht nur durch seine isolierte Lage vor dem Hänser-
gedränge der eigentlichen Stadt, sondern namentlich
durch das prächtige Rot seines Holzwerks, das so leb-
haft gegen das Grün der Bäume und das monotone
Grau des Stromes abstach. Eben dieser Bemalung,
die vor langer, langer Zeit ihm wohl eine Laune
seines Erbauers gegeben und die ein sehr natürlicher
kaufmännischer Aberglaube die verschiedenen Besitzer
durch Generationen hindurch hatte stets frisch halten
lassen, verdankte es auch sein Firmenschild „Im
roten Haus". — Bei den Rheinsftchern stand
der Gasthof in hohem Ansehen.
Als der Wirt des „Roten Hauses" das Pferde-
getrappel hörte, erschien er auf der Schwelle.
„Wahrhaftig, meine Herren," rief er aus, „noch
etwas später, und Sie hätten im Freien übernachten
müssen, wie es den meisten Ihrer Landsleute erging,
die jetzt an dem anderen Ende von Andernach biwa-
kieren. Auch bei mir ist alles besetzt. Aber, wenn
Sie noch ein Bett haben wollen, so kann ich Ihnen
mein eigenes Schlafzimmer anbieten. Fiir Ihre
Pferde kann ich in einer Ecke des Hofes Streu hin-
legen lassen. Denn auch der Stall selbst ist heute
voller Christenleute... Kommen die Herren direkt aus
Frankreich?" fuhr er nach einer kleinen Pause fort.
„Nein," ries. Prosper, „aber wir haben seit heute
vormittag nichts gegessen." „Nun, was das Essen
anlangt," sagte der Wirt, „so sind Sie hier gerade
richtig, es gibt genug Leute, die einen Weg von zehn
Meilen machen würden, um im „Roten Haus" einmal
gut zu essen! — Sie sollen ein fürstliches Mahl haben.
Rheinsalm! Mehr brauche ich nicht zu sagen!"
Die beiden Unterärzte überließen dem Wirt, der
vergebens nach seinen Knechten rief, ihre ermüdeten
Gäule, und gingen in die Wirtsstube. Dichter Tabak-
gualm erlaubte ihnen in dem menschenwimmelnden
Zimmer zunächst nicht, die Leute zu erkennen, mit
denen sie hier zusammen hausen sollten. Allmählich
aber unterschieden sie die üblichen Requisiten eines
deutschen Gasthofs: den Ofen, die Standuhr, die
Tische, die Bierkrüge und die langen Pfeifen; dann
einige absonderliche Gestalten, Juden, Deutsche,
etliche rauhe Schiffergesichter. Dazwischen glitzerten
in dem Nebel die Epauletten französischer Offiziere,
und das Klirren von Sporen und Säbeln erklang
andauernd auf dem steinernen Fußboden. Einige
Gäste spielten Karten, andere unterhielten sich, oder
sie saßen schweigend vor vollen Tellern, tranken, oder
gingen auf und ab.
Eine kleine, dicke Frau, eine schwarze Samthaube
auf dem gelockten Haar, mit blau und silbernem
Mieder, Schlüsselbund und silbernen Schnallen, der
typischen Tracht der damaligen deutschen Wirtinnen,
wie man sie so häufig auf Kupferstichen dargestellt
sieht, die Frau des Wirtes also wußte mit außer-
ordentlichem Geschick die beiden Freunde geduldig zu
stimmen. Schließlich wurde denn auch der Lärm
schwächer, die übrigen Reisenden zogen sich zurück,
und der Qualm verflog. Als für die Unterärzte ser-
viert und der vielgerühmte Rheinsalm aufgetragen
wurde, schlug es zehn Uhr, und der Raum war leer.
In der Stille der Nacht hörte man die Pferde ihr
Futter kauen oder mit den Hufen aufstampfen. Alan
hörte das Plätschern der Wellen des Rheines und all
die undefinierbaren Geräusche, die ein Wirtshaus
beleben, wenn alle schlafen gehen: Fenster und Türen
*
119
wurden geöffnet und wieder ge-
schlossen; mnn hörte Stimmen-
gemurmel und dann und wann
einen Ruf aus den Zimmern.
Der Wirt setzte sich nun zu den
beiden Franzosen und pries ihnen
das Leben in Andernach, sein
Essen und seinen Rheinwein, das
republikanische Heer und nicht zu-
letzt seine Frau — da wurden
plötzlich rauhe Schifferrufe und
das Geräusch eines draußen am
User anlegenden Nachens ver-
nehnlbar. Der Wirt, dem die rau-
hen Stimmen der Schiffer offen-
bar wohlbekannt waren, stürzte
hinaus und kam bald in Gesett-
schast eines kleinen dicken Mannes
zurück, hinter dem zwei Schiffer
ein schweres Felleisen und mehrere
Ballen schleppten, die sie im Zim-
mer aufstapelten. Der kleine
Alaun nahm sein Felleisen an sich
und setzte sich dann ohne weiteres
zu den Unterärzten an den Tisch.
„Am besten legt Ihr euch im Boot
schlafen," sagte er dabei zu den
Schiffern, „das Haus ist besetzt."
„Sehen Sie, Herr," sagte der
Wirt zu dem eben Angekonunenen,
„das ist alles, was von meinen
Borräten noch übrig ist..." und
er, zeigte auf das den Fran-
zosen aufgetragene Abendessen.
„Weiter habe ich keine Brotkruste
und, keinen Knochen mehr im
Hause. Wie ich Ihnen bereits
sagte, können Sie kein anderes
Bett haben als den Stuhl, ans
dem Sie sitzen, und kein anderes
Zimmer als diese Gaststube."
Bei diesen Worten warf der
Kleine auf den Wirt, die Stube
und die beiden Franzosen einen
Blick, in dem sich Sorge und
Angst in gleicher Weise malten.
„Ich muß hier bemerken," unter-
brach sich Herr Hermann, „daß
wir den wahren Namen und über-
haupt Näheres über diesen Gast niemals erfuhren. Aus
seinen Papieren ging nur hervor, daß er Walhenfer
hieß, aus Aachen stammte und in der Neuwieder
Gegend eine ziemlich bedeutende Stecknadelfabrik be-
saß. Wie alle dortigen Fabrikanten trug er einen
Uberrock aus derbem Tuch, dazu Hose und Weste aus
dunkelgrünem Samt, Stiefel und einen breiten Leder-
gürtel. Er hatte ein offenes rundes Gesicht, und sein
Benehmen war freimütig und freundlich; aber an
diesem Abend fiel es ihm offenbar nicht leicht, ge-
heime Befürchtungen oder vielleicht grausame Sorgen
nicht laut werden zu lassen. (Die Meinung des Wirtes
war immer die, jener Kaufmann sei auf der Flucht
aus dem Gebiete seiner Herrschaft gewesen. Später
indes habe ich mir erzählen lasten, daß seine Fabrik
infolge eines unglücklichen Zufalles, wie das in
Kriegszeiten so häufig vorkommt, abgebrannt wäre.)
— Trotz seines sorgenerfüllten Gesichtsausdrucks ließ
Der Gasthof fiel in der Landschaft gar reizvoll auf
sein Aussehen große Gutmütigkeit erkennen. Er hatte
sympathische Züge und einen breiten Hals, dessen
Weiße durch ein schwarzes Halstuch vorteilhaft her-
vorgehoben wurde; Wilhelm machte seinen Freund
Prosper scherzend darauf aufmerksam."
Hier trank Herr Taillefer ein Glas Wasser.
„Prosper bot dem Kaufmann höflich an, das Mahl
niit ihnen zu teilen, und Walhenfer nahm an, ohne
viel Umstände zu machen, wie einer, der sich imstande
weiß, eine solche Höflichkeit zu erwidern. Er legte
sein Felleisen auf die Erde, stellte die Füße darauf,
nahm seinen Hut ab, rückte an den Tisch heran, und
entledigte sich seiner Handschuhe und zweier Pistolen,
die er im Gürtel trug. Der Wirt hatte schnell noch
ein Gedeck gebracht, und die drei Tischgenossen be-
gannen schweigend ihren Hunger zu stillen. — Die
*) Altes Fachwerkhaus in Andernach.
120
Luft im Zimmer war so schwül, und es gab so viele
Fliegen, baft Prosper den Wirt bat, das Fenster, das
nach' den Rheinufern ging, zu öffnen, um frische Lust
hineinzulassen. Dieses Fenster war durch eine Eisen-
stange gesichert, deren Enden in zwei Löchern ruhten,
die "in der Fensteröffnung angebracht waren. Zur
größeren Sicherheit wurden die Fensterläden an dieser
Stange festgeschraubt. Zufällig beobachtete Prosper
die Art, wie der Wirt das Fenster öffnete.
„Da ich gerade von der Örtlichkeit spreche," sagte
Herr Hermann, „so muß ich Ihnen kurz die innere
Einrichtung des Gasthofs schildern, was für das Ver-
ständnis der Geschichte unerläßlich ist. Die Gaststube,
in der die drei Leute sich befanden, hatte außer der
Tür nach den Jnnenräumen zwei Ausgänge. Ter
eine ging aus die Landstraße nach Andernach, die am
Rhein entlangführt. An ihr befand sich vor dem Wirts-
haus ein kleiner Landungsplatz, wo das Boot, das
der Kaufmann für seine Reise gemietet, angelegt hatte.
Die andere Tür ging auf den Hos. Dieser war von
sehr hohen Mauern" umschlossen und zurzeit ganz
voller Rindvieh und Pferde, da die Ställe selbst einer
Anzahl Leuten als Quartier dienten. Das große Hof-
tor war so sorgsam verrammelt, daß der Wirt, um
Zeit zu sparen", den Kaufmann und Schiffer schon
durch jene Tür der Wirtsstube, die aus die Straße
ging, eingelassen hatte. Nachdem er, wie Prosper
Magnan gebeten, das Fenster geöffnet hatte, machte
er sich nun daran, diese Tiir wieder zu verschließen;
er schob die Riegel vor und schraubte die Schutzstange
ein. — Das Zimmer des Wirtes, in dem die beiden
Unterärzte schlafen sollten, grenzte an das Gastzimmer.
Daran stieß, durch eine dünne Wand getrennt, die
Küche, wo die Wirtsleute übernachten wollten. —
Tie Magd war schon hinausgegangen, um in einer
Stallecke, einem Winkel des Speichers oder sonstwo
zu übernachten. Es ist somit klar, daß die Gaststube,
das Zimmer des Wirtes und die Küche gewisser-
maßen von den übrigen Räumen getrennt waren. —
Im Hofe waren zwei starke Hunde, deren gefähr-
liches Gebell ihre Wachsamkeit verriet.
„Welche Stille und welch' schöne Nacht," sagte Wil-
helm, und betrachtete den Himmel, als der Wirt die
Tür verschlossen hatte.
Das Plätschern der Wellen war der einzige Laut,
der vernehmbar war.
,Meine Herren," wandte sich der Kaufmann an
die beiden Franzosen, „gestatten Sie mir, Ihnen ein
paar Flaschen Wein anzubieten, um ihren Rhein-
salm zu begießen. Wenn wir trinken, erholen wir
uns etwas von diesem mühsamen Tag. Sie haben
doch sicher auch, wie ich, heute schon einen weiten
Weg zurückgelegt?"
Tie beiden Freunde nahinen an, und der Wirt ging
durch die Küche hinaus, um in den Keller hinab-
zusteigen, der sich offenbar unter diesem Teil des Ge-
bäudes befand. Als die fünf von ihm herbeigebrachten
Flaschen auf dem Tisch standen, war seine Frau mit
der Bedienung der Gäste gerade fertig geworden. Sie
warf noch einen Hausfrauenblick auf alles, und als
sie sicher war, daß für alle Bedürfnisse der Reisenden,
gesorgt sei, zog sie sich in die Küche zurück.
Die vier Tischgenossen (denn der Wirt war noch dazu
geladen worden) hörten nicht, ob sie schlafen ging;
aber später, während der Gesprächspause, brachten sehr
deutliche Schnarchlaute, die durch die gewölbten Balken
des Hängebodens, auf dem sie sich eingenistet hatte,
noch sonorer wurden, die Freunde und namentlich den
Wirt zum Lachen. Gegen Mitternacht, als nur noch
Gebäck und Käse, Dörrobst und guter Wein aus dein
Tisch standen, wurden die Tischgenossen, besonders die
jungen Franzosen, mitteilsam. Sie sprachen von ihrem
Vaterland, ihren Studien und vom Krieg. Zum Schluß
wurde die Unterhaltung sehr lebhaft. Prosper Magnan
rührte den auf der Flucht befindlichen Kaufmann bis zu
Tränen, als er mit der Freimütigkeit eines guten und
zärtlichen Jungen sich in Vermutungen darüber erging,
was gerade in diesem Augenblick, da er sich an den Ufern
des Rheines befand, wohl feine Mutter tun würde.
„Ich sehe sie," sagte er, „wie sie vor dem Schlafen-
gehen ihr Abendgebet verrichtet. Sie vergißt mich ge-
wiß nicht darin und fragt sich: „Wo mag mein armer
Prosper jetzt wohl sein?" — Hat sie aber beim Spiel
einer Nachbarin, deiner Mutter vielleicht — dabei
stieß er Wilhelm mit dem Ellbogen an — einige
Solls abgewonnen, so wird sie auch diese in den großen
Tontopf "legen, worin sie das nötige Geld ersparen will,
um die dreißig Morgen Land, zwischen denen ihre paar
Parzellen in Lecheviüe zerstreut sind, zur richtigen Ab-
rundung des Besitzes aufzukaufen. Diese dreißig Mor-
gen sind etwa sechziqtausend Franken wert. Es sind
prachtvolle Wiesen! Wenn ich sie eines Tages kaufen
könnte, so würde ich ohne weiteren Ehrgeiz mein
ganzes Leben in Lecheville verbringen. Wie oft hat
mein Vater sich gewünscht, diese dreißig Morgen und
den hübschen Wasserlauf, der sich durch die Wiesen
schlängelt, zu besitzen. Und er ist gestorben, ohne sie
kaufen zu können. Dort hab' ich so oft gespielt... Herr
Walhenfer, haben Sie nicht auch so eine Sehnsucht?,"
fragte Prosper. — „Q doch, aber jetzt ist alles so ganz
anders gekommen, und jetzt..." Er schwieg, ohne
seinen S"atz zu vollenden. „Ich", sagte der Wirt, dessen
Gesicht eine etwas rötliche Färbung angenomrnen
hatte, „habe im letzten Jahr endlich den Weinberg
kaufen können, den ich mir seit zehn Jahren ge-
wünscht hatte." — So plauderten sie wie Leute, deren
Zunge der Wein gelöst hat; und sie empfanden für
einander jene vorübergehende Freundschaft, mit der
wir auf Reisen so freigebig sind, und so geschah es, daß,
als Ulan sich schlafen legen wollte, Wilhelm dem Kauf-
mann sein Bett anbot" „Sie können das um so eher
annehmen," sagte er, „da ich ja bei Prosper schlafen
kann. Das wird nicht das erste und sicher nicht das
letzte Mal sein. Sie sind unser Senior, wir müssen
das Alter ehren." „Das Bett meiner Frau", sagte der
Wirt, „hat ulehrere Matrazen; davon können sie eine
auf den Boden legen." — Und er schloß das Fenster
und ulachte dabei "den Lärm, den eine solche Tätigkeit
mit sich brachte. —
„Ich nehme an," sagte der Kaufnlann. „Ich muß
gestehen," fügte er mit leiser Stimme und mit einem
Blick auf die beiden Freunde hinzu, „daß mir ihr
Vorschlag sehr willkommen ist. Meine Schiffer sind
mir verdächtig. Es ist mir sehr lieb, diese Nacht in
Gesellschaft zweier tapferer und wackerer junger Leute,
französischer Soldaten, zuzubringen. Denn ich habe
rund hunderttausend Franken in Gold und Diamanten
in meinem Felleisen."
Tie Zurückhaltung, mit der diese unvorsichtige Ver-
traulichkeit von den beiden jungen Leuten entgegen-
genoululen wurde, beruhigte den guten Deutschen. Ter
Wirt half seinen Gästen, die Betten herzurichten.
Tann als alles aufs Beste geordnet war, wünschte er
ihnen gute Nacht und ging selbst auch schlafen.
121
Der Kaufmann und die beiden Unterärzte scherzten
über ihre seltsamen Kopfkissen. Prosper legte sein und
Wilhelms chirurgisches Besteck unter seine Matraze,
um sie aus diese Weise zu erhöhen und so das bei
seinem Notlager fehlende Kopfkissen zu ersetzen. In
diesem Augenblick bemerkte er, daß Walhenfer über-
ängstlich sein Felleisen unter sein Kopfkissen schob.
„Wir schlafen beide auf unserem Vermögen: Sie ans
Ihrem Gold; ich auf meinem Chirurgenbesteck! Bleibt
nur die Frage, ob meine Instrumente mir so viel ein-
bringen, wie Sie an Gold sich bereits erworben ha-
ben!" — „Hoffen Sie es immerhin," meinte der Kauf-
mann, „Arbeit und Rechtschaffenheit erreichen alles;
haben Sie nur Geduld!" —
Walhenfer und Wilhelm schliefen bald ein. Prosper
hingegen blieb wach, vielleicht, weil sein Lager zu hart
war, vielleicht, weil er übermüdet oder seelisch allzu-
sehr erregt war. Unwillkürlich kam er aus böse Ge-
danken. Immer wieder mußte er an die hunderttausend
Franken denken, aus denen der Kaufmann schlief.
Für ihn waren hunderttausend Franken ein unge-
heures Vermögen. Er iiberlegte auf tausend verschie-
dene Arten, wie er sie wohl verwenden wiirde; er
baute Luftschlösser (wie wir ja alle es mit so großem
Behagen in der Stunde vor dem Einschlafen tun,
wenn unser Hirn die seltsamsten Tinge ausbrütet, und
im Schweigen der Nacht ein Gedanke'oft eine magische
Macht bekommt); er erfüllte die Wünsche seiner Ätut-
tcr und kaufte die dreißig Morgen Wiesenland; er
heiratete ein Fräulein ans Beauvais, auf das der
klaffende Vermögensunterschied ihn bisher zu verzich-
ten gezwungen hatte. Kurzum, mit dieser Summe er-
träumte er sich ein herrliches Leben; er sah sich glück-
lich, als Familienvater, reich, geachtet in seiner Hei-
matprovinz, vielleicht wurde er gar Maire von
Beauvais. Sein pikardischer Schädel glühte; er suchte
nach Mitteln, seine Hirngespinste in Wirklichkeit zu
verwandeln. Mit heftiger Leidenschaft ersann er in
der Theorie ein Verbrechen.
So träumte er vom Tode des Kaufmanns; er sah
ganz deutlich das Gold und die Diamanten. Seine
Augen waren geblendet. Sein Herz zitterte. Schon
diese Überlegung war ja zweifellos ein Verbrechen.
Fasziniert von so viel Gold sprach er sich Mut zu mit
all' den Gründen, die fördern in solchen Fällen 51t
Gebote stehen. Er fragte sich, ob das Leben dieses
armen Deutschen wohl wirklich eine Notwendigkeit sei,
und wollte gern annehmen, er hätte niemals existiert.
— Kurz, er beschloß, das Verbrechen zu begehen, aber
so, daß er selbst dabei straflos bliebe. Das andere
Rheinufer war von den Österreichern besetzt; unter
dem Fenster waren Schiffer und ein Boot; er konnte
dem Manne den Hals abschneiden, ihn in den Rhein
werfen, sich mit dem Felleisen durch das Fenster
flüchten; den Schiffern Gold anbieten und so das von
den Österreichern besetzte rechte Ufer erreichen. Er
stellte dabei auch schon in Rechnung, daß er in der
Handhabung seiner Instrumente schon eine solche Ge-
schicklichkeit erworben hätte, daß er sein Opfer köpfen
könnte, ohne daß es einen einzigen Schrei ausstoßen
würde." —
Hier trocknete sich Herr T a i l l e f e r die Stirn
und trank wieder ein wenig Wasser. —
„Prosper erhob sich langsam, ohne Geräusch zu
»lachen. Sicher, niemand geweckt zu haben, zog er
sich an und schlich in die Wirtsstube: dort schraubte
er mit jener verhängnisvollen Geschicklichkeit, mit der
Umsicht und der Willenskraft, die der Mensch oftmals-
plötzlich in sich entdeckt, und die ja auch gefangenen
Verbrechern bei Ausführung ihrer Fluchtpläne eigen,
die Eisenstange los, und ohne das leiseste Geräusch
nahm er sie aus den Löchern heraus; er lehnte sie an
die Wand und öffnete die Fensterläden; mit seinem
ganzen Gewicht drückte er dabei auf die Angeln, um
ihr Knirschen nicht laut werden zu lassen. Der Mond,
dessen bleiches, klares Licht über dieser Szene lag, ließ
ihn die Gegenstände int Nebenzimmer, wo Wilhelm
unb Walhenfer schliefen, undeutlich erkennen. Einen
Augenblick macht er, wie er mir selbst erzählt hat, Halt.
Das Pochen seines Herzens war so heftig, stark und
laut, daß es ihn ganz.verstörte. Er fürchtete, nicht kalt-
blütig handeln zu können; seine Hände zitterten, und
es kam ihm vor, als ob seine Fußsohlen auf glühenden
Kohlen stünden. Aber die Umstände waren für die
Ausführung seiner Absicht so günstig, daß er in dieser
Gunst des Schicksals so etwas wie Vorbestimmung er-
blickte. So öffnete er denn doch das Fenster vollends,
kehrte ins Schlafzimmer zurück, nahm sein Chirurgen-
besteck und suchte das zur Ausführung des Verbrechens
ant geeignetsten erscheinende Instrument heraus.
„Als ich vor seinem Bett stand," erzählte er mir später,
„empfahl ich mich mechanisch Gottes Gnade." — Aber
als er gerade mit voller Kraft den Arm erhob, klang
es in ihm wie eine innere Stimme. Er glaubte einen
Lichtstrahl zu bemerken. Er warf das Instrument auf
sein Bett, floh ins andere Zinimer und stellte sich ans
Fenster. Dort empfand er tiefes Entsetzen vor sich
selbst; da er fühlte,-daß sein Wille zum Guten zu
schwach war, und da er fürchtete, wieder dem Wahn,
dessen Opfer er war, zu unterliegen, sprang er schnell
durchs Fenster auf die Straße und ging mit Rhein ent-
lang auf und ab, und spielte so gewissermaßen Schild-
wache vor dem Wirtshaus. Oft kam er bei seiner
eiligen Wanderung bis an die ersten Häuser von
Andernach, oft führten ihn seine Schritte an den Wald
ans der anderen Seite. Aber das Schweigen der Nacht
war so tief, und er vertraute so sehr auf die Wach-
hunde, daß er doch manchmal das Fenster, das er
offen gelassen hatte, aus den Augen ließ. Er wollte
sich gewaltsam ermüden und schläfrig werden.
Wie er so unter dem wolkenlosen Himmel dahin-
wanderte und die schönen Sterne bewunderte, versank
er bei der reinen Nachtluft und dem melancholischen
Plätschern der Wellen in eine Träumerei, die ihn
allmählich wieder zu gesunden Gedanken zurückführte.
Tie Vernunft kam wieder und der Wahn des Augen-
blicks verflog. Seine Erziehung, die Vorschriften der
Religion, und vor allem (so sagte er mir) die Bilder
des bescheidenen Lebens, das er bis dahin im Eltern-
haus geführt, triumphierten über die bösen Gedanken.
Am Ufer des Rheins, ans einen großen Stein sitzend,
verlor er sich in eine lange Betrachtung. Als er end-
lich aufstand, hätte er, wie er mir später_ erzählte,
neben einer Milliarde Gold nicht nur
schlafen, sondern auch wachen können. Jetzt, da seine
Rechtschaffenheit sich stark und stolz aus diesem
Kampfe erhob, kniete er glückselig und begeistert nie-
der und dankte Gott; er fühlte sich so glücklich, leicht
und zufrieden wie am Tag seiner ersten Kommunion,
als er sich der Engel würdig wähnte, weil er den
Tag verbracht hatte, ohne in Worten, Taten oder
Gedanken zu sündigen. Er ging zum Wirtshaus zu-
rück, schloß das Fenster, ohne jetzt darauf zu achten,
ob dabei ein Geräusch entstünde, und legte sich sofort
122
nieder. Seine körperliche und seelische Ermattung
ließen ihn, kaum daß er sich hingelegt, schon in jene
erste traumerfüllte Schlaftrunkenheit fallen, die dem
tiefen Schlummer vorangeht. Die Sinne erschlaffen
und das Leben scheint aufzuhören; die Gedanken sind
unvollständig, und die letzten Zuckungen unserer Sinne
werden zu Träumereien. — Wie schwül es ist, dachte
Prosper. Mir ist, als ob ich feuchten Dampf atmete.
Er erklärte sich diese Wirkung der Atmosphäre durch
den Unterschied, der zwischen der Temperatur des
Zinimers und der frischen Luft bestehen mußte. Bald
aber hörte er ein regelmäßiges Geräusch; es war, als
ob Wassertropfen aus einem Brunnenhahn fielen.
Panischer Schrecken ergriff ihn, er wollte aufstehen,
den Wirt rufen, den Kaufmann oder Wilhelm wecken;
da erinnerte er sich unglücklicherweise der Standuhr,
und er hielt das Geräusch für den Pendelschlag; in
dieser wirren, undeutlichen Borstellung Mief er
dann ein." —
„Wünschen Sie etwas Wasser, Herr T a i l l e f e r?"
sagte der Hausherr, wie er sah, daß der Bankier
mechanisch wieder zur Karaffe griff.
Sie war leer.
Nach einer kurzen Pause, während welcher der Ban-
kier Gegenstand der allgemeinen Aufmerksamkeit
war, fuhr Herr Hermann in seiner Erzählung fort.
„Am nächsten Morgen", sagte er, „wurde Prosper
Magnan durch einen großen Lärm geweckt. Er glaubte,
durchdringende Schrere vernommen zu haben, und er
empfand die heftige Nervenerschütterung, die uns
befällt, wenn wir noch beim Erwachen eine peinliche
Empfindung, die schon im Schlaf begonnen hat,
weiter spüren. Es gibt dann einen psychivlogischen
Vorgang, einen „Ruck", um mich eines volkstüm-
lichen Ausdrucks zu bedienen; es ist dies etwas, was
noch nicht genügend aufgeklärt ist, obwohl es für die
Wissenschaft merkwürdige Erscheinungen sind. Diese
furchtbare Angst, die vielleicht von einer zu plötzlichen
Vereinigung unserer beiden fast immer getrennten
Naturen während des Schlafes hervorgerufen ist.
dauert gewöhnlich nicht lange. Bei dem arnien Unter-
arzt aber währte sie lange, steigerte sich sogar und er-
regte ihm den gräßlichsten Schauder, als er ein
Blutmeer zwischen seiner Matratze und dem Bett
Walhenfers entdeckte. Der Kopf des armen Deut-
schen lag auf dem Boden, der Körper noch im Belt.
Alles Blut war aus dem Halse geströmt. Als Prosper
Magnan die noch offenen und starren Augen erblickte
und das Blut, das sein Bettuch und sogar seine Hände
befleckte, und als er sein eigenes chirurgisches Instru-
ment auf dem Bett wieder erkannte, sank er in Ohn-
macht und fiel in Walhenfers Blut. „Schon das
war", sagte er später zu inir, „eine Strafe für meine
Gedanken." —
Als er das Bewußtsein wiedererlangte, befand er
sich in der Gaststube. Er saß aus einem Stuhl in-
mitten von französischen Soldaten und einer neu-
gierig gaffenden Menge. Stumpfen Blickes sah er,
wie ein republikanischer Offizier die Zeugenaus-
sagen aufnahm und das Protokoll fertigstellte. Er
erkannte den Wirt, die Frau des Wirts, die beiden
Schiffer und die Magd. Das chirurgische Instrument,
dessen sich der Mörder bedient hatte...
Hier hustete Herr T a i I l e f e r, zog sein Taschen-
tuch aus der Tasche, schnaubte sich und trocknete sich
die Stirn. Diese so natürlichen Bewegungen wurden
aber nur von mir beobachtet; alle Tischgenossen schau-
ten auf Herrn Hermann und hingen mit Begierde
an seinen Lippen. — Der Armeelieferant aber stützte
den Ellenbogen auf den Tisch, legte den Kopf in die
rechte Hand und blickte Herrn Hermann fest an. Von
da an ließ er sich kein Zeichen von Erregung oder
Interesse mehr entschlüpfen; aber sein Aussehen blieb
gedankenvoll und schrecklich, wie in denr Augenblick,
da er mit dem Stöpsel der Karaffe gespielt. — .........
„Das chirurgische Instrument, dessen sich der Mörder
bedient hatte, befand sich auf dem Tisch, ebenso das
Felleisen, das Portefeuille und die Papiere Prospers.
Die Blicke aller richteten sich auf diese Stücke und
den jungen Mann, der wie tot schien und dessen er-
loschene Augen nichts sahen. Von draußen kam der
wirre Lärm der Volksmenge, die durch die Kunde von
dem Verbrechen und wohl auch durch den Wunsch,
den Mörder zu sehen, angelockt war. Der Schritt
der unter den Fenstern der Wirtsstube aufgestellten
Schildwachen und das Klirren ihrer Waffen be-
herrschten das Getümmel; aber das Wirtshaus war
geschlossen und der Hof blieb leer und still.
Prosper Magnan war unfähig, den Blick des ihn
verhörenden Offiziers zu ertragen. Da fühlte er, wie
jemand seine Hand ergriff, und er hob die Augen,
um zu sehen, wer wohl unter dieser feindseligen
Menge sein Beschützer sei. An der Uniform erkannte
er den Oberarzt der Halbbrigade, die in Andernach
lag. Der Blick dieses Mannes war so durchdringend
und streng, daß der arme junge Mann erschauerte und
den Kopf auf die Stuhllehne sinken ließ. Ein Soldat
ließ ihn Essig atmen, und alsbald erlangte er sein
Bewußtsein wieder. Seine verstörten Augen waren
jedoch so sehr ohne Teilnahme und Leben, daß der
Arzt, nachdem er Prospers Puls gefühlt, zu dem Offi-
zier sagte: „Herr Hauptmann, es ist unmöglich, den
Menschen jetzt zu "verhören." — „Gut", erwiderte
dieser, „führt ihn also ab," mit diesem Befehl sich
an einen Unteroffizier wendend, der hinter dem Arzt
stand. „Verdammter Feigling", raunte der Soldat
Prosper zu. „Versuche wenigstens draußen vor den
Deutschen stramm aufzutreten, um die Ehre der
Republik zu wahren."
Diese Anrede weckte Prosper Magnan, der auf-
stand und einige Schritte machte. Aber, als die Tür
geöffnet wurde und er den Windhauch spürte und
die Menge eindringen sah, verließen ihn die Kräfte,
seine Knie zitterten, er schwankte. „So ein ver-
dammter Arztlehrling! Der verdiente zweimal den
Tod! Vorwärts, marsch!" sagten die beiden Soldaten,
die ihn unter den Arm nahmen, um ihn zu halten. —
„So ein Feigling, seht den Feigling... da ist er, da!" —
Es war ihm, als spräche eine einzige Stimme diese
Worte; die tumultuarische Stimme der Masse, die
ihn mit Verwünschungen begleitete, und sich bei jedem
Schritt vergrößerte. Während dieses Transports vom
Wirtshaus zuni Gefängnis^ als die Volksmenge und
die Soldaten lärmten, und der Gefangene den Him-
mel sah und die Stadt Andernach und den Rhein-
strom, berührten alle diese Eindrücke seine Seele nur
matt und verworren, wie alles, was er seit seinem
Erwachen empsmrden hatte. Es gab Augenblicke (so er-
zählte er mir), da er glaubte, schon nicht mehr zu leben.
„Ich war nämlich danrals im Gefängnis", unter-
brach sich Herr Hermann. — „Begeistert, wie man
mit zwanzig Jahren ist, hatte auch ich mein Vater-
land mitverteidigen wollen und kommandierte eine
Freischar, die ich in der Andernacher Gegend orga-
123
nisiert hatte. Kurz vorher war
ich in der Nacht einer fran-
zösischen Abteilung, die aus
achthundert Mann bestand, in
die Hände gefallen. Wir selbst
hatten insgesamt nur zwei-
hundert. Meine Spione hatten
mich verkauft. So wurde ich
in Andernach ins Gefängnis
geworfen. An mir sollte zur
Einschüchterung des Landes ein
Exempel statuiert und ich er-
schossen werden. Die Franzosen
wollten damit Repressalien aus-
üben, aber jener Mord, den
mein Tod sühnen sollte, war
nicht innerhalb unseres Kur-
stiritentums begangen worden.
Daher hatte mein Vater einen
Aufschub von drei Tagen er-
langt, um beim General Auge-
reau meine Begnadigung nach-
zusuchen, der sie ihm auch ge-
währte. —
Ich sah also Prosper Magnau
in dem Augenblick, als er das
Gefängnis von Andernach be-
trat, und er flößte mir oas
tiefste Mitleid ein. Obgleich er
bleich und mitgenommen aus-
sah und blutbesudelt war, hatte
sein Gesichtsausdruck doch etwas
so Reines und Unschuldiges,
daß es mich tief bewegte. Mit
seinen langen blonden Haaren
und seinen blauen Augen wirkte
er aus mich wie ein 'Deutscher.
Wie ein Bild meines ohnmäch-
tigen Vaterlandes erschien er
mir: ein Opfer, nicht ein Mör-
der. Als er unter meinem
Fenster vorüberging, warf er
einen lächelnden Blick, der aber
doch zugleich voller Schwermut
und Bitterkeit war, ins Unge-
wisse, wie ein Irrer, der einen
flüchtigen, lichten Moment hat.
Dies Lächeln war sicher nicht
das eines Mörders. Als ich
den Gefängniswärter sah, fragte
ich ihn über seinen neuen Gefangenen aus. — „Seit
er in seiner Zelle ist,, hat er noch kein Wort gesprochen.
Er sitzt da, den Kopf in die Hände gestützt, er schläft
oder grübelt über seine Sache nach. Wie die Fran-
zosen sagen, kommt er morgen früh vor; binnen vier-
undzwanzig Stunden wird er erschossen." —
Abends, während der kurzen Zeit, die man mir
zìi einem Spaziergang im Gefängnishof eingeräumt
batte, ging ich ans Fenster des Gefangenen. Wir
sprachen miteinander, und er erzählte mir freimütig
[ein Abenteuer und beantwortete richtig meine ver-
schiedenen Fragen. Nach dieser kurzen Unterhaltung
zweifelte i ch nicht mehr an seiner U n s ch u ich. Ich
blieb also bei ihm, und der arme Junge weihte mich
ohne Vorbehalt in alle seine Gedanken ein. Er hielt
sich gleichzeitig siir schuldig lind unschuldig. Wenn
er der gräßlichen Versuchung gedachte, der zu wider-
Das alte kurkölnische Schloß in Andernach.
stehen er die Kraft gehabt hatte, glaubte er mit Ent-
setzen, das Verbrechen, von dem er als Wacher n u r
g e t r ü u m t, dennoch im Schlaf oder in einem An-
fall von Somnabulismus wirklich begangen
zu haben.
„Aber Ihr Kamerad?" fragte ich ihn. „Nein", rief
er feurig, „Wilhelm ist nicht imstande..."
Er sprach nicht zu Ende. Bei diesen Worten, aus
denen Jugend und Tugend sprachen, drückte ich ihm
die Hand. -
„Bei seinem Erwachen", fuhr er fort, „war er sicher
entsetzt, er wird den Kops verloren und sich in Sicher-
heit gebracht haben."
„Ohne Sie zu wecken?", sagte ich. — „Aber dann
wäre Ihre Verteidigung ja leicht, da Walhenfers
Felleisen ja nicht geraubt sein könnte." —
Da brach er plötzlich in Tränen aus.
124
„Ja, ja, ich bin auch unschuldig", rief er. „Ich bin
kein Mörder! Ich erinnere mich nach meiner Träume.
Ich spielte Fangen mit meinen Kameraden. Ich
kann dem Kaufmann doch nicht den Kopf abge-
schnitten haben, während ich träumte, das; ich lief." —
Trotzdem so ein Hoffnungslicht ihn manchmal
etwas beruhigte, fühlte er sich doch immer wieder
von Gewissensbissen gemartert. Hatte er doch wirk-
lich den Arni gehoben, um dem Kaufmann den Kopf
abzuschneiden! So hielt er Gerichtstag über sich, und
fand fein Herz ntcht mehr rein, nachdem er das Ber-
brechen in Gedanken schon begangen hatte. „Aber
ich bin doch ein guter Mensch", rief er aus. „£!),
meine arme Mutter. Vielleicht fitzt sie jetzt gerade
beiter mit Ihrer Nachbarin beim Spielchen. Wenn
sie wüßte, daß ich auch nur die Hand erhoben, um
einen Menschen umzubringen... oh, sie würde sterben!
Und ich bin im Gefängnis, eines Verbrechens ange-
klagt. Wenn ich auch nicht den Kaufmann getötet
habe, so bringe ich doch sicher meine M u l t e r unter
die Erde."
Bei diesen Worten weinte er nicht mehr, aber von
der plötzlichen Raserei gepackt, die bei Pikarden
häufig vorkommt, warf er sich an die Mauer und er
härte sich den Kopf zerschmettert, wenn ich ihn nicht
zurückgehalten hätte. „Warten Sie Ihr Urteil ab",
sagte ich. „Sie müssen freigesprochen werden! Sie
sind ja unschuldig. Und Ihre Mutter..." „Meine
Mutter", rief er wild, „sie wird d o ch die Anklage
gegen mich erfahren. In Kleinstädten ist das immer
so. Und die arme Frau wird vor Kummer sterben.
Ich bin übrigens nicht unschuldig. Wollen Sie
die ganze Wahrheit wissen? Ich fühle, daß ich meines
Gewissens Unschuld verloren habe!".... Nach diesem
schrecklichen Wort setzte er sich hin, kreuzte die Arme
über die Brust, senkte den Kopf und blickte finster
zu Boden. In diesem Augenblick kam der Schließer
und ersuchte mich, mich in meine Zelle zurück zu ver-
fügen. Ich war betrübt, meinen Genossen in einem
Augenblick tiefster Mutlosigkeit verlassen zu müssen,
und ich schloß ihn freundschaftlich in meine Arme.
„Haben Sie Geduld", sagte ich zu ihm, „vielleicht
wird alles gut gehen. Wenn das Wort eines ehren-
haften Mannes ihre Zweifel zum Schweigen bringen
kann, so empfangen Sie die Versicherung, daß "i ch
Sie achte und Sie liebe. Nehmen Sie meine Freund-
schaft an und suchen Sie Ruhe an meinem Herzen,
wenn Sie in Ihrem keinen Frieden finden." —
Am anderen Morgen wurde er von einem Unter-
offizier und vier Füsilieren abgeholt. Als ich den
Lärm hörte, den die Soldaten verursachten, stellte ich
mich ans Fenster. Als der junge Mann iiber den
Hos ging, sah er mich an. Niemals werde ich diesen
Blick vergessen, diesen gedankenschweren Blick, der
voll Vorahnung und Resignation, voller trauriger
Anmut und Melancholie war. ES war ein schwei-
gendes und doch beseeltes Testament, mit deni ein
Freund sein verlorenes Leben seinem letzten Freunde
vermacht.
Tie Nacht war zweifellos sehr hart, sehr einsam
für ihn gewesen; aber vielleicht war die Blässe, die
jetzt sein Antlitz prägte, der Beweis für einen Stoizrs-
muS, den er aus einer neuen Selbstachtung schöpfte.
Vielleicht fiihlte er sich durch seine Gewissensqualen
entsühnt und glaubte seine Verfehlung durch Leid und
Scham hinweggespült. So ging er mit festen Schrit-
ten, und er hatte die Blutflecken getilgt, nüt denen
er sich unfreiwillig beschmutzt hatte. „Meine Hände
sind wohl hineingeraten, während ich schlief, denn
mein Schlaf ist immer sehr unruhig", hatte er mir
am Abend vorher in gräßlicher Verzweiflung gesagt.
Ich erfuhr, daß er vor dem Kriegsgericht erscheinen
sollte. Die Division sollte am übernächsten Tage den
Vormarsch antreten, und der Kommandant der'Halb-
brigade wollte Andernach nicht verlassen, ohne das
Verbrechen am Tatort selbst abzuurteilen. Während
der Dauer der Verhandlung war ich in tödlicher
Angst. Endlich, um die Mittagszeit, wurde Prosper
Magnan ins Gefängnis zurückgebracht. Ich machte
eben meinen gewohnten Spaziergang; er bemerkte
inich und stürzte sich in meine Arme.
„Es ist aus", sagte er niir; „ich bin verloren, hoss-
nungslos. Hier hält mich jeder siir 'einen Mörder."
Stolz hob er den Kopf.
„Diese Ungerechtigkeit hat mir vollkommen meine
Unschuld zurückgegeben. Mein Leben wäre
voller Verwirrung gewesen, so aber wird
mein Tod ohne Makel sein. Aber — — gibt
e s ein Fortleben nach d e in Tode?"
In dieser plötzlichen Frage lag das ganze acht-
zehnte Jahrhundert. — Er blieb nachdenklich.
„Was haben Sie denn vor Gericht geantwortet?
Was hat man Sie gefragt? Haben Sie nicht, wie mir
gegenüber den Hergang ganz offen erzählt?"
Er sah mich einen Augenblick starr an, dann, nach
einer furchtbaren Pause, erwiderte er mit fieberhafter
Lebhaftigkeit: „Zuerst hat man mich gefragt: „Haben
Sie den Gasthof nachts verlassen?" ' Das habe ich
bejaht. „Auf welchem Wege?" — „Durch das
Fenster", antwortete ich errötend. — „Sie hatten cs
also geöffnet!" Ich bejahte auch das. „Das müssen
Sie aber sehr vorsichtig gernacht haben. Denn der
Wirt hat nichts gehört." Ich war erschrocken. Die
Schiffer bekundeten, sie hätten nrich aus und ab wan-
dern sehen, bald rrach Andernach, bald nach dem
Walde zu. Ich hätte, sagten Sie, den Weg citt paar-
mal gemacht. Das Gold und die Diamanten hätte
ich wohl im Wald vergraben. Denn das Felleisen
ist nicht wieder aufgefunden worden. In meinem
Gewissen tobte die ganze Zeit über ein Kampf. Wenn
ich mich verteidigen wollte, rief rnir eine unerbitt-
liche Stimme zu: „Tu hast doch das Verbrechen be-
gehen wolle n". Alles war gegen nrich, sogar ich
selbst. Ich wurde über meinen Kameraden ausge-
fragt, und ich habe ihn nach Kräften verteidigt. Dar-
auf erklärte man mir: „Nur Sie, Ihr Kamerad, der.
Wirt oder feine Frarr können die Schuldigen sein.
Denn herlte morgen fand man alle Fenster und
Türen verschlossen."
„Bei dieser Bemerkung", fuhr er fort, „versagte
mir die Stimme; mit meiner seelischen Kraft war
: es zu Ende. Meines Freundes war ich sicherer als
meiner selbst; ihn konnte ich nicht beschuldigen.
Ich begriff, daß wir beide als gemeinsame Täter
galten, und daß ich als der gefährlichere erschien. -
j So wollte ich die Mordtat als im Somnambulismus
- begangen erklären und meinen Freund rechtfertigen:
i ich redete aber nur wirres Zeug. Ich bitt verloren.
^ Ich las meine Verurteilung schon in den Attgen der
i Richter, die mir mit unglaübtgem Lächeln zuhörten.
! Die llttgewißheit ist aus. Morgen werde ich er-
125
schossen. Ich denke nicht mehr an mich, nur nach
an meine arme Mutter!"
Er hielt inne, sah zum Himmel empor und vergoß
keine Träne mehr. Seine Augen waren trocken und
krampfhaft verdreht. „Friedrich..." —
„Ja, der andere hieß Friedrich, ganz richtig, Fried-
rich. Ja, so hieß er", rief Herr Hermann trium-
phierend. — Meine Nachbarin stieß mich mit dem
Fuß au und machte mir, auf Herrn Taillefer deutend,
ein Zeichen. Der ehemalige Armeelieferant hatte die
Hand lässig ans feine Angen gelegt, zwischen feinen
Fingern glaubten wir zu sehen, daß sein Blick wie
eine düstere Flamme brannte.
„Wenn e r nun Friedrich hieße?" flüsterte sie mir
zu. Ich gab ihr mit dem Auge ein Zeichen, das
bedeuten sollte: „Still!"
Herr Hermann fuhr folgendermaßen fort:
„Friedrich," rief der Unterarzt, „Friedrich hat mich
feige verlassen. Er hat wohl Angst gehabt. Biel-
leicht hielt er sich im Gasthof verborgen, denn am
Morgen standen unsere beiden Pferde noch im Hof.
— Welch unbegreifliches Geheimnis", fügte er nach
einem Augenblick des Schweigens hinzu. „Der
Somnambulismus, der Somnambulismus! Ich habe
in meinem ganzen Leben nur einen einzigen Anfall
gehabt; und dazu noch in meinem sechsten Lebensjahr.
Soll ich sterben", und er stampfte dabei mit dem Fuß
auf den Boden, „und all' meinen Glauben an
Freundschaft verlieren? Ich muß doppelten Tod er-
leiden, wenn ich an einer Freundschaft zweifeln muß,
die begann, als ich fünf Jahre alt war, und die sich
auf der Schule und während der Studienzeit fort-
setzte. Wo ist Friedrich?!" —
Er weinte. Ein Gefühl ist uns also kostbarer als
das Leben! — „Gehen wir ins Gefängnis zurück",
sagte er zu mir. Ich bin lieber in meiner Zelle. Ich
mochte nicht, daß man mich weinen sieht. Ich werde
mutig in den Tod gehen, aber ich kann nicht schon
zur Unzeit heroisch sein, ich gestehe, daß mich mein
junges, schönes Leben dauert. Ich habe die letzte
Nacht nicht geschlafen, an meine Kindheit hab' ich
denken müssen, ich sah mich durch jene Wiesen laufen,
wonach zu begehren vielleicht an meinem Ende schuld
ist. Ich hatte eine Zukunft. Was ist jetzt meine
Z u k u n f t ? Zwölf Mann, ein Leutnant, der kom-
mandiert: „Gewehr auf, legt an, Feuer!" Ein Trom-
melwirbel. Schluß. Oh, es m u ß einen Gott
geben, sonst wäre all' das doch zu sinnlos!"
- Dann ergriff er mich und preßte mich mit aller
.Kraft an sich. ^
„Sie sind der letzte Mensch, dem ich mein Herz
ausschütten kann. Sie werden wieder frei werden.
Sie werden Ihre Mutter wiedersehen. Ich weiß
nicht, ob Sie arm oder reich sind, ganz gleich. Für
mich sind Sie jetzt die ganze Welt. Der Krieg wird
nicht ewig dauern. Gehen Sie nach Beauvais, wenn
wieder Friede ist. Wenn meine Mutter die Trauer-
kunde von meinem Tode überlebt, so suchen Sie sie
aus. Sagen Sie ihr die tröstenden Worte: „Er war
unschuldig". Sie wird Ihnen glauben. Ich will
:hr schreiben. Sie aber werden ihr meinen letzten
Blick überbringen. Sie werden ihr sagen, daß Sie
der letzte Mensch sind, den ich umarmt habe. Wie wird
die arme Frau Sie lieben! Sie, der Sie mein letzter
Freund gewesen sind... „Hier", sagte er nach einem
Augenblick des Schweigens, da seiner Erinnerungen
Last ihn zu überwältigen schien, „hier sind Bor-
gesetzte und Soldaten mir unbekannt, und ich flöße
ihnen allen Schauer ein. Ohne Sie wäre nieine
Unschuld ein Geheimnis zwischen der« Himmel und
mir."
Ich schwor ihm, seinen letzten Willen als heiliges
Vermächtnis 511 erfiillen. Meine Worte, meine Herz-
lühkeil rührten ihn. Kurz danach holten ihn die
Soldaten wieder ab und führten ihn wieder vors
Kriegsgericht. Das Urteil wurde verkündet.
Ich weiß nicht, welche Formalitäten es noch gab;
ich weiß auch nicht, ob der junge Chirurg fein Leben
nach allen Regeln verteidigte; aber er war darauf
vorbereitet, am nächsten Morgen in den Tod zu
gehen, und er verbrachte die Nacht damit, feiner
Mutter zu schreiben. „Wir werden beide frei
sein", sagte er lächelnd, als ich ihn am andern Mor-
gen besuchte. „Denn ich habe gehört, daß der General
Ihre Begnadigung unterzeichnet hat." Ich blieb
schweigsam und betrachtete ihn, um mir seine Züge
gut einzuprägen. Er machte eine verdrossene Miene
sind sagte:
„Ich bin doch ein trauriger Feigling. Ich habe
die ganze Nacht diese Mauern um Erbarmen ange-
fleht." Und er wies auf die Wände seiner Zelle.
„Ja, ja", fuhr er fort, „ich habe vor Verzweiflung
geheult, ich habe mich empört, ich habe die fürchter-
lichste Todesangst ausgestanden... Ich war allein.
Jetzt aber denke ich daran, was die anderen
sagen werden. Der M u t ist eine Mask e. Und
ich muß mit gebührendem Anstand in den Tod
gehen..."
„Oh, erzählen Sie nicht zu Ende", unterbrach das
junge Mädchen, das die Geschichte verlangt hatte,
den Nürnberger. „Ich will in Ungewißheit bleiben
und glauben können, daß er gerettet worden ist.
Wenn ich heute hörte, er wäre erschossen worden, so
könnte ich diese Nacht nicht schlafen. Erzählen Sie
mir Morgen den Schluß!" —
Wir standen vom Tisch auf. Meine Nachbarin
nahm Herrn Hermanns Arm und sagte: „Nicht wahr,
er ist doch erschossen worden?"
„Ja, ich war Zeuge der Urteilsvollstreckung."
„Wie mein Herr, Sie konnten es über sich bringen?"
„E r hatte es so gewünscht, mein Fräulein. Ja,
es ist entsetzlich, dem Leichenzug eines lebendigen
Menschen zu folgen, eines Menschen, den man
liebt, eines Schuldlosen! Ter arme junge Mann
wandte keinen Blick von mir! Er schien nur noch in
mir zu leben. Er wollte, ich sollte seiner Mutter
seinen letzten Seufzer überbringen."
„Haben Sie seine Mutter noch gesehen?"
„Nach dem Frieden von Amiens ging ich nach Frank-
reich, um seiner Mütter das schöne Wort: „er war
unschuldig" zu überbringen. Ich hatte diese Pilger-
fahrt mit frommen Gefühlen unternommen. Aber
Frau Magnan war inzwischen an der Auszehrung
gestorben. Nicht ohne tiefe Rührung habe ich
den Brief verbrannt, dessen Überbringer ich sein sollte.
Sie machen sich vielleicht über meinen deutschen Ge-
fühlüberschwang lustig, ich aber erblickte hierin ein
Traina voll tiefer Melancholie in diesem ewigen
Geheimnis, von km die ganze Menschheit nichts
wußte, und das dies Lebewohl zwischen zwei Gräbern
verhüllen sollte.
126
„Und wenn man Sie einem der hier im Salon
Versammelten gegenüberstellte und Ihnen sagte: „Da
ist der Mörder", wäre das nicht auch ein Drama?"
unterbrach ich ihn. „Was täten Sie dann?" —
Herr Hermann nahm seinen Hut und ging. —
„Sie handeln wie ein unbesonnener, junger
Mann", sagte meine Nachbarin zu mir. „Sehen Sie
sich doch Taillefer an! Er sitzt im Lehnstuhl am
Kamin, Fräulein Fanny reicht ihm eine Tasse Kaffee.
Er lächelt. Könnte ein Mörder, den die Wiedergabe
des Vorfalls doch auf die Folter spannen mußte, so
ruhig dasitzen? Sieht er nicht richtig aus wie ein
Patriarch?"
„Ja, aber fragen Sie ihn doch, ob er den Krieg in
Deutschland mitgeinacht hat?" sagte ich.
„Warum denn nicht?"
Und mit der Kühnheit, die Frauen selten fehlt,
wenn sie ein Abenteuer lockt, oder die Neugierde sie
beherrscht, näherte sich meine Nachbarin dem Armee-
lieferanten.
„Sind Sie einmal in Deutschland gewesen?"
Taillefer ließ seine Untertasse fallen.
„Ich, gnädiges Fräulein? Nein. Niemals."
„Was sagst du da, Taillefer?" warf der Bankier
ein, „du wärst doch beim Feldzug von Wagram beim
Train?"
„Ach ja, richtig", antwortet Herr Taillefer, „damals
bin ich dabei gewesen." —
„Sie irren sich, er ist ein Biedermann", sagte
meine Nachbarin, zu mir zurückkehrend.
„Schön", sagte ich, „bevor der Abend zu Ende ist,
werde i ch den Mörder aus dem Kote jagen, in dem
er sich versteckt!" —
Seit jener ersten Anrede, mit der ich mich während
Herrn Hernianns Erzählung an ihn gewandt, war
Taillefer meinem Blicke ausgewichen. Vielleicht ver-
mied er ebenso die Blicke aller anderen Tischgenossen.
Denn er plauderte jetzt allein mit der unerfahrenen
Fanny, der Tochter des Bankiers; zweifellos empfand
er wie viele Verbrecher das Bedürfnis, sich der Un-
schuld zu nähern, in der Hoffnung, dort Ruhe zu
finden.
Obwohl ich weit von ihm entfernt saß, hörte ich
genau auf ihn, und mein durchdringender Blick
bannte den seinen. Wenn er glaubte, mich einmal
ungestraft belauern zu können, so kreuzten sich unsere
Blicke, und seine Augen senkten sich dann sofort.
Müde dieser Folter, machte Taillefer ihr schnell
ein Ende, indem er zum Spieltisch ging. Ich folgte
ihm auch dorthin und weitete auf seinen Gegner,
wünschte aber dabei, mein Geld zu verlieren. Mein
Wunsch erfüllte sich. Ich nahm den Platz des aus-
scheidenden Spielers ein und befand inich nun Stirn
gegen Stirn dem Mörder gegenüber.
„Würden Sie", so sagte ich zu ihm, „so gut sein
und die Karten ansagen?"
Er mischte und legte schnell nach rechts und
links ab.
Meine Nachbarin war nahe zu mir herangetreten,
und ich warf ihr einen Blick des Einverständ-
nisses zu.
„Sind Sie vielleicht", wandte ich mich dann an
den Armeelieferanten, „jener Herr F r e b e x t c
Taillefer, dessen Familie in B e a u v a i s ich
gut gekannt habe?"
„Ja", erwiderte er.
Plötzlich ließ er feine Karten fallen, erbleichte, ließ
den Kopf in die Hände sinken und bat einen der auf
ihn- Wettenden, für ihn einzutreten. Dann stand er
auf. „Es ist zu heiß hier", rief er. „Ich fürchte...'
Er vollendete seinen Satz nicht. Seine Züge zeigten
plötzlich, daß er furchtbar litt. Er ging schnell hinaus.
Ter Hausherr, der an seinem Zustand lebhaften An-
teil zu nehmen schien, begleitete ihn. Meine Nach-
barin und ich sahen uns an, ich glaubte einen bitteren
Zug in ihrem Gesicht zu entdecken.
Ich verlor, stand auf, und sie führte nlich abseits
in eine Fensternische. „Ist Ihr Benehmen barm-
herzig?" fragte sie mich dabei. „Möchten Sie die
Macht haben, in allen Herzen zu lesen? Warum
lassen Sie der göttlichen und menschlichen Gerechtig-
keit nicht ihren Lauf? Wenn wir der einen entgehen,
so fallen wir der anderen in die Hände. Ist ein
Gerichtspräsident wohl um sein Amt zu beneiden?
Sie aber haben beinahe das Amt eines Henkers
ausgeübt! —
„Nachdem S i e meine Neugierde geteilt und auf-
gereizt haben, halten Sie mir jetzt eine Moral-
predigt?"
„Ihr Verhalten hat mich nachdenklich gemacht."
„Also: Friede den Verbrechern, aber Krieg den
Unglücklichen und Vergötterung dem Gold! — Doch
lassen wir das", fügte ich lächelnd hinzu. „Sehen
Sie doch bitte lieber die junge Dame an, die gerade
hereinkommt."
„Ja, und...?"
„Ich habe sie vor drei Tagen auf dem Ball des
neapolitanischen Gesandten zuerst gesehen und mich
leidenschaftlich in sie verliebt. Sagen Sie mir doch
bitte ihren Namen. Niemand hat..."
„Es ist Fräulein V i c t o r i n e Taillefer."
Ein Schwindel befiel mich.
„Ihre Stiefmutter," erklang neben mir wie aus
weiter Ferne die Stimme meiner Nachbarin, „hat sie
erst vor kurzem aus dem Kloster genommen, wo ihre
Erziehung etwas verspätet vollendet wurde. Ihr Va-
ter hat sich ja lange geweigert, sie anzuerkennen. Sie
kommt zlnn erstenmal hierher. Sie ist sehr schön und
sehr reich."
Diese Worte wurden von einem sardonischen Lächeln
begleitet.
In diesem Augenblick hörten wir heftige, aber
erstickte Schreie. Sie schienen aus einem benachbarten
Zimmer zu kommen und hallten in den Gärten schwach
wieder.
„Ist das nicht Taillefer's Stinime?," rief ich.
Gespannt richteten wir unsere Aufmerksanikeit auf
den Lärm, und schreckliche Seufzer drangen an unser
Ohr. Die Gattin des Gastgebers lief schnell auf uns
zu und schloß das Fenster. „Wenn es nur keine Szenen
gibt!", sagte sie dabei zu uns. „Wenn Fräulein Taille-
fer ihren Vater hörte, könnte sie einen Nervenchok
bekommen." Der Bankier kam wieder in den Salon
zurück, suchte Victorine dort rind flüsterte ihr etwas
zu. Das junge Mädchen fließ einen Schrei aus, stürzte
zur Tür und verschwand. Dieser Vorfall rief große
Aufregung hervor. Die Spielpartien wurden im Stich
127
gelassen. Ein jeder beftag-
te seinen Nachbarn. Das
Stimmengewoge wuchs an,
und es bildeten sich Grup-
pen.
„Der arme Mann", er-
klärte uns hernach die Her-
rin des Hauses, „ist einer
Krankheit unterworfen, de-
ren Namen ich nicht behal-
ten kann, obgleich vr.
Brousson ihn mir oft ge-
nug genannt hat. Jetzt hat
er wieder einen Anfall....
Es ist ein schreckliches Lei-
den, kein Arzt hat bisher
ein Heilmittel dagegen. Es
scheinen fürchterliche Qua-
len zu sein. Eines Tages
hatte der arme Taillefer
während unseres Besuches
auf seinem Landsitz einen
Anfall, ich mußte damals
zu einer Nachbarin flüch-
ten, um nur sein Schreien
nicht zu hören; er stößt
nämlich gräßliche Schreie
aus und will sich ums Le-
ben bringen; seine Tochter
mußte ihn damals auf sei-
nem Bett festbinden und
ihm die Zwangsjacke an-
legen. — Der arme Mann
klagt dann, er habe Tiere
im Kopf, die ihm das Ge-
hirn zerfräßen, es seien
stechende Schmerzen, als ob
eine Säge an jedem Nerv
zerrte. — Tatsächlich hatte
er solche Schmerzen im
Kopf, daß er die Brenn-
kegel gar nicht spürte, die
man ihm auflegte, um die
Schmerzen abzulenken.
Dr. Brousson, sein Arzt,
hat ihre weitere Anwen-
dung verboten, er behaup-
tet, daß es sich um eine
Nervenüberreizung, eine
Nervenentzündung handelt,
gegen die er Blutegel ini
Nacken und Opium für
notwendig hält. Und die
Anfälle sind wirklich sel-
tener geworden und treten
gewöhnlich nur noch gegen
Ende des Herbstes auf.
Wenn er dann wieder ge-
nesen ist, wiederholt Herr
Taillefer unaufhörlich, daß
er lieber gerädert werden als
noch einmal solche Schmer-
zen erdulden möchte."
„Er scheint also sehr zu
leiden," sagte ein Wechsel-
agent, der Schöngeist des
Salons.
U-a Vierge a Foffrande.
(Die Jungfrau bei der Darstellung.)
Statue von Bourdelle.
(Photo: L’lllustration, Paris.)
„Ja," erwiderte sie, „im
vorigen Jahr ist er ein-
mal fast dabei zugrunde
gegangen. Er war einer
dringlichen Sache wegen
allein auf seinen Landsitz
gefahren; nun lag er dort
vierundzwanzig Stunden
lang in Erstarrung und
wie' tot, weil sofortige Hilfe
fehlte. Er ist nur durch ein
sehr heißes Bad gerettet
worden."
„Es ist also eine Art Starr-
krampf?," fragte der Wech-
selagent.
„Ich weiß nicht," erwiderte
sie. „Ungefähr dreißig
Jabre lang hat er schon
mit dieser Krankheit zu
tun, die er sich im Heeres-
dienst zugezogen hat; wie
er erzählte, sei ihm bei
einem Fall in ein Boot
ein Holzsplitter in den
Kopf gedrungen, Brousson
hofft aber, ihn zu heilen.
Es heißt, die Engländer
hätten in der Blausäure
ein gefahrloses Heilmittel
gefunden."
In diesem Augenblick
tönte ein besonders durch-
dringender Schrei durchs
Haus und ließ uns vor
Schreck erstarren.
„Darauf habe ich jeden
Augenblick gewartet," fuhr
die Gattin des Bankiers
fort. „Das schleudert mich
vom Stuhl und reißt mich
an den Nerven. Aber merk-
würdig trotz feiner uner-
hörten Schmerzen ist der
arme Taillefer doch nie-
mals in eigentlicher Le-
bensgefahr. Während der
Pausen die das schreckliche
Leiden ihm läßt, ißt er
und trinkt er wie gewöhn-
lich. Die Natur ist wirklich
sonderbar. Ein deutscher
Arzt hat ihm gesagt, es
wäre eine Art 'Kopfgicht;
das würde ja mit' der
Meinung Broussons eini-
germaßen übereinstimmen."
Ich verließ die Gruppe,
die sich jetzt um die Herrin
des Hauses gebildet hatte,
und ging zu Fräulein
Taillefer hinaus. „O Gott,
o Gott," rief sie weinend,
„was hat mein Vater nur
dem Himmel getan, daß er
ihm solche Leiden aufer-
legt? Er ist doch so gut!"
128
Ich ging mit ihr die Treppe hinunter, und als
ich ihr unten in ihren Wagen half, sah ich ihren
Vater schon wie ein Häufchen Unglück darin sitzen.
Fräulein Taillefer versuchte zwar sein Stöhnen zu
ersticken, indem sie ein Taschentuch ans seinen Mund
preßte: unglücklicherweise aber bemerkte er m i ch,
sein Gesicht zog sich noch mehr zusammen, ein krampf-
hafter Schrei zerriß die Luft, er warf mir einen
schrecklichen Blick zu, und der Wagen fuhr ab.............
Dieses Diner, dieser Abend übten einen grau-
samen Einfluß auf mein Leben und meine Gefühle
aus. Ich liebte Fräulein Taillefer, vielleicht gerade
deshalb um so mehr, weil-Ehre und Feingefühl mir
verboten, mich mit einem Mörder zu verbinden,
mochte er sonst auch ein noch so guter Vater und Garte
sein. Ein Verhängnis brachte mich dazu, mich gerade
in den Häusern zu zeigen, in denen ich glaubte, Vic-
torine zu begegnen. — Oft, wenn ich inir selbst das
Ehrenwort gegeben hatte, ans ihren Anblick zu ver-
zichten, fand ich nrich am selben Abend in ihrer
Gesellschaft. Meine Liebe, in die sich Gewissensbisse
mischten, bekanr die Glutfarbe, einer verbrecherischen
Leidenschaft. Zwar, ich verachtete mich, weil ich Taille-
ser grüßte, wenn er zufällig einnral mit seiner Tochter
zusammen war; aber — ich grüßte ihn doch. Und
Victorine? — Sie liebt mich oder läßt es mich
wenigstens glauben; sie hat ein Lächeln, das nur
' für mich bestimmt ist, und für mich wird ihre
; Stimme noch sanfter. Ja, sie liebt m i ch, aber
ihren Vater betet sie an; sie rühmt mir
' seine Güte, seine Milde, seine auserlesenen Eigen-
schaften. Solche Lobreden sind dann ebensoviel Dolch-
stöße, die mein Herz zerreißen.
So hätte ich mich fast eines Tages zum Mitschul-
digen des Verbrechens gemacht, auf dem der Reichtum
der Familie Taillefer beruht: ich wollte uni Victo-
! rine's Hattd anhalten. Da floh ich; ich ging aus
! Reisen, nach Deutschland; kam auch nach Änder-
n a ch.
Dort erreichte mich vor zwei Monaten der fol-
gende Brief:
Sie werden gebeten, an der
L c i ch e n f r i c r
für
Herrn Frrdnic Tailleftr
Ritter der Ehrenlegion
und des päpstlichen Ordens vom Goldenen Sporen,
Hciuptmcinn der ersten Kompagnie der zweiten Legion
der Nationalgarde von Paris,
welcher ant 1. Mai dieses Jahres verstorben
ist, teilzunehmen. Die Beerdigung findet statt
am 5. Mai von seinem Sterbehause in der
Rue Joubert.
musi pi
*
Au unseren Kunftbeilagen und SonöerbilSern.
Diesmal erscheint der Saarbrücker Bergmanns-
kalender im neuen Gewände. Statt der be-
kannten Zeichnung der Grube Reden von Keuth zeigt
der U nt schlag in mehrfarbigem Offsetdruck die
treue Zentrale in Fenne. Das Bild der
Bauwerke ist ch a r a k t e r i st i s ch für die m o -
d e r n e Architektur in Eisenbeton, deren
Bestreben, in der Einfachheit ihrer Linien Schönheit
und Zweckmäßigkeit zu vereinigen, wir in dem Aufsatz
„Moderne Baukunst" im Kalender 1926 erläuterten.
Auf der rechten Saarseite stehend, erblicken wir am
jenseitigen Ufer links den Wasserturm *), dahinter
das hohe Gebäude der Kesselanlage, weiterhin die
breite Front des Maschinenhauses mit seinen 9 Fen-
stern, über den: sich, in ihrer eleganten kanelierten
Schlankheit fast zierlich anmutend, die zwei über
90 m hohen Schornsteine in den Himmel recken. Im
Vordergrund auf dem diesseitigen Ufer sehen wir
einen Wagen der im Kalender 1924 beschriebenen
Kettenbahn der Inspektion II.
Ferner bringt der Bergmannskalender wie in den
letzten Jahren so auch diesmal wiederum eine Reihe
von Farbendrucken auf seinem Bildpapier, bestimmt,
nicht nur den Kalender zu zieren, sondern vielleicht
*) Auk der Anzeige der Firma Brand (Nr. 31) ist er während der
Bauausführung zu sehen.
sogar gerahmt als Wandschmuck zu dienen, und da-
neben eine weitere Reihe von Bildern, die zwar nicht
eigentlich zum Text gehören, die aber eben als
schöne Bilder unser Auge erfreuen sollen.
Da sind zunächst die 3 Bilder nach Werken von
C o n st a n t i n Bk e u n i e r, Seite 8, Seite 12 und
Einlage hinter Seite 64. Die Bedeutung des großen
belgischen Bildners der Arbeit haben wir
im vorigen Kalender bereits gewürdigt. Diese Bilder
sprechen auch diesmal für sich selbst. Was die anderen
angeht, so haben wir geglaubt, diesmal in Anbetracht
der Fülle der Bilder zu den Artikeln, die Industrie
und Gewerbe, Kultur und Geschichte des Saar-
landes behandeln, von besonderen Heimatbildern
absehen zu können. — Wir bringen zunächst Seite 68
ein äußerst stimmungsvolles Meerbild, einen Sonnen-
untergang vor Le Trépprt, mit dem 1. Preis hervor-
gegangen'aus einem photographischen Wettbewerb der
Leinaine Internationale des Nuages. Zu beachten
sind dabei die Alto-Cumnlus-Wolken in 3—5000 m
Höhe. (Die Amateurphotographen unter unseren Le-
sern werden die Schwierigkeit und technische Vol-
lendung der Aufnahme einzuschätzen wissen.) Aber wir
wollen uns lediglich an der Schönheit erfreuen.
Ist es nicht, als seien die folgenden Verse Paul
Verlaines zum Bilde geworden:
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Ein Schleier zieht
Leis über's Gefild.
Die Sonne verglüht.
Der Wehmut mild
Lullendes Schlummerlied
Das Herz mir stillt,
Wenn die Sonne verglüht.
Und Träume durchziehen
Wie blutige Heere,
Des Himmels Leere.
In Flammen sie sprühen
Gleich Sonnenverglühen
Am Meere.
Ersprühen, verglühen,
In purpurner Hehre
Wie die Sonne im Meere.
(Übersepk von Hans Kirchner.)
Eine überaus interessante und bildhaft schöne Aus-
nahme bringen wir Seite 81, „Die Hirschjagd", so
oft Gegenstand eines Gemäldes, diesmal eine Photo-
graphie des wirklichen Lebens, ausgenommen in Eng-
land, in den Wäldern von Exmoor, wo der Hirsch
noch in voller Freiheit lebt, wild und stark, nichts
gemein hat mit den zahmen Tieren, die man bei uns
hier und dort im Park gehegt findet. Endlich Seite 127
«La Vierge ä TOffrande» („Die Jungfrau bei
der Darstellung"), ein Werk des Bildhauers Bourdelle,
das sich auf einer Höhe der Vogesen erhebt, aus-
gezeichnet durch das Ebenmaß seiner Gestaltung.
Der Kalendermann knüpft hieran die Bitte an die
Liebhaberphotographen unter unseren Lesern, ihm
gelegentlich gut gelungene Bilder aus
Haus und Beruf wie auch Landschaftsaufnahmen ein-
zusenden. Er ist dann gern bereit, ihre bildmäßige
Wirkung und ihr etwaiges Geeignetsein zur Ver-
öffentlichung zu prüfen. M. H. B.
as Bier ist von jeher ein Lieblingsgetränk der
Deutschen gewesen.. Aber auch andere Völker
kannten schon im Altertum bierähnliche Ge-
tränke, wenn es auch ein Irrtum ist, den „M e t h"
der alten Deutschen für Bier zu halten. Denn dieser
Meth war vergorenes H o n i g w a s s e r. Griechische
Schriftsteller berichten uns aber von den Völkern des
Nordens wie auch den alten Ägyptern, daß sie sowohl
aus Weizen wie aus Gerste ein berauschendes Ge-
tränk herstellten, aber auch das war kein Bier, sondern
K w a ß, da ihm sowohl der Hopfenzusatz, wie auch
der rein alkoholische Vergärnngsprozeß fehlte. Ebenso
waren die Kelten und die germanischen Völker Meister
in der Bereitung dieses Getränkes, das in der Edda
bei der Schilderung von Walhall „oel" oder „aul"
genannt, jedoch ausdrücklich als süß bezeichnet wird.
Die Verwendung des Hopfens zum Bierbrauen
ist in Deutschland seit 736 nach Christus bekannt.
Zur Zeit Karls des Großen hatten bereits die Kron-
güter Bierbrauereien; unter seinem Nachfolger Lud-
wig dem Frommen begannen auch die Klöster mit der
Anlage solcher. In Brabant wurde das Bier gegen
1200 bekannt. Der trinksrendige König „Gambrinus"
ist indessen geschichtlich nicht nachweisbar.
Auch in den Städten wurde unter sorgfältiger Auf-
> sicht des Magistrats eifrig Bier gebraut. Die älteste
bekannte Brauordnung erließ Augsburg 1155. Paris
erhielt eine solche 1264, München 1420.' Das bekannte
j Münchener „Hackerbräu" führt seinen Ursprung aus
etwa 1450 zurück.
Für uns im S a a r g e b i e t ist das Brauerge-
werbe von großer volkswirtschaftlicher
Bedeutung, beträgt doch der Jahreskonsum über
1.000.000 hl Bier, sodaß bei einer Bevölkerung von
j 750.000 Seelen auf jeden einzelnen Kopf über 100 1
jährlich entfallen. Damit steht das S a a r g e b i e t
in Deutschland an zweiter Stelle (direkt hin-
ter Bayern). Es ist daher ohne Zweifel für die Leser
des Bergmannskalender von Belang, einmal etwas
näheres über die Herstellung des beliebten Getränkes
zu erfahren.
„Hopfen und Malz, Gott erhalt's", lautet der all-
bekannte Spruch. Hieraus geht schon hervor, aus wel-
chen Bestandteilen das Bier sich zusammensetzt, aus
Malz, also aus gekeimter Gerste, als Hauptarundstofs
und aus Hopfen als Würze. Nach den deutschen Ge-
setzesbestimmungen, die auch im Saargebiet in Kraft
sind, darf Bier nur aus Malz und Hopfen hergestellt
werden; jeder weitere Zusatz wird als Nahrungs-
mittelfälschung strafgerechtlich verfolgt. In anderen
*) Die Brauerei bi > der sind Aufnahmen aus der Walsheim-Brauerei, die wir besichtigen konnten. Die Photos
entstammen dem Atelier Erich Müller, Saarbrücken.
9
130
Ländern, in denen das Bier
gegenüber dem Wein als
Volksgetränk nur eine un-
tergeordnete Rolle spielt,
ist man weniger streng. So
verwenden dort die Braue-
reien neben diesen Ur-
stoffen Hopfen und Gerste
auch noch zusätzlich andere
Getreidearten, wie Mais
oder Reis, und zwar in
einen: Verhältnis bis zu
40 % der Gerstenmenge.
Nun entwickeln aber diese
Getreide im Gegensatz zum
Malz, wie wir ans der
Branntweindestillation
wissen, neben reinem Alko-
hol nocb Fuselöle. Bei der
D e st i l l a t i o n können
dieselben infolge der ver-
schiedenen Siedepunkte vom
Alkohol getrennt und abge-
saugt werden; bei dem
Bier, das sa nicht
gebrannt, sondern
gebraut wird. ist das
nicht möglich. Infolge-
dessen können diese Biere,
wenn sie in solchen
Mengen genossen werden,
wie wir es gewohnt sind
(siehe die oben genannte
Bierkonsumzisfer), die Ge-
sundheit störend beeinflus-
sen, während sie dem Verbraucher jener Länder, der
ab und zu mal ein oder höchstens zwei Glas Bier
trinkt, naturgemäß nichts schaden.
Aber es sind nicht nur Hopfen und Malz, welche
die Qualität des Bieres ausmachen. Auch bei den
besten Rohmaterialien und der sorgfältigsten Art der
Herstellung nach den
erprobtesten Rezepten
können dennoch die
Qualiätsunterschiede
gewaltig sein. Und
das liegt an zwei
anderen Fakto-
ren, die außerordent-
lich wichtig sind :
Wasser und Luft.
Die Praxis hat er-
wiesen, daß Leitungs-
wasser, mag es auch
noch so einwandfrei
erscheinen, oder auch
filtriert werden, eben-
so wie Brunnenwasser
ein Bier von minde-
rer Güte ergeben als
gutes Quellwasser, zu-
mal wenn dieses ohne
Pumpwerke usw. und
ohne vorherige Auf-
stauung oder Änsamm-
lung mit natürlichem
Gefälle direkt zur Ver-
wendungsstätte gelangt.
Daneben hat jahrelange
Praxis die Wichtigkeit gu-
ter, staubfreier, frischer
Luft ergeben (deswegen be-
steht auch in allen Braue-
reien ein strenges Rauch-
verbot). In I ndu-
ft r i e st ä d t e n, wo die
Luft durch Kohlenstaub
und Abgase stark verun-
reinigt ist, sind die moder-
nen Brauereien dazu über-
gegangen, vollständig un-
ter Luftabschluß zu
brauen, und die zum Bier
notwendig hinzutretende
Luft er st zu filtrie-
r e n und zu desinfi-
zieren. Natürlich bleibt
dies ebenso wie das Fil-
trieren des Wassers immer
nur eiu Notbehelf gegen-
über der reinen Natur.
Oft wird ant Stamm-
tisch die Frage aufgewor-
fen: ist es wohl möglich,
wenn ich die Original-
rezepte und die Original-
zutaten habe, an einem
anderen Ort „Mün-
ch e n e r" oder „P i l -
jene r" zu braueM —
Nach oben Gesagtem muß
die Antwort lauten: nein!
— Und in der Tat haben wiederholte Versuche, die
z. B. in der Berliner Lehrbrauerei veranstaltet
wurden, mit einem Wasser, das in der chemischen
Zusammensetzung genau dem Münchener Wasser
entsprach, niit Münchener Orginalrohprodukten
und nach erprobten Münchener Rezepten nun
auch Original - Mün-
chener Bier zu brauen,
ein Bier ergeben, das
zwar ganz gut war,
aber dennoch dem
Münchener Original-
bier nicht entsprach.
Dieser Einfluß von
Wasser, Luft und son-
stigen Imponderabi-
lien geht so weit, daß
selbst am gleichen Ort
es nicht möglich ist,
daß zwei Brauereien
vollkommen gleiches
Bier herstellen. —
Machen wir im
Geiste einmal einen
Rnndgang durch eine
moderne Braue-
rei.
Da ist es zunächst
die Mälzerei, die
unsere Aufmerksamkeit
auf sich lenkt. Man-
cherorts, z. B. in Eng-
Moderne Mälzerei lEisenbeionbau).
Zu beachten die durch die Malzsilos bedingte Höhe.
Siloanlage für die von Mai bis Oktober nötige Malzmenge.
Die abgebildete Anlage faßt eine Million Kilo Malz
131
land, ist die Malzherstel-
lung ein von der Braue-
rei vollständig getrenntes
Gewerbe. In Deutsch-
land — und das gilt
auch hier fürs Saar-
gebiet, wollen die großen
Brauereien aber lieber
die Herstellung des Mal-
zes selbst in der Hand be-
halten. Denn man sagt
allgemein, daß die Qua-
lität des Bieres be-
reits in der Mälzerei ge-
macht werde, und des-
halb ist es wünschens-
wert, von allen Zufällig-
keiten, die ein Kaufmalz
mit sich bringt, befreit zu
sein.
Für den Malzbedars
des Saargebiets kam frü-
her die Pfälzer und jetzt
kommt fast ausschließlich
elsässische Gerste in Be-
tracht *). Diese Gerste
wird nun zunächst in
*) Da die Gerste beim Mälzen
verliert, kann es u.N. zur Verrin-
gerung der Transportspesen usw.
auch praktisch sein, sie gleich im Er-
zeugungsgediet zu vermälzen und
dann erst als Malz zur Brauerei
zu versenden.
Keimendes Gerstenkorn.
„Q uellstöcke n", d. s.
große Behälter aus Stahl
oder Beton mit schrägen
Boden zum selbsttätigen
Entleeren, eingeweicht.
Das Wasser muß wäh-
rend des Einweichens
wiederholt gewechselt wer-
den, da sonst die Gerste
ersticken würde. Das dau-
ert bis zu 100 Stunden.
Sodann wird die Gerste
auf den steinernen Fuß-
böden der „M a l z t e n -
n e n" stach (etwa yi m
hoch) ausgebreitet. In
diesen großen, kühlen und
luftigen Räumen (es be-
darf keiner Frage, daß
hier wie überall in der
Brauerei eine ständige
Kontrolle mit dem Ther-
mometer stattfinden muß)
sollte nun eigentlich die
Gerste solange liegen
bleiben, bis die Kei-
mung beendet ist. Man
sieht dann, wie die Wur-
zelkeime nach außen durch-
dringen und kleine weiße
Spitzchen zeigen. Der
Brauer nennt das: „die
Gerste spitzt". — Damit
Ansicht einer Malztenne.
9*
132
die Gerste sich nicht er-
hitzt und stickig Wird,
muß sie während die-
ser Lagerung behufs
Durchlüftung und
Kühlung des öfteren
gewendet werden. Die-
ses Wenden oder
„Widdern" geschieht
am besten durch er-
fahrene Leute mit
Holzschaufeln. Denn
dann ist man in der
Lage, genau auf den
Kennungsvorgang zu
achten, die Gerste ge-
wifsermaßen indivi-
duell zu behandeln.
In Pilse n ntacht
man es heute noch
so. Wegen der hohen
Arbeitslöhne jedoch hat
man schon länger ver-
sucht, diese Arbeit der
Menschenhand durch
Maschinen zu ersetzen,
und zwar brauchte man zunächst die K eimtrom -
m el. In diese, die einen Durchmesser von etwa
3 in und niehrere Meter Länge hat, wird die ge-
weichte Gerste gebracht, und dann durch langsame
Drehung die Wendearbeit in der einfachsten Weise
durchgeführt. Da aber das so erzielte Malz an Quali-
tät sehr zurücksteht, hat man diese Art oft wieder
verlassen und benützt jetzt mehr ein gemischtes Ver-
fahren, das sich z. B. in München sehr bewährt hat.
Das heißt: die Gerste bleibt zunächst einige Zeit auf
den Tennen liegen, und wird dann in besondere
„Kammer n" gebracht *). Die Temperatur in den
Keimkammern wird ständig überwacht, bei zu großem
Steigen wird zur Abkühlung Luft hindurchgeblasen
(siehe Bild).
Unter dieser Behandlung wächst der Blattkeim unter
der Schale und treibt
sich keilförmig vor.
Gleichzeitig geht dabei
eine chemische Um-
wandlung im Innern
des Korns vor sich, es
wird ein Ferment er-
zeugt, die „Diastase",
die nachher beim
Brauen eine Verzucke-
rung bewirkt. Der
Brauer prüft von
Zeit zu Zeit, wie weit
diese „Lösung" vor-
geschritten ist.
Ist sie es weit ge-
nug, so wird die nun
„Grünmal z" ge-
nannte Gerste, da sie
’ s!*> Der Transport von Gerste
oder Malz erfolgt im gesamten
Betrieb auf pneumatischem
Wege durch Ansaugen mittels
Luftleere nach Art der bekann-
ten Vakuum-Ltaubsauger.
noch einen großen
Feuchtigkeitsgehalt
hat, auf „D a r r e n"
getrocknet. In den
Darren liegt das
Grünmalz in dünnen
Lagen auf Horden aus
Draht oder gelochtem
Stahlblech ausgebrei-
tet, denen von unten
warme Luft zugeführt
wird. Früher zogen
die Dünste dann durch
große runde Schlote
lnit aufgesetzten, merk-
würdig aussehenden
Windfängen ab. Sol-
che Türme bildeten
das äußere Kennzei-
chen jeder Mälzerei.
Heute werden statt
dessen die Abdünste
durch Ventilatoren ab-
gesaugt. Das Malz
fällt bei diesem Vor-
gang von einer Horde
aus die atldere, derart, daß zu oberst das frische, zu
unterst das bereits am meisten getrocknete Malz liegt.
Mit denk Trocknen erfolgt auch das R ö st e n des
Malzes, das neben der Färbung die Bildung aro-
matischer Stoffe bewirkt, was später dem Bier Ge-
ruch, Geschmack und Farbe verleiht. Durch starke
Röstung bei bis zu 85 0 erzeugt man das Malz für
späteres dunkles Bier, während helles Bier
eine schwächere Röstung bis zu 75 ° verlangt. Durch
die Röstung wird der Keimprozeß unterbrochen und
das Malzkorn derart haltbar gemacht, daß nian es
längere Zeit aufbewahren kann. Da die Gerste nach
Sorte, Wachstumsbedingungen, Boden, Wetter usw.
stets verschieden ist, erfordert die richtige Durchführung
des Mälzungsprozesses große Erfahrung des Brauers.
Nunmehr ist das M a l z fertig. In unserem Klima
kann seine Herstellung
nur in der kalten
Jahreszeit erfol-
gen. Es. ist aber, ein-
mal hergestellt, fast
unbegrenzt haltbar.
Zur Lagerung der be-
deutenden Mengen, die
in Betracht kommen,
sind daher große S i -
l o s erforderlich. Auch
die Gerste wird in Si-
los gelagert, die aber
nicht, wie die Malz-
silos, geschlossen sind,
sondern in 5 bis 6
Etagen übereinander
liegen. In diesen Si-
los bleibt die Gerste,
um ein Stickigwerden
zu verhüten, in stän-
diger Bewegung und
fällt langsam Tag für
Tag aus einer Etage
in die andere, um
Mälzerei: Moderne Kleinkäsien.
Mälzerei: Putzmaschtnen.
133
Blick in
nachher, unten angelangt, mittelst
Elevators wieder in das oberste
Stockwerk gebracht zu werden.
Vor Gebrauch wird das Malz
geputzt, d. h. von den bitteren
Keimspitzen und allen andern Un-
reinlichkeiten befreit. Dann wird es
auf pneumatischem Wege durch Luft-
druck in die Brauerei befördert, um
dort auf besonderen Malzschrot-
mühten geschrotet (also ge-
brochen, nicht gemahlen) zu
werden. Nach dem Schroten wird es
mit Wasser vermischt, d. h. e i n -
m a i s ch t. Dies geschieht im
L u d h a u s in großen Bottichen,
in denen ein eingebautes Rührwerk
automatisch die innigste Vermischung
des Malzschrotes mit dein Wasser
bewirkt. Diese „Maische" wird nun
auf die sogenannte Berzuckerungs-
temperatur d. i. 55 bis 60 ° gebracht.
Diese Temperatur wird dann lang-
sam erhöht und schließlich wird die
Maische gekocht. Hierbei wird Malz-
extrakt erzeugt. Die Verzucke-
rung nimmt je nach der Beschaf-
fenheit des Malzes 10—30 Minuten
das Sudhaus. Kessel für Feilerkochung.
Ein Kühlschiff.
134
modernen
Gärkeller.
in Anspruch. Die gekochte Maische wird dann in
einem anderen Bottich, den sogenannten L ä u t er-
bot t i ch, gepumpt, welcher in der Regel einen mit
Schlitzen versehenen Oberboden aus Kupferblech ent-
hält. Mit Hilfe dieser Vorrichtung und eines mit
Hähnen versehenen Röhrensystems wird die soweit
behandelte Maische von den Malzhülsen getrennt und
fließt, jetzt Würze genannt, in den großen
Bräukess-el ab. Die zurückgebliebenen „T r e -
b e r" werden im Läuterbottich noch einmal mit
warmem Wasser ausgewaschen und diese „Nachwürze"
ebenfalls abgeläutert. Statt des Läuterbottichs
wird auch in manchen Brauereien, namentlich in sol-
chen, die Ersatzstoffe, wie Mais und Reis, verwenden,
eine Filterpresse verwandt, die dort not-
wendig ist, weil die seiner gemahlenen und leichteren
Ersatzstoffe sich nicht so gut im Läuterbottich absetzen.
Bei dieser Filterpresse werden die festen Bestandteile,
Malzrückstände und Rückstände der Ersatzstoffe, durch
Hilfe von Filtertüchern, denen die Maische unter
Druck zugeführt wird, festgehalten.
Die so ausgebeuteten Treber werden dann aus dem
Läuterbottich und aus dem Sudhaus mittels einer
Transportschnecke entfernt, und dienen, naß oder ge-
trocknet, als ausgezeichnetes Milchfutter für Groß-
vieh.
Die in dem großen Braukessel, der „S ud-
Pfanne" gesammelte Würze wird nun dem eigent-
lichen Koch- oder Brauvorgang unterworfen,
welcher meistens zwei Stunden in Anspruch nimmt.
Während des Kochens wird der Würze der Hopfen
zugesetzt. Seine aromatischen Bestandteile und
Bitterstoffe, von angenehmem und lieblichem Geruch,
werden hierbei in die Würze übergeleitet. Das Kochen
der Würze hat auch den weiteren Zweck der Ein-
dampfung, d. h. der Wiederentfernunq des bei dem
Auswaschen der Treber benötigten Wassers. Durch
das Maß dieser Eindampfung wird der Extrakt-
g e h a l t des Bieres bestimmt, der bei den einzelnen
Sorten sehr verschieden ist: durchschnittlich schwankt
er zwischen 12 bis 13 Prozent, d. h. auf 100 Gewicht-
teile Würze kommen 12 bis 13 Gewichtteile Extrakt.
Höhere Extraktzahlen haben eigens hergestellte Biere,
wie Salvator 20, Walsheim St. Nikolaus 18, die
Märzenbiere 14, Pilsener 12% %. Vielfach werden
diese Prozentzahlen auf den Alkoholgehalt bezogen.
Das ist also ein Irrtum. Sie beziehen sich vielmehr
auf den Extraktgehalt der Würze. Der Akoholgehalt
selbst beträgt im Gegensatz dazu bei unseren Bieren
nur etwa 3—4%, bei den englischen (Porter und
Ale) etwa 5—7 %.
Eine Hektoliter Bier erfordert 19—20 kg Malz
und 0,2—0,4 kg Hopfen. Der beste Hopfen kommt
aus Saaz in Böhmen. Ein kg von ihm kostet zurzeit
150 Frs. Etwas billiger ist der bayerische, au dritter
Stelle steht der verhältnismäßig wohlfeile Elsässer
Hopfen. Der billigste ist der amerikanische, er kostet
mnr rund den vierten Teil des böhmischen, kommt aher
seiner geringen Qualität halber auch nur für die
allergewöhnlichsten Biere in Frage. *)
Das Kochen des Bieres geschieht in den Brauereien,
die auf ihren alten Ruf halten, noch unter direkter
Einwirkung eines offenen Feuers. Man hat
neuerdings auch, genau wie beim Keimvoraanw die
alterprobte Art durch eine billigere technische Neue-
rung zu ersetzen versucht, indem man Abdampf oder
direkten Dampf verwendet, der entweder durch in den
Braupfannen befindliche Heizelemente oder durch die
Doppelwandung der Pfanne geführt wird. Diese
„D ampfkochung" wird jedoch von alten Fach-
leuten von Ruf bekämpft, da durch sie nicht
intensiv gekochte Biere, die schnell trübende
Bestandteile ausscheiden, also leicht abständen und
im Geschmack und Bekömmlichkeit weit hinter feuer-
gekochtem Bier zurückständen, geliefert würden.
*) Vergleichsweise kostet das Malz: 2.50 bis 3.— frs. das kg.
135
Bei Entleerung der
Sudpfannen wird der
Hopfen durch einen
Filter zurückbehalten.
Um Milchsäurebildung
zu verhüten, wird
dann das noch heiße
Bier künstlich gekühlt,
zunächst durch Ein-
lassen in K ii h l -
schiffe (hochgelegene
große und flache Be-
hälter von etwa 200
bis 300 qm Fläche) und
durch Ventilatoren, wo-
bei sich an Boden und
Wänden des Kühl-
schiffs noch feste Sub-
stanzen, das „Bierge-
lege", abscheiden, und
dann weiter durch so-
genannte Beriese-
lungskühler. Bei
diesen fließt das Bier
an den Außenwänden
des kupfernen Rohr-
shstems von oben nach
unten, das Kühlwasser
(künstlich gekühltes
Süßwasser) hingegen
innerhalb der Rohre
von unten nach oben.
Unten wird das Bier
aufgefangen, und nach
den Gärbotti-
chen geleitet. Frü-
her waren diese aus
Holz, innen mit Lack
oder Paraffin über-
zogen, in modernen
Brauereien sind sie
aus Eisenbeton, innen
mit einer neutralen
Masse bekleidet. Sie
haben ein Fassungs-
vermögen bis zu 500
Hektoliter.
Eine S e l b st g ä -
r u n g ist nur noch
beim belgischen Lam-
bic und ähnlichen Bie-
ren üblich. Sonst wird
dieselbe durch Bei-
mischung von Hefe
künstlich beschleunigt
herbeigeführt. Alan
unterscheidet die
Obergärung (wie
sie z. B. beim Kölner
Bier angewandt wird),
die etwa 3 Tage dau-
ert und bei der sich die
Hefe lebhaft entwickelt
und an der Oberfläche
hält, und die im über-
wiegenden Maße (z.B.
in Bayern, Pilsen,
Lagerkeller. Moderne Aluminiumtanks mit Jnnenkühlung
und 300—4(0 hl Fassungsvermögen in drei Etagen übereinander.
Dortmund, auch im
Saargebiet) übliche
Untergärung.
Diese dauert 3—4 mal
so lange, und die Hefe
setzt sich nachher am
Boden des Gärbot-
tichs ab.
Bei der Gärung ent-
wickeln sich Alkohol
und Kohlensäure, die
beide dem Bier Halt-
barkeit und Geschmack
verleihen. — Während
. der Gärung ist der
moderne Gärbottich fest
verschlossen, sorgsam
wird die Temperatur
durch Thermometer
und der Gärvorgang
selbst durch ein Fen-
sterchen überwacht. Bei-
de Gärungsarten sind
von verschiedenen Tem-
peraturen abhängig.
Da allgemein sich bei
Gärung Wärme ent-
wickelt, muß evtl, die
Temperatur durch Ein-
lassen von Kühlwasser
in die im Bottich be-
findlichen Kühlschlan-
gen wieder herabge-
drückt werden. Die
überschüssige Kohlen-
säure, die früher nutz-
los wegging, wird auf-
gefangen und zur Fül-
lung der Kohlensäure-
flaschen für die Aus-
schankeinrichtungen der
Wirtschaften benutzt.
Die Hefe wird nach
Gebrauch getrocknet
und ist dann ebenfalls
ein vortreffliches
Futtermittel.
Auch nach beendig-
ter Gärung ist das
Bier noch nicht fertig;
es muß erst noch in
Kellern lagern. Wäh-
rend der Lagerung
macht das Bier eine
Nachgärung durch, die
Kohlensäure wird stär-
ker gebunden. Die La-
gerung erfolgt ent-
weder in Holz- oder
in Metall- (Alumi-
nium-) und Beton-
fässern. Es sind dafür
ganz gewaltige Kel-
lerräume erforderlich,
in denen die Fässer
stockwerkweise überein-
ander liegen. Die
136
Temperatur darf 0 °
bis 2° nicht über-
steigen. Die Keller
haben daher heute statt
der früher üblichen
Eiskühlung (man
konnte früher im Som-
mer überhaupt nicht
brauen) überall Kühl-
schlangen, in denen
in gewaltigen Kühl-
maschinen durch Amo-
niakverdampfung
künstlich abgekühltes
Salzwasser zirkuliert.
Bei den neuen Alu-
miniumtanks befinden
sich diese Kühlschlangen
innerhalb derselben,
sodaß die Keller selbst
normale Temperatur
haben können." — Man
hat jedoch herausge-
funden, daß die Lage-
rung in Holz-, wenn
auch teurer, so doch
von günstigerem Ein-
fluß ist als in Metall-
oder Betontanks, und
zieht sie daher für
Qualitätsbiere vor.
Nach längstens 6
Monaten ist das Bier
reif. Es wird aus den
großen Fässern in klei-
nere Transportfässer
und auch in Flaschen
abgefüllt. Alles oies
geschieht machinell. —
Und dann kann es
seinen Weg zum Ver-
braucher antreten.
Wenn etwas in einer
Brauerei wichtig ist,
so ist es Schutz
vor Mikroben
und p e i n l i ch st e
Sauberkeit. Die
Fußböden sind mit
Fließen belegt, z. T.
auch die Wände, sonst
werden Keller und
Wände alle acht Tage
gekalkt, die Fässer im-
mer wieder sorgfältigst
gereinigt. Die Holz-
fässer sind innen ver-
Picht. Löst sich ein
Pechsplitterchen, ist die
Möglichkeit des Fest-
sehens und Wachsens
von Mikroben gege-
ben, deshalb müssen
Holzfcisser, für die Lagerung von QuaiUätsoieren unerreicht
(mehrere Nethen übereinander).
Abfüllanlage.
die großen Holzlager-
fässer ein- bis zwei-
mal im Jahr aus den
Kellern herausgeholt
und neu verpicht wer-
den, was ihren Unter-
halt besonders teuer
macht.
Selbstverständlich hat
jede Brauerei ihre
großen Maschinen-
anlagen. Von den
Kühln: aschinen
sprachen wir schon.
Daneben kommen
E i s m a s ch i n e n
in Frage und ferner
alle Bedienungs-
maschinen. Neben
der Dampfkraft hat die
Elektrizität hier
große Erfolge zu ver-
zeichnen. Natürlich hat
jede Brauerei auch ihre
Neben betriebe:
Küferei, Schlosserei,
Stellmacherei, Wagen-
park usw. Kurzum,
eine große Brauerei
hat einen Umfang,
von dem der Außen-
stehende sich nichts
träumen läßt, sowohl
über der Erde (Si-
los!) als besonders
unterirdisch. *)
Die Sa arbralle-
re i e n vertreiben das
hier erzeugte Bier fast
ausschließlich im Saar-
gebiet. Nur die Wals-
heim-Brauerei hat seit
etwa einem Jahre
auch den Export nach
Frankreich mit gutem
Erfolg aufgenommen.
Und nun, lieber Le-
ser, der du mich treu-
lich auf meinem Gang
durch eine moderne
Brauerei begleitet hast:
jetzt wird dir das Bier
noch einmal so gut
schmecken, wo du weißt,
wieviel Mühe, Sorg-
falt und Sachkenntnis
darauf verwandt ist.
Also: Prosit!
Max H. Brost.
* In den zum Teil hier
im Bild gezeigten Kellern der
Walshcim - Brauerei lagern
z. B. bis zu 38.000 hl.
Kompressoren für Kellerkühlung und Eisfabnkation.
137
Abb. 1. Eine moderne Zuchtstall-Anlage.*)
Unser Osnushut^n^
von Inspektor Wilhelm Gommee.
A) Allgemeine volkswirtschaftliche Gesichtspunkte.
Jm Gegensatz zu der Geflügelzucht iu anderen
Ländern, wie in Frankreich, England, Holland,
Dänemark, Amerika usw., steckt die deutsche noch
gewisserinaßen -in den Kinderschuhen. Allerdings tra-
gen Krieg und Nachkriegszeit daran die Hauptschuld,
wenn die erfolgversprechende Züchterarbeit auf Jahre
hinaus gehemmt wurde. Be-
sonders sei darauf hingewie-
sen, daß der Mangel an
hochwertigen Futterstoffen,
die für teures Geld während
des Krieges zum größten
Teil aus dem Auslande be-
zogen werden mußten, aber
alsdann der menschlichen
Nahrung zugänglich gemacht
wurden, in erster Linie dazu
beitrug, die Gesundheit und
damit' die Leistungsfähigkeit
der Tiere zu untergraben, so
daß es nach Kriegsende Tiere
heimischer Zucht, deren Hal-
tung und Nachzucht Erfolg
und Gewinn versprachen,
kaum noch gab. Dazu kommt
noch ein anderes. Vor dem
Kriege gab es in Deutschland
ein Überangebot billiger
Auslandseier' aus Rußland,
Italien, Ungarn, Galizien,
Polen und den Balkan-
staaten, ja in Form von Trockenei für Konditoren-
bedarf usw. sogar aus China und Amerika, so billig,
daß der deutsche Züchter damit nicht konkurrieren
konnte, wenn es auch immerhin Leute gab, die für
den Erhalt eines „trinkfrischen" Eies etwas mehr zu
zahlen bereit waren. — So war die Zucht damals
hauptsächlich S p o r 1 z u ch t. — Heute ist die billige
Einfuhrmöglichkeit ganz außerordentlich beschränkt.
Zum Teil ist der Wohlstand
und damit der Eigenver-
brauch der früheren Einfuhr-
länder, wie Jugoslawen und
Italien, gestiegen, zum Teil
liegen andere Gründe vor, die
im einzelnen hier anzuführen
zu weit ginge. Das bedeu-
tete natürlich die Notwen-
digkeit, von der früheren
Sportzucht zur L ei-
st u n g s z u ch t überzuge-
hen, bei der es in erster
Linie auf den Ertrag
und erst in zweiter auf das
schöne Aussehen der Tiere
ankommt. — Und man hat
schon wieder gute Erfolge zu
verzeichnen. Immerhin hat
Deutschland im letzten Jahre
noch für 200 Millionen
Reichsmark an Eiern usw.
eingeführt. Ähnlich liegen
die' Verhältnisse in Frank-
reich. Ans der französischen
Brutapparat, Holzschnitt aus Montevillo's:
„Reise ins hl. Land", AuSburg 1481.
(Die Eier liegen tin Mist.)
(Nach Feldhaus.)
*) Die Photographien zu diesem Aussatz stammen von Photograph Erich Müller, Saarbrücken.
138
.Zeitschrift „Le Petit
Fermier^ ist z. B. zu
ersehen, daß allein in
Paris im letzten Jahre
für ca. 70.000.000 Fr.
an Eiern, die aus dem
Auslande (England,
Italien, Marokko, Sy-
rien usw.) kamen, kon-
sumiert wurde. Wer
diese gewaltigen Sum-
men einmal kritisch be-
trachtet, wird erkennen
müssen, daß auf dem
Gebiete der Geflügel-
zucht noch recht viel
getan werden muß,
wenn wir uns von den
ausländisch en' Märkten
unabhängig machen
wollen. Das gilt so-
wohl für Deutschland
als auch für Frank-
reich. Es liegt klar aus
der Hand, welcher
volkswirtschaftliche
Vorteil entsteht, wenn
es nicht notwendig ist,
große Summen Gel-
des an das Ausland
zu zahlen für Pro-
dukte, die im Jnlande
selbst leicht produ-
ziert werden können.
Da ist es zunächst not-
wendig, daß die Pro-
duktion gewaltig ge-
steigert wird. Das kann nur der Fall sein, wenn
u. a. auch weite Kreise der Arbeitnehmer-
schaft sich mehr der Hühnerzucht widmen unter der
Bedingung rationellster und sparsamster Wirtschaft.
Den meisten Arbeitnehmern im Bergbau beispiels-
weise steht ein Gärtchen und Stall zur Verfügung,
welche sie für die Geflügelzucht in Anspruch nehmen
können. Wieviel Menschen wären dann in der Lage,
durch rationelle Wirtschaft sich einen Erwerb oder
gute Nebeneinnahme zu verschaffen. Grundbe-
dingung hierfür ist, daß man e r st k I a s s i g e
Tiere hält, einen guten S t a ll besitzt und zum
Schluß den Tieren ein Futter darreicht, welches
dieselben in den Stand setzt, uns durch eine reiche
Eierproduktion zu erfreuen. Die Durchschnitts-
leistung muß aber im allgemeinen min-
d e st e n s pro Huhn 150 Eier im Jahr betragen.
Unsere Eigenproduktion muß sich nicht nur erheblich
billiger stellen als der jeweilige Marktpreis, sondern
über den Eigenbedarf hinaus noch eine gute Neben-
einnahme fein. Wenn uns dieses gelingt, so haben
wir, inc volkswirtschaftlichen Sinne gesprochen, eine
hohe Aufgabe zum Besten unseres Volkes erfüllt.
6) Auswahl der Rassen.
Wir haben schon darauf aufmerksam gemacht, daß
zu einer erfolgreichen Produktion die sorgfältige Aus-
wahl einer solchen Rasse gehört, die uns die Gewähr
bietet, daß wir keine Mißerfolge haben. Jeder
Züchter, der Sport-
zucht betreibt, hat na-
turgemäß seine Spe-
zialrasse, die er be-
sonders in sein Herz
geschlossen hat. Es soll
dahingestellt sein, ob
dem Hühnerlatein vie-
ler Züchter, die selbst-
redend immer die
beste Rasse besitzen
wollen, allzuviel Glau-
ben zu schenken ist,
und wir wollen auch
keinem Züchter zu
nahe treten dadurch,
daß wir die Leistung
einzelner Tiere seines
Stammes anzweifeln.
Es kommt aber doch
vor. allem darauf an,
daß in der Geflügel-
zucht eine gewisse
Planwirtschaft
Fuß faßt, und daß der
Anfänger in der Zucht
sich einer Rasse zu-
wendet, die a l l g e -
m e in als gut und
ertragreich bekannt ist.
In bezug aus L ei-
st u n g s f ä h i g ke i t
wird es heute wohl
kaum noch Rassen ge-
ben, die im großen
und ganzen, abgesehen
von Ausnahmen, so
den gestellten Forderungen entsprächen wie die
weißen einfach k ä m migen amerrko-
nischen Leghorn und Wyandottes.
Ein Blick in irgend eine Fachzeitschrift genügt, um
festzustellen, daß die meisten Züchter, die auf Leistung
züchten, diese beiden Rassen als die
besten und ertragreich st en ansehen. (Auch
ich selbst konnte diese Erfahrung im Kleinbetriebe
machen.) Für den Großbetrieb sei z. B. auf die wich-
tigen Versuche auf Klostergut Seebach in Thüringen
hingewiesen. Auf dieser Farm wurden im Anfange
alle möglichen Rassen gezüchtet, die letzten Endes aber
keine Erträgnisse brachten und ständig Zuschüsse er-
forderten. Nach Jahren unfruchtbarer Arbeit ent-
schloß man sich schließlich, es einmal mit den damals
noch sehr verschrieenen Leghorn zu versuchen, und
siehe da, die Farm rentierte sich auf einmal sehr gut,
und warf mit der Zeit in Verbindung mit den
gleichzeitig betriebenen Obstkulturen ganz nennens-
werte Reingewinne ab. Schon länger hatte man sich
in Züchterkreisen mit den angeblich fabelhaften Er-
trägnissen der Leghorn, deren Leistungen man, wie so
manches andere, was von Amerika kommt, als
Schwindel bezeichnete, befaßt. Jetzt machte man auch
anderwärts mit Leghorn praktische Versuche, die, wie
auf dem Klostergut Seebach, zum vollen Erfolge
führten. Wenn auch noch nicht die in Ancerika unter
staatlicher Kontrolle erzielten Leistungen von 336
Eiern im Jahr für eine Henne erreicht wurden, so
haben wir doch auch bereits in Deutschland, Frank-
Abb. 2. Weiße Leghorn.
Leich und anderen
europäischen Ländern
Farmer, die Tiere
züchteten mit Leistun-
gen bis zu 300 Eiern
im Jahre. Ähnliche
Erfolge können die
Wyandottes-
Züchter aufweisen. Ans
dem letztjährigen Wett-
legen in Hohenangern
(Rhld.) erreichten so-
gar die Wyandottes
yöhere Leistungen als
die Leghorn. Damit
soll nun nicht gesagt
werden, daß die Leg-
horn schlechter wären
als die Wyandottes,
sondern wir möchten
nur beweisen, daß
beide Rassen zu Höchst-
leistungen befähigt sind.
Wir bringen dem Le-
ser eine Reihe von
Bildern der Geflügel-
farm Petersberg,
Saarbrücken, deren Be-
sitzer, Herr Dr. Kan-
ter, die Liebenswür-
digkeit besaß, uns
dieselben zur Verfü-
gung zu stellen. Abb.
2 und 3 zeigen uns je
einen Stamm weißer
Leghorn und weißer
Wyandottes. Der Hühnerfreund wird seine helle
Freude an dem Anblick der schönen Prachtexemplare
dieser Rassen haben, die einen gesunden, kräftigen,
dem Auge wohltuenden Eindruck machen. Ein Züch-
ter, der über ziemlich viel Platz verfügt,
kann bei der Zucht der Leghorn auf guten Er-
folg rechnen, allerdings unter der Bedingung, daß
die übrigen Voraussetzungen, auf die wir noch näher
zu sprechen kommen, Erfüllung finden. Die Wyan-
dottes, die im Gegensatz zu der leichten Leghorn-
rasse weniger Auslaus benötigen, brauchen
aber, da sie der mittelschweren Rasse angehören,
mehr Stallraum. L-ie sind gute Bruthühner,
die gern und oft brüten. Der kleine Züchter tut
daher gut, wenn er sich zu den Leghorn einige Wyan-
dottes-Hennen hält, da die L e g h o r n s a st nie
zum Brutgeschäft kommen. Im übrigen muß es ihm
überlassen bleiben, nach dem Vorhergesagten unter
den beiden empfohlenen Rassen fiir sich das Richtige
herauszusuchen. Er wird auf jeden Fall Erfolg
haben, wenn er die in nachstehenden Ausführungen
gegebenen Ratschläge beherzigt.
C) Stallungen.
Solange die Geflügelzucht besteht, befassen sich die
Züchter mit dem Bau von zweckmäßigen Stallungen.
Es gibt heute ganze Industrien, die sich lediglich mit
der Konstruktion und dem Bau von Geflügelhäusern
beschäftigen und dabei sehr gut auf ihre Rechnung
kommen, da sich bei den
vernünftigen Züchtern
immer mehr die Er-
kenntnis Bahn bricht,
daß nur in einem
luftigen, trotzdem
aber mannen, so n-
nigen, geräumi-
gen und damit ge-
sunden Stall gesunde
Tiere herangezogen
werden können. Es
würde zu weit führen,
alle die einzelnen Sy-
stetne zu beschreiben,
die man heute auf den
Farmen sieht, mit pri-
mitiven Erdhütten be-
ginnend, bis zu den
kompliziertesten Stal-
lungen hinauf. Je-
doch habe ich bisher
kein System kennen
gelernt, welches in so
weitgehendstem Maße
allen Anforderungen,
die man an einen
modernen Stall stellen
muß, gerecht wird, wie
das System B a u -
d o u r. Mit einer
architektonisch schönen
Außenform, die der
Leser auf den vor- und
nachstehenden Photo-
graphien ersieht, ver-
einigt der Baudoursche
Stall alle Vorzüge, die wir uns als Züchter wünschen.
Aus der hier wiedergegebenen Originalzeichnung
(Abb. 5) erhält der Leser alle notwendigen Maße.
Unseren Bergleuten z. B., die schon so manches Wohn-
haus sich selbst erbaut haben, wird es ein leichtes
sein, darnach an Stelle des veralteten unhygienischen
Stalles einen solchen nach dem System Baudour er-
stehen zu lassen. Und nun ran an die Arbeit! Je
eher damit begonnen wird, desto besser! —
D) Aufzucht des Geflügels.
Jnr Frühjahr geht der. Züchter oft stirnrunzelnd
durch die Stallung und muß zu seinem größten Leid-
wesen feststellen, daß sich immer noch keines seiner
Hühner geneigt zeigt, das Brutgeschäft aufzunehmen.
Die Hühner streiken einfach und denken gar nicht
daran, dem Züchter zuliebe mit dem Brüten zu be-
ginnen. Die schöne warme Frühlingssonne lockt alle
ins Freie hinaus. Die jungfräuliche Erde, aus de-
ren Kruste sich jetzt die Larven und andere Lebewesen
lösen, die für die Hühner besondere Leckerbissen sind,
bildet mit ihrem jungen frischen Grün den Tummel-
und Jagdplatz der Hühnerschar. Ist so die beste Brut-
zeit vorüber, dann aber wollen auf einmal alle
Hühner dem Brutgeschäft nachgehen. Die beste Brut-
zeit liegt aber zwischen Ende Februar und Mitte
Mai. Denn die nach dieser Zeit erbrüteten Tiere
müssen gewöhnlich den ganzen Winter durch gefüt-
tert werden, ehe sie die Legetätigkeit aufnehmen.
Für den Eierproduzenten kommt es aber doch in
Abb. 3. Weitze Wyandottes.
140
Abb. 4. Eine „künstliche" Glucke.
(Schirmglucke System Buckeye.) vj
erster Linie darauf an, daß er möglichst viel Eier
erhält zu der Zeit, wenn die Eierpreise den höchsten
Stand erreicht haben, d. h. im Winter. Der kleine
Züchter, der keine Brutmaschine besitzt, weiß somit
oft nicht, was er anfangen soll, um im Spätherbst
genügend Hühner zu besitzen, die schon legen. Es gibt
aber nichts Einfacheres als das. Unsere großen Ge-
flügelfarmen produzieren in der besten Brutzeit mit
ihren-Zentral-Brunnaschinen heute schon Tausende von
E i n t a g s k ü ck e n, deren Aufzucht im gros-
sen keineswegs so schwierig ist. Als Ersatz für
lebende Glucken bauen die einschlägigen Jn-
dustriefirmen eine Reihe von künstlichen Gluk-
ken, die in vieler Hinsicht besser ihren Zweck
erfüllen als die lebenden. Ihre Handhabung ist
gewöhnlich sehr einfach, und wer einen solchen
Apparat Nllr ein einzigesmal erprobt hat, wird
sein begeisterter Anhänger. Unsere Abb. 4 zeigt
das Innere eines Kückenaufzuchthauses mit
einer durch Braunkohle geheizten Schirmglucke.
Wir sehen, wie lebhaft und munter die Tier-
chen sind, und daß sich dieselben sehr wohl
fühlen. Die gleichmäßige, sich selbst regulierende
Wärme eines solchen Apparates läßt es auch
dem Laien verständlich werden, daß erprobte
Züchter auf den Gebrauch dieses Aufzucht-
instrumentes nicht mehr verzichten wollen.
Tatsache ist auch, daß Tiere, die derart auf-
gezogen werden, sich viel schneller entwickeln
als solche, die ständig am Gängelband der Mut-
ter hängen, und daß sie schon nach ganz kurzer
Zeit eine verblüffende Selbständigkeit erlangen,
da sie nur auf sich selbst gestellt sind. Ich rate
daher allen angehenden Züchtern, im Frilhjahr
nicht so lange zu warten, bis sich die eine
oder andere Glucke an das Brutgeschäft begibt,
sondern sobald wie möglich bei einer renommierten
Geflügelfarm seinen Bedarf an Eintagskücken ein-
zudecken und sich mit aller Intensität an die künst-
liche Aufzucht heranzumachen.
Leider gestattet es der Raum nicht, dieses wichtige
Thema noch weiter zu erörtern. Wir hoffen dazu
Gelegenheit im nächsten Kalender zu haben in einer
Abhandlung „Natürliche oder künstliche Aufzucht des
Geflügels".
E) Zweckmäßige
Fütterungsmcthoden.
Es gibt viele Leute,
die da glauben, daß ein
Huhn in der Lage sei,
aus Kartoffelschalen, ge-
legentlich dargereichten
Küchenabfällen und son-
stigen minderwertigen
Nahrunasstoffen, eine
große Menge von Eiern
zu produzieren. Der ge-
sunde Menschenverstand
muß einem aber sagen,
daß dieses unmöglich ist.
Genau wie der arbeitende
Mensch braucht auch das
Huhn eine Nahrung, die
es befähigt, den von uns
an seine Produktivität
gesetzten Erwartungen
nachzukommen. Es würde
zu weit führen, die vielen
Fütterungsmethoden in
diesem Rahmen noch
einer besonderen kri-
tischen Betrachtung zu
unterziehen. Beschränken
Abb. 5. 3 Monate alte Leghorn und Wyandottes.
141
.wir daher uns darauf, nachstehend einige Rezepte für
die Futterbereitung zu geben, die den Borzug besitzen
schon seit Jahren mit bestem Erfolge erprobt worden
zu sein:
Kückensutter.
80 Teile gelben Maisschrot,
•20 „ . Weizengrobmehl,
5 „ Knochenschrot,
•5 „ Grit (kohlensaurer Kalk),
6 „ Fischmehl,
1 „ Kochsalz
und zum Trinken soviel frische Magermilch oder ver-
dünnte Vollmilch wie die Tiere nur trinken wollen.
Dazu in Zwischenräumen von 2 zu 3 Wochen 1 %
Lebertran.
Hühnerfutter.
60 Teile Maisschrot,
10 „ Fischmehl oder Fleischmehl,
10 „ Gerstenschrot,
10 „ Weizenkleie,
6 „ Luzernemehl,
5 „ Trockenhefe.
Ferner je 25 Zr Weizen, Mais oder Gerste (je nach
der Jahreszeit) pro Tier morgens und abends.
Setzen die Tiere zu viel Fett an, worunter die
Eierproduktion leidet, so ist die Nahrung zu eiweiß-
haltig, und die Mischung muß entsprechend abge-
ändert werden.
Außerdem müssen die Tiere immer Gelegenheit
haben Grit und Holzkohle zu nehmen.
Beide Futtermischungen werden als Trocken-
f u t t e r gereicht. Dazu empfiehlt es sich, tüchtig
Grünfutter zu geben und zwar für die Kücken:
Haferkeime und Luzernklee, und für die Hühner:
Grünkohl, Luzernklee, Gras usw., aber keinen
Spinat. Eine gute Fütterung ist auch bei vorhan-
denen! Auslauf in den Wald noch notig. Denn tat-
sächlich finden die Tiere dabei nur sehr wenig.
Zum Schlüsse noch ein Rat: Wer nicht durch
Schaden klug werden will, darf nie auf einmal zu
groß anfangen. Denn die Erfahrung auf dem Gebiete
der Geflügelzucht wächst mit der allmählich steigenden
Zahl des Bestandes und erfordert viel Lust und
Liebe, aber auch Geduld. Der Bergmannskalender
wird gern helfend zur Seite stehen, sowohl in jähr-
lichen größeren Aufsätzen als auch mit Rat und Aus-
künften.
142
intersporl heißt heute die Parole. Rodel-
schlitten wie Ski sind jedem Leser vertraute
Begrisfe geworden. Insbesondere der Schlit-
ten hat sich an der Saar, wo allerorts Hügel dazu
einladen, seine Freunde nicht nur unter den Kindern
erhalten, sondern unter den Erwachsenen wieder aufs
neue erworben. Jene Zeit, von der Paul Keller
in seinem Roman „H u b e r t u s" so humorvoll
spricht, wie er das Rodeln
als Sport auch unter
den Erwachsenen in
seinem Walddorfe einführt,
und wie die Bauern die
Rodler zunächst noch kopf-
schüttelnd ob des kindlichen
Vergnügens betrachten,
scheint schon vorüber. Nur
eins ist hier noch zu sagen:
Zum Rodelsport gehört
eine ordentliche Bahn.
Wird diese, wie vielfach,
durch schwer übersichtliche,
kurvenreiche Straßen er-
setzt, die, an sich schon von
vielen Passanten belebt,
dazu noch in andere mit
lebhaftem Autoverkehr ein-
münden, so ist dies ein für
Rodler und Fußgänger
halsbrecherisches, höchst
zweifelhaftes Vergnügen,
aber kein Sport. Und
wenn gar, wie ich es an
einem Bahnhofsweg häufig
sehen konnte, erst nach
Einbruch der Dunkelheit
mitten durch die von der
Schicht heimkehrenden oder
zu ihr strebenden zahl-
reichen Fußgänger auf ein-
mal mit lautem Lärm voll-
besetzte Schlitten sausen, in
den Kurven Leute anren-
nen, und plötzlich dann ein
wirrer Knäuel im blenden-
den Scheinwerferlicht eines
von der Seite Herkonimen-
den Autos zu sehen ist —
so ist das direkt grober Un-
fug. — Aber genug davon.
Heute wollen wir von
einem anderen Sport re-
den, den die liebe Jugend
allenthalben ausübt, den aber auch die Erwachsenen
mehr denn je pflegen sollten, dem Schlittschuh-
lauf.
Schon die „E d d a" — die Sammlung der alt-
nordischen Götter- und Heldenmythen — erzählt, daß
der Gott U l l e r oder Aller, einer der bedeutendsten
unter den Äsen, auf Schlittschuhen über dem Eise
dahingleitend dem Weidwerk obliegt. — Tatsächlich
kann man auch in den Mu-
seen (z. B. in Mainz) zahl-
reiche Funde von Schlitt-
schuhen aus uralten Zeiten
bewundern. Sie sind aus
Rippen und Röhrenknochen
großer Tiere hergestellt, die,
- entsprechend beschnitten,
etwa, 25—30 cm lang, an
der Unterseite glatt ge-
schliffen und dann an dem
einen Ende durchbohrt sind,
um sie an den Fuß anzu-
binden. Derartige Knochen-
schlittschuhe wurden noch zu
Anfang des Mittelalters
gebraucht, wie sich aus der
Chronik des Londoner Ste-
phan aus dem 13. Jahr-
hundert ergibt. Ja, sogar
zu Zeiten der Königin Eli-
sabeth von England tauch-
ten sie wieder auf.
Das klassische Land des
Schlittschuhlaufens ist Hol-
land, wie wir aus zahl-
reichen Gemälden der alten
niederländischen Meister,
die uns das bunte Leben
eines fröhlichen Festes auf
dem Eise zeigen, ersehen. Es
war ein Volks sport im
wahrsten Sinne des Worts;
daneben aber diente der
Schlittschuh, wie in dem
Land mit den vielen Ka-
nälen nicht anders zu er-
warten, auch beim „Schnell-
lauf" dem Verkehr, wie
sich dies u. a. aus der
großen französischen Ency-
klopädie Diderot's ergibt,
in der es heißt: „Die Hol-
länder laufen auf Schlitt-
schuhen schneller als selbst
die leichtesten Pferde".
Thialf auf dem Eise.
Radierung von C. W. Kolbe nach KUpstock.
143
Ein Hauptverdienst um die Einführung des Schlitt-
schuhlaufens als Sport der Gebildeten hatte unser
klassischer Dichter Klopstock. Er wollte „den home-
rischen Göttern gleich auf geflügelten Sohlen über das
zu Boden gewordene Meer dahinfchreiten." So be-
sang er nicht nur in seinen Oden die edle
Kunst des Laufens auf Schlittschuhen, wie er sie
nannte, sondern war auch s e l b st in ihr ein
M e i st e r und machte eifrig für sie Propaganda.
An Goethe fand er dabei einen verständnisinnigen
Freund. Das Bild des jungen Goethe als Schlitt-
schuhläufer auf dem Eise im wehenden Pelze der
Frau Rat ist allbe-
kannt.
Heute wird neben dem
T o u r e n l a u f auch
der K u n st l a u f viel
gepflegt, als dessen
höchste Stufe der Figu-
renlauf zu mehreren
und der Tanz auf dem
Eise gilt.
Da sich nicht überall
Natureisbahnen im
wünschenswerten Aus-
maße befinden, errichtet
man im Winter in den
Städten vielfach künst-
liche Eisbahnen als so-
genannte „Spritzeis-
bahnen" auf festem Bo-
den, z. B. auf Sports-
plätzen. Einzelne Groß-
städte (London, Paris,
Brüssel, München, Nürn-'
berg usw.) haben daneben
auch künstliche Eisbah-
nen in geschlossenen
Hallen, die, mittels
Ammoniakverdampfung
erzeugt, auch in der
wärmeren Jahreszeit
noch brauchbar sind. Sie
dienen neben dem Eis-
lauf des Publikums vor
allem dem Auftreten
von „Eisballetten" und
den Vorführungen künst-
lerischer und sport-
licher Höchstleistungen von Berufsläufern. Auch
werden auf künstlichen Bahnen, wie in Davos,
gewöhnlich die großen Wettkämpfe zur Erringung
der Welt-, Europa- und Landesmeisterschaften aus-
gefochten. Erreicht wurden dabei Rekorde von
44 4/s Sekunden für 500 m und 17 Minuten 15 Sek.
für 10 km.
Ein besonderer Zweig des Schlittschuhsports ist das
Laufen mit dem Segel. Ein solches ist ge-
wöhnlich dreieckig und über 2 rechtwinklig aneinander
befestigte Bambusstäbe gespannt. Der Schlittschuh-
läufer hält es mit beiden Händen und kann mit ihm
bei gutem Wind und-
glatter Bahn Eilzugs-
geschwindigkeit erreichen.
Aber auch ohne diese
sportlichen Höchstleistun-
gen verdient das Schlitt-
schuhlaufen alle För-
derung. Allerdings,
Schlittschuhe gehören
nicht auf die Straße,,
noch auch soll man mir
ihnen wie ein Rodler
einen Berg hinabführen
wollen. Das heißt ihre
edle Bestimmung ver-
kennen. Aber bei dem
häufigen Übertreten un-
serer Bäche über die
benachbarten Wiesen
und dem starken Frost,
wie wir ihn noch im
Winter 1925/26 erleb-
ten, findet sich auch
sonst genug Gelegen-
heit. Hoffentlich erleben
wir auch bald einmal
bei uns an der Saar
die Veranstaltung von
Wettspielen aus dem
Eise. Dann wird der
Schlittschuhlauf immer
mehr Freunde gewin-
nen, die ihm mit Recht
gebühren als der ele-
gantesten und
graziöse st en aller.
Sportarten.
Die furchtsame Schülerin.
Radierung von La Mösangdre. Modeblatt von 1799.
144
ir leben in einer schnelllebigen Zeit. Die Ver-
kehrsverhältnisse haben eine völlige Umwäl-
zung erfahren. Aber das führt auch dazu,
daß wir, die wir heute im bequemen Passagierflugzeug
z. B. den Weg von Paris nach Amsterdam, für den
unsere Großvater in der Postkutsche Wochen ge-
brauchten, in 1% Stunden zurücklegen, leicht geneigt
sind, an wichtigen Daten der Erinnerung achtlos vor-
über zu eilen, und die Bedeutung der Erfindung selbst,
an die wir erinnert werden sollen, zu unterschätzen.
Solche erinnerungsreiche Daten, wohl wert, daß wir
hier einmal in unserer Eile betrachtend innehalten,
sind der 4. April und der 26. Oktober 1927.
Denn am 4. April 1877 wurde die erste Tele-
phonanlage der Welt in Benutzung genom-
men, vom 25. Oktober aber, an welchem Tage durch
den damaligen Generalpostmeister Stephan mit den
erst am Tage vorher an ihn gelangten Bellschen Tele-
phonapparaten Sprechversuche in Berlin und Um-
gebung gemacht wurden, datiert die Einführung
des Fernsprechers in Deutschland.
Bereits am 9. November schilderte Stephan in einem
eingehenden Berichte an Bismarck die „bewunderns-
werten Leistungen der einfachen Apparate und die
große Bedeutung der Erfindung fiir das Verkehrs-
leben", und so wurde das „Telephon", wie man da-
mals noch allgemein sagte, eine bald vielbegehrte Ein-
richtung der Reichspost.
Wie bei fast allen Erfindungen, ist auch bei dem
Fernsprecher der ursprünglich zugrunde liegende
Gedanke ein alter, bloß daß die Mittel, in diesem
Falle die Elektrizität, zur vervollkommneten Aus-
siihrung noch fehlten. — Die erste Erfüllung der
Aufgabe, Schallwellen über eine gewisse Entfernung
hinüber s o zu leiten, daß sie am Ankunftsort klar
und deutlich zum Ertönen gebracht werden, bedeutet
ohne Zweifel das Fadentelephon. Den meisten
unserer Leser wird dies aus der- Physikstunde be-
kannt sein, desgleichen unseren jungen „Bastlern" als
Spielzeug. Es besteht gewöhnlich aus zwei an einer
Seite offenen Holzkästchen, die an der Rückseite durch
einen Faden verbunden sind. Spricht man in den
einen Kasten, so leitet der st r a f f gespannte
Faden die Schallwellen zum anderen, wo sie hörbar
werden. Wie Feldhaus in seinem Lexikon *) mitteilt,
soll dies Fadentelephon nach einem Artikel der Pe-
kinger Staatszeitung von 1878 eine Erfindung des
Chinesen Kung-Foo-Whing vom Jahre 968 sein. Nach
der gleichen Quelle berichtet 1682 Joh. Joach. Becher
in seiner „Närrischen Weisheit", bei dem Nürnberger
*) F. M. Feldhaus, „Die Technik der Vorzeit, der geschichtlichen
Zeit und der Naturvölker", Leipzig 1914.
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iS
145
Optiker Franz Gründel habe er gesehen, wie „der
eine ein Instrument zum Reden, der andere ein
Instrument zum Hören gehabt, und haben beyde
solcher gestalt auf eine ziemliche Distanz mit einander
reden können". Daß der Apparat weit bekannt ist,
geht daraus hervor, daß K. Weule 1906 *) einen aus
Holz gearbeiteten Fadenfernsprecher bei N e g e r n in
Deutsch-Ostafrika in Ge-
brauch fand.
Den Ausdruck „Tele-
phon" brauchte zuerst
1796 I. S. G. Huth bei
seinem Vorschlag, durch
Sprachrohre eine
„Telegraphie" (man kannte
ja damals bereits den
optischen Telegraphen) für
Kriegs- und Friedens-
zeiten herzustellen. Der
Franzose W. Sudre legte
1828 der Pariser Aka-
demie der Wissenschaften
die Idee eines „Musik-
telegraphen" vor, der die
optischen Telegraphen bei
Nacht und Nebel unter-
stützen sollte. Er nannte
seine Erfindung „Tele-
phonium". Ebenso ge-
brauchte der englische
Physiker Wheastone oen
Ausdruck „Telephon" für
hölzerne Stangen, die
Schatteindrücke auf rein
mechanischem Wege durch
ihre ganze Länge fortzu-
pflanzen gestatteten. Ein
Pfarrer E. Ronners-
hausen in Aken an der
Elbe schlug 1838 die „bei-
läufige Benutzung unse-
rer Eisenbahnanlage als
akustisches Kommunika-
tionsmittel" vor. Er wollte
durch einen Röhrenkanal
in den Schienen den
Schall in die weitesten
Fernen leiten. Auch er
nannte diese Idee „Tele-
phon".
Jetzt aber kommen wir
zum eigentlichen Tele-
phon im heutigen Sinne.
Grundlegend war dafür
die Entdeckung des ame-
^ rikanischen Physikers
Charles Graflon Page in
Salem, der 1837 zuerst
das „Tönen" eines Eisen-
stabes, der in einer, von
einem galvanischen Strom
durchflossenen Drahtspi-
rale angebracht war, hörte
und wahrnahm, daß dieser Ton sowohl im Augenblick
der Unterbrechung als auch der Wiederherstellung des
Stromes auftrat.
^ 1849 bot Charles Bourseul, Unterinspektor der
Telegraphie, der Pariser Telegraphenverwaltung einen
Apparat an, bei dem eine dünne, vibrationsfähige
Metallplatte alle durch die Stimme erregten Schwin-
Ruhestellung
*) Weule, Leitfaden der Völ-
kerkunde, 1912.
Abb. 2. Schema einer Telephonanlagc.
10
146
gungen wiedergeben sollte, indem sie an der Aufgabe-
station den Stromkreis einer Batterie in einer, den
gesprochenen Worten entsprechenden Weise abwechselnd
offnen und schließen, während ein ähnlicher Apparat
an der Empfangsstation die Worte wiedergeben sollte.
Allerdings gelang es Bourseul zunächst noch nicht,
einen brauchbaren Empfänger, der die elektrischen
Wellen wieder in Schallschwingungen zurückverwan-
delte, zu konstruieren. Immerhin war aber damit
die Idee gegeben, auf der alle anderen Erfinder auf-
bauten, und worüber die bekannte Zeitschrift « L ’ Il-
lustration», am 26. August 1854, auf Grund
eines Briefes von Bourseul einen Artikel, betitelt:
« T£16phonie ¿lectrique » veröffentlichte.
Nunmehr trat wiederum, wie so häufig, die bekannte
Duplizität der Ereignisse in Erscheinung. Die Ent-
deckung Pages war 1848 in Paris von W. Wertheim
zum Gegenstand eingehender Untersuchungen gemacht
worden, auf Grund derer Philipp Reis, Lehrer in
Friedrichsdorf b. Homburg v. d. H., 1852 seine Tele-
phonversuche aufnahm, wobei er zeitweise auf Experi-
mente mit einem Fadentelephon zurückging.
Unabhängig von Reis und Bourseul arbeitete 1853
der praktische Arzt Theodor Clemens in Frank-
furt a. M. an einem Fernsprecher, bei dem sogar
schon eine Magnetinduktion als Schallvermittler in
Anwendung kam. Reis erprobte seine Erfindung zu-
erst 1860 im Garnieschen Institut zu Friedrichsdorf,
und zwar hatte nach der Überlieferung dieses erste
Telephongespräch folgenden Wortlaut: (R) „Die
Pferde fressen keinen Gurkensalat." — (Antw.) „Das
weiß ich schon längst, Sie alter Schafskopf." —
Neben Reis traten hernach auch noch andere Kon-
strukteure mit dem Anspruch, das Telephon erfunden
zu haben, hervor, so der Amerikaner Dav. Drawbaugh
und der Italiener Jnnocento Manzetti in Aosta, der
sogar 1886 in seiner Heimatstadt eine Denktafel als
„Erfinder des Telephons" erhielt.
Reis hatte sein „Telephon" dem Publikum zuerst
am 26. Oktober 1861 im Physikalischen Verein zu
Frankfurt a. M. vorgeführt. Es ergab sich, daß der
Apparat Musikstücke (Gesang- und Instrumental-
musik) deutlich wiedergab; hingegen weniger gut die
menschliche Stimme, was daran lag, daß er als Geber
noch ein Holzkästchen mit einem tierischen Membran
benutzte und nur intermittierende Batterieströme er-
zeugen konnte.
Reis führte seine Erfindung dann noch verschiedenen
Fürstlichkeiten und wissenschaftlichen Versammlungen
vor, doch wurde sie mehr als wissenschaftliche Kuriosi-
tät denn als Verkehrsmittel gewertet und erlangte
somit für die Öffentlichkeit weiter keine Bedeutung.
Das änderte sich erst, als zwei Jahre nach Reis'
Tode der amerikanische Sprachphhsiologe Graham Bell
aus Boston 1876 auf der Weltausstellung zu Phila-
delphia sein « speaking telephone » vorführte, das
3166. 3. Ein Amt nach dein jetzt hauptsächlich gebräuchlichen System.
— 147
Abb. 4. Ein moderner „Selbstwählei/
Mem-
als erstes eine schwingende Metallplatte als
bran aufwies.
Bell war von Beruf Taubstummenlehrer und hatte
ursprünglich lediglich einen Apparat konstruieren
wollen, mit dem er die durch Töne oder Sprechen ver-
ursachten Schwingungen der Luft sichtbar machen und
seinen Schülern die Lautbildung
zeigen könne. Demgemäß hatte Anschlußamt des rufenden Teilnehmers
schen Apparaten die erste dauernde
Telephonanlage der Welt zwischen
der Fabrik von Charles Williams jr. in Boston
und seinem 50 Kni entfernten Landsitz in Be-
trieb genommen (Abb. 1).
Nach Deutschland war, wie gesagt, das Tele-
phon am 24. Oktober 1877 gekommen, als der
Vorsteher des Londoner Hauptpostamts, Fischer,
ein geborener Hanoveraner, Stephan zwei von
ihm eben aus Amerika mitgebrachte Bellsche
Telephone zeigte. Stephan, der im Gegensatz
zu seinem zu einer traurigen Berühmtheit ge-
langten preußischen Vorgänger v. Nagel, der
sich der Einführung der Eisenbahn in Preußen
hatnäckig widersetzt' hatte, weil „schon jetzt seine
Postkutschen kaum halb besetzt seien" (!), allzeit
ein Mann des Fortschritts war, dachte sogleich
nach den eingangs erwähnten, schon am folgen-
den Tag angestellten glücklichen Versuchen an
eine Nutzbarmachung der Erfindung nicht nur
ftir die eigenen Bedürfnisse des Staates, son-
dern auch des großen Publikums. Das um
so mehr, als bereits ein Jahr später das neue
Verkehrsmittel durch den Einbau des von Pros.
Dav. Edw. Hughes in London erfundenen
Mikrophons eine wesentliche Verbesse-
rung erfahren hatte.
Eine solches Mikrophon beruht darauf, daß
bei Anbringung loser Kohlenkontakte an einer
Membrane der Widerstand derselben den
kleinsten beim Sprechen auf die Membrane
hervorgerufenen Änderungen des Kontakt-
druckes zu folgen vermag, wodurch die Strom-
vibration auch an einem entfernten Ort viel
kräftiger auf die Membrane des Hörers einzu-
wirken vermag, als die von Bell allein ver-
wandten schwachen Jnduktionsströme. Zur
richtigen Wirkung werden sie dabei durch Jn-
duktionsübertrager in höher gespannte, . dem
Widerstand der Leitung angepaßte Jnduktions-
ströme umgewandelt.
Das erste systematisch angelegte und betrie-
bene städtische Fernsprech netz der Welt wurde 1878
in New-Haven (Ver. Staaten) dem Verkehr über-
geben, bald folgten in Europa London und Paris.
In Deutschland fand Stephan bei seinem Werbefeld-
zug bei der Berliner Kaufmannschaft zunächst nur
94 Anmeldungen, mit denen er das dortige Stadt-
Anschlußamt des gerufenen Teilnehmers.
seine Patentanmeldung vom 14.
Februar 1876 auch zunächst nur
als Zweck des Apparats „die
Übermittlung von Geräuschen zu
telegraphischen Signalen" be-
zeichnet. Jetzt aber bemächtigte
sich amerikanischer Geschäftsgeist
der Erfindung, zumal ebenfalls
1876 E li sh a Gray aus
Chicago ein amerikanisches Pa-
tent auf ein „elektro-musikalisches
oder elektro-harmonisches Piano"
nachgesucht hatte, mit.dem er ein
Konzert auf 457 Kni Entfernung
übertrug. So wurde denn schon
am 4. Ä p r i I 1 8 7 7 mit Bell-
Borwähler I. Gruppenwähler II. Gruppenwähler III. Gruppenwähler Leitungswähler
Abb. 5.
Schema einer Sprechverbindung bei automatischem Umschaltsystem für 100.000 Teilnehme r.
Teilnehmer A ruft B 14 758.
10*
— 148 —
sprechamt am 12. Januar 1881 eröffnete. Am 24. Ja-
nuar folgte bereits Mülhausen im Elsaß, kurz darnach
Frankfurt a. M. mit Fernsprechnetzen.
Seitdem hat das Telephon in allen Kulturstaaten
eine außerordentlich rasche Entwicklung genommen.
Am modernen Telephon finden wir an
Stelle der früher üblichen Batterie für die Läute-
vorrichtung gewöhnlich einen Magnetinduktor. Bei
allen größeren Ämtern braucht keine Kurbel mehr
gedreht zu werden, sondern der Anruf erfolgt durch
einfaches Abheben des Hörers. Hörer und Mikrophon
sind vielfach, beim Tischtelephon sozusagen stets, zu
einem Teil verbunden, derart, daß, wenn der Hörer
ans Ohr gehalten wird, der Mikrophonteil von selbst
die richtige Stellung zum Hineinsprechen haben muß,
und die rechte Hand des Benutzers frei ist. — Außer
diesen allgemein bekannten Teilen hat jeder Fern-
sprecher ernen Blitzableiter und eine Schmelzsiche-
rung, die den Apparat gegen Beschädigungen durch
Blitzschlag wie auch durch die Starkströme von
Licht- und Kraftanlagen
schützt (Abb. 2).
Die A u ß e n l e i t u n g
weist heute gewöhnlich im
Gegensatz zu den Telegra-
phenleitungen, bei denen
allgemein die Erde als Rück-
leitung verwendet wird, ge-
schlossene metallische Strom-
kreise auf (D o p p e l I e i -
t u n g e n). Kupfer- oder
Bronzedraht hat sich für
die Übertragung der Ge-
spräche vorteilhafter erwie-
sen als Stahl- oder ver-
zinkter Eisendraht. Von
oberirdischen Leitungen ist
man mehr und mehr ab-
gekommen zugunsten der
Kabelleitungen. Um den
bei Kabeln auftretenden
störenden „Kabelladungen"
zu begegnen, welche die
Klangfarbe des Tons be-
einträchtigen und die Zisch-
laute nicht richtig zur Gel-
tung kommen lassen, haben
die 'Kupferadern der Kabel
eine eigenartige möglichst
viel Luftzwischenräume ent-
haltende Papierwickelung
und um diese zum Schutz
gegen Feuchtigkeit einen
wasserdichten 'Bleimantel.
Bei größeren Entfernun-
gen aher genügte das nicht.
Hier brachte eine Erfin-
dung des Professors der
Neuhorker Columbia-Uni-
versität P u p i n Abhilfe.
Es werden nämlich in be-
stimmten Abständen beson-
ders konstruierte Draht-
spulen in die Leitung ein-
geschaltet. Die schädlichen
Ladungsströme rufen nun
in diesen Spulen entgegen-
gesetzt gerichtete Jnduk-
tionsströme hervor, wo-
durch ihre schädliche Wir-
kung größtenteils aufge-
hoben wird. — Die Kabel
selbst werden in Röhren
oder Kanälen aus Eisen
oder Zement verlegt. Für
Teilnehmeranschlüsse wer-
Abb. 6. Strowger-Gruppe für 50 Leitungen mit Umschalrtafel und Gruppenwähler.
149
den Kabel mit bis zu 600 Doppeladern von 0,6 mm
Stärke verwandt.
Auch das Problem der mehrfachen und gleich-
zeitigen Benützung einer Leitung ist gelöst, wenn
es auch beim Ferngespräch nicht im gleichen Maße
Anwendung finden kann, wie bei der Telegraphie;
auch können dieselben Leitungen gleichzeitig für Tele-
phonie und Telegraphie dienen.
Die Verbindung der Teilnehmer geschieht durch
das jedem Leser wohlbekannte „Amt". — Hier waren
früher und sind heute noch an kleinen Orten K l a p -
penschränke, wie Wohl jeder sie schon gesehen hat,
in Gebrauch. Ihre erste Verbesserung war die in
Amerika seit 1879 erfolgte Einführung von Vielfach-
umschaltern, die es jeder Bearntin — die Erfahrung
hat weibliches Personal als für den Dienst am ge-
eignetsten erwiesen — ermöglichen, von ihrem Platze
aus ohne Vermittlung einer zweiten mit allen an
das Amt angeschlossenen Leitungen Verbindungen
herzustellen. Die Klappensignale sind dabei durch
Glühlampen ersetzt. Die größte Ver-
besserung kam dann mit der Einführung
des Zentralbatteriesystems, welches die
Magnetinduktoren und Mikrophonbatte-
rien der Teilnehmerstationen entbehrlich
macht. Dabei lassen technische und
wissenschaftliche Gründe es zweckmäßig
erscheinen, nicht mehr wie 10.000 An-
schlüsse zn einer Zentrale zu vereinen,
so daß Weltstädte in der Regel mehr
wie ein Zentralamt haben (z. B. Paris,
Berlin, Frankfurt a. M.). Zwischen
den einzelnen Ämtern sind dann beson-
dere Vermittlungsleitungen angelegt.—
Desgleichen besitzen alle Großstädte be-
sondere F e r n ä m t e r. Die neueste
Verbesserung ist der Simultanschalter,
der selbsttätig den Anruf einer jeweils
freien Beamtin zuweist (Abb. 3).
Trotz der vorstehend geschilderten Ver-
vollkommnung bleibt der Fernsprech-
berrieb einer Großstadt außerordentlich
umfangreich und kostspielig, da er (ab-
gesehen von den Unterhaltungskosten)
große, gut beleuchtete und ventilierte
Säle für die Umschalteinrichtungen und
zahlreiches Personal — eine Telepho-
nistin kann bei lebhaftem Verkehr etwa
100 Anschlüsse bedienen — erfordert. Es
war daher seit langen Jahren das Be-
streben der Techniker, durch autonia-
t i s ch e s Z u s a m m e n s ch a I t e n der
Leitungen infolge der Betätigung des
Anrufs die V e r m i t t l u n g s st e l l e
entbehrlich zu machen.
Die ersten brauchbaren Fernsprecher
dieser Art führte die amerikanische Firma
Strowger 1893 auf der Weltaus-
stellung in Chicago vor. Trotzdem sie
aber int Laufe der Jahre zahlreiche Ver-
besserungen erfuhren — besonders die
Wählscheibe mit den runden Aus-
schnitten und den Ziffern 0—9, die durch
mehrfaches Drehen gemäß der Zahlen-
folge der Rufnummer jede gewünschte
Verbindung ermöglicht — gelang es
i ihnen doch zunächst noch nicht, die bisherige Betriebs-
art für größere Netze zu verdrängen, da der rein
I mechanische Betrieb sich teurer stellte als die mensch-
! lische Arbeitskraft. Dieser Fehler wurde durch die
j Ingenieure Mellinger und K e i t h behoben,
die einen einfachen und billigen Vorwähler schufen,
ausgehend von dem Gedanken, daß ja doch erfah-
rungsgemäß höchstens 10 % der Teilnehmer gleich-
zeitig sprechen wollen. — Der wirtschaftliche Vorteil
gegenüber dem Bernkittlungssystem wird um so
größer, je höher die Zahl der Teilnehmer und Ge-
spräche ist. Die Anrvendung des Zentralbatteric-
systems förderte den Vorteil noch mehr. Anderer-
seits aber kann man bei diesem System auch wieder
früher dezentralisieren als bisher, wo, wie gesagt,
10.000 Anschlüsse als untere Grenze galten, und so
an Leitungskosten sparen, ohne daß diese Ersparnis
durch Mehrerfordernis an Personal illusorisch würde
(Abbildungen 4 bis 8).
Für kleinere Netze mit gcringerent Verkehr hat sich
Abb. 7. Detail aus Abb. 6 (Gruppenwähler).
150
Abb. 8. Ein einzelner Gruppenwähler (Viercckwähler).
zeitweise auch ein gemischtes System wirtschaft-
lich ganz gut bewährt, bei denr die Teilnehmer zwar
noch mit den gewöhnlichen Apparaten ausgerüstet
sind, die „Damen vom Amt" aber nicht mehr „stöp-
seln", sondern ihrerseits durch „Wähltaster" die auto-
matische Herstellung der Verbindung erwirken.
Allerdings gehen hierbei die drei Hanptvor-
teile der automatischen Verbindung: Dienst-
bereitschaft zu jeder Tag- und Nachtzeit,
keine Fehlverbindungen durch Falschver-
stehen und kein Besetztbleiben nach
Schluß des Gespräches, wieder verloren.
Aus diesem Grunde, und mit Rücksicht auf die stete
Steigerung der Lohnausgaben
nach' dem Kriege infolge der
Teuerung und den durch Be-
schränkung der Arbeitszeit erfor-
derlichen ' Mehreinstellungen von
Personal, dürfte das automatische
System auf die Dauer für einiger-
maßen verkehrsreiche Ämter völlig
siegen.
Streifen wir noch kurz die be-
kannte Einrichtung der „selbst-
kassierenden" öffentlichen !
Sprechstelle sowie die Möglichkeit >
der Kostenersparnis durch Ein-
richtung von Nebenan-
schlüssen, die namentlich in
Amerika in der Form der soge-
nannten „Gesellschaftsleitungen"
großen Umfang gewonnen haben
und kommen zürn Schluß auf das
jüngste Kind der Telephontechnik,
das' Ferngespräch aus !
dem fahrenden Zuge.
Die erste Zugsern-
sprech st recke der Welt
wurde am 7. Januar 1926 im
v-Zug Berlin—Hamburg eröff-
net. Es Handel sich hier um ein
gemischt drahtwellen-
drahtloses System der
Firma H u t h. Der Verkehr geht
drahtlos vom Zuge durch die
Sendeantennen auf dem Wagen-
dache zu den neben der Strecke
schon vorhandenen Telegraphen-
leitungen, auf deren Draht dann
die Herzschen Wellen ohne nen-
nenswerte Verluste (und ohne aus
der Leitung etwa gerade laufende
Telegramme oder Ferngespräche
zu stören) zum Empsangsapparat
der Landstation weiterlaufen. Dort
werden sie auf Postleitungen über-
geschaltet und dann von der Post
wie gewöhnliche Ferngespräche be-
handelt. Ruft umgekehrt jemand
den Zug an, so leitet die Post sein
Gespräch zur Landstation, die es dem Zuge zuführt.
Es ist also möglich, sowohl vom Zug aus jeden
Telephoninhaber anzurufen wie umgekehrt, desgleichen
von Zug zu Zug zu sprechen; Gespräche vom fahren-
den Zug zum fernen Ozeandampfer sind nur noch
eine Frage der Zeit.
Wir haben damit schon das Gebiet des drahtlosen
Verkehrs gestreift. Wer wird siegen? Zumal jetzt
auch noch die drahtlose Bildübertragung erfolgver-
sprechend hinzukommt? — Vermutlich werden draht-
loser und Drahtverkehr nebeneinander laufen, je nach
den Bedürfnissen, genau so wie sich die Telephons
und ihre ältere Schwester Telegraphie vertragen haben.
151
Allerlei Ratschläge für Kranke und Gesunde.
Nach den Aufzeichnungen eines älteren Apothekers
zusammengestellt von
M. Bartels, dipl. Hauswirtschaftslehreriu und Apotheken-
helferin, Geislautern.
„Glücklich ist, wer lacht und singt, wenn auch das
Leben Sorgen bringt." Dieser heitere Spruch aus
einem alten Liede hat seinen tiefen inneren Sinn.
Nicht nur finanzielle Sorgen und Kummer verscheucht
der Frohsinn, er ist vielmehr auch der Schlüssel zur
Heilung vieler Leiden und Krankheiten. Des Arztes
Hauptaufgabe ist es, die Krankheiten richtig
zu erkennen, die Heilung jedoch hängt meistens
vom Patienten selbst ab. Die Mehrzahl der Krank-
heiten erfordert zur Heilung keine Medikamente,
sondern Diät und den eisernen Willen gesund zu
werden. Der feste Glaube, daß die Krankheit nicht
schlimmer, sondern besser wird, gibt den guten Lebens-
kräften im Körper das Übergewicht über die Krank-
heitskeime.
Die Heilung der Gemüts- und Nerven-
kranken ist überhaupt nur möglich durch eine
Suggestion, d. h. Beeinflussung, die dre Umgebung
des Patienten sowie er selb st stets auf ihn
ausüben müssen. Aber auch bei den andern Arten
von Leiden ist der eiserne Wille, gesund zu werden,
und der feste Glaube an die mögliche Heilung die
Grundbedingung zur wirklichen und schnellen
Heilung. Man denke an Cou 6 und seine Erfolge.
Selbstverständlich müssen dabei die ärztlichen und
sonstigen Vorschriften über Krankheitsbehandlung
wie Umschläge usw. sowie über die ganze Lebensweise,
Ernährung und eventuelle Heilmittel peinlich genau
eingehalten werden.
Die Wirkung der Medikamente ist in den meisten
Fällen nur suggestiv. Den besten Beweis dafür liefert
uns die Homöopathie. Denn in Wahrheit sind
die homöopathischen Mittel nichts wie verdünnter
Alkohol, Streuzuckerkügelchen oder harmloses Vaselin,
in denen heilkräftige Substanzen, also echte Medi-
kamente kaum vorhanden, chemisch gar nicht nach-
weisbar sind. Die Heilung beruht also nur auf dem
Glauben an Wirkungen. Aber gerade wegen die-
ser suggestiven Wirkung soll man den Stab über die
Homöopathie als Heilfaktor nicht brechen.
Schlaflosigkeit und Nervosität. — Gerade unsere
infolge der Nachwehen des wahnsinnigen Krieges so
nervöse Menschheit ist mehr wie jemals zuvor auf
seelische Wirkungsmittel angewiesen. Die ungeheuren
Aufregungen der letzten 10 Jahre haben bei vielen
Menschen eine Schlaflosigkeit hervorgerufen,
deren Beseitigung die Grundbedingung für unser
Wohlbefinden ist. Die Mittel, welche hiergegen ange-
wandt werden, sind der verschiedensten Art. Wer
irgendwie willenstark genug ist, dieses Leiden ohne
Arzneimittel zu beheben, soll ja nicht anfangen medi-
zinische Schlafmittel zu nehmen. Alle Schlafmittel wie
Morphium, Cocain, Verona! usw. können wohl für
die kurze Spanne ihrer Wirksamkeit etwas Schlaf
erzeugen, aber der Mensch gewöhnt sich zu schnell an
dieses Mittel und immer stärkere Mengen müssen
eingenommen werden. (Das gleiche gift von den
schmerzbetäubenden Mitteln wie Codeintropfen, Cod-
conal usw., nicht zuletzt auch vom Aspirin.) Das
Nervensystem aller Menschen, welche diese Mittel
einnehmen, erschlafft viel schneller wie das der Leute,
die überhaupt keine medizinischen Schlafmittel ge-
brauchen. Wen der Schlaf flieht, der darf ihn nicht
mit Gewalt durch Arzneimittel herbeizuführen suchen.
Auch hier hilft nur die Autosuggestion der Selbst-
Hypnose. Das Wort Hypnose bedeutet „Einschläfe-
rung" oder einen Zustand, in dem der Mensch willen-
los ist. Wer an Schlaflosigkeit leidet, muß sich zu-
nächst daran gewöhnen, überhaupt nicht an seine
Schlaflosigkeit zu denken. Sobald man zu Bett geht,
müssen die Augen geschlossen sein und fest geschlossen
bleiben. Sodann denke man intensiv an irgend
etwas, was weder mit unseren Sorgen noch auch
mit unserer Berufstätigkeit zusammenhängt, z. B. an
eine Reise, einen Ausflug, einen Spaziergang in
Feld und Wald, an eine Erfindung, die man machen
will oder an sonst irgend etwas, was einem ange-
nehmen oder lieblichen Traum entspricht. Und von
diesem „Traumdenken" gehe man nicht mehr ab.
Immer dasselbe Bild sich vormalen oder träumen,
bringt das Gehirn zur Ermüdung, so daß sich der
künstliche Traum schließlich zu einem wirklichen
Traum gestaltet und der Begriff der Zeit verloren
geht. Die Traumbilder verwischen sich, sie huschen
dahin und Bewußtlosigkeit tritt ein. Man lasse sich
nicht entmutigen, wenn der Erfolg nicht gleich in
den ersten Nächten eintritt. Das Gehirn muß sich
erst an diese Ablenkung und an die dadurch herbei-
geführte den Schlaf bedingende Ermüdung gewöhnen.
Manche Menschen können diesen Zustand beschleu-
nigen, indem sie abends vor dem Schlafengehen Ge-
sicht, Brust, Rücken oder Arme lau oder kalt ab-
waschen. Andere nehmen vor dem Schlafengehen ein
großes Glas laues oder kaltes Zuckerwasser, mit oder
ohne etwas Cognac, Likör oder gutem Branntwein,
oder man trinkt Orangenblüten- oder Oranaen-
blättertee mit etwas Zucker. Daß man abends spät
keine schwerverdauliche Nahrung wie frisches Brot,
Kartoffeln, Hülfenfrüchte, Speck oder gar schwarzen
Tee oder Kaffee genießen darf, ist allbekannt. Böse
Träume und sogenannter Alpdruck sind fast immer
die Folge von überladenem Magen oder schwerver-
daulicher Speise.
152
Weiter seien einige häufiger vorkommende Leiden
sowie erprobte Mittel gegen dieselben hier erwähnt.
Ter dicke Hals oder Kropf wird am leichtesten ge-
heilt durch Einreibungen mit Jodnatrium in Seisen-
spiritus (3 :30). Man reibt den Hals morgens und
abends jedesmal 10 Minuten lang mit obigem Mittel
ein. Dieses bewährte Mittel wird unter allerlei
Namen auf Grund von Annoncen vertrieben und
viel teurer verkauft, als man es in jeder Apo-
theke bekommen kann. Es ist eigentümlich, daß man
am Meer bei der Bevölkerung wenig Kröpfe findet.
Das kommt wohl daher, daß das Meerwasser und
alles, was aus dem Meer kommt, Jodnatrium ent-
hält. Der Mangel an Jod in der Nahrung aber soll
die Ursache von Schilddrüsen-, Hals- und Kropfkrank-
heiten sein. Beschleunigt wird die Heilung durch ein
Pulver aus gebrannten echten Austernschalen, das
messerspitzenweise eingenommen wird. Mit gebrann-
ter Magnesia gemischt wird Austernschalenpulver auch
gegen Warzen innerlich mit gutem Erfolg an-
gewandt, jedoch müssen die Warzen mit feuchtem
Salz dreimal täglich 10 Minuten lang eingerieben
werden. Es ist dieses ein uraltes Sympathie-Mittel.
Gallensteine sind weiterhin ein viel verbreitetes
Leiden. Es sind dieses keine wirklichen Steine, son-
dern fettige Absonderungen der Galle, die sich im
Leibe auf der rechten Seite festsetzen. Sie sind grau-
grün und haben die Form von zirka 1 Zentimeter
großen Eierchen. Diese Klümpchen verstopfen die
Verdauungswege und verursachen Appetitlosigkeit,
Schmerzen und Koliken. Auch dieses Leiden ist mit
dem Glauben und Willen gesund zu werden, allein
nicht zu heilen. -Aber es gibt ein ganz einfaches
Mittel, welches mechanisch wirkt, d. h. wie ein Werk-
zeug angewandt wird und fast immer vollen Erfolg
gewährleistet. Dieses Mittel ist das Olivenöl, welches
im ganzen Süden, wo die Olive wächst, als Ersatz
für Butter zur Bereitung vieler Back- und Brat-
speisen sowie aller Salate benutzt wird. Daher kommt
es auch, daß die Gallensteinkrankheit in jenen süd-
lichen Ländern fast gar nicht vorkommt. Nimmt ein
.Gallensteinkranker em- bis zweimal eine halbe Tasse
Olivenöl ein, nachdem er vorher einen halben Tag
gefastet hat, fo löst dieses Ol die Gallensteine, also
das verhärtete Gallensteinfett, auf, und mit dem
Stuhlgang gehen alle Steine ab. Der Patient ist
innerhalb 24 Stunden kuriert. Benutzt man dann
weiterhin das Olivenöl als Salatöl, und zwar ziem-
lich reichlich angewandt, so tritt die Krankheit be-
stimmt nicht wieder auf. Gewissenlose Kurpfusche-
rinnen geben dieses einfache Hausmittel, meist mit
Kümmelsamen und Faulbaumrinde als Tee gekocht,
den Gallensteinleidenden und lassen sich für die Kur
bis zu 300 Francs bezahlen. Die Kranken müssen
das Mittel dann direkt bei der Kurpfuscherin ein-
nehmen, damit die Behörden das Beweismittel für
die unerhörte Bewucherung nicht in die Hände be-
kommen. In jeder Apotheke aber kann man diese
einfachen Mittel fiir wenige Francs kaufen.
Unregelmäßiger Stuhlgang und Appetitlosigkeit.
Beide Leiden treten meist zu gleicher Zeit aus. Als
Hausmittel braucht man vielfach Rizinusöl, das je-
doch nur warm und mit einem Schluck Kaffee hinter-
her genommen werden soll, um den schlechten Ge-
schmack zu verdecken. Tritt .die Stuhlverstopfung
öfter auf, so heißt es zunächst etwas fasten. Man ge-
wöhne ¿rottn den Magen an möglichst mit der Schale
genossenes Obst, Zitronensaft, Tomaten und Feigen.
Namentlich die Feigen sind blutbildend und bfiit-
reinigend und bewirken guten Stuhlgang. Der Ge-
nuß von viel derartigen! Obst, Gemüsen, besonders
Spinat und Salat, ist zugleich ein gutes Mittel
gegen Bleichsucht und Blutarmut.
Gegen Ohrenschmerzen dienen als gute
Hausmittel Leimwatte ins Ohr sowie Aufschläge mit
heißen trockenen Tüchern über Hals und Ohren.
Gegen Zahnschmerzen hilft meist sofort etwas
Watte mit kölnischem Wasser in die Nase gestopft
und bei zurückgelegtem Kopf die Nasenflügel zu-
sammengedrückt, so daß einige Tropfen in die Ober-
nase fließen.
Für die Gesundheit von sehr großer Bedeutung sind
zwei Gruppen von Substanzen, die Vitamine
und Lecithine. In rohem Obst, Tomaten, Zi-
tronen, Orangen, Möhren, Rettig und Radiesen,
Salaten, Milch, Butter usw. sind 'Stoffe enthalten,
die man Vitamine nennt (d. h. Lebensstoffe).
Viele Krankheiten, z. B. Scrophulose, englische Krank-
heit, Nervenleiden usw. entstehen nur infolge unge-
nügenden Gehalt unserer Nahrung an obigen Stoffen.
Durch Kochen werden die Vitamine zerstört, weshalb
diese Nahrungsmittel ungekocht genossen werden
sollten. Salate sollte man mit Zitronensaft statt
mit Essig zubereiten oder jedenfalls doch nur guten
Weinesig und keine chemisch hergestellte Essenz
nehmend Leute, welche wenig Fleisch, dagegen
viel von obigen Nahrungsstoffen genießen, bleiben
von der Gicht verschont.
Tie L e c i t h i n st o f f e befinden sich besonders
tut Eidotter und der Leber. Sie sind ein vorzügliches
Nährmittel für Nervöse und Rekonvaleszenten. Als
Ersatz für Lecithine kann nian den löslichen, milch-
sauren Glycerophosphorkalk verwenden, der messer-
spitzenweise in Wasser oder Milch eingenommen wird
und der ebenfalls bei vielen Leiden, z. B. Nervosi-
tät, nervösen Kopfschmerzen, Scro-
phulose, englischer Krankheit und allen
Schwächezuständen vorzügliche Dienste leistet, nimmt
man ihn einige Wochen lang regelmäßig.
Den Hausfrauen sei ans Herz gelegt, nur eisernes
oder Aluminiumgeschirr in der Küche zu verwenden.
Kupfer und Messing sind Gifte. Spuren davon gehen
in die Speisen über und greifen den Magen an.
Emaille ist ebenfalls in der Küche zu verwerfen, da
die kleinen Splitterchen zu den gefährlichsten und oft
tödlichen Blinddarmentzündungen fiihren können.
Über den Wert der Leibesübungen für Ge-
sundheit und Wohlbefinden ist man sich heute überall
einig. Jedoch nicht jeder Mensch kann Sport treiben,
turnen, Fußballspielen, schwimmen usw. Deshalb
sei hier auf eine kleine überaus einfache Übung auf-
merksam gemacht, die jeder in seiner Wohnung ohne
Mühe ausführen kann und welche bte gesamte
Körper Muskulatur stärkt, insbesondere aber
auch die Peristaltik (Darmbewegung) fördert. Jeden
Morgen soll man ohne Schuhe 6 bis 10 Minuten
lang auf den Fußspitzen gehen.
Es würde zu weit fiihren im Rahmen dieser kurzen
Abhandlung die zahlreichen Erfahrungen über Ge-
sundheitspflege und Hausmittel hier anzuführen.
Dieses soll einer weiteren Abhandlung im nächsten
Bergmannskalender überlassen bleiben. Heute galt's,
Mutlose zu ermutigen! —
153
Mutter und Kind.
Gestricktes Mäntelchen für ein l-r jähriges Kind.
Zu beut untenstehenden hübschen Modell sind etwa
2 Knäuel Wolle erforderlich. Man arbeitet mit 2 lan-
gen (Holz-)Stricknadeln. Der Mantel wird in 6 Teilen
Vorderteile: Wie aus dem Bild ersichtliche
sind Vorderteile und Ärmel schräg zusammengesetzt.
Man beginnt daher mit 2 Maschen und nimmt Reihe
für Reihe eine auf, bis man 12 hat. Dann werden
auf einmal 20 Maschen aufgenommen und weiter--
hergestellt, die später aneinan-
dergesetzt werden: der Rücken,
die beiden Vorderteile, der Kra-
gen und die beiden Ärmel.
Rücken: Man beginnt
mit 16 Maschen und nimmt
jedesmal ani Ende der
Nadel bei der drittletzten
Masche eine weitere auf, bis
man bei 64 Maschen pro Na-
del angelangt ist. Dann folgen
16 Reihen ohne aufzunehmen (evt. 6 vor- und 6 rück-
wärts). Die Taillenmitte zeigt 5 Spangen, um die
Gürtelschnur durchziehen zu können. Für den unteren
Abschluß 34 Reihen ohne Zugabe.
hin wird dann nur noch an
einer Seite zugegeben bis
zu 50 Maschen. Darauf schlägt
man acht Maschen auf
und macht 8 Reihen ohne
Zugabe. Taille und Unterteil
werden wie beim Rücken ge-
arbeitet.
Ä im ei und Kragen
werden, wie aus dem Bild
ersichtlich, angesetzt. Die Ärmel
zeigen unten einfache umgelegte Stulpen. — Der
Kragen kann sowohl offen wie auch mittels
Knopfschlingen und Knebel geschlossen getragen
werden.
Unsere Schulbuben und -Mädels.
Ein ernstes Wort an unsere Eltern
von einem Vater.
Von unseren ^.UOSchützen wollen wir hier nicht
reden. Das ist oft genug geschehen. Bei ihnen ist das
Wichtigste, dem Kinde Schule und Lehrer nicht vorher
als Schreckgespenst hinstellen, sondern in seiner Seele
freudiges Vertrauen erwecken, auch sein Selbstver-
trauen stärken, wenn es mit einer neuen Aufgabe
nicht gleich fertig wird. Und im übrigen, wenn man
ihm helfen will, Geduld und abermals
Geduld haben.
Jetzt aber handelt es sich um unsere älteren
Kinder. Alle Eltern wünschen, daß ihre Kinder es
einmal besser haben sollen, als sie selbst es haben. —
Und da fetzt nach 4 Jahren Einheitsschule, die alle
Kinder besuchen müssen, sie ohne weiteres in eine
höhere Schule aufgenommen werden, da es allent-
halben heißt: freie Bahn dem Tüchtigen, so ist es
nur zu natürlich, daß Mutter und Vater ihren Sohn,
aber auch ihr Töchterchen, wenn es die finanziellen
Verhältnisse nur eben gestatten, auf eine höhere Schule
schicken. Und wie stolz sind dann Bub und Mädel auf
die bunte M ü tz e.
Hier ist aber zunächst die wichtigste Überlegung:
können wir es durchhalten? — Es ist nicht das ver-
hältnismäßig geringe Schulgeld — es sind die langen
Jahre des Studiums, denen dann noch eine wahr-
scheinlich auch recht lange Zeit der unbesoldeten oder
gering besoldeten Berufstätigkeit folgt. — Die zweite
Frage: Hat unser Kind Neigung und Fähig-
keit zum Studium, oder weisen seine ganzen An-
lagen es auf einen praktischen Beruf hin?
Das soll natürlich nicht heißen, daß für letzteren eine
gute Schulbildung unnötig sei. Die frühere Gering-
schätzung des Handwerks ist ja gewichen. Gerade
die Nachkriegszeit hat gezeigt, wie lebensfähig und in
feiner Lebenshaltung dem Beamten und Büro-
angestellten weit überlegen das Handwerk ist. — Und
wenn wir uns die führenden Leute der großen Fach-
verbände ansehen, die Leute, die in ihrem Handwerk
wirklich etwas bedeuten, so werden wir unter ihnen
viele mit höherer Schulbildung entdecken. Aber eins
heißt es bedenken: nichts halbes tun! — Und
dann: wir leben in einer Übergangszeit. Unsere Schul-
jugend leidet körperlich und geistig noch unter den
Folgen unzureichender Ernährung und Pflege in der
Kriegs- und Nachkriegszeit. Die Anforderungen in
den vier unteren, manchmal auch noch überfüllten
154
Volksschulklassen können daher nicht so hoch sein,
wie sie für den beabsichtigten Schulwechsel sein
müßten. Und ein Kind, das demnach nach 4 Jahren
Volksschule in die nächste Volksschulklasse versetzt wird,
braucht darum noch nicht ohne weiteres den Anfor-
derungen der Sexta gewachsen zu sein, in die es nach
den gesetzlichen Bestimmungen ohne Prüfung
aufgenommen werden muß. — Wenn sich die Eltern
nicht diese Dinge eingehend klar machen, dann
müssen solch' traurige Folgen eintreten,
wie wir sie beispielsweise im Schuljahr 25/26 bei den
höheren Schulen erlebten: überfüllte Klassen, in denen
auch der beste Lehrer bei der 45 Minuten-Stunde
nicht jedem Schüler sich richtig widmen kann, mit
eine Anzahl von Schülern, die merken, daß sie nicht
mitkommen, wo möglich zu Hause deswegen von un-
gerechten Vorwürfen gequält, lernunlustig, verdrossen
sind; Klassen, die schließlich, um das gesteckte Ziel
nur in etwa zu erreichen, über 25% ihrer
Schüler ausscheiden müssen! —
Das dürfen wir im Interesse unserer Kinder nicht
wollen. Denn nichts ist schlimmer fürs künftige Le-
ben, als diese Halbheiten. Viel besser die vollständige
Volksschulbildung, zumal wenn später in Beruf noch
die Fortbildungsschule hinzukommt, als von Grund-
und höherer Schule nur die untere Hälfte, und
auch die noch unverdaut. — Und was von
den Jungen gilt, gilt auch von den Mädchen;
erade die so beliebte Laufbahn der Büroangestellten
edingt, wenn sie wirklich als „Kraft" anerkannt wer-
den will, mehr als nur die Grundschule und einen
möglichst kurzen „kaufmännischen Kursus" — bedingt
gründliche Schulung und dann noch eine mehrere
Jahre dauernde Lehrzeit, sollen nicht unsere Kinder
in Überangebot untergehen. — Vor allem aber darf
bei unseren Mädchen eins nichts vergessen werden,
und steht deshalb gerade dieser Aufsatz unter der Über-
schrift „Mutter und Kind": der doch in den meisten
Fällen gegebene endliche höchste weibliche Beruf: der
einer echten Hausmutter. —
Und nun noch eins, was man so häufig hört. Unser
Kind besucht eine höhere Schule; es hat gewisse
Schwierigkeiten, oder auch, es kommt eben mit: wie
soll ich thni helfen? — „Die fremde Sprache
kann ich nicht", sagt der Vater. — „Von der Gram-
matik und der Rechenmethode verstehe ich nichts", sagt
die Mutter. — Nun zunächst gilt eins; stete Füh-
lung mit dem Lehrer! — Nicht erst sich durchs Zeug-
nis überraschen lassen. Und dann: trotzdem können
wir ihm helfen: indem wir es an Ordnung und
Sauberkeit, an Pünktlichkeit und Gewissenhaftigkeit
und vor allem an aufmerksames Beobachten und folge-
richtiges Denken gewöhnen. Indem wir ihm Zeit und
Ruhe lassen zu seinen Arbeiten; indem wir strenge
darauf hallen, daß der kindliche, in der Entwicklung
begriffene Körper die nötige Nachtruhe hat (nichts ist
für ihn verderblicher als zu wenig Schlaf!), indem
wir vor allem unsere freie Zeit ihm widmen.
Kein Sonntagsausflug ohne unsere Kinder, das muß
uns oberstes Gesetz sein! — Allerdings kein Ausflug,
bei dem wir mit unseren Bekannten daher-
gehen, und die Kinder sich selbst über-
lassen sind, der schließlich im Wirtshaus endet, son-
dern bei dem wir nicht die Geduld ver-
lieren, einzugehen auf jede kindliche
Frage. — Liebe Mutter, bedenke einmal, wieviel
kindliches Vertrauen du zerstören kannst, wenn
bn nur ein paarmal die ungeduldige Antwort gibst:
„Laß mich in Ruh. Frag' nicht so dumm!" — Und
nimm dir mal die Zeit, wenn dein Kind dir etwas
erzählen will, es eingehend erzählen zu lassen. Achte
nur darauf, daß es klarverständlich und zusammen-
hängend spricht! — Und lies ihm vor oder laß dir
vorlesen! Der Bergmannskalender eignet sich vor-
trefflich dazu. Und laß dir nachher erzählen, was es
von dem Vorgelesenen behalten hat. Ihr werdet
sehen, liebe Eltern, wie sein Geist dadurch geschult
wird und fähig, den Anforderungen der Schule nach-
zukommen.
Fig. 1 bis 5 zu nebenstehendem Artikel: Das Werden der Lampe.
33 ostiere de.
wie fertige ich mir eine schöne elektrische Tischlampe?
Von Onkel Nikolaus.
Eine schöne elektrische Tischlampe, die sowohl für
den selbstgebauten Schreibtisch eine Zierde ist, als
auch mit abgenommenem Schirm als Handlampe bei
der Arbeit im Umkreis ihrer Kontaktschnur Verwen-
dung finden kann, endlich aber mit Schirm auch ele-
gant genug ist, den Kaffeetisch in Mutters guten
Stube zu zieren, so etwas zu fertigen wäre wohl
ein Verlangen jedes Bastlers. Da will ich heute
mal erzählen, wie ich mir eine solche gebaut habe,
die trotz ihrer billigen Herstellung Gegenstand der
Bewunderung aller meiner Besucher ist.
Ein echter Bastler wirft nichts weg, im Gegenteil,
er durchsucht gern noch die Rumpelkammer seiner
Bekannten, die für ihn immer wieder eine Fundgrube
von Schätzen darstellt. So hatte ich denn auch eine
alte ausgediente Fahrradpumpe (Fig. 1) da stehen,
die ich auseinander geschraubt hatte, um zu sehen,
ob und wie ich die einzelnen Teile mal brauchen
könnte. Jetzt kam sie mir zu Paß. — Ich nahm
von ihr lediglich das P u m p e n r o h r, die durch-
bohrte Verschlußkappe, durch die früher ein-
mal die Kolbenstange auf- und abgegangen war, und
die K o l b e n s ch e i b e selbst, die in ihrer Mitte
ebenfalls ein Loch zeigte, worin einmal die Kolben-
stange eingeschraubt gewesen. (Fig. II, a. b- c.) Dann
suchte ich mir noch einen alten Deckel von einem
Marmeladeeimer, der, aus star-
kem, schönen, gelben Blech, mir
den richtigen Durchmesser und die
nötige Höhe für das Fußpodest
meiner Lampe zu bieten schien,
und dann konnte die Arbeit be-
ginnen.
In die Mitte des Deckels schnitt
ich ein Loch, dessen Durchmesser
ich gerade so groß ausfeilte, daß
das Pumpenrohr sich hindurch-
schieben ließ (Fig. III).
Auf dessen oberes Ende schraubte
ich die Verschlußkappe (II b) wie-
der auf, in das andere Ende feilte
ich einen Einschnitt, um später
die durch das Rohr zu führende
Kontaktschnur seitlich austreten
lassen zu können. Das Pumpen-
rohr wurde dann mit diesen:
Ende so in den Deckel hineingeschoben, daß es an der
Innenseite ein Stück herausragte, ohne beim Stehen
zu hindern, und so festgelötet. An der dem Einschnitt
in dem Rohr entsprechenden Stelle feilte ich in den
Deckelrand ein Loch, durch das ich eine kleine Röhre
steckte, die in dem Einschnitt des großen Rohres an-
gelötet, der Leitungslitze als Führung dienen sollte.
(Fig. IV u. V.)
Aus die Kappe b, die nunmehr die Spitze des Ge-
stells bildet, lötete ich eine der bekannten Messing-
tüllen, in die dann eine Lampenfassung geschraubt
wurde. Beide hatte ich noch von alten weggeworfenen
Lampen vorrätig, sonst kann man sie für ein paar
Pfennige bei einem Installateur kaufen, wo man ja
sowieso Leitungsschnur mit Steckkontakt sowie die
Birne kaufen muß. Nun war die Lampe im Rohbau
fertig (Abb. VI). Damit sie nicht so leicht wackle,
befestigte ich ein paar Stückchen Blei mit Schräubchen
unter dem Deckel.
Gleichfalls kaufte ich mir in dem Lampengeschäft
das Drahtgestell für den Schirm. Der Bügel, der
es trägt, hat genau den Durchmesser der Normal-
fassung und wird durch die Porzellantülle festgehal-
ten. Hat man genügend guten Draht vorrätig —
ich hatte meinen gerade anderweitig verbraucht —
so kann man sich auch selbst an die Herstellung des
Gestells begeben. Modelle dafür
gibt es ja genug.
Den Schirm kann man aus
alten Seiden- oder Spitzenresten
fertigen. Ich selbst legte einfach
ein dünnes buntes Seidentuch,
das ich bei einem Ausverkauf
billig erstand, darüber, an dessen
vier Ecken ich eine längliche Glas-
perle annähte. Oben in der
Mitte wurde die Decke mit einem
Seidenbändchen abgebunden. Das
machte sich sehr hübsch, war bil-
lig und leicht auszuwechseln.
Endlich wurde die ganze Lampe
schön rein gescheuert und mit
Kupferbronzelack lackiert, und kein
Mensch sieht ihr mehr ihre Her-
kunft an.
Fig. 6. Die fertige Lampe.
156
Die Regierungskommission des Saargebietes.
Stehend: Herr VezenSky. Herr Morize.
Sitzend: Herr Lambert. Herr Präsident Stephens. Herr Koßmann.
Organisation der IRegierungshommiiîion des Saargebietes.
G. W. Stephens, britisch-kanadisches Mitglied und
Präsident der Regierungskommission;
Koßmann, saarländisches Mitglied der Regierungs-
kommission;
Lambert, belgisches Mitglied der Regierungskom-
mission ;
Morize, französisches Mitglied der Regierungs-
kommission;
Dr. Vezensky, tschekoflowakisches Mitglied der
Regierungskommission.
Privatsekretariat des Präsidenten:
Captain Mellor, Chef des Privatsekretariats.
Generalsekretariat der Regierungskommission und
Ministerialabteilung für Auswärtige Angelegenheiten:
P i e r r o t e t, Generalsekretär der Regierungs-
kommission; Lorand, Kabinettsches des General-
sekretärs.
Ministerialabteilung des Innern:
(Stephens, Mitglied und Präsident
der Regierungskommission.)
Direktion des Innern:
Heimburger, Ministerialdirektor; Dr. H e i m,
Oberregierungsrat; Cu stör, Oberregierungsrat; Dr.
Hauviller, Leiter der Presseabteilung; Klop-
pe n b u r g, Regierungsrat.
B e r w a l t u n g s a u s s ch u ß:
Dr. S ch l o d 1 m a n n, Oberregierungsrat; 51 n i p -
per, Oberregierungsrat; Barth, Regierungsrat.
Abteilung für Polizei - und Berkehrs-
wesen:
F a b i g n i, Leiter der Abteilung für Verkehrs-
wesen.
157
Ministerialabteilung für Volkswohlfahrt,
Gesundheitswesen, Landwirtschaft und Forsten:
(K o ß m a n n, Mitglied der Regierungskommission.)
Di-. Obe, Ministerialdirektor: Glaser, Ober-
regierungsrat; Recktenwald, Oberregierungsrat;
Dr. Schüler, Leiter der Abteilung Landwirtschaft:
Dr. Finkenbrink, Dezernent des Veterinär-
wesens.
Ministerialabteilung Arbeitsamt:
<K oßma n n, Mitglied der Regierungskommission.)
F u h r m a n n, Ministerialdirektor.
Ministerialabteilung für Sozialversicherung:
(K o ß m a n n, Mitglied der Regierungskommission.)
Di'. Thisse n, Ministerialdirektor.
Ministerialabteilung für Öffentliche Arbeiten,
Eisenbahn, Post und Telegraphen:
(L a m bert, Mitglied der Regierungskommission.)
Courtilet, Ministerialdirektor; C e n t n e r,
Technischer Direktor; L e i b r a n d t, Vorstand des
Verwaltungsamtes; Hausmann, Ministerialrat;
Förster, Ministerialrat; Karges, Oberregie-
ruugsrat.
Ministerialabteilung für Finanzen, wirtschaftliche
Angelegenheiten und Oberbergamt:
(M o r i z e, Aiitglied der Regierungskommission.)
Markiere, Kabinettschef des Ministers.
D a v o i n e, Generalfinanzkontrolleur; Geh. Rat
Du. Brill, Direktor der Finanzen; Du. N e n t w i g,
Ministerialdirektor für direkte und indirekte Steuern.
L a b i e, Ministerialdirektor für die wirtschaftlichen
Angelegenheiten.
N., Berghauptman;
G r a r d, stellvertretender Berghauplmann.
Ministerialabteilung für Justiz, Kultus u. Schulwesen:
(Du. B e z e n s k y, Mitglied der Regierungs-
kommission.)
Du P a s g u i e r, Kabinettschef des Ministers.
Bequer, Ministerialdirektor (Justiz); Du. Not-
t o n, Ministerialdirektor (Kultus u. Schulwesen);
Du. C o l l i n g, Ministerialrat; L i ch t h a r d, Ober-
regierungsrat; Kirsch es ch, Regierungsrat; Zim-
m e r, Regierungsrat; Conrad, Regierungsrat;
M a r t i n, Regierungs- u. Gewerbeschulrat; L i e l l,
I Schulrat: T r e i tz, Schulrat.
Der Saarbrücker Sergbau. --
Oberbergamt Saarbrücken.
Büro: ^obenzollernftraßc 62. - Telefon: lir. 626, 627.
Berghauptmann: (Stelle zurzeit frei.)
Ständiger Stellvertreter des Berghauptm.: Grard.
Mitglied des Oberbergamts: Du. Neibecker.
Technischer Hilfsarbeiter und stellvertr. Mitglied des
Oberbergamtes; Diplom. Ing. Leidolf.
Oberbergamtsmarkscheider: Rausch, Bergrat.
Oberbergamtsrendant: Meiser Peter, Reg.-Rat.
Oberbergamtssekretär: M a u r h.
Oberbergamtssekretär: M a r ch a l.
Bergreviere.
Büro: fjoljenzollernitraße 62. — Telefon: Br. 626.
Bergrevier Nr. 1.
Berginspektion VIII, Grube Mittelbexbach,
Wellesweiler und Grube Frankenholz.
^ Bergrevierbeamter: Moser, Bergrat, Großherzog-
Friedrichstraße 109; Einfahrer: Ziegler; Berg-
reviersekretär: Fuchs.
Bergrevier Nr. 2.
Berginspektion VI, Grube Maybach
der Inspektion IX.
Bergrevierbeamter: K i r st, Bergrat, Nauwieser-
straße 39; Einfahrer: Gundlach; Bergrevier-
sekretär: Müller.
Bergrevicr Nr. 3.
Berginspektion VII, Grube Helene
der Inspektion IX.
Bergrevierbeamter: Herb, Bergrat, Roonstraße 6;
Einfahrer: Schröder; Bergreviersekretär: H u m-
lii c l (siehe auch Bergrevier Nr. 6).
Bergrevicr Nr. 4.
Berginspektion V, Grube St. Ingbert.
Bergrevierbeamter: Kern, Bergrat, Triererstraße
24; Einfahrer: Warth; Bergreviersekretär: Koch
(siehe auch Bergrevier Nr. 5).
Bergrevier Nr. 5.
Berginspektion IV, Berginspektion XI.
Bergrevierbeamter: Groß, Bergrat, Mainzerstraße
90; Einfahrer: Läm inert; Bergreviersekretär:
K o ch (siehe auch Bergrevier Nr. 4).
158
Bergrevier Nr. 6.
Berginspektion III, Berginspektion X,
Berginspektion XII, Grube Hostenbach.
Bergrevierbeamter: Frömqen, Bergmeister,. Ka-
mekenstraße 15; Einfahrer: Wolfanger; Berg-
reviersekretär: Hummel (siehe auch Bergrevier
Nr. 3).
Bergrcvier Nr. 7.
Berginspektion I, Berginspektion II, Kraft- und
Wasserwerke, Brikettierung, Hasenamt, Lager
und Zentralwerkstätte, Bergfaktorei.
Bergrevierbeamter: Winter scheid, Bergrat,
Mainzerstraße 94; Einfahrer:...........; Bergrevier-
sekretär: Meiser W.
Knappschafts-Ober-Versicherungsamt Saarbrücken.
Vorsitzender: Berghauptmann...........
Direktor: Dr. Neibecker.
Mitglieder:
Landgerichtsdirektor Prüfner.
Landgerichtsdirektor On. M e s f i n g e r, als Stellvertreter.
Sekretär: Regierungs-Obersekretär Klaus.
Statistik über -en Saarbergbau.
A. Kohlenförderung und Koksproduktion.
1925 Netto-Kohlenförderung Koks- produkrion
Gruben ber Administration des Mines Domaniales Françaises de la Sarre - Verpachtete Gruben Gesamt- . Netto- Förderung
Januar 1 182 023 t 38 071 t 1 220 094 t 24 491 t
Februar 1 092 948 t 34 500 t 1 127 448 t 22 255 t
März 1 204 046 t 35 855 t 1 239 901 t 24 692 t
April 1 064 626 t 36 511 t 1 101 137 t 23 962 t
Mai 1 053 297 t 33 462 t 1 086 759 t 25 280 t
Juni 999 161 t 32 101 t 1 031 262 t 24 672 t
Juli 565 705 t 15 153 t 580 858 t 15 080 t
August 999857 t 28 802 t 1 028 659 t 20 445 t
September 1 104 431 t 33 222 t 1 137 653 t 20 965 t
Oktober 1 189 855 t 35 616 t 1 224 971 t 22 794 t
November 1 055 581 t 33 876 t 1 089 457 t 23 168 t
Dezember 1 086 086 t 35 564 t 1 121 650 t 24 548 t
Summe 1925 12 597 116 t 392 733 t 12 989 849 t 272 352 t
1926
Januar 1 079 227 t 33 431 t 1 112 658 t 22 249 t
Februar 1 070 529 t 31 543 t 1 102 072 t 19 400 t
März 1 232 417 t 34 460 t 1 266 877 t 21 588 t
159
B. Zahl der eingeschriebenen
Arbeiter
(ohne verp. Gruben).
Stichtag Arbeiter unter Tage Arbeiter über Tage Zu. sammen
Ende Dezember 1924 54 069 17 938 72 007
„ März 1925 53 795 17 833 71628
„ Juni 52 616 17 882 70 498
„ September „ 51 564 17 857 69 421
„ Dezember 51896 17 878 69 774
. März 1926 51 613 18 022 69 635
C. Löhne der Bergarbeiter.
Schichtlöhne für eine wirklich verfahrene Schicht (einschließlich
Knappschaftsbeiträge).
Zeitraum für Vollhauer unter Tage im Gedinge für die Arbeiter unter Tage für sämtliche Arbeiter unter und über Tage (einschließlich Nebenbetriebe)
1. ohne Frauenzulage und Kindergeld:
I. Vierteljahr 1925 . 27,16 Frs. 24,48 Frs. 23,43 Frs.
II. „ „ 27,06 24,53 „ 23,52 „
III. „ 28,10 „ 25,54 „ 24,44 „
IV. „ 29,60 .. 26,76 25,58 „
I. „ 1926 . 31,07 „ 28,03 „ 26,77 ..
2. einschl. Frauenzulage und Kindergeld:
I. Vierteljahr 1925 . 30,96 Frs. 27,45 Frs. 26,29 Frs.
II. „ 30,78 „ 27,43 „ 26,31 „
Hl. n ,, 31,86 „ 28,48 „ 27,25 „
IV. 33,33 „ 29,68 , 28,39 ,
I. „ 1926 . 34,82 30,97 „ 29,60 „
Das endgültige Ergebnis der Generalzählung vom 1. Dezember
1925 kann erst im nächsten Kalender veröffentlicht werden.
I). Unfallstatistik.
- I. Oberbergamt Saarbrücken.
Zahl der tödlichen Unfälle unter und über Tage
nach der Zeitschrift für das Berg-Hütten und Salinenwesen
und dem Jahresbericht der Bergbehörde für das Saargebiet
Jahr Zahl der durch- schiniw lichen Beleg- schaft unter und über Tage Gesamt- zahl der tödl. Unfälle unter und über Tage Zahl der verfahrenen Schichten, unter und Über Tage Zahl der tödl. Unfälle pro 1006 Mann und Pro Jahr, unter und über Tage Zahl der tödl. Unfälle auf I Million Schichten unter und über Tage Be- mer- kungen
1908 56 191 79 16 487 990 1,405 4,796
1909 58 286 74 16 753 635 1,267 4,416
1910 59 098 57 16 771 762 0,965 3,398
1911 58 439 66 16 857 698 1,129 3,915
1912 55 410 74 16 819 994 1,335 4,399
1913 56 271 59 17 368 173 1,049 3,397
1914 45 488 50 13 881 318 1,099 3,601
1915 35 242 59 11 374193 1,674 5,187
1916 38 217 61 12 280 400 1,595 4,967
1917 46 546 115 15 033 945 2,470 7,649
1918 51915 112 16 084 791 2,157 6,963
1919 53 616 72 15 928 317 1,241 4,520
1920 68 820 74 18 950 801 1,07 3,904
1921 73 288 59 18 560 154 0,804 3,178
1922 72 713 61 18 670 490 0,835 3,268
1923 73 749 47 14 581 603 0,846 3,208
1924 72 404 68 21 744 828 0,938 3,128
1925 71562 63 20 739 965 0,875 3,036
II. Oberbergamt Dortmund
(Steinkohlenbergbau).
Zahl der tödlichen Unfälle unter und über Tage
nach der Zeitschrift für das Berg-Hütlen und-Salinenwesen.
Jahr Zahl der durch- schnitt- lichen Beleg- schaft unter und über Tage Gesamt- zahl der tödl. Unfälle unter und über Tage Zahl der verfahrenen Schichten, unter und über Tage Zahl der tobt. Unfälle pro 1000 Mann und Pro Jahr, unter und über Tage Zahl der tödl Unfälle auf l Million Schichten unter und über Tage Be- mer- kungen
1908 334 733 1095 100 752 068 3,271 10,868
1909 340 567 774 99 345 297 2,273 7,791
1910 345 136 775 101 762 082 2,245 7,615
1911 352 555 786 105 232 683 2,229 7,469
1912 361 151 1053 113 489 931 2,916 9,278
1913 .394 569 1042 125 322 472 2,641 8,314
1914 370 202 971 112 826 204 2,623 8,606
1915 284 386 960 93 632 793 3,376 10,252
1916 304 325 1182 100 972 065 3,884 11,706
1917 .335 448 1503 108 409 343 4.481 13,854
1918 335 251 1375 105 152 694 4,101 11,279
1919 383 829 1078 109 874 495 2,809 10,048
1920 452 181 1144 145 897 139 2,530 7,804
1921 500 703 1100 156 024 688 2,197 7,050
1922 507 904 1056 159 342 911 2,079 6,627 1923:
1923 513 774 655 — 1,265 — Passiver
1924 378 600 860 112 998 289 2,27 9,5 Wider- stand.
1925 — 1078 — 2,84 l) —
») Mitteilung des Oberbergamtes Dortmund (Saarbrücker Zeitung vom 2t. Marz 1926).
OBERBERGAMT DORTMUND
---- 4.4g
Zahl der ¿¿d/ichen
unter und vier Tage
Verunpluchunpen
jvf WWAsaimje Jahr
L.84-
r.s>
2 bZ
L.27
a.37
1.26
OBERBERGAMT SAARBRÜCKEN
Zahl der tödlichen Verunptuchinp en
unter und hier Tape auf Idßd Hann je Jahr
Vergleich der Zahl der tödlichen Unfälle im Saarbrücker nnd im Dortmunder Bezirk.
- 160 E
Société LECQ & CIE
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161
Eine Sitzung des Verwaltungsrats der Saargruben.
Von links nach rechts
Stehend : Herr Soubirou-Pouey ; Herr Defline ; Herr Stouvenot ; Herr Posey ;
sitzend: Herr Coyne; Herr Chesneau ; Herr Arthur Fontaine, Präsident; Herr Mauclere; Herr L. Morin; Herr Gomot;
Herr P. Gauthier ; Herr Piequenard.
Administration des Mines Domaniales Françaises
du Bassin de la Sarre.
Conseil provisoire.
(Vorläufiger Verwaltungsrat.)
Präsident:
Arthur
Mines.
Fontaine, Inspecteur Général
Mitglieder :
Guiilaum e, Conseiller d'Etat, Directeur
Mines au Ministère des Travaux Publics.
des
des
Mau cl ère, Contrôleur Général de l’Armée.
Chesneau, Inspecteur Général des Mines, Di-
recteur de l’Ecole Nationale Supérieure des Mines.
Paul Gauthier, Ministre plénipotentiaire.
C o ÿ n e, Directeur Adjoiut du Budget et du Con-
trôle Financier au Ministère des Finances.
Schwob, Conseiller d’Etat. Directeur Général
des Chemins de Fer.
Léon Delamarche, Inspecteur Général du Cré-
dit, Ministère du Commerce.
Picquenard, Directeur du Travail.
A. Dreux, Président de la Société des Aciéries
de Longwy.
P e t s c h e, Administrateur-Délégué de la Com-
pagnie Parisienne de Distribution d’Electricité.
Léon Morin, Directeur Général des Mines de
Liévin.
de Peyerimhoff, Administrateur de la So-
ciété des Mines de Houille de Blancy, Président du
Comité des Houillères.
Go mot, Membre du Conseil d’Administration
de la Caisse Autonome des Retraites des Ouvriers-
Mineurs.
R o s s y, Secrétaire Général du Syndicat Ouvrier
des Mineurs d’Anzin.
Stouvenot, Ingénieur en Chef des Mines, Se-
crétaire du Conseil d’Administration.
Soubirou-Pouey, Inspecteur des Finances,
Contrôleur Financier.
M. Robin, Chef du Bureau de Paris.
Direction Générale zu Saarbrücken.
Defline, Directeur Général des Mines de la
Sarre.
Zusammengefasste Aufstellung
der dem General-Direktor unterstellten Abteilungen:
A. Cabinet du Directeur Général et Service du Per-
sonnel :
R a o u x. Chef de Service.
U
162
B. Direction des Services Techniques :
Paul Sainte Claire Deville, Di-
recteur.
C. Secrétariat Général Administratif :
Marguery, Secrétaire Général.
D. Service Commercial :
S a i 11 a r d H., Chef de Service.
E. Service Financier:
Henry, Caissier-Général.
F. Service des Approvisionnements :
Lequette, Ingénieur en Chef.
A. Cabinet du Direoteur Général et
Service du Personnel.
Raoux, Chef de Service.
Section du Cabinet et Courrier: Huvé, Chef de Sec-
tion. — Bonardot, Fuchs.
Section d/u Personnel Français: Denert, Chef de
Section. — Jacquemin, Jaffrin, Brunig, Louis, Mayer.
Section du Personnel Allemand: Normandin, Chef
de Section. — Plantey, P as tant. — Stutz, Ober-
sekretâr.
B. Direction des Services Techniques.
Sainte Claire Deville, Directeur.
I. Affaires Générales de la Direction.
Massing, Ingénieur Principal, Chef de Service.
Martin Fabre, Roy, Ingénieurs Divisionnaires. —
Delaygue, Boucher, Adjoints. — Gratreau, Guelaud,
Frey, Wack, Secrétaires. — Brost, Inspektor.
Bureau des Géomètres et Bureau des Dommages :
Schlicker, Obermarkscheider. — Weiss, Gilcher,
Schorr, Vermessungstechniker. — Fritsch, Adjoint.
— Braun, Inspektionsmârkscheider.
II. Groupe d’Inspections Ouest.
Riollot, Ingénieur en Chef.
Siviard, Chef du Bureau des Etudes du Fond.
Midoux, Fribourg, Dupré, Frieden, secrétaires.
- Service du Jour du Groupe Ouest.
Division des Lavoirs zu Louisenthal:
Queval, Ingénieur Divisionnaire.
Baueher J-, Ingénieur. — Machard, Louvat, Secré-
taires. — R au G., Obermaschinensteiger. -— Thirn-
mel P., Techniker.
Chefs de Lavoirs: Dick F. (Duhamel — Insp. I).
— Vandernoth (Griesborn Insp. I), Kuhn (Louisen-
thal — Insp. II), Kasel und Mayer F. (Amelung —
Insp. III), Mayer G. (Velsen — Insp. XII), Köhler
(Hostenbach — Insp. XII).
Division de l’Entretien et des Ateliers zu Louisenthal :
Standart, Ingénieur Divisionnaire.
Gros, Grauvogel, Ehlers, Weiss R., Ingénieurs. —
Guerre, Contrôleur. — Voltz, Dessinateur. — Tisch-
macher, Herrmann Félix, Secrétaires. — Lache, In-
genieur. — Drumm, Gebhard, Kerber, Korn-Kleber,
Süsskind, Techniker. — Helms, weibl. Angestellte.
(Service Central).
Reuter, Chef d'Atelier. — Lintz, Chef-comptable.
— Maier, Obermaschinensteiger. — Ohligsclilaeger,
Stern, Maschinensteiger. — Plank, Rech, Techniker.
— Franz, Herrmann, Schäfer, Secrétaires. — (Ate-
lier Central Louisenthal.)
Wagner, Maschinen Werkmeister. — Bar. Maschi-
nensteiger. — (Insp. I — Div. Duhamel.) Wilhelm,
Maschinenwerkmeister. — Altmeyer, Germann, Gö-
dicke, Hafner, Heinrich, Simon, Weiss, Maschinen-
steiger (Insp. I). — Sehlarb, Maschinen Werkmeister.
— Du chêne, Grösser, Losch, Meyer, Rixecker, Wen-
neis. Maschinensteiger. — (Insp. II — Louisenthal.)
Liebig Maschinenwerkmeister. — Barth, Bayer,
Klinkner, Müller, Rüg, Maschinensteiger. — Meyer,
Techniker. — Duchêne, Secrétaire. — (Insp. II —
Victoria.) — Mahlberg, Maschinensteiger. — (Insp.
II — Clarenthal.) — Knerr, Maschinen Werkmeister.
— Bach, Krier, Reuther, Scherer, Schuss, Maschinen-
steiger. — Schmidt, Sekretär. — (Insp. III — Ame-
lung-Steinbach.) — Reinstadler, Maschinen Werk-
meister. — Dilk, Folz, Neumeyer, Rentier, Maschi-
nensteiger. — Rentier, Steffen, Sekretäre. — (Insp.
XII — Velsen.) Klinkner, Obermaschinensteiger. —
(Insp. XII —» Hostenbach.)
Division des Bâtiments zu Fenne:
Hackspill, Ingénieur Divisionnaire.
Hitzel, Secrétaire.
Employés techniques: Desgranges. Franz, Lenz.
Pitz, Werner, Bausteiger. — Reinhardt, Bautech-
niker. — Gottfried, Peter, Hilfstechniker.
Employés de bureau: Sehn, Venitz, Sekretäre. —
Kuhn, Vermessungszeichner.
Inspektion I zu Ensdorf.
Telephon : Amt Saarlouis 394.
Bertagna, Ingénieur Principal.
Vercasson, Vérificateur. — Weiller, Dörr, Secré-
taires. — Lemaire, Chef-garde. — Gross, Garde.
Employés techniques: Spang, Inspektionsmark-
scheider. — Schmeer, Bausteiger. — Geier, Bautech-
niker. — Fontaine, Oekonomiesteiger. — Luxen-
burger, Peter, Vermessungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Riegler, In-
spektionskassierer. — Luxemburger Nik., Mosch,
Pohl. Ober-Sekretäre. — Gerloff, Pitz, Sekretäre. —
Jennwein, Vermessungszeichner. — Jennewein,
Thones, Gruben Wächter.
Division Griesborn.
Regnier, Ingénieur Divisionnaire.
Jungblut, Ingénieur. — Lefebvre, Chef-comptable.
— Wickert, Chef du mouvement. — Lidy, Secrétaire.
Employés techniques: Schild, Obersteiger. — Roth,
Scherer, Wilhelm Jak., Fahrsteiger. — Kreis, Ma-
schinensteiger. — Backes, Becker Joh.. Brose. Coch-
lovius. Dörr Friedr., Gerhold, Hennig, Herges,
Hinterthan, Leseh, Lessei, Michler, Rink, Rupp,
Schwarz, Schwinn Joh., Schwinn Michel, Simon,
Spies, Strauss, Süss, Vocke, Vierig, Wilhelm Friedr.,
Wilhelm Joh., Steiger. — Foss, Wagner, Tage-
steiger. — Schlichter, Kohlenexpedient. — Luxem-
burger Michel, Vermessungsassistent. — Dörr Peter,
Kohlenmesser.
Comptables et employés de bureau: Kollmann,
Obersekretär. — André Georg, Faust, Ganster. Moli-
tor, Pohl Andreas, Schmitt, Sekretäre. — Becker,
Vermessungszeichner.
Division Duhamel.
Telephon : Amt Saarlouis 352.
Viaud, Ingénieur Divisionnaire.
Robert, Ingénieur. — Finance, Chef-comptable. —
Aubertin, Chef du mouvement. — Metzier, Secrétaire.
163
Employés techniques: Brill, Obersteiger. — André
Math., Fahrsteiger. — Meissner, Maschinensteiger.
— André Jakob, Becker Heinrich, Funck. Gogowsky,
Harbusch, Kühn, Kümmel, Müller Job., Müller Peter,
Philippi, Homburg, Stürmer, Strohm, Wallwiener,
Steiger.
Comptables et employés de bureau: Philipp!,
Schulz, Urig, Sekretäre.
Inspektion II zn Louisenthal.
Telephon :
Louisenthal: Amt Saarbrücken 1360, 2544, 2722.
Amt Völklingen 10.
Viktoria: Völklingen 61.
L. Eicher, Ingénieur Principal.
Guichard, Vérificateur. — J. Beck, Secrétaire. —
0. Façon, Porion-contrôleur. — Kappel, Chef-garde.
— Ritter, Garde. — Bender, Chef de musique.
Employés techniques: Heiss, Inspektionsmark-
scheider. — F scher, Fahrsteiger. — Mahlberg, Oeko-
nomieverwalter. — Krämer, Kohlenexpedient. —
Gräber, Lembert, Müller, Grubensteiger. — Becker
Friedr., Klein H., Koppe, Zimmer Peter, Kohlen-
messer.
Comptables et employés de bureau: König, Inspek-
tionskassierer. — Venitz, Inspektor. Gérard,
Kelter, Sartorius, Wilhelm, Ober Sekretäre. — Alt-
mayer, Becker Karl; Dierstein, Hamm, Hoffmann,
Käufer, Litwinechuh, Muttzall, Ninnig, Poller, Him-
bach, Schäfer Phil., Schmidt Eich., Stötzer, Sekre-
täre. — Blum, Busch. Kühn, Lauser, Zinsmeister,
Grubenwächter. — Zinke, Pförtner. — Knischewski,
Schlafhausmeister.
Division Viktoria.
Boileau, Ingénieur Divisionnaire.
Julliard, Chomette. Ingénieurs (siège Victoria-
Ouest). — Lemoine. Danhiez, Ingénieurs (siège Vic-
toria-Est). — Baudin Ant., Chef-comptable. — Min-
ker, Secrétaire. — Dannequin, Chef du mouvement.
— K. Façon, Surveillant technique.
Employés techniques : König, Grubenmarkscheider.
— Schumann, Obersteiger. — Baltes, Dreyer,
Krämer, Lorang, Scherer, Schmidt, Fahrsteiger. —
Adam, Altmayer, Baumeister, Biehl, Blatter, Brust,
Feuerstoss, Giring, Glinka, Grewenig, Gross 3,
Herges, Himmelmann, Kläs, Klein Peter, Knoblauch,
Kunkel. Lauer, Maas, Meyer, Michaely, Pillong, Pohl,
Römer, Sander, Schäfer, Schmeer, Schneider, Schnur,
Schröer, Schüler, Schuster, Schwarz, Thiel, Thurner,
Veauthier, Viemeister, Wagner Heinr., Zimmer Albr.,
Zimmer Thomas, Grubensteiger. — Wahlmann, Bau-
steiger. — Jahne. Kohlenexpedient. — Eisenbeiss
Sehwinn, Tagesteiger. — Eich, Verm.-Assist., B réu-
ni g. Wegewärter. — Altmeyer, Kohlenmesser.
Comptables et employés de bureau: Zehner, Ober-
sekretär. — Augustin, Brunder. Eberhardt, Himbert,
Konrad (Kapellmeister), Mann. Ney, Wackermann,
Sekretäre. — Grewenig, Zimmermann, Vermessungs-
zeichner.
Division Louisenthal.
A. Rouget, Ingénieur Divisionnaire.
Robin, Ingénieur (siège Rudolf). — Forquin, Ingé-
nieur (siège Josepha). — F. Baudin, Chef-comptable.
— Stern, Secrétaire. — Bernert, Chef du mouvement.
Employés techniques: Cave, Grubenmarkscheider.
— Brück, Kohl, Obersteiger. — André, Ehrhardt,
Guillaume, Liebergail, Reinhard, Fahrsteiger. -—
Adams, Bohnencamp, Büch, Ditzler Adolf, Eisenbeis,
Hailauer, Herrmann, llubig Ludwig, Ilubig Phil.,
Keil, Kessler, König, Krämer, Krancher, Kurz, Ney,
Rimbach, Scharf Julius, Scharf Wilh., Schulz, Wag-
ner 2 Karl, Zirbes, Grubensteiger. — Rau, Bau-
steiger. — Osburg, Tagesteiger. — Geisbauer, Verm.-
Assistent. — Bach, Hilfstechniker.
Comptables et employés de bureau: Henschel,
Seeck, Obersekretäre. — Ficker, Steiger. — Albert,
Görgen, Herrmann, Meyer, Scherer, Sekretäre.
Division Clarenthal.
A. Rossenbeck, Ingénieur Divisionnaire.
Coué, Secrétaire.
Employés techniques: Ditzler Heinr., Obersteiger.
— Bauer, Cano, Domanowsky, Eberhardt, Koch,
Meiser, Peters, Schett, Schütz, Sewald, Szymanski,
Grubensteiger. — Gilcher, Vermessungszeichner. —
Comptable et employé de bureau: Buchmann,
Sekretär.
Inspektion III Von der Heydt.
Telephon: Amt Saarbrücken 2814.
Seibel, Ingénieur Principal.
Bataille, Vérificateur. — Gueny, Secrétaire. — Mar-
tin, Chef du mouvement. — Mary, Chef-garde. — Gix,
Philipps, Gardes.
Employés techniques: GÖbeler, Inspektionsmark-
scheider. — Bauer, Oekonomiesteiger. — Kläser,
Bausteiger. — Altpeter, Vermessungsassistent. -—
Blume, Geier, Vermessungszeichner. — Dewes,
Kohlenexpedient. — Gross, Sehampel, Tagesteiger. —
Erlenbruek, Verladesteiger.
Comptables et employés de bureau: Enderlein, In-
spektion skassierer. — Bienko, Inspektor. — Schwarz,
Obersekretär. — Bläs, Feld Karl, Feld Ludw., Go-
thier, Kunz, Schmidt Karl, Schneider Otto, Sekretäre.
— Wein, Kohlenverkäufer. — Duschstein, Kapell-
meister. — Nussbaum, Kohlenmesser. — Sander,
Amtsdiener. — Stinsky, Schlafhausmeister.
Division Sieinbach.
Gillet, Ingénieur Divisionnaire.
Mesnil, Ingénieur. — Männlein, Chef-comptable.
Employés techniq ues : Meyer, Obersteiger. — Bost,
Kamp. Peter, Fahrsteiger. — Biehl, Blumenauer,
Büch, Veit, Funck, Hermann Alois, Heuerhoff, Hopp-
städter, Huppert, Jung, Junker, Lauer, Linke, Mül-
ler Georg, Paulus, Puhl, Rixecker, Spangenberg, Trou-
vai n, Vogler, Wolter, Weber, Steiger.
Comptables et employés de bureau: Dörr, Ewen,
Kremp, Schneider Karl, Sekretäre.
Division Amelung.
Maire, Ingénieur Divisionnaire. -— Cheylus, Ingé-
nieur. — Moat, Chef-comptable.
Employés techniques: Weiss, Obersteiger, Engel,
Mai, Fahrsteiger. — Brücker, Eisenbeiss, Krieg,
Knappmann, Müller Adolf, Ney, Ries, Schäfer Edm.,
Schäfer Reinh., Schmidt Christ., Schneider Joh.,
Werth, Zimmer, Steiger.
Comptables et employés de bureau: Hermann, Jo-
hann, Jochem, Mang, Schröder, Sekretäre.
Inspektion XII Geislantern.
Telephon: Amt Völklingen 45, Saarbrücken 2735.
Plassard, Ingénieur Principal.
Zuger, Vérificateur. — Sutter R., Secrétaire. —
Strecker, Chef-garde.
Employés techniques: Gerstner, Inspektionsmark-
scheider.
H*
— 164 —
Comptables et employés de bureau: Funck. Ober-
inspektor (Inspektionskassierer). — Kallobis, In-
spektor. — Barthels, Obersekretär. — Brückel, Hei-
derich, Hohlfeld, Sehmitt Karl. Sekretäre. — Grosse,
Hors, weibl. Angestellte.
Division Velsen.
Plessy, Ingénieur Divisionnaire.
Bin, Richard, Quoniam, Damotte d’-Incamps, Ingé-
nieurs. — Dufossé, Porion-contrôleur. — Sehleger,
Chef-comptable. — Berenbach, Comptable. — Vel-
ten, Chef du mouvement. — Leibundguth, Secrétaire.
Employés techniques: Schneider, Grubenmark-
scheider. — Manderscheid, Obersteiger. — Baroth,
Biehl, Knoblauch, Limburg, Meiser, Neuser, Winkler,
Zimmer, Fahrsteiger. — Altmeyer, Obermaschinen-
steiger. — Barth, Britz, Dahm, Detemple, Diesinger,
Dönninghaus, Eisler, Eckardt, Gabler, Glowick.
Gross Adolf, Gross Peter, Heck. Hilgenstock, Hissler,
Himbert August, Humbert Valentin, Jung, Kaas,
Ketsch au, Kieseier, Klein, Deiner, Leushacke, Lorentz
Otto, Manderscheid. Mathieu, Meyer, Musebrink, Ney,
Paulus, Pfüli, Raphael Jakob, Itenno, Schmidt Chri-
stian, Schmuck, Schnur, Schwindling, Speicher,
Stinnen. Strauss, Thomas. Wagner Robert, Walter-
scheid, Weber Gustav, Weber Hermann, Wilhelm,
Zymelka, Steiger. — Schwarz. Hausteiger. — Merl,
Kohlenexpedient. — Peters, Grubenwächter.
Comptables et employés de bureau: Koch, Scherer,
Obersekretäre. — Schneider, Steiger. — Scliöpp.
Tagesteiger. — Becker, Chmilewsky, Zwer, Sekre-
täre. — Gorius, Vermessungsassistent. — Eich, Ver-
messungszeichner.
Division Hostenbach.
Montfort, Ingénieur Divisionnaire.
Villemin, Chef-comptable.
Employés techniques: Gauchei, Obersteiger. —
Becker, Fritz, Haupenthal, Lorenz Val., Müller Jo-
hann, Reichrath, Schreiner. Schuster, Steiger. —
Langendörfer, Kohlenexpédient. — Jockuin, Ver-
messungstechniker. — Tabellion, unt. Angestellter.
— Wunn, Grubenwächter. -
Comptables et employés de bureau: Schwinn, In-
spektor. — Steuer, Tagesteiger. — Rach, Rimbach,
Sekretäre.
III, Groupe dfInspections Centre.
Chandesris, Ingénieur en Chef, Chef de Service. —
Biaise Emile, Chef du bureau des études du fond. —
Dubois, Del an e, Galien, Hurez, Secrétaires. — Was-
muth (Insp. IV), Gruppenmarkscheider.
Services dn Jour du Groupe dn Centre.
Division des Ateliers et de l’Entretien.
Mouchot, Ingénieur Divisionnaire.
Werner, De Guillebon, Ingénieurs. — Schneider,
Zenner, Ingenieure. — Marez, Contrôleur. — Gaech-
ner, Chef-comptable. — Vandenbrouke, Secrétaire. —
Bohr, Dessinateur. — Bartholome«. Maschinensteiger.
— Oesterle, Steiger. — Kopp, Techniker.
Service électrique: Aïn, Ingénieur électricien.
Division des Lavoirs: Desmazières, Ingénieur Di-
visionnaire.
Division des Bâtiments : Franc, Ingénieur Divi-
sionnaire. — Judlin, Ingénieur adjoint. — Voegelin.
Chef du secrétariat. — Meszkatis, Fries, secrétaires.
— Reimeringer, Lienard, Contrôleurs techniques. —
Wenning, Bauwerkmeister, Chef du Bureau des
études. — Thonié, Melchior, Keller. Finger, Bau-
steiger. — Baubureau Dudweiler: Früh, Bausteiger.
— Lauer, Hilfstechniker. — Jost, Sekretär. — Bau-
bureau Altenwald: Knorz, Fehring, Busse, Bau-
steiger. — Lorenz, unt. Angest. — Baubureau Camp-
hausen: Riedschy, Schubert, Bausteiger. — Schwiegk,
Sekretär. — Baubureau Goettelborn: Poller, Bau-
steiger. — Jahn, Sekretär. — Bauburean St. Ingbert:
Kittling, Bansteiger.
Inspektion IV zu Dudweiler.
Telephon : Amt Saarbrücken 370, 318, 44.
Witier, Ingénieur Principal.
Renard, Vérificateur. — Cené, Secrétaire. — Kauf-
mann, Chef de musique. — Seillière Albert, Chef-
garde. — Demmer, Dann, Gardes.
Employés techniques : Hellwig, Inspektionsmark-
scheider. — Deutsch, Oekonomieverwalter. — Malter,
Vermessungstechniker. — Schneider, Bautechniker.
— Konter, Kraft, Mörsdorf, Vermessungsassistenten.
— Kessler, Menden, Schon, Wilden, Vermessungs-
zeichner.
Comptables et employés de bureau: Spang, Inspek-
tionskassierer. — Feld, Inspektor. — Gottschall,
Hamm, Paul, Schmidt, Obersekretäre. — Auner,
Jakobs Josef, Pitz, Wilhelm, Wunn, Sekretäre. —
Scherer, Amtsdiener. — Bössmann. Müller, Reuter.
Schlafhausmeister.
Division Hirschbach.
Gleyzes, Ingénieur Divisionnaire.
Couet, Viossat, Ingénieurs. — Hentz, Secrétaire. —
Soupir, Chef-comptable. — Castelain N., Porion-con-
trôleur. — Debié, Chef de mouvement.
Employés techniques : Lentes, Maschinenwerkmei-
ster. — Blase, Hammerschmidt, Hoffmann, Wahl,
Fahrsteiger. — Sauerwein. Wettersteiger. — Butz,
Dubitscher, Hinkel, Kirst, Ru pp, Maschinensteiger.
— Bartoseh, Fess, Feuerstein, Fiedler, Gasper, Göbel,
G roth, Grünberg, Gundlach, Haake, Heinrich, Herr-
mann, Krämer, Lenz, Lütge-Varney. Meier Otto,
Meier Robert, Müller, Neurohr, Scherer, Schinhofen,
Schlichter. Staub, Steinhäuser, Stephan, Stoll. Thull,
Wagner, Wartenphul, Weber, Wunn. Zawar, Steiger.
— Naumann, Kohlenexpedient. — Balzert, Brünuer,
Sekretäre.
Comptables et employés de bureau: Kuhlmann,
Obersekretär. — Hebel, Lorenz, Steiger. — Berrang.
Berwanger, Butz, Greiber, Hartmann Ludw., Hary,
Jakobs M., Fortune, Sekretäre.
Division Jägersfreude.
Eloy, Ingénieur Divisionnaire.
Faure, Second, Ingénieurs. — Vachier, Chef-comp-
table. — Lavoil, Secrétaire. — Lejeune Oskar, Le-
jeune Emile, Porions-contrÔleurs. — Amrhein, Chef
du mouvement. — Schneider, Garde.
Employés techniques: Immets berger, Obersteiger. —
Fey, Hoos. Fahrsteiger. — Beck, Hermann, Malter,
Weber, Wöfiler, Maschinensteiger. — Eberle, Engel-
mann, Forst. Hinsberger, IIoos. L. Huber. Joehum,
Jungmann, Kemp, Kleemann, Klinkner, Liick, Minke,
Montinet, Müller H., Paulus Philipp (Kohlenexpe-
dient), Robert A., Roth. Schäfer August, Schäfer
Karl. Scheidt. Wunn Friedrich, Wunn Heinrich,
Steiger. — Lorenz, Tagesteiger. — Hackbarth.
Kohlenexpedient.
Employés de bureau: Erle, Obersekretär. —- Klie-
beustein. Leo, Schäfer, Schertz. Weber Christian. We-
l>er W.. Werning, Sekretäre. — Uhl, Kohlenmesser.
Neu fang. Schlafhausmeister.
165
Inspektion V zn Sulzbach.
Tel.: Amt Saarbrücken 270, Amt Sulzbach 14.
Bourdoire, Ingénieur Principal.
Brucher, Vérificateur. — Thisse, Secrétaire. — Gal-
Math, Chef-garde. — Keck, Garde.
Employés techniques: Förster, Inspektionsmark-
geheider. Mah'ing, OekonomieVerwalter.
Comptables et employés de bureau: Henning, In-
spektionskassierer. — Kren ter, Inspektor. — Mohr,
Schneider, Ober Sekretäre. — Lorenz (Kapellmeister),
Schäfer, Sekretäre. — Schneider, Grubenwächter. —
Bartels, Amtsdiener.
Division Mellin.
Tel. : Amt Sulzbach 93.
Jabot, Ingénieur Divisionnaire.
Montant, Ohabord, Ingénieurs. — Dherin. Porion-
contrôleur. — Josephine, Chef-oomptable. — Pastien,
Secrétaire.
Employés techniques : Gabler, Obersteiger. — Nico-
lay, Schug, Zimmermann, Fahrsteiger. — Funck,
Greiber, Guillaume, Hammerer, Wagner, Maschinen-
steiger. — Asbach, Bauer, Bilietta, Boite, Busch,
Dörr, Dorscheid, Engelbert, Funck, Helbrück, Grie-
ger, Höffken, Kipper, Kiwitter, Krächan, Lauer, Mer-
feld, Mohr, Mörsdorf, Scherer, Schirra, Steinmetz,
Weber, Wilding, Steiger. — Herb, Verladesteiger. —
Bartels Heinrich, Tagesteiger. — Schäfer, Bau-
techniker. — Bickelmann, unt, Äugest.
Comptables et employés de bureati: Tross, Inspek-
tor. — Altpeter, Kohlenexpedient. — Mohr, Kohlen-
verkäufer. — Fuchs, Vermessungsassistent. — Gross,
Vermessungszeichner. — Bartels Wilh., Gebhardt,
Gottschalk, Gunkel, Kleehaas, Kräwer, Maus. Müller,
Schneider, Sekretäre. — Daniels, Schlafhausmeister.
Division Altenwald.
Tel. : Amt Sulzbach 96.
Faucher, Ingénieur Divisionnaire.
Pascal, Baumann, Thiret, Ingénieurs. — Castelain
A., Porion-controleur. — Herd rieh, Chef-comptable. —
Kippelen, Secrétaire. — Mayer, Chef du mouvement.
Employés techniques: Loris. Obersteiger. — Stuhl-
satz, Maschinenwerkmeister. — Deckert, Diesinger,
Greiber, Kremp, Stein, Fahrsteiger. -- Rech, Simon,
Schröder, Schulte, Volz, Zeiger, Maschinensteiger. —
Bach, Becker, Blass, Rottenbruch, David Aug., De-
chert, Driessler, Diillmann, Düvenbeck, Emmerich,
Frieke, Gebhardt, Gotthardt, Gräber, Gross, Hell-
brück, Herzberg, John, Jung, Kessler Adolf, Kessler
Aug., Köhler, Kumpmann, Lang, Liedke, Lorenz,
Maurer, Meyer, Müller, Robert, Oetzmann, Rogun,
Ruffing, Scherer 1 Heinr., Scherer 2 Heinr., Schmidt
Christ., Scholz, Stein, Theissen, Tippei, Weber,
Wollbold, Steiger. — Klenrp, Scherer Theodor, Ver-
ladesteiger. — Bcelger, Mauer, Tagesteiger. — Netlin,
Bautechniker.
Comptables et employés de bureau: Joos, Kohlen-
expedient. — Schramm, Steiger. — Nährig, Ober-
sekretär. — Thiel, Vermessungsassistent. — Funck,
Vermessungszeichner. — Bleibtreu, Britz, Förster,
Jenke. Reiter, Stark, Thome, Sekretäre. — Bach,
Schlaf hausmeister.
Inspektion X Wahlschied zn Göttelborn.
Tel. : Amt Sulzbach 20.
Daubresse, Ingénieur Principal.
Meyning, Vérificateur. — Druart, Secrétaire. —
Hacquard, Chef-garde.
Employés techniques : Unger, Inspektionsmarkschei-
der. — Poller, Bautechniker.
Comptables et employés de bureau: Müller, Inspek-
tionskassierer. — Ge’ssner, Inspektor. — Bannert,
Obersekretär. — Enderlein, Scheider Fr., Sekretäre.
— Schorr, Amtsdiener.
Division Göttelborn.
Huillard, Ingénieur Divisionnaire.
Terrier, Lasneret, Ingénieurs. — David, secrétaire.
— Quinchon, Porion-controleur.
Employés techniques: Reinhard, Obersteiger. —
Engels, Maschinenwerkmeister. — Jochum, Kreutz-
berger, Spies, Fahrsteiger. — Cappel, Fries, Guthör],
Müller, Neufang, Woll, Maschinensteiger. — Altpeter,
Bauer, Berg, Brehm, Dörr Josef, Eber le, Förster Au-
gust, Förster Jakob, Fuchs, Hinsberger, Höh, Immes-
berger, Jahn, Jakoby, Jochum Johann, Klein, Lehn-
hof, Martin, Müller Paul, Rech, Reiber, Risch,
Schmeer, Schmidt, Schwarz Mathias, Schwartz Wil-
helm, Wagner, Wonn, Steiger. — Grenner, Bauteeh-
niker. — Dörr, Vermessungstechniker.
Comptables et employés de bureau: Walter, Ver-
kehrsmeister. — Konrad, Kohlenexpedient. — Dörr
Heinrich, Tagesteiger. — Meiser, Kohlen Verkäufer. —
Dörr 1 Heinrich, Eggert, Klein, Kuhn, Rech, Weher,
Sekretäre. — Neumann, Wunn, Kohlenmesser. —
Heintz, Gr üben wäehter.
Division Dilsburg.
Lecomte, Ingénieur Divisionnaire.
Epinat, Ingénieur. — Roth, Chef-comptable. — Du-
chae, Sekretär. — Jacquemin, Contrôleur-mécanicien.
Employés techniques: Günther, Obersteiger. —
Kessler, Fahrsteiger. — Manz, Marcincowski, Ma-
schinensteiger. — Debold Christian, Debold Josef,
Gabler, Klein, Lobmeyer, Lorenz, Manz, Sauer, Schlif-
ter, Schwertner, Thome, Umlauf, Vogt Christian, Vogt
Valentin, Wahlmann, Weber. Steiger. — Freudenber-
ger, Bausteiger. — Busse, Vermessungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Venter, Ver-
kehrsmeister. — Bauer, Kohlen expédient. Ott, Tage-
steiger. — Käufer, Kohlen verkauf er. — Gemmel, Se-
kretär. — Wahlmann Margareta, Sekretärin.
Inspektion XI Fischbach zn Camphausen.
Telephon: Amt Saarbrücken 2840; Sulzbach 47.
Gueraud, Ingénieur Principal.
Schirlin, Vérificateur. — Meyer Pierre, Secrétaire.
— ........, Chef-garde.
Employés techniques : Lenge, Inspektionsmarkschei-
der. >— Sandmeyer, Steiger.
Comptables et employés de bureau: Echternacht,
Inspektionskassierer. — Kriesei, Kuhn, Obersekretäre.
— Baldauf, Kohlenverkäufer. — Baldauf Karl, Ver-
messungszeichner. — Lauck, Merseburger, Thiedt,
Sekretäre. — Handel Mathilde, weibl. Äugest. —
Diehl, Amtsdiener.
Division Campbausen.
Penaud, Ingénieur Divisionnaire.
Bonlinier, Chapus, Ingénieurs. — Trœndle. Chef-
comptable. — Deyber, Secrétaire. — Müller, Chef du
mouvement. — Maréchal, Porion-contrôleur.
Employés techniques : Jüngst, Grubenmarkscheider.
— Recktenwaid, Obersteiger. — Kipper, Maschinen-
werkmeister. — Maurer, Trenz, Wolfanger, Ziegler,
Fahrsteiger. — Dahlem, Mons, Schurig, Wonn, Ma-
166
sehinensteiger. — Altpeter. Blatter, Bohnenkamp,
Brandei, Busse B.. Busse J., Dick, Eger, Franz
Peter, Giese, Gräser, Greif, Hentz, Herrmann,
Horst, Jochum Karl, Keuenhof, Klein, Köper, Billig,
Lorenz, Mollenhauer, Neufang, Pitz Wilhelm, Berät,
Roth, Schmidt, Schramm, Schwarz, Vodtmer, Wittung,
Zeiger, Steiger. — Kaup, Tagesteiger. — Koller, Ver-
messungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Holz, Kohlen-
expedient. — Larson, Öbersekretär. — Jung 13, Ko-
chems, Kollmannsperger, Lehnert, Minnig, Walter,
Willger, Sekretäre. — Glatz, Grubenwächter. —
Eckert. Schlafhausmeister.
Division Brefeld.
Serou, Ingenieur Divisionnaire.
Grouigneau, Mulsant, Ingénieurs. — Compare!,
Chef-comptable. — Bollinger, Secrétaire. — Kiehl,
Chef du mouvement.
Employés techniques: Ladenberger, Obersteiger. —
Kupp, Maschinenwerkmeister. — Müller Karl. Schlos-
ser. Fahrsteiger. — Armbrust, Fr nutz Friedr., Perseh,
Wahlster, Maschinensteiger. — Blcemeke, Bost, Frantz
Oskar, Günther. Kösters, Lange, Maurer Johann,
Maurer Peter, Scherer, Schweitzer, Weil, Wemmert,
Wötzel, Steiger. — Müller Johann, Tagesteiger. —
Pitz August, Vermessungsassistent. — Schon-, Ver-
messungszeichner.
Comptables et employés de bureau: Schild, Kohlen-
expedient. — Andres, Jochum Paul, Naumann, Rech,
LTrschel, Sekretäre. — Salm, Grubenwächter.
Division St. Ingbert.
Lapierre, Ingénieur Principal.
Vennat, Lazard, Ingénieurs. — Maréchal, Porion-
contrôleur. — Angel mann, Vérificateur. — Chaillon,
Chef-comptable. — Köhler, Secrétaire. — Bumer,
Chef du mouvement. — Kra.bichler, Chef-garde.
Employés techniques: Klees, Grubenmarkseheider.
— Gräber, Obersteiger. — Omlor, Peters, Fahrstei-
ger. — Brunner, Dürr, Eger, Emich, Gasper, Hahnau,
Hornauer, Ihl, Janz, Müller, Peters, Prätorius,
Pröbstl, Schley, Schon. Siegwart, Sonn, Steinfeld,
Wagner, Weber, Weil, Wissend. Zeltler, Steiger. —
Ehlhardt, Maschinenwerkmeister. — Brunion, Cappel,
Dietrich, Schneidmüller, Maschinensteiger. — Marx,
Verladesteiger. — Wilhelm, Tagesteiger. — Kissling,
Bausteiger. — Blatter, Vermessungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Luller, Kassie-
rer. — Rothaar, Inspektor. — Linn, Obersekretär. —
Weis, Kohlenexpedient. — Bauer, Betz, Duchene,
Sc-hwämmlein, Sekretäre. — Nelz, unterer Werkan-
gestellter,
IV. Groupe d’inspections Est.
Bellan, Ingénieur en Chef, Chef de Service.
Bréard, Chef du Bureau des Etudes du Fond. —
Lallart, Siber, Secrétaires. — Rossbach, Obersekretär.
Service du Jour du Groupe Est.
Belavoine, Ingénieur Principal.
Division des Ateliers et de l’Entretien: Meyneng,
Polu, Willems, Ingénieurs. — Boulanger, Contrôleur.
— Grimmer, Secrétaire. — Kreussel, Dessinateur. —
Grirn, Hollweck, Maschinensteiger.
Division des Lavoirs: Rivière, Ingénieur. — Fricke
(Insp. VI), Assion (Insp. IX), Kirsch (Div. Bexbach),
Maschinensteiger.
Division des Bâtiments: Chalmot, Ingénieur Divi-
sionnaire. — Schneider, Obersekretär. — Schmitt,
Bauwerkmeister. — Gräser. Bausteiger.
Inspektion VI Heiligenwald zu Reden.
Telephon: Amt Neunkirchen 95 und 58.
Berthelot, Ingénieur Principal.
Cambiilau, Hoppe, Secrétaires. —- Kühner, Nieme-
rich. Vérificateurs. — Skohoutil, Chef d'orchestre. —
Popisschek, Chef-garde.
Employés techniques: Kramer, Inspektionsmark-
scheider. — Schröder, Grubenmarkscheider. — Petil-
liot, Bauwerkmeister. — Stiller, OekonomieVerwalter.
— Schäfer, Schlafhausmeister. — Ehrhardt, Geb-
hardt, Morgenstern. Grubenwächter. — Krämer, We-
gewärter. — Spier, Vermessungsassistent,
Comptables et employés de bureau: Tont, Inspek-
tionskassierer. — Baldes, Inspektor, — Schneider,
Obersekretär. — Eberhard, Flegel, Haas Peter, Lam-
bert, Schug, Wiesen, Wittwer. Sekretäre.
Divisions Reden-Flamm et Reden-Fett.
Services communs.
Service du Jour:
Degott, Ingenieur.
Beaugrand, Secrétaire. — Haudidier, Chef du mou-
vement.
Employés techniques: Gützlaff, Maschinenwerk-
meister. — Recktenwaid, Obermaschinensteiger. —
Boos Julius, Boos Richard, Gräss, Hartmann, Kesten-
bach, Müller Theod., Schmidt Karl, Schwehm Karl,
Maschinensteiger. — Schlegel, Tagesteiger. — Biehl 1
Friedr., Pilger, Schmitt 2 Nik., Sorg, Steiger. —
Venitz, Bausteiger.
Employés de bureau: Lang. Vermessungszeichner,
Reden-Flamm.
Blanchard, Ingénieur Divisionnaire p. i.
Douffiagues, Blanc, Ingénieurs.
Employés techniques : Burghausen Herrn., Oberstei-
ger. — Dilk Friedr., Gross Job., Lehmann, Reinert,
Rohrbach, Fahrsteiger. — Angel, Au, Bai zeit, Bet-
tinger, Bolev, Dietrich, Grass 2 Peter, Janz, Kaehrea,
Kesting, Krämer Friedr., Kreutzer, Lorenz, Maurer,
Mayer, Minke, Müller Erich, Münzer, Pf aff, Röhliu-
ger, Roth Friedr., Sehemer, Schichtei, Schmolz!,
Schneider Ludw., Schneider Roh-, Schumann Ludrw.,
Schwehm Wilhelm, Spreuer, 17wer, Weià Steiger. —
Hoffmann, Verladesteiger. — Grossklos, Kohlenmes-
ser. — Butz, Roth, Vermessungstechniker. — Latz,
Vermessungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Rost, Inspektor.
— Schumacher, Kohlenexpedient. — Bonaventura,
Öbersekretär. — Diversy, Haas Heinr., Kar tes, Klein
Friedr., Naumann, Oberringer Adolf, Reiter. Voll mar,
Sekretäre.
Reden-Fett.
Guillaumin, Ingénieur Divisionnaire p. i.
Claudot, Gérard, Ingénieurs.
Employés techniques : Grebe, Schmidt Conrad, Ober-
steiger. — Clausius, Grenner, John, Linnenberger,
Ruloff, Schuster, Seyb, Werkle. Fahrsteiger. — Bec-
ker 1 Job., Becker 4 Job-, Biehl Friedr. Wilh., Biehl
Johann, Biesel Alois, Brill 1 Peter, Brücker, Burg-
hausen Otto, David, Dilk Heinrich, Fritz, Gebauer,
Haas, Hoffmann Jak., Jakob, Klein Herrn.. Lang Fr.,
Lawall Ohr. 1, Lawalil Ohr. 2, Leibenguth, Meis er 2
Wilh., Müller, Petilliot, Pfleger, Richter, Riedschy,
Rohrbach, Ruf, Schank, Schmidt Herrn., Schmidt 2
Josef, Schoppe, Schulz, Six, Schneider Heinr., Theis,
Tcenies. LJhl, Walter, Weber, Wolf, Woll Albert, Stei-
ger. — Krausbeck Job., Verladesteiger. — Dreiser,
Kohlenmesser.
167
Comptables et employés de bureau: Werbelow, In-
spektor. — Dörr, Kohlenexpedient. — Becker Christ.,
Preis« Adam, Obersekretäre. — Klär, Klein Gottlieb,
»Krausbeck Heinr., Martin, Preiss Josef. Schäfer,
Schmidt Conrad, Spaniol, Sekretäre.
Division Itzenplitz.
De Gaulle, Ingénieur Divisionnaire.
Graneher, Ingénieur. — Archen, Secrétaire.
Employés techniques (fond): Kamp, Obersteiger. —
Backes, Gross 3 Jakob, Schmitt Conrad, Fahrsteiger.
— Andres, Eisenbeis, Franzmann, Gross Chr., Klein
Hugo, Klein Otto, Kremp, Lessinger, Moser, Sander,
Scherer, Schild, Schmitt Peter, Schon-, Schwarz,
Sehwehm Herrn., Zewe, Steiger.
Employés techniques (jour): Reutier, Maschinen-
werkmeister. — Beyer Friedr., Daum, Engel, Würtz,
Maschinensteiger. — Karrenbauer, Tagesteiger. —
Kurz, Verladesteiger. — Schmidt Friedr., Kohlenmes-
ser. — Rodener, Bautechniker.
Comptables et employés de bureau: Oberringer Job-,
Inspektor. — Behles, Kohlenexpedient. — Barth, Jo-
chum, Meier Karl, Nauhauser, Ningel, Pitz, Wagner,
Wilhelm 2 Job., Sekretäre. — Schumacher Paul, Ver-
messungszeichner.
Inspektion VII Spiesen.
Telephon: Amt Neunkirchen 67-68.
Komieux, Ingénieur Principal.
Tragus, Vérificateur. — Méreau, Secrétaire. —
Schüler, Chef-garde. — Kübel, Hildenbrand, Gardes.
Employés techniques : Braun, Inspektionsmarkschei-
der. — Gross, Grubenmarkscheider. — Heintz, Bau-
werkmeister. — Kirst, Oekonomieverwalter. — Gross,
Oekonomiesteiger. — Becker, Hör, Scholl, Bautech-
iiiker. — Ruffing, Wolf, Grubenwächter.
Comptables et employés de bureau: Nitschmann,
lnspektionskassierer. — Mathis, Inspektor. — An-
dreas, Glaser, Reinshagen, Obersekretäre. — Fehrenz,
Hartkorn, José, Schlemmer (Kapellmeister), Schnur,
Sekretäre. — Müller. Vermessungszeichner. — Bre-
mer. Schlafhausmeister.
. Division Heinitz.
Huas, Ingénieur Divisionnaire.
Scheeler, Maria, Delmatto, Ingénieurs. — Reine,
Secrétaire. — Hecht, Chef-comptable. — Servant,
Corneloup, B rochon, Porions-Contrôleurs. — Frus-
tin, Chef du mouvement.
Employés techniques : Henschel, Quint, Obersteiger.
— Brück, Maschinenwerkmeister. — Broschart, Diehl,
Fritsch, Löhrhoff, Sauerbrey, Schmitt, Wittling, Fahr-
ßteiger. — Becker, Haag. Klos, Leibrock, Wegermann,
Maschinensteiger. — Adam, Jakob, Adam Karl,
Arnes, Balbier, Becker Job., Beyer, Deich, Eckhoff,
Fett, Flunkert, Forst. Gerwert, Glaser, Haas, Hell,
Hilgert, Hilpert, Hoffmann, Janes, Kiefer, Kirst,
Lauer, Mai, Martin, Marzlin, Niergardt, Oberringer,
Sauerwein, Schepp, Schneider, Schorr, Schtirken, Um-
lauf. Wagner. Welte, Wilhelm, Wolf, Steiger. —
Droste, Scherer, Tagesteiger. — Jakob, Bausteiger.
— Mohr, Scholz, Vermessungsassistenten. — Bach,
Kohlenmesser.
Comptables et employés de bureau: Lorenz, Kohlen-
expedient. — Köhler, Obersekretär. — Commerçon,
Franke, Kleemann, Kleinert, Krätschmer, Kraus, Mi-
chaelv, Schild, Wagner, Sekretäre.
Division Dechen.
Haultier, Ingénieur Divisionnaire.
Masselin. Leloutre, Ingénieurs. — Ritz. Chef-comp-
table. — Joyet, Secrétaire. — Nussbaum. Chef du
mouvement. — Springer, Kohlenmesser.
Employés techniques: Fuhrmann, Obersteiger. —
Beyer, Maschinenwerkmeister. — Böhler, Keller,
Scheu, Schild, Siedel, Fahrsteiger. — Deutsch, Klasen,
Rund, Staden, Zeutz, Maschinensteiger. — Altpeter,
Bettinger, Boussonville, Detemple, Diehl, Fried, Geb-
hard Valentin, Gebhardt Wilhelm, Hoffmann, Huis-
gen, Jung, Kohle, Koch, Köhler. Leist, Leibenguth,
Müller Albert, Müller Friedr., Müller Jakob, Müller
Math., Neumann, Puttkammer, Scheidhauer, Schmidt
Herrmann, Schmidt Robert. Schneider, Schult, Stet-
zer, Theis, Weiss, Steiger, Waldura, Tagesteiger. —
Maurer, Vermessungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Kaps, Wilding,
Steiger. — Schneider, Kohlenexpedient. — Glaser,
Obersekretär. — Bachmann, Dorst, Feltes, Koob,
Lühe, Molitor, Sekretäre.
Inspektion VIII, Neunkirchen.
Telephon: Amt Neunkirchen 31 und 61.
Eynae, Ingénieur Principal.
Kuttler, Vérificateur. — Adt, Chef-garde. — Lu-
xembourg, Garde.
Employé technique: John, Inspektionsmarkschei-
der. — Jakob, Quack, Bausteiger. — Kaufmann,
Schwehm, Sprenger, Wagner, Vermessungszeichner. ■
Comptables et employés de bureau: Föhr, Inspek-
tionskassierer. — Bleier, Dickes, Schröder, Inspek-
toren. — Hoffmann, Obersekretär. — Johann, John,
Müller, Naumann, Ost, Peter, Steigerwald, Wagner,
Sekretäre. — Denig. Stumpfs, Grubenwächter. —
Biehl, Schlafhausmeister.
Division König.
Jacquard, Ingénieur Divisionnaire.
Motreul, Mahlet, Ingénieurs. -— Bourcy, Secrétaire.
— Morin, Chef du mouvement. — Lennes, Porion-
contröleur, — Planke, Surveillant.
Employés techniques : Zander, Obersteiger. — Du-
mont, Maschinenwerkmeister. — Gebhardt, Gräber,
Kneib, Knobloch, Leonardy, Speicher, Stein, Ulrich
Ziegler, Fahrsteiger. — Müller, Oekonomieverwalter.
— Backes, Berrang, Biehl Nikolaus, Biehl Victor,
Fried, Gross, Hell, Holzapfel, Kahlfeld, Kaufmann,
Klos, Kolb, Krämer Johann, Kremer, Mees, Mohr-
bach, Neumann, Omlor, Raber, Sartorius, Scholl,
Schütz, Sonn, Stoffel, Ulrich Friedrich, Ulrich
Wilhelm, Wagner, Weiss, Wolf, Wol^ August, Woll
Peter Ferdinand, Steiger. — Gräser, Kaiser, Kurtz,
Lander, Sachse, Seibel, Maschinensteiger. — Wagner,
Bausteiger. — Helfgen, Tagesteiger. — Eisenbeis,
Kohlen expédient. — Bachmann, Vermessungsassistent.
— Müller, Kohlenverkäufer. — Kessler, Kohlenmes-
ser. -— Bieske, Wegewärter.
Comptables et employés de bureau: Weidner, In-
spektor. — Becker, Obersekretär. — Baldauf, Bartsch,
Blass, Blinn, Boussonville, Didion, Gützlaff, Huppert
(Kapellmeister), Roth, Volz, Sekretäre.
Division Kohlwald.
Burkel, Ingénieur Divisionnaire.
Marian, Gory, Ingénieurs. — Kern, Secrétaire. —
Giesenfeld, Chef du mouvement.
Employés techniques: Mussler, Grubeumarkscheider.
— Voltmer, Obersteiger. — Schröder, Maschinenwerk-
meister. — Breuer. Fries, Klein, Kolling, Schirra,
Thiel, Zimmer, Fahrsteiger. — Altmeyer, Biehl, Busse,
Diancourt, Dilk Jak., Gerwerth, Gross, Hahne, Hock,
Hübner, Keuenhof, Lander, Martin, Meiser, Müller
Heinrich, Müller Johann, Müller 1 Karl. Naumann,
Nowack. Schäfer, Schmidt, Schneider, Schonard,
Schwehm, Schwingel, Stiefken, Thull, van der Thüsen,
168
Wahlmann, Weiter, Zielony, Steiger. — Germann,
Krämer, Lehnhoff, Schneider, Volz, Maschinensteiger.
— Rauh, Vermessungsassistent. — Gräser, Tagestei-
ger. — Müller, Bausteiger. — Dilk, Kohlenverkäufer.
— Born, Kohlenexpedient. — Forst, Kohlenmesser.
Comptables et employés de bureau: Halberstadt, In-
spektor. — Flaecus, Niergardt, Oberringer, Rechlin,
Riedel, Stillenmunkes, Willis, Sekretäre.
Inspektion IX, Fxiedrichsthal.
Telephon : Amt Sulzbach 59.
Gaviard, Ingénieur Principal.
Bodin, Vérificateur. — Pignol, Secrétaire. — Gayer,
Chef-garde, Beiss, Garde.
Employés techniques: Weingardt, Inspektionsmark-
scheider. — Kunkel, Grubenmarkscheider. — Hans,
Grubenwächter. — Reinhard, Bote.
Comptables et employés de bureau: Lossau, Schüt-
ter, Inspektionskassierer. — Mes ter, Inspektor. —
Petilliot, Obersekretär. — Höft, N eu schw ander, Ver-
messungszeichner. — Gesse, Schmidt 3, Schmidt 5,
Sekretäre. — Schoeppe, Schlafhausmeister.
Division Maybach.
Bourdieu, Ingénieur Divisionnaire.
Longobardi, Bemonque, Couderc, Ingénieurs. —
Roullier, Secrétaire. — Cor, Chef du mouvement.
Employés techniques: Rink, Obersteiger. — Andre,
Maschinenwerkmeister. — Ackermann, Bilk, Gützlaff,
Kolling, Kümmel, Sicius, Fahrsteiger. — Anschütz,
Beres, Besch, Biewer, Böhnke, Braun, Brieke, Died-
rich, Diversy, Engelmann, Forst, Frey, Fuchs, Götte,
Herz, Joehum Joh., Jochum Lud., Kessler, Kleinp,
Kloos, Köhl, König, Latz, Lauer, Lehmkühler, Lorenz,
Martin Fried., Mees, Meiser, Müller, Neuser, Paulus,
Pzolla, Quarz, Recktenwald, Schedler, Schichter, Schü-
mann, Seidenpfennig, Sichert, Thomas, Veldhuysen,
Wahl, Weber, Weisskircher, Woll, Wolter, Steiger. —
Bost, Eisenbeis, Schumacher, Maschinensteiger. —
Busse Karl, Tagesteiger. — Nauhauser, Bausteiger.
Kiefer, Bautechniker. — Wagner, Vermessungsas-
sistent.
Comptables et employés de bureau: Lieblang, Koh-
lenexpedient. — Briese, Dietrich, Gross, Lindemann,
Nau, Thull, Schmidt, Sekretäre.
Division Helene.
Eltges, Ingénieur Divisionnaire.
Mourgues, Deleuze, Ingénieurs. — Grom, Secrétaire.
— Nass, Chef du mouvement.
Employés techniques: Matheis, Obersteiger.
Biehl, Bleymehl, Gebhardt, Gross, Hans, Herges,
Fahrsteiger. — Barth, Becker Joh., Becker Peter,
Bonner, Borschel, Braun, Dettlaff, Guthörl, Haas
Arnold, Haas Peter, Hock, Höwer, Josseph, Kl äsen,
Lehmon, Neuhaus, Neurohr, Pitz, Räuber, Reppekus,
Schmitt, Sinnwell, Spendei, Tennnhafen, Waskönig,
Zielonka, Steiger. — Assion, Ganster, Glaser, Her-
zig. Hofmann, Schneider, Zimmer Erich, Zimmer
Wilhelm, Maschinensteiger. — Krämer, Tagesteiger.
— Kunz, Bausteiger. — Mohr, Vermessungsassistent.
Comptables et employés de bureau: Fuchs, Kohlen-
expedient. — Bellon, Obersekretär. — Schulze, Witt-
ling, Sekretäre.
Division Bexbach.
Telephon : Amt Mittelbexbach 3.
Gonin, Ingénieur Divisionnaire.
Dubertrand, Ingénieur, Raugel, Vérificateur. — We-
ber, Chef-comptable. — Seillière Arthur, 1er garde.
Employés techniques: Holzapfel, Grubenmarkschei-
der. — Bost, Obersteiger. — Pirrung, Maschinenwerk-
meister. — Barth, Müller, Fahr Steiger. — Langguth,
Obermaschineusteiger. — Day, Kirsch, Schirra, Vogt, »
Maschinensteiger. — Fettig, Joas, Rösch, Ruffing,
Schinitz, Schulz, Sick, Steimer, Weiss, Weiter, Will,
Wolfanger, Steiger. — Eckart, Bausteiger. — Schnei-
der, Kohlenexpedient. — Borger, Vermessuugsassis-
tent. — Beekedahl, Vermessungszeichner. — Koch,
Grubenwächter.
Comptables et employés de bureau: Schwarz, Inspek-
tionskassierer. — Fries, Johann, Schulz. Wörle, Se-
kretäre.
V. Groupe des Usines.
Breton, Ingénieur en Chef, Chef de Service.
Stoflique, Secrétaire. —1 Chopart, Monteur.
Services Electriques et Hydrauliques.
Chevrant, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Service.
Reol, Beroier, Ingénieurs. — Desmidt, Agent tech-
nique. — Holtzer, Secrétaire. — Peiffer, Comptable.
— Helleisen, Vérificateur. — Juugfleisch, Techniker.
— Grässer, Scherer, Sekretäre.
Réseau: Schliessmaun, Maschinen Werkmeister. —
Schmidt Wilhelm, Obermaschinensteiger. — Förster,
Hiller, Wapmann, Maschinensteiger. — Seitz, Ober-
monteur. — Rombach, Sekretär.
Centrale de Louisenthal: Bélin, J ander. Ingé-
nieurs. — Guidez H., Employé. — Schmidt Nik., Ma-
schinenwerkmeister. — El suer, Langenbach, Rentier,
Rôder, Schwarz, Maschinensteiger. — Ruffier, Sekre-
tär.
Centrale de Weiher: Bouteleux G., Ingénieur. —
Konrath, Maschinenwerkmeister. — Siegel, Ober-
maschinensteiger. — Dörr, Paulus, Maschinensteiger.
Centrale de Heinitz: Bouteleux G., Pulwey, Ingé-
nieurs. — Ries, Obermaschinensteiger. —* Didion,
FÖrnbacher, Schalttafelmeister. — Hellriegel, Se-
kretär.
Centrale de Fenne: Bélin, Poinsignon, Ingénieurs.
— Schmidt Johann, Maschinenwerkmeister. — Ber-
mes, David, Germann, Maschinensteiger. — Luxem-
burger, Seltenreich, Techniker. — Buck, Obersekre-
tär.
Service des Eaux: Stenger, Nimsgern. Employés
techniques. — Thomas, Venitz, Obermaschinensteiger.
— Remy, Sick, Maschinensteiger.
Service Télégraphique: Pelt, Hechinger, Noé, Em-
ployés Télégraphistes. — Gräber, Telegraphenrevisor.
— Stürmer, Obermaschinensteiger. — Braumann,
Hogel, Maschinensteiger.
Cokerie de Heinitz,
Boissonnet, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Ser-
vice.
Section de la Carbonisation: Lemoine, Ingénieur.
Section du Lavoir et de l’Entretien: Schober, In-
génieur.
Section de la Récupération et du Laboratoire: Au-
bert, Ingénieur. — Rohe, Chef du Bureau Central.
— Rinck, Chef-comptable. — Wagier, Chef du Ma-
gasin. — Hermann, Secrétaire. — Ledy, Schneider
E., Dessinateurs, Wehner, Oberkoksmeister, —
Schmitz, Sitzmann, Obermaschinensteiger. — Kam-
mer, Schulte im Hofe, Maschinensteiger. — Hasse,
Hertel., Steiger. — Bock, Wittling, Techniker. —
Bost, Gestel, Glössner, Hagel, Sekretäre.
169
Service de ¡’Utilisation des Combustibles.
Barré, Ingénieur Principal, Chef de Service.
Bedien, Ingénieur-Adjoint.
Augustin, Laurent, Inspecteurs de chauffe. —
Reyss, Secrétaire. — Fouargue, Contremaître. —
Grande, Kesselrevisor. — Hein, Kirsch, Maschinen-
werkmeister.
Service de Camionnage.
Laforce, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Service.
Toussaint, Adjoint. — Touruoy, Chef d’Atelier. —
Fauconnier, Chef de Garage. — Angot, Comptable.
VI. Service des Etudes et Constructions.
Dubois, Ingénieur en Chef, Chef de Service.
Bureau d’Etudes: Cochet, Fleury, François, Weiss
G-, Ingénieurs. — Algan, Secrétaire. — Blatter, In-
génieur. — Huckert, Techniker. — Klaar, Ver-
messungszeichner.
Section de Constructions: Cléaud, Ingénieur Divi-
sionnaire. — Hermann, Secrétaire. — Geimer, Billig,
Techn. Direk.-Sekr. — Bartsch, Fischer, Hartmann,
Hildenbrand, Mathieu, Riotte, Ritter, Heinrich,
Stopp, Bausteiger. — Ritter Hugo, Hilfstechniker.
Section des Constructions en Fer. — Litty, Ingé-
nieur. — Lauf, Techn. Direk.-Sekr. — Runkel, Bau-
werkmeister. — Altpeter, Liebig, Pitz, Konstruk-
teure. — Lenhardt, unt. Angest.
VII. Laboratoires.
Sainte Claire Deville, Jean, Ingénieur Principal,
Chef de Service.
Section des Câbles: Dufour, Ingénieur. — Ogé,
Sous-Ingénieur.
Laboratoires d’Essais Mécaniques et Réceptions:
de Raucourt, Ingénieur, Chef du Laboratoire. —
Calté, Ingénieur. — Gergen, Ingénieur, Agent Récep-
tionnaire. — Pabst, Sous-Ingénieur, Agent Récep-
tionnaire. — Korb, Maschinensteiger.
Usine expérimentale de Carbonisation (Port de
Malstatt). — Chariot, Engelhardt, Ingénieurs. —
Burgart, Techniker.
Essais de Lavage et Etude Physique des Charbons:
Fischbach, Ingénieur, Chef de Laboratoire.
Laboratoire d’Analyses Chimiques : Altbürger,
Dipl. Ing., Chef du Laboratoire. — Schwieder, Che-
miker. — Friedrich, unt. Angest.
VIII. Ecoles des Mines.
1° Ecole des Mines à Sarrebruck.
Directeur: Collignon, Ingénieur Divisionnaire.
Constantin, Rozoy, Ingénieurs-Ad joints. — Ter-
rer, Secrétaire. — Professeurs: de Magnac, Ingé-
nieur Divisionnaire. — Julliard, Ingénieur. — Jar-
rier, Ingénieur. — Dr. Darreye, Dr. Fourmann, Pro-
fesseurs Agrégés. — Dr. Lorion, Médecin. — Alt-
bürger, Dipl.-Ingenieur. — Gräber. Telegraphen-
revisor. — Grande, Kesselrevisor. — Kirst, Bergrat.
— Meyer, Oberamtmann. — Rausch, Bergrat. —
Rossenbeck, Ingénieur Divisionnaire. — Stenger,
Employé technique.
2° Ecoles Préparatoires.
Louisenthal: Lang, Hauptlehrer.
Sulzbach: Lydorf, Hauptlehrer.
Göttelborn: Senzig, Hauptlehrer.
Neunkirchen: Bruttin, Directeur. — Weitzel, Pro-
fesseur.
IX. Service ouvrier.
Massing, Ingénieur-Principal, Chef de Service.
Meyer Fr., Oberamtmann, Adjoint. — Klein,
Neis, Oberinspektoren. — Gommée, Inspektor. —
Baum, weibl. Angest.
G. Secrétariat Général Administratif.
Marguery, Secrétaire Général.
Raspail, Secrétaire Général Adjoint.
I. Cabinet du Secrétaire Général
et Inspections des Services Administratifs,
des Coopératives et des Services de Garde.
Olichon, Inspecteur des Services Administratifs.
— Litzler, Secrétaire Comptable. — Quinchez,
Georges, Inspecteur des Services Administratifs. —
Orsatelli, Secrétaire. — Kremer, Conseiller Juri-
dique.
II. Service de la Comptabilité Génénde.
Drure, Chef de Service.
Section da Contrôle des Dépenses engagées
et de la Comptabilité Générale.
Chambrion. Chef de Section. — Guillet, Johanny,
Hotel et, Hoogstoel, de Givry.
Section de la Comptabilité Centrale des Recettes
et des Dépenses.
Kloster, Chef de Section. — Demailly, Monneret,
Orazi. — Secrétariat: B arrêt.
III. Section du Contentieux et des Domaines.
Holtzer, Chef de Section.
Doyen, Bourceret, Bouvier, Adjoints. — Dessez,
Hetzler, Oberinspektor. — Tonoly, Inspektor. —
Loos, weibl. Angestellte.
Illbis. Section des Immeubles et
Service intérieur.
Couture, Chef de Section, de Schmid, Jost, Schwall.
— Lebrecht, Bauwerkmeister. — Eckardt, Ober-
gärtner. — Adams, Hilfstechniker. — Reichert,
Kassenbote. — Gräber, Hell, Hiess, Ruppert. Amts-
diener.
IIIter. Section des Exploitations agricoles.
Quinchez, Chef de Section. — Männlein, Secrétaire.
IV. Service de la Prévoyance sociale.
Delmer, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Service.
Grandjacques, Moulin, Adjoints. — Lacombe,
Trescher, Boulling. — Cappel, Direkt.-Sekretär. —
Reinheimer, weibl. Angestellte.
V. Service JSIédical.
Dr. Baur, Professeur Agrégé du Vai-de-Grâce, Chef
de Service. — Dr. Kuntzler, Sarrebruck. — Dr.
Etienne, Clinique. — Dr. Lenoble, Groupe Est. —
Dr. Lorion, Groupe Centre. — Dr. Jacquemin, Groupe
Ouest.
170
TI. Service de T Enseignement.
Toutey, Inspecteur d’Académie, Chef de Service. —
Perroteau, Adjoint au Chef de Service. — Nicolas,
Inspecteur des Ecoles du Groupe Ouest. — Flaesch,
Inspecteur des Ecoles du Groupe Centre. — N.....
Inspecteur des Ecoles du Groupe Est. — Mlle Mois-
son. Inspectrice des Ecoles Ménagères.
o. Service Commercial.
Saillard H., Chef de Service.
Serenis, Adjoint.
Ventes: Bérard, Chef de Section. — Fabre, Ingé-
nieur Divisionnaire, Volbart, Ingénieur. — Buts, Ca-
ron. Petit, Adjoints. — Paula Schumacher, Maria
Schumacher, weibl. Angestellte.
Ventes en Sarre et Contrôle des Livraisons:
Breucq, Inspecteur Commercial. — De Cussy, Ad-
joint. — Gongers, Obersekretär. — Zeitz, Sekretär.
Expéditions et Transports: Boissel, Chef de Sec-
tion. — Masse, Boiteux, Lefèvre, Maire du Poset,
Adjoints. — Krüse, Oberinspektor. — Blumenthal,
Hoffmann, Schmidt J., Obersekretäre. — Manz, Se-
kretär. — Rauch, weibl. Angestellte.
Comptabilité Commerciale: Buzoni, Chef de Sec-
tion. — Descamps, Chef de Bureau. — Hartig, In-
spektor. — Feld, Steiger. — Dreher, Schichte!, Ober-
sekretäre. — Breit, Freudenberger, Kerner, Koch,
Posth, Riess, Sekretäre. — Knöpfei, Wüschner,
weibl. Angestellte.
Port de Malstatt: Foissey, Commandant du Port.
— Seuillot, Adjoint. — Weiss, Obermaschinensteiger.
— Fuhrmann, Rinck, Steiger. —- Sauerwein, Bau-
steiger. — Strumpler, Kohlenexpedient. — Retry,
Kohlenverkäufer. — Zimmer, Sekretär. — Malburg,
Kohlenmesser. — Redler, Hafenwächter.
E. Service Financier.
Henry, Caissier Général, Chef de Service.
Eicher, Adjoint au Chef de Service.
Davin, Poyau, Chefs de Section.
Fauroy, Brouillez, Goldschmitt, Hebert, Hillmeyer,
Lecat, Schübel, Chefs de Bureau.
Kipper, Oberinspektor. — Baltes, Biewer, Ober-
sekretäre. — Barthels, Sekretär. — Hahn, weibl. An-
gestellte.
F. Service des Approvisionnements.
Lequette, Ingénieur en Chef, Chef de Service.
Section Contrôle et Questions Générales.
De La Brosse, Ingénieur Divisionnaire, Chef de
Section.
Ensfelder, Ingénieur Divisionnaire. — Bertrand,
Ingénieur-Ad joint.
Section Comptabilité.
Honorez, Chef de Section. — Risbourg, Adjoint.
Douehy, Gassmann, Cambus, Sauvage, Vinet,
Jacquot, Pruneau, Parmentier, Sevin-Lang, Tage-
steiger. — Bohnenberger. Obersekretär. — Funk,
Rothe, Schmitt, Sekretäre. — Serve, weibl. Ange-
stellte.
Ire Section Achats.
Chambert, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Sec-
tion. — Lassinàt, du Gardin, Guidez, Boileau, Chefs
de Rayon. — Weissgerber, Sekretär.
2e Section Achats.
Pierrot, Chef de Section. — d’Arbaumont, Kim,
Chefs de Rayons.
Section des Bois — Cavaleries — Fourrages.
Milot, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Section.
Milers, Michard, Adjoints (Bois). — de la Hou-
plière, Adjoint (Cavalerie), Entringer, Brayer, Pijon,
Loutre. — Weber, Eugelen, Vétérinaires.
Parc à bois de Fenne: Alleaume, Chef du Parc. —
Hassler, Adjoint. — Fuss, Schmitt, Obersekretäre.
— Fries, Sekretär.
Section des Magasins.
Leeompte, Ingénieur Divisionnaire, Chef de Sec-
tion.
Aubert, Adjoint. — Fàber, Drouin, Parmentier,
Stein, Nauroy.
Magasin Général de Sarrebruck: Caron, César,
Chef de Magasin. —- Sylvestre, Joly, Desmousseaux,
Ruffing, — Gierend, Tagesteiger, -h Schank, Sehiff-
ler, Müller Arnold, Sekretäre.
Magasin Annexe, Service de Camionnage: Thuil-
lier.
Magasin Général de Louisenthal: Prediger, Inspec-
teur. — Spanagle, Adjoint. — Flandrin Jules, Mme
Machard, Mezerette, Metzinger, Guérin. — Adams
Johann, Weiler Joseph, Inspektoren. — Kurz Heinr.,
Lamour. Steiger. — Deutsch Oskar, Hell Job., Mildau
Heinr., Müller Julius, Sekretäre.
Magasin Général de-Dudweiler: Herly, Inspecteur.
— Peters, Adjoint. — Nielout, Heaulme. — Klieben-
stein, Inspektor. — Bernard, Neumann, Steiger. —
Asche, Lorenz W., Innwell, Haussmann, Kamp. Koch,
Sekretäre.
Magasin Général de Neunkirchen: Le Quere, In-
specteur. — Bouchy, Adjoint. — Flandrin G., Zim-
mermann, Itant. — Buttke, Inspektor. — Steinbach,
Stroh, Woll, Peter II, Tagesteiger. — Fuchs, Jost,
Corbe, Müller, Schmidt, Schneider, Woll Peter I,
Sekretäre.
Société Anonyme des Minos de Frankenholz.
Fernsprecher: Amt Mittelbexbach Nr. 2, 12, 27 u. 48.
Morel, Directeur général.
Mouette, Ingénieur en Chef.
Service du fond: Monpeurt, Riout, Lamberton, In-
génieurs. — Glawe, Markscheider. — Neue, Tromm-
ler, Betriebsführer. — Petermann, Schneider,
Wünsche, Sprunk, Singer, Fahrsteiger. — Barth,
Braun, Brück, Buschlinger, Degel, Dietrich, Dörr,
Ellenbürger, Feustel, Hau, Hetzel, Jungmann, Kurz,
Meininger, Nagel, Pichl, Pirrung, Renner, Rosendahl,
Stern, Sticher, Müller, Preiss, Sens, Mehlhorn,
Steiger.
Service du jour: Choné, Schausten, Ingénieurs. —
Müller Leop., Techniker. — Stetzer, Maschinenwerk-
meister. — Somplatzki, Fahrsteiger. — Cullmaun,
Tagsteiger. — Müller Job., Bausteiger. — Koch,
Elektrosteiger. — Sobetzki, Chef du Laboratoire. —
171
Köhler, Schlafhaus- und Kappellmeister. — Nagel
Aug., Bauaufseher. — Frisch, Mertens, Klein, Lauer,
Unteran gestellte.
Chenot, Ingénieur, Chef du Service de la. Compta-
bilité. — Lutter, Bureauchef. — Klein Fug., Klein
Max, Sekretäre.
Kasse und Buchführung: Clouet, Chef-comptable.
— Bettinger, Kassierer. — Schneider Karl, Buch-
halter.
Schichtmeisterei: Weinzierl, Inspektor. — "Oger,
Vérificateur. — Wambsganss, Assistent. — Pirrung,
Welsch.
Materialbureau: Hoffmann, Magazin Verwalter. —
Jost, Prowald, Collet, Magazinbeamte.
Expedition : Henschel, Expedient. — Kluding,
Joas.
Konsum: Lorch, Leiter.
Saar-Knappschaftsverein.
Saarbrücken 2, Triererstruße 8,
Telephon: Amt Saarbrücken Nr. 291, 302, 664, 665.
Kommissar des Sberbergamts zu Saarbrücken:
Dr. Neibecker.
Verwaltung.
'.Knappschaftsb or stand :
A. Vorstand der Arbeiter-Abteilung.
Massing, Ingénieur Principal, Vorsitzender- Destine,
Directeur Général; Morel, Directeur Général; Sainte-
Claire-Deville, Directeur technique; Plassard, Ingénieur
Principal; Lapierre, Ingenieur Principal; Delmer,
Ingénieur Divisionnaire; Holtzer, Chef de ta Section
du Contentieux; Monlm, Adjoint au Chef du Service
de la Prévoyance Sociale; Neis 3, Knappschaftsältester;
Micheli), I., Gemerkschaftssekretär; Klein, Knappschafts-
ältester; Schmidt-Koch, Knappschaftsältester; Micheli), P.,
Gewerkschaftsfekretär; Wagner, Knappschaftsältester, 1.
stellvertretender Vorsitzender; Mäsch, Knappichaftsältester;
Weisgerber, Knappschoftsältester; Treitz, Knappschafts-
ältester.
8. Vorstand der Angestellten-Abteilnng:
Massing, Ingénieur Principal, Vorsitzender; Raoux,
Ohes du Cabinet du Directeur-Général, et du Service
du Personnel; Bonaventura, Angestelltenältester, 2. stell-
bertretender Vorsitzender; Kratz, Gewerkschaftssekretär.
Knappschaftsverwaltung:
Knappschaftsdireklor: Kredel; — Knappschaftsoberamt-
männer: Tbinnes, Susewind, Fritzlche, Rendant, Haff-
ner, Honecker; — Knappschattsamtmänner: Pintschovius,
Liebig, Fans, Kirst, Haase, Abt, Schultze, Fritze, Wein-
gardt, Legrand, Bereits, Kühtze; — Knappschaflsober-
mspektore'n: Lipphard, Regitz, Zander, Pappelbaum,
Weth, Beermann, Hoppstädter, Küchenmeister, Paulus,
Bier; — Knappschaftsinspektoren: Müller, Märker, Köhl,
Keller, Hupvert, Burgardt, Heinrich; — Knappschafts-
obersekretäre: Koll, Lauer, Maul, A. Herrmann, Pfüll,
Neu, W. Herrmann, Crauser, Sparwald, Scheid, Warth,
Kersting, Schäfer; — Kltaopschaftssekretär: Becker; —
Knappschaftsassistenten: A. Schneider, Weis Bickelmann,
Jakob, Pabst, Kempf, Altpeter, Meiser, Boll, Hort,
Kanus, E. Köhl, Junold, Binkle, Rodermann, Wilhelm,
Weber, A. Schneider 2, Wilhelm Müller, Schöneberger,
Renno, P. Kliebenstein, Rabung, Hunsicker, Christ»,ann,
Runge, Marken, Meyer, Fr. Müller, G. Kliebenstein,
Melchwr, Jung, Alfr. Schmidt, Stein, Keller, Bohr,
Honecker; — Knappschaftsassistentinnen: Klein, Steinerner,
Schwiertz, Knörzer, P. Wagner, Gerhard; — Kranken-
besucher: Schäfer, Köhl, Kasper, Kremp, Morlo; —
Hausmeister: Enderlein, Eifenlauer;— Monteur: Lang;
— Telephonist: Reichert; — Pförtner: Klein.
Verzeichnis der Knappschaftsärzte.
«, -
A-s Fernruf
¡1 Itamen Wohnort * Grubentelephon
I© i Nr.
I. Vertrauensarzt:
! Dr. Maurer, G. S.-R. s Saarbrücken 2 II. Revierärzte: Saarbrücken 197
1 Dr. Herzog Saarbrücken 2 Saarbrücken 1696, 19
2 Dr. Schmitz Altenkessel Bölklingen 181
3 Dr. Thurn Fenne 686*
4 Dr. Böhler Völklingen
5 Dr. Riediger Schaffhausen Buß 195*
6 Dr. Schneiderhöhn Wadgassen 86
7 Dr. Sehl Ludweiler Völklingen 391*
8 Dr. Neugebauer, S -R. Fraulautern Saarlouts 581
9 Dr. Breuer, S.-R. Schwalbach Buß 85*
10 Dr. Schlarb Knausholz 10*
11 Dr. Plaßmann Püttlingen Völklingen 674*
12 Dr. Bohlmann Püttlingen Bölklingen 340*
13 Dr. Lang Sellerbach Heusweiler Saarbrücken M2
14 Dr. Tewes, S.-R. Buchenschachen 57*
15 Dr. Adolk Mayer Jägersfreude 4205*
16 Dr. Frank Dudweiler
17 Dr. Specht, S.-R. Sulzbach 205
18 Dr. Schultheß, S.-R. St. Ingbert St. Ingbert 37
19 Dr. Hartz
20 Dr. Feil Rohrbach St. Ingbert 104
21 Dr. Zeiz Brebach Saarbrücken 1945
22 Dr. Overmeyer KleinblitterSd.
23 Dr. Kuhn Ensheim Ensheim 5
24 Dr. Bartscherer Niederwürzb.
25 Dr. Kiefer Blieskastel Blieskastel 6
26 Dr. Jäth Wallhalben Wallhalben 11
27 Dr. Nllmann Homburg Homburg 141
28 Dr. Winkler 222
29 Dr. Braun 159
30 Dr. Arenhold Spiesen Neunkirchen 330
31 Dr. Trittelvitz Elversberg 321*
32 Dr. Ziemann Bildstock Sulzbach 229
33 Dr. Schnur Friedrichsthal 177
34 Dr. Berkenbusch, S.-R. Altenwald 286
35 Dr. Unterstenhöfer Sulzbach 199
36 Dr. Bivroux Sulzbach Saarbrücken 350
37 Dr. Heim Fischbach { 47 284»*
38 Dr. Faber Quierschied Sulzbach 232
39 Dr. Schönmeier Wahlschied Heusweiler 94*
40 Dr. Keipert, S.-R. Heusweiler 80
Dr .Nötiges (Wahlarzt) Saarwellingen 65
41 Dr. Schöneberger Saarwellingen 19
42 Dr. Zeppenfeldt Nalbach Illingen 15
43 Dr. Augustin Wiesbach 184
44 Dr. Müller Uchtelfangen 160
45 Dr. Büsch, S.-R. Illingen 63
46' Dr. Schmidt Merschweiler Neunkirchen 174*
47 Dr. Bartsch Reden 197*
48 Dr. Sehn Hetligenwald Illingen 596*
49 Dr. Nauhauser Wemmetsw. 191
50 Dr. Gram Schiffweiler
51 Dr. Sell, S.-R. Dr. Escher Ottweiler Neunkirchen 386
52 289
53 Dr. Kammenhuber Wiebelskirchen ,, 475
54 Dr. Schneider, S.-R. 419
55 Dr. Hild Neunkirchen 673
56 Dr. K. Schmidt, M.-R. „ 306
57 Dr. Thiery, S.-R. Neuukirchen 103
58 Dr. Inest
172
JQ § £ ES Namen Wohnort Kernruf * Grubentelephon ! Nr.
59 Di. Emil König Mittclbexbach Mltletbexbach 26
60 Dr. Fichtemeyer Frankenholz Bexbach 28*
61 Dr. Eisenbach Mittelbexbach 27*
62 Dr. Hegmann Waldmohr Waldmohr 90
63 Dr. Levi 6
64 Dr. Dahl Landstuhl Landstuhl 91
65 Dr. Ludwig König Ramstein Ramstein 233
66 Dr. Hust Glanmünchw. Glanmüttchw. 9
Dr. Falscher (Wahlarzts Miesau
67 Dr. Pracht, S.-R. Bruchmühlbach 8
68 Dr. Malter Schönenberg Waldmohr 84
69 Dr. Bernhard Herschweiler Konken 11
70 Dr. Scholiq St. Wendel St. Wendel 35
71 Dr. Schubmeht 56
72 Dr. Heinrich Mayer Marpingen Tholey 86
73 Dr. Bockelmann, S.-R. Tholey Illingen 1
74 Dr. Rössing, S.-R. Dirmingen 139
75 Dr. Altmeyer Eppelborn Lebach 59
76 Dr. Bartscherer Dörsdorf Tholey 65
77 Dr. Heldmann Lebach Lebach
78 Dr. Rammrath, S.-R. Bettingen Bertingen 8*
79 Dr. Sebastian Beckingen Beckingen 6
80 Dr. Mattißen, S.-R. Merzig Merzig 289
81 Dr. Amlinger Losheim Losheim 5
82 Dr. Haeber WeiSkirchen Wadern 220
83 Dr. Kunschert Wadern 383
84 Dr. Hackethal Hermeskeil
85 Dr. Schön Sötern TürkiSmühle 20
86 Dr. Sauer Nohfelden Baumholder 6
87 Dr. Darqe Berschweiler 6
88 Dr. Osthelder Kusel Kusel 75
89 Dr. Zimmer Altenglan
90 Dr. Schuhmacher St. Julian
91 Dr. Boy Reichenbach
92 Dr. Treusch Otterberg Kaiserslautern 17
III. Krankenhausärzte:
a) Für die Grubenabteilungen der Berginspekttonen 1, II und
XII sowie für das Steinkohlenbergwerk Labach-Reisweiler.
Dr. Lemmen Krankenhaus Völklingen
Völklingen
b) Für die Grubenabteilungen der Berginspektionen IV,V und
die Grubenabteilung Friedrichsthal der Berginspektion IX.
Dr. Lauxen ! Krankenhaus ; Sulzbach * I 11 *
Sulzbach j I 51
e) Für die Grubenabteilung Reden der Berginspcktivn VI,
sämtliche Grubenabteilungen der Berginspektionen VII u. VIII.
Dr. Engelken > Krankenhau-s ! Neunkirchen^ j 55*
Neunkirchen ! | 895*
d> Für die Grubenabteilungen der Berginspektionen III, X,
XI Grubenabteitung Jtzenplitz der Berginspektion VI,Gruven-
abteilung Maybach der Berginspektion IX, für die General-
direktion der Saargruben nnd deren Unterabteilungen (ser-
vices), Bergschule, Bergfaktorei, Hafenamt und Knappschafts-
Verwaltung.
Prof. Di. Trüner I Krankenhaus I Sulzbach I 36
! im Fischbachtale | ! 23
e) Für die Grube Frankenholz.
Dr. Eisenbach ! Krankenhaus
Frankenholz |
*) Auf die Erweiterung des Lazaretts kommen wir im nächsten
Kalender zurück.
Kernruf
Name» Wohnort * Grubentelephon
Nr.
I l 1 IV. Fachärzte für Auyeukraukheiten:
Dr. Basten Saarbrücken 1 Saarbrücken 727
Dr. WiederSbeiul 3 385
Dr. Schmack „ 3 1866
Dr. Kiefer Saarlouis Saarlouis 495
Dr. Langguth S -R. 1 und Dr. Danco | Nennkirchcn Neunkirchen 45
Dr. Schneider Völklingen Völklingen 419
Dr. Jakobi .502
V. Fachärzte für Hals-, Nasen- u Ohrenkrankheiten:
Dr. Lindemann S. R. Saarbrücken 1 Saarbrücken 2856
Dr. Morian 3 2145
Dr. Huber \ Dr. Schaede / „ 3 " 769
Dr. Rockenbach Nennkirchcn Neunkirchen 412 477
Dr. Schneider 419
Dr. Nieder Völklingen Völklingen 426
Dr Tuteur Saarbrücken.3 Saarbrücken 4796
Dr, Neck .. 3
VI. Fachärzte für Haut- und Geschlechtskrankheiten:
Dr. Henrichs Saarbrücken 3 Saarbrücken 2181
Dr. Meyer Otto .. 3 2836
Dr. Birringer > » 3089
Pros. Dr. Lissauer (
Dr. Behrend > Völklingen Völklingen 2581
Dr. Becker 525
Dr. Krämer Neunkirchen Neunkirchen 754
VII. Fachärzte für Zahnkrankheiten:
Li Zahnärzte:
Kamen Wohnort Wamen Wohnort
Dr. Wittenmeier Blieskastel Dr. Lattrich Neunkircheu
Dr. Wirth Brebach Dr. Huppert
Dr. Haan Buß Dr. Werle
Dr. Drexler Dillingen Dr. Kunz
Dr. Haas Dudweiler Dr. Klein Ottweiler
Dr Frisecke Elversberg Dr. Koster Püttlingen
Dr. Adt Eppelborn Dr. Helmbach Saarbrücken
Dr. Koch Friedrichsthal Dr. Dessauer
Dr. Becker Fraulautern Dr. Pulewka
Dr, Werle Homburg Dr. Lorber
Dr, Trippen Heusweiler Dr. Zimmer Saarlouis
Dr. Lehnen Hostenbach Dr. Werth Schiffweiler
Dr. Winter Hermeskeil Dr. Geißler Spiesen
Di. Trippen Illingen Dr. Bonerth St. Ingbert
Dr. Krebs Kusel Dr. Pohlmann St. Wendel
Dr. Seiwerl Lisdorf Dr. Tholey
Dr. Müller Landstuhl Dr. Richter Sulzbach
Dr. Trippen Landsweiler Dr. Müller Völklingen
Dr. Scherer Lebach Dr. Schlicker
Dr. Huppert Louisenthal Dr. Henkel Wal'd'mohr
Dr. Finger vierzig Dr. Salomon
Dr. Schöndorf Mittelbexbach Dr. Genfer Wehrden
Dr. Rawer Neuukirchen Dr. Wehr Wiebelskirchen
Dr. Lengler » Dr. Fickeisen Ziveibrücken
b) Dentisten:
Vogel Altenglan Lindner Elarenthal
Schmidt Altenkessel Krätschmer Elversberg
Schädel Luchs Ensdorf
Schuh cFrau) Altenwald Käppner Fenne
Stephan Brebach Odenthal Friedrtchsthal
Maurer Halberstadt Fraulautern
Kamp Beckingen Dr. D. S. Heidt
Wilms (Frau) Bildstock Schulz Frankenholz
Thobe Bettingen Gründel Freisen
Sauer Blieskastel Ecarius (Frl.) Glanmünchw.
173
Namen Wohnort Wohnort Atomen
Will Güchenbach Diesel Ottweiler
Geil Großrosseln Wagner Obermiesau
Weller Hermeskeil Hartmuth Oberohmbach
Limvach Heiligenivald Neumeyer Püttlingen
Sauer Hager Quierschied
Krämer Hülzweiler Müller Saararücken
Zipf Herrensohr Grahn
Krätschmer Hühnerseld Jostock Saarwellingen
Stein Illingen Hartmuth Kreutzer Schönenberg
Kukulus Ittersdorf Schwalbach
Maurer, Aloys Kaisen Pfad St. Wendel
Bregenzer Schwarz-Stein Kusel Kölln Schmidt-Henze (Frau) "
Votknecht-Haus Kleinblittersd. Wieser -
Braun (ijvau) Landstuhl Peter (Frl.) Sulzbach
Walter Landsweiler Joos
Schn Lebach Frantz Worch
Merkh Ludweiler
Vogel Merchweiler Jselt Tholey
Kiel Mittelbexbach Fleck, Theo
Beck Otterberg Heintz Wemmetsweil,
Eischmann Buckle Waldmohr
Becker Ottweiler Boldorf Wadern
Vili. Familien-.ttrankenfiirsorge-Ärzte:
Aame» Wohnort Aernruf I Nr.
Vr. Heß Saarbrücken 5 Saarbrücken 2018
vr. Schröder i 4812
Vr. Staudacher „ 5 Louifenthal Völklingen 2618
vr. Henvrix 444
vr. Ladner Völklingen 81
vr. Wolfs Wehrden 24
vr. Daubach Fraulautern Saarlouis 571
vr. Hannig Ensdorf 675
vr. Deilmann Dillingen 244
vr. Makhieu Saarlouis 300
Vr. Gretscher Roden 412
vr. Schwabe, S.-R. Buß durch Centrale der Röhreniveike kn Butz 85
vr, König Güchenbach Heusweiler
vr. Hllgo Meyer Herrensohr 286
vr. Baentsch Brebach Saarbriicken
vr. Niedlich Gersheim 1945
vr. Koch Gersheim 16
vr, Weber Friedrichsthal Sulz dach 137
vr. Harlandc Altenwald Neunkirchen 286
vr. Diederichs Schissweiler 141
vr. München Neunkirchen 193
vr. Werner 700
vr. Wolfs Wiebelskirchen 161
vr. Konrad 154
Vr. Gänsen Limbach 60
vr. Balles St. Wendel St. Wendel
vr. Kockler Baumholder 33
vr. Fischer
vr. Kilburg Oberkircken n
vr. Löblein Nohfelden Türkismühle
Knappfchaftsälteste:
£ u LK © Howe der Knappschaftsäktesten Wohnung Beschäfti- gung sstelle Inspektion
a) Pensionskasse A.
1 Butz Johann Saarbrücken Hafenamt
2 Paul Jakob Rußhütte IV Jägersfr.
3 Wagner Philipp Heinr. Saarbrücken 5 111
4 Büch Edmund Gersweiler II
5 Mügel Friedrich Clarenthal II
6 Dierstein 2 Karl H. Fiirstenhausen II
§ E- «s Wame der Auappschaftsättesten Wohnung Beschäfti- gungsstelle Inspektion
7 Meyer Wilhelm Ludweiler XII
8 Ulrich 2 Konrad Ludweiler Xll
9 Dörr Ludwig Geislautern Pens. XII
10 Harz Nikol. Bölklingen II
11 Brenner Balent. Obervölklingen 11
I2a Brixius Jakob Altenkessel II
12b Litzenburger 1 Matth. Neudorf II
13a Bliun Adolf .Herrensohr XI
13b Schaff Karl IV
14a Felzen Heinrich Jägersfreude IV
14d Matter Jakob Dud Weiler IV
15 Reiser 2 Johann Scheidt IV
16 Petry Peter Bliesransbach Hafenamt
17 Batter 4 Matth. Erfweiler IV
18 Knerr Paul Rubenheim IV
19 Nikolaus Michel Blieskastel IV
20 Gras Nikolaus Lautzkirchen St. Ingbert
21 Bohr 1 Peter Niederwürzbach
22 Anstadt Johann Neuhäusel VII
23 Abel 2 Johann Rohrbach VII
24 Thomas 3 Peter Hassel St. Ingbert
Rischmanu Eugen St. Ingbert
25b Fettig 1 Josef Neuweiler
26 Quarz Johann V
27a Brunnet Kart Sulzbach V
27b Schorr Heinrich V
27e Spies Heinrich Altenwald V
28a Müller 3 Karl V
28b Mokier Joh. Bapt. V
29 Staub 4 Johann Hühnerfeld V
30a Wann Gotthold Dudweiler IV
30b Heil 2 Friedrich IV
30e Krämer August IV
30d Schade Karl IV
3t Quirin Georg Fischbach XI
32 Hermann Stefan Riegelsberg m
33 Sander 10 Peter Hilschbach in
34 Adain 2 Peter Buchenschachen in
35 Hubertus Jakob Ritterstraße n
36a Marken Michel Püttlingen n
36b Hoffmann Georg ii
36 c Schmidt Philipp Engel fangen n
37 Altmeyer 50a Peter ij .
38 Arwetter Johann Derlen ii
39 Blaß 8 Peter Griesborn i
40 Schmitt Georg Schafihausen Hostenbach
41 Heu Peter Hostenbach I
42 Augustin Michel Differten XII
43 Trockle Johann Lisdorf I
44 Freyermuth Anton Fraulautern I
45 Schmidt 4 Michel Ensdorf I
46 Lichter Peter Schwalbach I
47 Schmidt 7 Peter Hülzweiler I
48 Maas 4 Jakob Schwarzenholz II
49 Sander 4 Christ. Walpershofen III
50 Bourens Peter Heusweiler X
51 Allmeyer 27 Jakob Dilsburg X
52 Zimmer 11 Johann Kutzhof X
53 Wann Jak. Anton Holz X
54 Schmidt 4 Nik. Göttelborn X
55 a Beres Nikolaus Quierschied IX
55b Theres Nikolaus XI
56 a Dörr Jakob Merchweiler IX
56b Meiser 10 Peter IX
57a Wagner 6 Wilh. Heiligenwald VI
57 b Philippi Peter Bildstock VI
58a Hau 2 Jakob IX
58b Steinbach Peter FrtedrichSthal IX
59a Hauppenthal Jakob Karl IX
59b Bircel Peter V
60a Becker 4 Peter Landsweiler bjRed. VI
60b Holzer Karl Elversberg VI
61a Euschen Julius VII
61b Stein Jrz. Jakob VII
61c Bender Jakob Karl Spiesen VII
62a Lentes Joh. Nikol. VII
62b Ramo Jakob vn
63a Bolz Benjamin Neunkirchen VIII
63b Dörr Friedrich VIII
63c Harz Alfons vni
64 Dorst Karl Wellesweiler VIII
65 Fell Adolf Ludwigsthal VII
66 a Jäger August Mittelbexbach 1 VIII
p
G
66b
67
68
69
70
71
72
73
74
75
76
77
78
79
80
81a
81b
82
83
84a
84b
85a
85b
86
87
88
89
90
91
92
93
94
95
96
97
98
99
100
101
102
103
104
105
106
107
108
109
HO
111
112
113
114
115
116
117
118
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174
Mahnung
Beschästi-
gungsstelle
Inspektion
Mittelbexbach
Limb ach
Erbach
Kirrverg
Kl. Bundenbach
Bubenhauscn
Ktnsbach
Obermiesau
Gries
Waldmohr
Jägersburg
Oberbexbach
Frankenholz
Münchwies
Hangard
Wiebelskirchen
Ottweiler
Stennweiler
Schiffweiler
Wemmetsweiler
Hüttigweiler
Welschbach
Wustweiler
Gennweiler
Uchtelfangen
Humes
Wiesbach
Eppelborn
Burbach
Lebach
Landswetler
Labach
Saarwellingen
Piesbach
Fremersdorf
Bachem
Düppenweiler
Außen
Hüttersdorf
Bettingen
Thalexweiler
Steinbach
Hasborn
Bergweiler
Berschweiler
Urexweiler
Marpingen
Alsweiler
Theley
Osenbach
Bliesen
Namborn
Breiten
Niederlinxweiler
Fürth
Roschberg
Oberkirchen
Hoof
AUenkirchen
Brücken
Haschbach
Wahnwegen
Rathsweiler
Ramstein
Meülbach
Berschweiler
Freisen
Nohfelden
Gonnesweiler
Bosen
Züsch
Sitzerath
Castel
Lockweiler
Noswendelroth
Medern
Weiskirchen
Neunkirchen
Wahlen
Hausbach
Bexbach
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IV
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b) Angestellten - Älteste.
Sprengel Aamen Urrus Wohnung Beschäs- tigungs- stelle
I <B.-J. I und XII) Andre Matth. Steiger Schwalbach Hauptstr. 482 I
II (B. J. II und III) Weiß Fritz Förder- maschinist Ottenhausen II
III (B.-J. IV,V u.St.Jngb.) Hinsberger Jakob Steiger Herrensohr Petrusstr.36 IV
IV B.-J. X und XI) KochemS Nikolaus Fahrhauer Fischbach (100 Quier- schiederweg) XI
V (B.-J. VI und IX) Bonaventura Peter Assistent Heiligen- wald VI
VI (B.-J. VII und VIII) Steinmetz Wilhelm Förder- machinist Neunkirchen Prinz-Hein- rich-Str. 60 Vili
vn (Bexb. und Frankenh.) Wambsgans Jakob Schicht- meister Frankenholz Franken- holz
VTII (Saarbr. Bergverw.) Manz Karl Kanzlist Saarbrücken Berg- schale
IX (Kn.-Verw. u. La zar.) Aitmeyer Georg Oberwärter Sulzbach Kn.-La- zaretk
Saar-Knappschastsöerufsgenossenschast.
Saarbrücken 2, St. Johannerstraße 40. .
Vorsitzender: Sainte Claire Deville, Directeur
Technique.
Stellvertreter: Dr. Banr, Professeur agrégé du Vai-
ci e-Gräce; Delmer, Chef du Service de la Prévoy-
ance Sociale.
AerggeweröegerichL zu Saarörücken.
Vorsitzender: Laudgerichtsdirektor Prüfner,
Saarbrücken.
1. Kammer Saarbrücken, im Landgericht zu
Saarbrücken. Vorsitzender: Landgerichtsdirektor
Prüfner. Gerichtsschreiber: Reg.-Obersekretär Klaus,
Saarbrücken. Geschäftsräume: Hohenzollernstraße 62.
Beisitzer: a) Arbeitgeber: Ing. Div. Standeart,
Louisenthal- Ing. Div. Eloy, Jägersfrende - Ing. Div.
Penaud, Camphausen - Ing. Div. Lapierre, St. Ingberts
Ing. Div. Roy, Steinbach - Ing. Principal Witier,
Dudweiler- Ing. 0rd. Boucher, Saarbrücken. b) Arbeit-
nehmer: Ort-Thiel, Bergmann, Heusweiler- Salm
Mathias, Bergmann, Hühnerfeld - Süß Michel, Berg-
mann, Brebach- Weyrtch 3 Peter, Bergmann, Hassel-
Steffen Karl, Bergmann, Güchenbach - Dewes Peter2,
Bergmann, Sulzbach- Spang Mathias 4, Bergmann,
Dudweiler- Marken Peter, Bergmann, Eppelborn.
2. Kammer Völklingen, im Amtsgericht zu Völk-
lingen. Vorsitzender: Amtsgerichtsrat Reuter. Ge-
richtsschreiber : Justizoberinspekror Fischer, Völklingen.
Beisitzer: Forissier, Ing. Div., Louisenthal- Boileau,
175
Ing. Div., Püttlingen - Bose, Ing. Div., Welsen-
Regnier, Ing. Div., Ensdorf- Queval, Ing. Div.,
Louiseuthal- Jacquard, Ing. Div., Hostenbach - Hein-
rich Mollet, Bergmann, Ludweiler- Reu Johann,
Bergmann, Schaffhaufen- Peter Conrad, Bergmann,
Püttlingen- Michel Schmitt, Bergmann, Ensdorf-
Johann Strumpler A, Bergmann, Schwalbach-
Schmidt Jakob 26, Bergmann, Engelfangen.
3. Kammer Sulzbach, im Amtsgericht zu Sulzbach.
Vorsitzender: Amtsgerichlsrat Jakobi. Gerichts-
schreiber: Justizinspektor Bier, Sulzbach. Beisitzer:
Boudoire, Ing. Principal, Sulzbach - Gaviard, Ing.
Principal, Friedrtchsthal- Daubresse, Ing. Principal,
Göttelborn- Faucher, Ing. Div., Altenwald- Eltges,
Ing. Div., Friedrichsthal- Plessy, Ing. OrcL, Göttel-
born - Johann Weber, Bergmann, Friedrtchsthal -
Lambert Mathias, Bergmann, Humes- Altmeyer-
Schönenberger, Bergmann, Dilsburg, Wilhelm König,
Bergmann, Höhnerfeld- Zimmer Johann, Bergmann,
Neuweiler- Johann Weber, Bergmann, Hühnerseld.
4. Kammer Neunkirchen, im Amtsgericht zu Neun-
kirchen. Gerichts-Vorsitzender: Amtsgerichtsrat Herx,
Neunkirchen. Gerichtsschreiber: Justtzoberinsvektor
Brandt, Neunkirchen. Beisitzer: Claudet, Ing., Redeu-
Querin, Ing. Div., Frankenholz- Boulzaguet, Ing.
Div., Reden- Hautter, Ing.^Div., Dech^i- Claude,
Ing. Orck, König- Grancher, Ing. 0rck.,*Kohlwald-
Walter Friedrich, Bergmann, Landsweiler- Weber
Philipp, Bergmann, Ottweiler- Kollinger Otto,
Bergmann, Bockhof- Rammo Jakob, Bergmann,
Spiesen- Cterend Johann, Bergmann, Spiesen-
Gießler Siegfried, Bergmann, Neunkirchen.
Die deutsche Vlnnenschissaffrt.
(Neue deutsche Wasserstraßen.)
er alte Traum einer Verbindung zwischen Nord-
see und Schwarzem Meer soll verwirklicht wer-
den. Bereits arbeitet man in Bayern eifrig an
der Erstellung des Großschiffahrtswegs
„Rhein — a i n — Dona u". Ein nicht unbe-
deutendes Stück, der „L u d w i g s k a n a l" ist, wie
wir aus der Karte sehen, zwischen Regensburg und
Nürnberg schon vollendet.
Das zweite große Kanalprojekt ist der Mittel-
landkanal, der den Rhein mit der Elbe verbinden
soll. Auch er ist als Großschiffahrtsweg gedacht und
durch seine fertigen Teile besteht bereits jetzt die Ver-
bindung vom Rhein bis Hannover (unter Benutzung
des Rhein-Herne- und des Dortmund-Ems-Kanals).
Als wichtigste der geplanten Neubauten sind zu be-
zeichnen: zunächst einmal die Kanalisierung
von Mosel und Saar, was uns hier beson-
ders interessiert, weil es gewissermaßen die Fort-
setzung der nach Westen geschaffenen Verbindung des
Saarkohleukanals, über den wir im Ka-
lender 1925 berichteten, darstellt; ferner die Kanalisie-
rung der L a h n, der Sieg, des Main und des
Neckar. Alle diese Kanalanlagen sollen gleichzeitig
mit Kraftwerken verbunden werden.
Im Zusammenhang damit sind zwei weitere be-
deutende Projekte sehr bemerkenswert:
Der Neckar-Donau-Kanal soll den Neckar verlängern
und von Neckarems über Plochingen zur Donau
gehen, die er von Plochingen aus in 63 km Länge
bei Ulm erreichen würde. Eine Höhe von 568 m
trennt die beiden Flüsse.
Der Kanal von der Donau zum Boden-
see soll Bayern mit der Schweiz verbinden.
Er ist für Kähne von nicht weniger als I960 t vor-
gesehen. Die Länge dieses Kanals soll 103 km be-
tragen. Auch hier ist wiederum eine Höhe von 546 m
zu überwinden.
Wegen der kurzen Strecken und der starken Höhen-
unterschiede muß man Schleußenkammern von un-
gewöhnlichem Ausmaß verwenden. Während s o n st
der einzelne Schleppkahn gehoben wird, hat mau
hier Schleußen von 200 bis 300 m Länge vorge-
sehen, die gestatten, den ganzen Schleppzug
zusamt seinem Schlepper auf einmal zu
heben. Und dabei hat der einzelne Kahn wenigstens
1000 Tonnen Gehalt. Dazu kommen noch die beson-
deren Schwierigkeiten, die durch die leichte Möglichkeit
von Frostschäden in 568 m Höhe entstehen, und
denen durch außerordentliche Vorsichtsmaßregeln vor-
gebeugt werden muß.
Und doch würde auch dies Stückwerk bleiben, hätte
man nicht gleichzeitig auch wieder die direkte gerade
Verbindung Bayern-Nordsee projektiert, die
den Seeverkehr von der Donau nordwärts mitten durch
Deutschland nach Bremen bringen soll. Zwei Wege
kommen in Betracht, den beiden Ouellflüfsen der Weser
entsprechend: das eine Projekt, der Werra-Jtz-Kanal,
würde von H a n n. - M ü n d e n bis Bamberg
führen. Nach dem zweiten Plan soll der Kanal im
Fulda- und F l i e d e t a l aufwärts führen und
bei Schlüchtern sich teilen, von wo der eine Arm
der Kinzig entlang nach Hanau und der an-
dere der Sinn entlang nach G e m ü n d e n führen
würde.
Aber das sind noch lange nicht alle Projekte. Hinzu
kommen noch, um nur die wichtigsten zu nennen: der
Hansa- oder Rhein-Nordsee-Kaual und
die Verbindung der Weser mit den Elb-
Häfen durch den Bramsche-Stader bezw. Ems-Huute-
Kanal; die Zweigkanäle zum Mittelland-
kanal nach H i l d e s h e i m, Braunschweig und
B e r n b u r g, und als Ergänzung ein Kanal Elbe-
Oder von' Dresden nach Frankfurt/O.;
die Verbindung Leipzigs mit der Saale und
der Elbe im Anschluß an den Großschiffahrts-
weg Berlin-Stettin; endlich die Anschließung
von M ü n ch e n und Augsburg an das Rhein-
Donau-Projekt, sowie ein Donauseitenkanal von K e l -
beim bis U l m. Das sind die eigentlichen deutschen
Kanalprojekte; dazu kommt noch der Ausbau der
Flüsse; so plant Bayern die Donau-Regulierung
für Großschifsahrt bis zur Landesgrenze. Vom Main
und den übrigen Rheinnebenflüssen haben wir ja schon
gesprochen.
Das wichtigste Projekt aber, das am meisten uns
auch hier interessiert, mehr noch als die Nord-Süd-
Verbindung oder der Wasserweg vom Rhein
bis nach Rußland hinein, ist der Ausbau des
Rheines selbst für große Binnenschiffe, die bislang
meistens nur bis Mannheim gelangen, bis zum
Bodensee.
Endlich kommt als letzter, aber wohl bedeutendster
Plan der schon im Friedensvertrag vorgesehene
Rhein-Maas-Schelde-Kanal mit seiner
Erschließung auch des wichtigen linksrheinischen In-
dustriegebiets für die internationale Schiffahrt.
Ein paar Rezepte.
Fischgulasch ist ein kräftiges Gericht siir den Alltag.
Man bereitet es aus rohen Fischstückchen, Zwiebel-
würfeln und Kartoffelscheiben; die man zusammen in
Butter oder Margarine braun brät, mit Mehl über-
streut und mit Aufguß von ein wenig kochendem
Wasser etwas schmoren läßt. Man kann dies schnell
fertige Gericht auch durch Beifügung von Tomaten-
oder geschälter Apfelscheiben beliebig im Geschmack
verändern.
Gebackene Kartoffeln mit Überraschungen. In
Scheiben geschnittene Pellkartoffeln werden mit
Fleischextrakl, Salz, Pfeffer, Fett, grob geschnittenen
Schinkenspeckwürfeln, Zwiebelscheiben, gehackten Bra-
tenresten oder kleinen Fleischklößchen und rohen To-
matenstücken vermengt. An Stelle der Tomaten kann
man ebensogut das in Büchsen käufliche Tomaten-
püree verwenden. Die vorbereitete Backform wird
mit diesem Gemengsel gefüllt. Alles wird mit ge-
riebenem, grünem Käse bestreut, der dem Gericht eine
pikante Würze verleiht. Die üblichen Butter- oder
Fettflöckchen fehlen auch hier als Krönung nicht. Man
läßt alles im Bratofen schön braun braten, muß je-
doch unbedingt hierbei mit einer Bratzeit von min-
destens einer Stunde rechnen. Hat man noch To-
matenpüree übrig behalten, so kann man daraus eine
Sauce herstellen, die, zu der in der Backform bereiteten
Speise serviert, deren Wohlgeschmack noch erhöht.
jer Mensch bedarf des Menschen sehr
Zu seinem großen Ziele;
Nur in dem Lanzen wirket er;
Viel Iropfen geben erst das Meer,
Viel Wasser treibt die Mühle. Schiller.
Dem Rcitselonkel wird es schwül.
Sieht ec dec Briese Riesenberg . . .
WWWMMMMMRUUWUUUMUMMM
Auflösung unö Gewinner
unseres
Preisrätsels im Kalen-er 192b.
Der arme Rätselonkel hat, wie man hier sieht, unter der Last der
eingehenden Briese (über 2000!) arg schwitzen müssen. Es machte ihm
zwar Freude zu sehen, wie gut er diesmal den Geschmack seiner lieben
Leser getroffen hat,- er hat auch manchmal über eine Lösung oder den
Begleitbrief dazu gar herzlich lachen müssen, doch oft hat er auch gestöhnt,-
denn er wußte gar bald, wie die Bauersfrau es machen sollte, und auch,
welche Seite die meisten Buchstaben „S" hatte, aber er mußte es sich doch
immer wieder zeigen lassen, mitunter in sechs und mehr Seiten langen
Briefen.
Damit seine lieben Rätselnichten und -Neffen aber auch etwas von dem
Spaß mitbekommen, will er diesiual nicht bloß so trocken das Resultat
hinschreiben, sondern hat das Ergebnis in lustige Reime gebracht:
Also,§rage 1:
Des Rätselonkels Bauersfrau,
nein, die ist diesmal wirklich schlau,
denn sie versteht die Milch zu messen,
trotzdem sie's Litermaß vergessen.
Das „Messen" wär' nur halb so schwer,
wcnn's nicht fiir'n Bürgermeister wärst
die Obrigkeit prüft sehr genau
das Quantum Milch der Bauersfrau.
Drei Einrer ganz verschieden groß —
der kleinste faßt 3 Liter bloß,
der zweite 5, der größte 8 —
hat sie als Maß sich ausgedacht.
Ter größte (Linier, wohlbekannt,
ist angefüllt bis an den Rand;
sie hat in düstern Stalldunstwolken
8 Liter Milch hineingemolken.
Nun gießt sie ans dem Achter-Eimer
5 Liter Milch (kein'n Rüdesheimer)
in Eimer II, den mittelgroßen,
den sie beinah hätt' umgestoßen.
3 Liter Milch vertraut sie dann
aus Eimer zwei dem kleinsten an
und ist sich nun darüber klar,
daß dieser Guß der zweite war.
Vom kleinsten Eimer gießt im Nu
den Inhalt sie dein größten zu.
Ties wird doch jeder recht versteh'n?
der dritte Guß ist jetzt geschehn. —
Im mittelgroßen, wißt ihr doch,
befinden sich 2 Liter noch,
Sie schüttet diese nun pick fein
in den 3 Liter-Eimer 'nein.
So hat sie viermal umgegossen,
doch ist sie deshalb nicht verdrossen,
nein, nimmt den großen Eimer 'ran
und füllt daraus den „Fünfer" an.
Nun endlich kommt die Frau zum Schluß,
zum kleinsten Eimer fließt der Guß,
demselben wird vom mittelgroßen
1 Liter gnädigst abgestoßen.'
Die Milch ist hin und her geflossen,
nur 6 m a l wurde umgegossen,
so kommt die Frau durch klugen Rat
zu nachgenanntem Resultat:
Im großen Eimer bleibt nur einer,
vier Liter in dem zweiten Eimer,
im kleinsten Eimer bleiben drei,
dies ist die ganze Hexerei.
Die vier im Fünfer-Eimer drin
trägt fröhlich sie zürn Rathaus hin. —
Es prüft die hohe Obrigkeit
und tobt die Lösung als gescheit.
(Einsender:
Wilhelm Langendörfer,
Kohlenexpedieut auf Grube Hostenbach).
12
178
Der Rätselonkel fügt hinzu:
Doch, wer erreicht dies Resultat
Und dann noch einmal weitergießt,
Des Onkels Herz gar schwer verdrießt,
Da er die Umgußzahl vermehrt;
Desgleichen er mit Arger hört,
Wenn einer umgekehrt verfährt,
Mit „3" anfängt, oder gar hat
uerst die beiden Eimer voll-
egossen, und gießt dann zurück.
So'n Ungeschick hat niemals Glück. —
Doch wird der Onkel wahrhaft toll,
Wenn, trotzdem klar es war gesagt,
Die Frau erst noch ein „Maß" sich fragt
Beim Bürgermeister oder Kaufmann;
Der Onkel sagt: „Das gilt nicht! — Lauf man! —
Und manchmal rät ja einer „wiegen
Soll man die Milch" oder auch „messen
Den Abstand und ihn dann am Eimer
Mit Bleistift oder Kreide merken," —
„Da kann man graue Haare kriegen!",
Der Onkel sagt, muß erst sich stärken,
Eh' fort er fahren kann als Reimer. —
Doch bald hätt' eins ich noch vergessen,
Was ihm am meisten Spaß gemacht.
„Man füll'" — riet einer — nun gebt acht:
,D)en Dreier erst einmal mit Wasser,
Gieß in den Fünfer ihn zur Probe,
Dann zweimal Milch drauf, je zwei Liter
Sind es dann, macht zusammen viere." —
Der Onkel sagt: er sei kein Prasser,
Doch tränk er das nicht; zwar er lobe
So ein Geschäft, doch glaub' er, bitter
Würd' drob der Bürgermeister schelten,
Würd' sagen, daß nicht einmal Tiere
Milch tränken, die getauft so sehr,
Er müsse dies bestrafen schwer. —
Drum kann d i e Lösung auch nicht gelten.
* *
*
Doch nun voran zur
frage 3wei:
Ob auch der Kopf brummt, hier heißt's zählen,
Doch braucht man nicht erst lang zu wählen,
Zu nennen nicht die anderen Blätter
Noch auch die Zahl der „s". — Doch hätt' er,
Der Onkel, gern hier klipp und rein
Gesagt, daß einzig und allein
Zu nennen sei Seite „E 2"! —
M. H. B.
Ein anderer Löser schrieb, sicher allen aus der Seele
heraus :
So, mein liewer Rätzel-Unkel
Die do Sach wär' as Widder g'macht! —
S'Rätzel wor jo e bische dunkel,
Hascht doch im Stille scho g'lacht
On hascht gedenkt, do kinne se beiße
Sich die alte Storze aus. —
Bei mir wor's nur zum Hohrausreiße,
Die Storze sin schon längst heraus. —
Jetzt awer Hann ich's üwerstann
Un hoff, dat es richtig wär!
d'Brief geiht jetz nach Sann Jehann;
Jetzt Unkel, mach ma kä Mallär.
(Peter Klcisen, Bergmann in Hostenbach.)
Der Rätselonkel hofft, daß er diesmal kein „Mallär" ge-
macht hat, sondern daß alle seine Leser diese Lösungen mit
ebensoviel Behagen genießen, wie er sie zu Papier gebracht.
Er dankt herzlich all' den Einsendern, die ihm u. a. auch eine
ganze Anzahl hübscher Gedichte und launischer Briefe sandten
— leider können wir sie schon aus Platzmangel nicht alle
abdrucken — für ihre große Mühe. Also : es war nicht ge-
fordert, die Zahl der 8 anzugeben (gesagt sei aber, daß es
auf Seite E 3: 132 Stück sind)/ klar war auch, daß der Passus
„enthalten mehrere Seiten die gleiche Zahl 8, so sind
diese Seiten sämtlich anzugeben", sich nur aus den Fall
bezog, daß eben die höchste 8-Zahl sich auf mehreren Seiten
wiederholt hätte, denn natürlich hatte der Rätselonkel die 8
vorher auch noch nicht gezählt. — Einige Einsender haben
auch gemeint, es sei hier wieder eine Scherzfrage versteckt,
und zu des Onkels größter Überraschung haben sie die An-
zeige von S. Georges Leoy, Seite 7, genannt, weil es da
heißt „Über 1000 Etz- und Schlafzimmer". — Nein, daran
hatte der Rätselonkel im Traum nicht gedacht, ebensowenig,
daß jemand sämtliche 8 der Anzeigen im Kalender zählen
würde,- es seien 8133 Stück. Der Onkel hat sie aber nichr
nachgezählt! —
Es waren insgesamt 2067 Lösungen; hiervon waren
von vornherein 7 wegen Fehlen des Ausweisscheines
oder Nichtberechligung der Einsender ungültig, 3 kamen
zu spät. Von den verbleibenden 2057 gültigen Ein-
sendungen waren weitere 308 falsch, sei es in beiden,
fei es in einer Antwort, 312 hatten in der Antwort
zu Frage 1: acht und mehr Umgießungen, 409 sieben
und endlich 1028 die richtige Zahl von sechs Umgüssen.
Da nur 111 Preise zur Verfügung standen, mußten
die Gewinner durch Los ermittelt werden. Diese Ver-
losung fand statt am 1. Februar 1926 im Beisein der
Herren Vertrauensniänner Jakob K o l l i n g und
Friedrich Barthel vom Hafenamt in Malstatt.
Es erhielt den ersten Preis in Höhe von 700 Frs.
Herr August Savelkouls, Bergmann, Grube
Jägersfreude, den zweiten Preis in Höhe von
3 0 0 Francs Herr Johann Recktenwald 6,
Bergmann, Grube Altenwald, den dritten Preis
in Höhe von 2 0 0 Francs Herr Jakob Morgen-
stern, Bergmann, Grube Dechen.
Die übrigen 4 Preise zu 100 Francs, 4 Preise zu
50 Francs, 20 Preise zu 20 Francs und 80 Preise
zu 10 Francs verteilen sich wie folgt:
Francs
Damian Blas, Bergmann, Grube Victoria .... 100.—
Mathias Kneip, Aufseher, Grube Jägersfreude . . . 100.—
Carl Bald auf, Vermeß-Zeichner, Grube Camphausen 100.—
Jak. Spitzmüller, Bürogeh. Hauptmagazin, Dudweiler 100.—
Mich. Peter Brück, Heizer, Grube Bildstock .... 50.—
Peter Langenfeld 8, Bergmann, Dio. Griesborn . 50.—
Peter Emanuel, Telegr.-Arb. Saarbrücken 2 ... 50.—
Otto Hözel, Bergmann, Grube Heimtz............... 50.—
Peter Conrad Bergmann, Püttlingen................20.—
Wilhelm Knauber, Bergmann, Grube Steinbach . . 20.—
Metha Posch, Engelfangen................... 20 —
Kathar. Mulhäuser, Bürogehilfin, Hauptmagazin . . 20.—
Peter Nikoi. Bieringer, Bergmann, Grube Spiesen . 20 —
Georg Schäfer, Bergmann, Grube Jägersfreude . . 20.—
Rud. Eisner, Bergmann, Grube Camphausen. . . . 20.—
Georg Jung 15, Masch.-Wärter, Grube Camphausen 20.—
Adolf Krämer, Arbeiter, Wecherzentrale, Göttelborn . 20.—
Wilhelm Schank, Bergmann, Spiesen................ 20.—
Peter Steinmann 1, Kesselwärter, Louisenthal . . , 20.—
Jakob König, Bergmann, Grube Reden...............20.—
Peter Litzenburger, Schlosser, Grube Rudolf .... 20.—
Valentin Ninnig, Bergmann/ Grube Josepha . . . 20.—
Albert Reis, Bergmann, Elversberg................... 20.—
Hermann Rau, Schlosser, Werkstatt Altenwald . . . 20.—
Rudolf Seiwert, Bergmann, Ensdorf................... 20.—
August Zirbes, Bergmann, Rudolfschacht.............. 20.—
179
Francs
Ludwig Deckert, Fahrsteiger, Jägersfreude...........20 —
Math. Frank, Bergmann, Grube von der Hehdt. . . 20.—
Peter Zimmer, Bergmann, Rudolfschacht...............10.—
Frau Friede! Sokoll, Service Conimercial ... . 10.—
Ludwig Borschel, Bergmann, Grube Helene...............10.—
Peter Eich, Telephonist, Heinitz......................10.—
Konr. Hey, Bergmann, Grube Velsen.....................10.—
Mich. Steuer, Meister, Bachem....................... . 10.—
Katharina Weber, Heiligenwald.......................10.—
Joh. Marbach, Bergmann, Grube Landsivciler . . . 10.—
Joh. Jak. Müller, Bergmann, Alteuwald, Schlafhaus 5 10.—
Karl Treitz, Bergmann, Elversberg................... 10.—
Karl Heinz, Pensionär, Heiligeuwald...................10.—
Joh. Jochuni, Bergmann, Grube Göttelborn . . . 1<).—
Liselotte Paulus, Dudweiler ........................ID.—
Alois Bost, Bergmann, Quierschied...................10.—
Karl Schmidt, Bergmann, Grube Reden.................10.—
Jakob Müller, Bergmann, Grube Helene..................10.—
Peter Lackas, Schlosser, Werkstatt Belsen...........10.—
Georg Altmeyer, Bergmann, Grube Edward .... 10.—
Jojef Barth, Zeichner, Markschetderbüro, Velsen . . 10.—
Josef Schinhofen, Bergmann, Grube Htrschbach. . . 10.—
Hans Hering, Hühnerfeld ..............................10.—
Albertine Hebel, Dudiveiler...........................10.—
Herm. Bach, Knappschaftskassensekretär, Gruben Hosten-
bach ................................................ 10.—
Heinrich Kerner, Sekretär, Service Commercial. . . 10.—
Peter Paul, Schlosser, Grube Maybach................10 —
Carl Corbe, Pensionär, Neunkirchen....................10.—
Karl Schneider, Buchhalter, Grube Frankenholz. . . 10.—
Heinrich Falk, Grube Mellin...........................10.—
Peter Pitz. Sekretär, Grube Jtzenplitz................10.—
Peter Mathieu, Kutscher, Grube Heinitz..............10 —
Berta Müller, Revcn. . 10.—
Pet. Krämer, Bergmann, Grube Göttelborn .... 10.—
Max Zewe, Heizer, Grube Reden..................... 10.—
Christ. Roller 7, Schlosser, Grube Hirschbach .... 10.—
Heinrich Groß, Bergmann, Grube Altenwald .... 10 —
Peter Utter, Bergmann, Grube Helene...................10.—
Hilar. Kiefer, Bergmann, Grub^ Gerhard.............10.—
Licht, Sekretär, Grube Jtzenplitz.....................10,—
Rud. Schneider, Bergmann, Grube Dechen .... 10.—
Nikol. König, Bergmann, Altenkessel................10.—
Jakob Eckert, Bergmann, Grube Maybach.............10.—
Joh. Hoffmann, Bergmann, Grube Reden................10.—
Rich. Schneider, Schlosser, Grube Brefeld.............10.—
Friedr. Schiffler, Mooellschreiner, Bildstock.......10.—
Joh. Backes 3, Bergmann, Grube Reden...............10.—
Friedr. Weber, Grubenschlosser, Grube Victoria . . . 10.—
Walter Abriß, Bergmann, Grube Neunkirchen .... 10.—
Josef Elz, Wächter, Bergfaktorei Saarbrücken .... 10.—
Karl Hafner, Berginvaltde, Fürstenhausen..............10.—
Heinrich Blaß 8, Bergmann, Grube Victoria .... 10.—
Rudolf Ehrhardt, Gärtner, Grube Mellin..............10.—
Anton Weber, Bergmann, Grube Heinitz..................10.—
W. Dahm, Steiger, Grube Belsen......................10.—
Wilh. Schmidt, Bürogehilfe, Grube Dechen..............10.—
Jakob Tbeis, Pensionär, Holz..........................10.—
Nik. Müller 29, Bergmann, Grube Camphausen. . . 10.—
Jak. Commeraon, Sekretär, Grube Heinitz.............10 —
Liselotte, Seen. Louisenthal .......................10.—
Alfred Nees, Bergmann, Grube Maybach................10.—
Joh. Schonn, Bergmann, Grube Helene...................10.—
Alex. Lauer, Büroangest., Grube Bexbach...............10.—
Frau Pet. Heckmann, Mcrschweiler......................10.—
Friedr. Müller 2, Kesselputzer, Grube Heinitz .... 10.—
Josef Schulz, Aufseher, Wäsche, Grube Heinitz.... 10.—
Paul Kuesel, Bergmann, Grube Camphausen .... 10.—
Alfons Tonoly, Obersekrctär, Service du Contentieux 10.—
Math. Becker, Knappschastssekretär, Frankenholz . . . 10.—
Frieda Seeck, Louisenthal...........................10 —
Jakob Dcwes, Bergmann, Grube Helene...................10.—
Georg Marguet, Bergmann, Grube Rudolf.................10.—
Albert Reuth er, Bergmann, Grube Velsen.............10 —
Rudolf Nady, Louisenthal............................10.—
Francs
Wilh. Schug, Fahrsteiger, Grube Mellin..........10.—
Peter Thönes, Bergmann, Grube Louisenthal.... 10.—
Friedr. Merger, Bergmann, Grube Jtzenplitz .... 10.—
Ludwig Zimmer, Bergmann, Grube Jtzenplitz .... 10.—
Mathias Locw-Lach, Bergmann, Grube Schwalbach . 10.—
Jakob Müller, Bergmann, Grube Mellin............10-
Andrb Pohn, Bergmann, Grube Mellin..............10.—
Max Meyer, Masch.-Steiger, Rudolfschacht .... 10.—
Die Preise wurden den Gewinnern Anfang Februar
zugesandt. Wir danken nochmals allen Einsendern und
wünschen insbesondere jenen Lösern, denen diesmal
das Glück nicht gelächelt, einen um so besseren
Erfolg im Wettbewerb 192 7.
Die Schriftleitung des Kalenders.
Auflösung der übrigen Rätsel aus 1926
(Seite 168 und 192).
Lösung der Skat-Aufgabe: Mittelhand
hat die beiden Alten und Trumpf-Zehn, drei kleine
Kreuz, zwei kleine Pick und Karo-Aß, König. Der
Spieler drückt 14 in Kreuz und Karo und fordert mit
Buben Trumpf.
Silbenrätsel:
SAAR BÜRG
A D A M
A N N A
R H E I N S T E I N
B A N A N E N
R A M S E S
Ü B E R S E E B A N K
C A E C I L , I A
K A B E L
E T A P P E
R A H M E N
B R I A N v
E P I L E P S I E
R 0 L L E R
Anfangs- rüder - und Endbuchstaben ergeben: Bergmannskalender.
Steigerungsrätsel: 1. lau-Lauer, 2. licht-
Lichter, 1 dicht-Dichter.
Schachtelrätsel: E — Dame — R —
Edamer.
PlatdüIsche Biärgmannsrätsel: 1. die
Bremse; 2. der Hund; 3. eine Lüge, denn er kommt
aus den: Schacht; 4. die schlagenden Wetter.
Auch von diesen Rätseln haben viele unserer Leser
die Lösung eingesandt, wofür der Rätselonkel ihnen
bestens dankt.
12*
180
Preisfragen
des
Saarbrücker Vergmanns-Ralenders 1^2?.
12s preise im Betrage von 3.000 Zrancs.
fkSge 1: Ein böser Zauberer hat eine schöne Prinzessin aus einen öden Felsen gebannt.
der im Viereck von einem wasserlosen, 10 m breiten und 30 in tiefen Graben
mit steil abfallenden glatten Wänden umgeben ist. Ein edler Prinz will sie
erlösen. Wie aber über den Graben gelangen, den er weder durchschwimmen
noch durchklettern kann? Zum Glück schleppt sein Knappe zwei Breiter herbei,
die er in der Nähe gesunden. Aber, o weh, beide sind nur nur 9,75 m lang.
also, um sie quer über den Graben zu schieben, rund in zu kurz. Weder ein
strick noch Hammer und Nägel, die Bretter aneinander zu befestigen, sind zur
Hand. Aber der pfiffige Knappe weih dennoch Rat, und die Prinzessin wird
erlöst. Wie ist der Prinz allein mit Hilfe der beiden Bretter hinübergekommen?
Die gefundene Lösung ist aus dem Antwortzettel zu zeichnen.
skäge 2: Ein Rätsel der -Suaheli. Ein alter 'Suahelineger ging an einem großen Baum
" vorbei, auf dem viele Vögel saßen. Er grüßte ste: „Guten Tag, ihr hundert
Vögel!" 'Sie antworteten: „Guten Tag, ehrwürdiger Großvater. — Aber wir
find noch keine hundert. Es müssen noch einmal soviel dazu kommen, wie wir
sind, und dazu ein halb mal soviel und ein viertel mal soviel, und dann mußt
du selbst noch dazu kommen» dann sind wir zusammen hundert." Wieviel Vögel
saßen auf dem Baum?
fsAge Z: Welche Anzeige enthält das längste Wort? (deutsch oder französisch). Wie heißt
das Wort und wieviel Buchstaben zählt es? — (Durch Bindestrich verbundene
Wörter gelten als ein Wort).
folgende Gewinne sind ausgesetzt:
i. Preis . . . . 700 Francs in bat
2. Preis.... 200 Francs in bar 0. Preis . . . 80 Francs in bar
3 ,, .... 150 tt tt 10. tt . . . 70 tt tt
4. tt .... 130 tt tt 11. tt . . 00 tt tt
5. ff .... 120 tt tt 12. tt . . 50 tt tt
0. ff .... 110 tt tt 13. tt . . 40 ft ff
7. ft .... IOO tt tt 14. tt > . . 30 ft tt
8. tt .... 00 tt tt 15. tt . . 20 tr tt
105 Trostpreise von je 10 Francs in bar.
— 181 —
Alle Fragen müssen beantwortet werden und zwar auf dem nachstehenden Antwortzettel.
Wer diese Bedingung nicht erfüllt, scheidet aus.
Dies ist unbedingt notwendig, damit der Rätselonkel bei der Sortierung nicht in der Arbeit erstickt
Wer ihm sonst noch etwas mitteilen oder gar ihm wieder ein hübsches Gedicht schicken will, worüber er
sich sehr freuen würde, der schreibe das auf einen besonderen Bogen.
Der ausgefüllte Antwortzettel und der etwaige Begleitbrief sind in einem verschlossenen ^Brief-
umschlag zu senden an die Schristleitung des Saarbrücker Bergmannskalenders zu Saar-
brücken und zwar
spätestens bis zum 31. Dezember 1926, mittags 12 Uhr.
Berechtigt zur Teilnahme an dem Wettbewerb sind alle aktiven und pensionierten Arbeiter
und Angestellten der Bergwerke im Saargebiet, sowie deren unselbständige Angehörige. Nicht berechtigt
sind die bei der Schriftleitung beschäftigten Personen. Jede Preisbewerbung muß deutlich den Stand und
den Beschäftigungsort des Einsenders (Grube, Bureau usw.) enthalten, eventuell angeben, wo die aktive
Beschäftigung früher stattgefunden hat. Unselbständige Angehörige müssen den Stand und Beschäftigungs-
ort des Vaters, Ehemanns usw. angeben.
Die eingegangenen Briefe werden nach der Richtigkeit der Antworten zu allen Fragen in Gruppen
eingeteilt. Bei gleichwertigen Antworten entscheidet das Los.
Die Preisverteilung erfolgt unter Zuziehung von Vertrauensleuten der Belegschaft in der
Bibliothek der Bergwerksdirektion zu Saarbrücken am Dienstag, den 1. Februar 192?, vormittags
9 Uhr.
Die Preise werden den Gewinnern bis zum 10. Februar 1927 zugestellt. Die Namen der Gewinner
werden im nächsten Kalender veröffentlicht.
Und nun: Glück auf!
Schriftleitung des Bergmanns-Kalenders.
Ausschneiden und ausfüllen!
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182
Könnt Ihr auch diese
sTtüffe knacken?
1. Silbenrätsel.
Nun soll's doch dreizehn schlagen!
Die Bengels können sich nicht vertragen.
Der eine Frechling, immer voran mit dem Ersten,
Hat den andern einen alten Zwei-drei gescholten.
So ist nun ein Tier zusammengekomnten,
Das euch schon oft vor Augen gekommen.
2. Der Flieger spricht:
4. Altertum.
Seh' einem Tier, das uns als harmlos ist bekannt,
Ein „o" ins Herz hinein, du staunst, was da entstand!
Ein altes Götzenbild aus längstvergang'ner Zeit
Sperrt seinen Rachen auf Volk Gier und Grausamkeit.
5. Scharade.
Die nichts „die letzten" und nicht „eins" und „drei",
Sind oft geknechtet, doch in Wahrheit frei!
Oft freier als die anderen, die schalten
Und für das Ganze sich, für Götter halten.
Ständig hat er nrich vorwärts getrieben,
Doch im herzlosen Wort bin ich stecken geblieben.
3. Versteckrätsel.
Mein Wort verschafft uns Kunstgenuß,
wenn Meisterhand den Klang erweckt,
6. Zählaufgabe:
Ein Schäfer antwortet auf die Frage, wie groß
seine Herde sei:
Die Zahl meiner Schafe ist mir nicht bekannt.
Wenn ich aber immer 2 und 2, oder 3 und 3, oder 4
und 4, oder 5 und 6, oder 6 und 6 aus meinem
Stalle herauslasse, so bleibt immer ein Schaf übrig;
kn/Mt» iffi 1 aitlVrmniim
Der untere Teil dieser Seite (S. 182) fehlt leider im Orginal!
183
Lustige Ecke.
Die feine Pension. „Was'war das für ein Mann,
der dich eben begrüßte?"
„Ein Pensionsfreund!"
„Ein Pensionsfreund?"
„Nun ja... wir waren zusammen auf der Lerches-
flur."
Ein braver Mann. „Sie bewerben sich um den
Posten des Nachtwächters? Können Sie auch Beweise
Ihrer Ehrlichkeit Vorbringen?"
„Und ob? Zwanzig Jahre war ich Bademeister und
hab' nicht ein Bad genommen."
.Bitte
.Hab' jetzt keine Zeit,
Modern. Bettler (in einem Verkaufsladen):
um 'ne kleine Gabe!"
Verkäufer (stark beschäftigt):
kommen Sie morgen wie-
der."
Bettler: „Nanu? Bei die
schlechten Zeiten auch noch
Kredit geben?"
Auch richtig. Mutter zu
ihrem Kind:
„Aber du bist ja ein ganz
großes Ferkel. Weißt du,
was ist es?"
Der Junge: „Das, wo
dem großen Schwein sein
Kind rst."
Er weiß es besser. Führer:
„Hören Sie das dumpfe
Rollen in der Ferne; das ist
der Wasserfall!"
Tourist: „I bewahre; da
schimpft meine Schwieger-
mutter, die hinter uns ist!"
I»cr kurzsichtige Kausknecht
oder: Per verkannte AirSikopf.
Der „Ford". Mein Freund unterschied alle Auto-
marken mit dem bloßen Gehör. Kam hinter uns ein
Auto angerast, so wettete er mit Kennermiene: „Paß
auf: ein' Opel! — ein Mercedes! — Stoewer." —
Eines Tages rüst er freudestrahlend: „Zum ersten
Mal: ein Ford!'. — Zwei Sekunden später rollten
Arbeiter eine Blechtonne an uns vorüber.
H. W., in „Universum".
Geschäftssinn. Der tüchtige Geschäftsführer erstattet
den Jahresbericht: „.... es ergibt sich also, daß
20.000 1 Wein vorhanden waren und 40.000 von uns
verkauft worden sind".
Die Ordentliche. „Ja, lieber Freund, seien Sie
froh, daß Sie keine so unordentliche Frau geheiratet
haben wie ich. — Die Ihrige
setzt sich doch gewiß nicht
morgens ungekämmt an den
Kaffeetisch?"
„Nein, das kommt nicht
vor! — Sie schläft bis elf
und trinkt dann im Bett
Kaffee!"
Der Segen des Straßen-
aufreißens. Der kleine Hans
kommt freudestrahlend ins
Zimmer gestürzt: „Hurra!
heute gibts kein Wasser. Da
brauchen wir uns nicht zu
waschen!".
Die gefällige Nachbarin.
„Ach, Frau Müller, ich hab'
gerade kein bißchen Fett im
Haus. Da lassen Sie mich
bitte meinen Pfannkuchen in
Ihrem Schmalz backen, da-
für können Sie dann näch-
stens Ihren Speck in mei-
nem Sauerkraut kochen.
Offenherzig. Tante: „Wie
geht es dir, kleine Annie?"
Annie: „Gut."
Tante: „Warum fragst du
denn nicht, wie es mir geht?"
Annie: „Weil's mir egal
ist."
Sapperment! Wo hab'i denn jetz schnell
mein' Stanbwed'l hingetan?
Y ' "9 -P"*''- \ » ^•Üosü'uiu.
Jessas! — Jetz hab'i gar in der Eil unsere
Sommerfrisckilerin erwischt.
Bescheiden. Der möblierte
Herr: „Den Rock haben Sie
aber wirklich hübsch geflickt;
was wollen Sie dafür?"
Hauswirtin: „Ach, diese
Kleinigkeit, dafür nehme ich
nichts!"
Herr: „Das kann ich aber
unmöglich verlangen!"
Hauswirtin: „Geld nehme
ich auf keinen Fall... da hei-
raten Sie eine von meinen
Töchtern."
Kindermund. „Heut haben
wir in der Schule gelernt,
wie man Menschen macht."
„Nanu, wie denn?"
„Och, ganz einfach. Man
nimmt Staub, macht 'nen
Kloß, bläst hinein — und
fertig."
(„Universum".)
184
Verzeichnis -er Märkte im Saargebiet
für 1927.
■ ■ K. — Krammarkl. B. — Großviehmarkt. Sch. — Schweittemarkt.
mm W. — Wochenmarkt. Kirm. — Kirmes. iS
Altstadt: Kirm. 21/8.
Altenkcssel: Kirm. 18/9 und 19/9.
Altenwald: W. jed. Mittw. und Samst.; Kirm. 19/6
und 20/6.
Bettingen: W. jed. Freit.; Kirm. 7/8 u. 8/8.
Bildstock: W. jeden Dienst.; Kirm. 11, 12, 13/9.
Blieskastel: K. 6/9; B. 5/4., Mont, nach dem Rennfest
(Juli) und 6/9; W. Dienst, und Samst. vorm.,
Samst. Ferkelmarkt; Kirm. 4-6/9.
Bons: Kirm. 29/6 und 30/6.
Tillingen: K., B., Sch. 17/3, 23/6, 20/10; Kirm. 26/6.
Tudweiler: W. jed. Mont, und Freit.; Kirm. 18/9.
Engelfangen: Herz-Jesufest 26/6 u. 27/6; Kirm. 18/9
und 19/9 (auch für Etzenhofen, Herschenbach, Kölln-
Rittenhofen, Sellerbach und Walpershofen gültig).
Emmersweiler: Kirm. 11/9 und 12/9.
Ensdorf: Kirm. 3/7 und 13/11.
Ensheim: Peter- und Paulsmarkt 3/7.
Eppelborn: Johannismarkt 16/8; Kirm. 13/11.
Eschringen: Kirm. 7/8 (Laurentiusfest).
Fenne: Kirm. 19/6 und 20/6.
Fischbach: Patronatsfest 8/5 und 9/6.
Fraulautern: K., V. 9/2, 14/6; Kirmesmarkt 12/6 und
13/6; Fohlenmarkt 12/8; W. jed. Mittwoch.
Friedrichsthal: W. jeden Donnerstag; Kirm. 11, 12
und 13/9.
Geislautern: Kirm. 21/8 und 22/8.
Göttelborn: Patronatsfest 8/5 und 9/5.
Großrosseln: Kirm. 9/10 und 10/10.
Heusweiler: K., V. 3/3, 25/5, 5/10; Kirm. 11/9 und
12/9; Patronatsfest 3/7 und 4/7.
Homburg: Kirm. 11/9; für H.-Beeden 25/9, für
Schwarzenbach 4/9.
Höchen: Kirm. 11/9 und 12/9.
Hülzweiler: K., St. Laurentius-Kirm. 14/8 und 15/8;
K., B. 16/8; W. jed. Mittw. und Samstag.
Illingen: Ä., B. 8/3, 8/6, 8/9, 4/11; W. jed. Dienstag
und Freitag.
Kirkel-Neuhäusel: Kirm. 28/8.
Kleinottweiler: Kirm. 14/8.
Lebach: K., B. 19/1, 16/2, 9/3, 20/4, 11/5, 8/6, 20/7,
10/8, 13/9, 13/10, 9/11, 7/12; Sch. jed. Mittw.;
Kirm. 12/6 und 13/11.
Limbach: Kirm. 30/10.
Lisdorf: Kirm. 21/8 und 13/11.
Lndweiler: K., B. 10/6, 13/9; Kirm. 11/9 und 12/9.
Merfchwciler: W. jed. Dienst, und Freitag.
Merzig: B., Sch. 22/3, 10/5, 2/8, 4/10; K., B., Sch.
21/6, 6/12; K. 20/6, 6/12; W. Dienst, und Freitag;
Sch. Freitags.
Mittelbexbach: K., B. 13/3, 6/6, 31/7, 18/9; Kirm.
18/9.
Neunkirchen: W. jed. Dienstag, Mittw., Freilag,
Samstag; B. jed. Montag; Kirm. 28/8, für Neun-
kirchen-Wellesweiler 13/11.
Niederbexbach: Kirm. 13/11.
Niederwiirzbach-Sellbach: Maimeffe 3/5; K., B. 19/7;
Kirm. 15/11; Sellbach: Kirm. 11/10.
Oberbexbach-Frankenholz: Kirm. 11/9.
Qttweiler: B., Sch., 12/1, 9/2, 23/3, 13/4, 11/5, 8/6,
13/7, 10/8, 27/9, 26/10, 23/11, 14/12; K., B., Sch.
27/9, 23/11; W. jed. Mittw. und Samstag.
Püttlingen: K.. B. 5/4, 2/8, 4/10; W. jed. Montag;
Kirm. 18/9 und 19/9.
Quierschied: Patronatsfest und Jahrmarkt 21/8 und
22/8; W. jed. Mittw. und Samstag.
Rohrbach: Johannismarkt 26/6; Kirm. 25, 26 u. 27/9.
Saarbrücken: K., B. 4/1, 15/3, 3/5, 28/6, 30/8, 4/10,
15/11; Saarbr.-St. Arnual: Kirm. 30/10 und 31/10.
Saarlouis: K., B. 5/4, 3018, B. 1/2, 15/2, 26/4, 24/5,
5/7, 19/7, 4/10, 25/10, 8/11, 6/12; K. 28/8; W.
Dienst, u. Freit.; Schlachtvieh Dienst.; Ferkel
Freit.
Schwalbach und Griesborn: Kirm. 3/7 und 4/7.
Schnappach: Kirm. 21/8.
Sulzbach: W. jed. Mont, und Freitag; Kirm. 18/9
und 19/9.
St. Ingbert: Lichtmeßmarkt 7/2; Qstermarkt 11/4;
Johannismarkt 21/6; Kirm. 13/11 und 14/11; W.
jed. Mittw. und Samstag.
St. Wendel: K., B., 3/5, 7/4, 8/6, 21/7, '25/10, (Prä-
nlien-) 1/12; Biehprämien-Markt 1/9; Fohlenmarkt
11/8: B. 3/11 sowie jed. ersten und dritten Donners-
tag des Monats; W. jeden Mont; W., Sch. jeden
Donnerstag.
Tholey: Rindviehmarkt 5/1- 10/2, 2/3, 6/4, 4/5, 6/7,
3/8, 7/9, 6/10, 2/11, 7/12; K. 27/5.
Bölklingen: K. B. 3/2, 2/6, 7/7, 18/9; K. 19/9; B.
20/9; W. jed. Mittw. und Samstag; Kirm. 18/9.
Wehrden: Kirm. 8/5 und 9/5.
Wiebelskirchen: Kirm. 18/9 und 19/9; für Hangard,
Münchwies, Lauterbach u. Fürth am 23/10 u. 24/10.
185 —
Bezugsquellen-Register.
Seite
Accumulatoien.
Sté des Accumulateurs Fixes et de Traction,
Romainville.................................. 39
Achsbüchsen.
Cie d’Applications Mécaniques, Paris .... 83
Apparate in Guss für chemische Produkte.
Sté des Hauts Fourneaux et Fonderies de
Brousseval, Paris.............................36
Apparate in Guss für Gaswerke.
Sté An, des Hauts Fourneaux et Fonderies de
Brousseval, Paris........................... 36
Armaturen aller Art.
Armaturen werk für Gruben, Hütten und Bahn-
bedarf, G. m. b. H. (Sam-Werk), Friedrichs-
thal .........................................44
Klein, Schanzlin & Becker, A. G-, Saar-
brücken 3 .......................6 und 51
Sté Franco-Sarroise de Constructions Méca-
niques, Saarbrücken 3.........................59
Adolf Strohm, Neunkirchen.................133
Asphalt- und Tiefbau.
Distelhut Chr., Saarbrücken ....... 138
Aufzüge.
Saarbrücker Hebezeugfabrik, Stahlkammer bei
Saarbrücken ... 25
Autogene Schweissungen.
Arend, Gebrüder, Saarbrücken 5............18
Automat zur Rückführung des Kondens-
wassers.
Curty & Cie, Lyon.........................171
Automatische und Brückenwagen.
Duchesne & Cie, Villeurbanne-Lyon . . . . 171
Automatische und Mehrplatten-Pressen.
Maschinenfabrik Scheitle, in. b. H., Mer zig . . 136
Automobile und Zubehör.
Fahrrad- und Maschinenindustrie (Citroën),
Saarbrücken 2................................. 82
Modern Garage John & Remy, Neunkirchen . 102
Auto-Bereifung.
Etablissements Bergougnan, Strasbourg ... 14
Auto-Transporte.
John &. Remy, Neunkirchen........................102
Saarbrücker Speditions- und Lagerhaus-G. m.
b. H., Saarbrücken.............................151
Zinke, Ludw., Saarbrücken 3 . 46
Backsteine.
Rhein. Lothring. Ziegelwerke, Neunkirchen . . 89
Stein, Leo, Saarlouis 2................... . 127
Bandeisen.
Société Métallurgique de Gorcy....................12
Banken.
Bank für Saar- und Rheinland, A. G., Saar-
brücken 3..................................... 3
Landesbank des Saargebiets, A. G., Saar-
brücken 3................................... 58
Saargenossenschaftsbank, Saarbrücken ... 32
Volksbank, Neunkirchen...........................120
Banque du Rhin, Saarbrücken 3.....................72
Banque Nationale de Crédit, Saarbrücken 3 . 6
Seite
Bau-Eisen-Trägerlager.
Herget & Cie, Völklingen...................137
Baugeräte und Werkzeuge
Baltes Gebrüder, Saarbrücken 3.............149
Baumaterialien.
Abati, Paul, Friedrichsthal................126
Ackermann, Philipp, Quierschied............133
Ballerio, Karl, Püttlingen.................99
Baltes Gebr., Saarbrücken 3................149
Blatt, J. & Cie, G. m. b. II., St. Ingbert ... 52
Conrad, Hermann, Dillingen.................18
Cronau, Heinrich, Neunkirchen..............141
Geimer, Peter, sen., Louisenthal...........86
Hector, Job., Dillingen................ . 76
Hi Id, Fritz Nachf. (Langenbahn), Dudweiler . 120
Hoffmann, M., Neunkirchen..................157
Hollinger, Ernst, Neunkirchen..................158
Köhl-Rösch, Jos., Saarbrücken 3................96
Lang, Heinrich, Heiligenwald...............87
Lehmann, J., Gundershoffen, Vertr. K. v.
Rosenthal, Saarbrücken 3................52
Micka, Heinrich, Dudweiler....................155
Nickles & Cie, Völklingen .....................106
Niederer & Cie, Völklingen.................168
Stö Arne des Ciments Portland de Metz (ane.
Johannes & Cie).........................12
Stö Auie des Ciments Portland de Rombas . . 62
Rhein, und Lothr. Ziegel werke, Neunkirchen . 89
Saar und Nahe, A. G-. Saarbrücken 1 . , . . 136
Sasso-Sant, P., Saarlouis..................76
Schmidt Job,, Saarlouis, Neue Welt .... 146
Schmitt, Ludwig, Landsweiler-Reden . . . . 100
Schneider, J., Ludweiler...................106
Sick, Fr. & Söhne, Ottweiler...............127
Stein, Leo, Saarlouis .... .... 127
Tuileries de Forbach ...........................12
Bauunternehmungen.
Ackermann, Johann u. Söhne, A. G-, Saar-
brücken 3 ............ 119
Ackermann, Philipp, Quierschied............133
Ballerio, Kar], Püttlingen.................99
Brandt, Karl, Saarbrücken 3................131
Braun, Gebrüder, Elversberg................26
Brosius, P., Saarbrücken 5.................85
Brenner, Andreas, St. Ingbert..............HO
Conrad, Hermann, Dillingen . . ..............18
Cronau, H., Neunkirchen....................141
Distelhut, Chr., Saarbrücken 3.............138
Emm rieh, Franz & Söhne, Neunkirchen . . . 121
Ernst, N. &. J., Saarlouis 2...............69
Ernst-Ney. Peter jun., Saarlouis...........129
Fersing, Ewald, Fenne.................... 91
Geimer, Peter sen., Louisenthal............86
Gross, Peter, St. Ingbert..................150
Hennrich, Nikol-, Fraulautern ...... 54
Hild, Fritz, Nachf. (Inh. Langenbahn), Dud-
weiler ......................................120
Hoffmann, M., Neunkirchen..................157
Hoppstädter, Gebrüder, Spiesen.............125
Jager, G. in. b. H., Mer zig.................. 135
Karst, Audr. Nachfolger (J. Neurohr), Frie-
drichsthal ................................. 75
Karst, Christian, Bildstock................116
Kühn, Heinrich, Sulzbach...................124
Lenhard, Heinrich, Saarbrücken 3...........47
Micka, Heinrich, Dudweiler.................155
Pink, P., Saarbrücken 5....................90
186
Seite
Rauwald, Hubert, G. m. b. H., Saarbrücken 3 . 73
Sasso-Sant, P., Saarlouis........................76
Schmitt, Ludwig, Landsweiler-Reden .... 100
Schmidt, R., Louisenthal.........................60
Schneider, H., Schaffhausen . 134
Schneider, J., Landsweiler......................106
Sick., Fr. & Söhne, Ottweiler...................127
Weigand H., Fraulautern..........................50
Wessel a & Reinert, Dudweiler....................34
Witt, J., Sehiffweiler-Saarbrücken 3 . . . . 147
Witt, J. W., Dillingen . 105
Wittemann, W., G. m. b. H., St. Ingbert ... 28
Benzin nnd Benzol.
Levy & Heyser, Saarlouis........................141
Sté Luxembg. des Carburants, Luxembourg . 28
Widenmeyer. Fritz, Saarbrücken 3 . . . . 16
Bergwerksbedarf.
Armaturenwerk für Gruben-, Hütten- und
Bahnbedarf, G. m. b. H., (Sam-Werk), Frie-
drichsthal .....................................44
Becker, H., Sohn, Saarbrücken 3.......90
Bodinet & Cie, Dillingen-Köln....................43
Brun, Frères, Paris.................. Fini. 161
Chambournier, E., Lyon..........................111
Compagnie Générale d'Electricité, Paris . . . 117
Sté de Condensation et d'Applications Méca-
niques, Paris...................................31
Dujardin & Cie, Lille...........................165
Forges et Ateliers de Bildstock, Bildstock-Saar 27
Forges et Ateliers de Jeumont .... Einl. 129
Forges de Milourd, Anor (Nord)..................159
Forges de Strasbourg, Strasbourg . . . : . . 128
Etabl. Galland (Paul Durand. Succ.), Paris . 19
Heckei Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen
m. b. H., Saarbrücken ........................ 1
Heckei, Georg, G. m. b. H., Saarbrücken . 4. Deckels.
Heising, Stephan, Saarbrücken....................99
Joris, Hubert, Saarbrücken.......................55
Jubert & Cie, Charleville . 28
Kreis, Gebr., Völklingen........................135
Maschinenbau für Grüben- und Hüttenbedarf,
Dillingen................................140
Monnet & Moyne, Paris ... .... 159
Sté Belge d’Outillage Pneumatique, Haren-
Bruxelles ....................... . 74
Réfrigérants « Hamon »..........................37
Schüler & Ruby, Hochspeyer (Pfalz) .... 87
Schwinn, A., À. G-, Homburg (Saar) .... 4
Seibert, B., G. m, b. H., Saarbrücken 1 . . . 5
Hoeing & Cie, Mulhouse, Colmar .... 59
Bierbrauereien.
Aktienbrauerei Merzig . . 87
Aktienbrauerei, Saarlouis......................105
Brauerei « Arnos », Metz........................49
Bayerische Bierbrauerei z. Karlsberg, Homburg 25
Becker, Gebrüder, St. Ingbert...................17
Bruch, A. G., Saarbrücken 3............Einl. 176
Schlossbrauerei, A. G., Neunkirchen .... 8
Walsheim-Brauerei, A. G., Saarbrücken . 3. Deckels.
Bierniederlagen.
Beko, G. m. b. H., Saarbrücken.................150
Bergmannsheim, Ensdorf.........................140
Bohrhämmer nnd Abbauhämmer.
Ateliers Liégeois d'Outillage Pneumatique S.A.,
Ans-lez-Liége .............................. 61
Forges et Ateliers de Meudon...................173
Bremsberge.
Heckel, Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen,
m. b. H., Saarbrücken 3........................ 1
Bronzeg iessereie n.
Les Bronzea d'industrie, Amnéville . . .
Bnmnenb ohrung en.
Jakob, Johann, Rohrbach.................
Buchdruckereien.
Markgraf, Karl, Neunkirchen.............
Saarlouiser Journal, Saanlouis..........
Buchhandlungen.
Bock & Seip, Saarbrücken 3..............
v. Gruchalla, A., Saarlouis.............
Librairie Delagrave, Paris..............
Bürobedarfsartikel, -Möbel, -Maschinen.
Ermer, W., Saarbrücken 3................
Bürstenwaren.
Tiator, Ph. Sohn & Cie, Saarbrücken 1 .
Chemische Fabriken.
Widenmeyer, Fritz, Saarbrücken 3 . . . -
Seite
166
84
127
38
63
104
75
74
82
16
Dachdeckerei und Bauklempnerei.
Arend, Louis, Saarbrücken....................130
Baies, Joseph, Saarlouis 1 . . .... 152
Becker. Wilhelm, Völklingen ..................91
Luxemburger, Jos. Wwe, Völklingen .... 88
Schemer, Johann, Sulzbach.....................34
Dachziegel.
Stein, Leo, Saarlouis 2 . 127
Tuileries de Forbach, Léon Couturier, Forbach 12
Dampfbagger.
Deeauville-Ainé, Nancy.......................163
Dampfkessel und Dampfmaschinen.
Société Alsacienne de Constructions Mécaniques,
Belfort...............................Einl. 121
Sté Franç. des Constr. Babcock & Wilcox, Paris 167
Delaunay-Belleville, St-Denis..............20
Poensgen & Pfahler, G. m. b. H., Rohrbach . . 139
Dampfturbinen.
Sté de Laval, Paris........................169
Dampfwalzen- und Pflasterbetrieb.
Hiry, Gebrüder, Saarlouis..................163
Dieselmotore.
Dujardin & Cie, Lille......................168
Drahtgewebe.
Hitsehler G. à Schwarz G., G. m. b. H., Saar-
brücken 1.....................................34
Mech. Drahtindustrie A.-G., Saarbrücken . . 66
Vicari, Georg & Cie, Saarbrücken 2 ... . 40
Drahtseile.
S. A. de Câbleries et TréfiJeries d’Angers,
Angers.................................... 144
Corderie de la Seine, Le Havre.................98
Heckel, Georg, G. m. b. H.. Saarbrücken 3 4. Decket
Tréfilerie et Câblerie de Bourg, Bourg ... 170
Drahtseilbahnen.
Heckel, Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen
m. b. H., Saarbrücken 3....................... 1
187
Seite
Drahtzieherei.
S, A. de Câbleries et Tréfileries d’Angers,
Angers..................... • ... 144
Tréfilerie et Câblerie de Bourg, Bourg . . . 170
Société Métallurgique de Gorcy, Gorcy ... 12
Edelmetallwaren und Juwelen.
Brems-Varain, G. m. b. H.. Saarbrücken 3 . . 70
Haberland, Fritz, Nachfolger, Inhaber Fritz
Hübner, Saarbrücken......................109
Kraemer, Fr., Saarbrücken 3................130
Eisfabrikation.
Aktienbrauerei Merzig................... 87
Aktienbrauerei, Saarlouis..................105
Brauerei « Amos », Metz....................49
Bayerische Bierbrauerei z. Karlsberg, Hombourg 25
Becker, Gebrüder, St. Ingbert..............17
Beko, G. m. b. H., Saarbrücken................. 150
Bruch, G. A., Saarbrücken 2..............Einl. 176
Schlossbrauerei, A. G., Neunkirchen .... 8
Walsheim-Brauerei, A. G., Saarbrücken . 3. Deckels.
Eisen in allen Formen.
Blatt J. & Cie, G. m. b. H.. St. Ingbert . . 52
Garelly, Ferdinand, A, G., Saarbrücken 3 . . 143
Gans, Gebrüder & Cie, Saarbrücken 3 . 155
Halberhütte, Brebach (Saar) .... - 143
Eisenbahnbedarf.
Decauville-Aîné, Nancy.........................169
Hoiëng & Cie, Colmar............................59
Eisenbahnoberbaugeräte.
Baltes, Gebrüder, G. m. b. H., Saarbrücken 3 . 149
Eisenbeton.
Brandt, Carl, Saarbrücken 3....................131
Bonner, Andreas, St. Ingbert...................110
Brosius, P., Saarbrücken 5......................85
Distelhut, Chr., Saarbrücken 3 . . . . 138
Ernst, N. & J., Saarlouis 2.....................69
Ernst-Ney, Peter jun., Saarlouis...............129
Lenhard, Heinrich, Saarbrücken 3................47
Rauwald, Hubert, G. m. b. H., Saarbrücken 3 . 73
Sasso-Sant, P., Saarlouis.......................76
Weigand, Fraulautern........................... 50
Eiseng iesser eien.
Bodinet & Cie, Dillingen-Köln.................. 43
Haibergerhütte, Brebach........................143
Germania Werke Fontaine & Cie, Fraulautern 88
Hawner, Gebrüder, Fraulautern..................146
Schulde. Wilhelm, Dudweiler.....................98
Eisen- und Stahlguss.
Heckei, Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen
m. b. H., Saarbrücken 3....................... 1
Société Métallurgique de Gorcy, Gorcy ... 12
Eisenkonstruktionen.
Forges et Ateliers de Constructions Electriques
de Jeumont, Jeumont....................Einl. 129
Forges de Strasbourg, Strasbourg...............128
Friedlieb, Rudolf, Elversberg..................100
Fürst, Heinrich & Söhne, Ottweiler .... 137
Gross, Gottfried, Buchenschachen...............122
Société Métallurgique de Gorcy, Forges de
Gorcy.........................................12
Maurer Jakob, Merschweiler......................30
Eisen waren — Werkzeuge.
Baltes, Gebrüder, G. m. b. H., Saarbrücken 3 . 149
Baltes, N., Quierschied . . 80
Bohr, Bernhard, G. m. b. H., Louisenthal . . . 126
Garelli, A. G., Saarbrücken 3...................60
Hochapfel, E., G. m. b. H., Saarbrücken 1 . . 107
Seite
Klos, Joseph, Saarbrücken 1.....................130
Stein, Adolf, Landsweiler.......................149
Weisgerber, Heinrich, Neunkirchen................88
Elektrotechnische Maschinen, Apparate
und Bedarfsartikel.
Société des Accumulateurs Fixes et de Traction,
Romainville.................................. 39
Ateliers de Constructions Electriques, Metz . . 164
Bonvoisin, L., Paris............................162
Bottländer, Joseph, Völklingen.................. 90
Brosch, Hans, Saarbrücken 3..................... 82
La Canalisation Electrique, Saint-Maurice . . 95
Chambournier, E., Lyon..........................111
Compagnie Générale d’Electricité, Paris . . . 117
Forges et Ateliers de Constructions Electriques
de Jeumont, Jeumont....................Einl. 129
Elektrische Apparatebau-A. G., Saarlouis . . . 151
Köhl, Gebrüder, Saarbrücken 3...................141
Saarland-Lothringen, Elektrizitäts-A. G., Saar-
brücken 3 . . 103
Sté Als. de Construet. Mécaniques, Beifort Einl. 121
Société Beige d’Applications Electriques, La
Bouverie......................................22
Société Anonyme d’Eclairage et d’Applications
Electriques, Arras-Paris......................41
Société Industrielle des Téléphones, Paris-Metz 79
Le Transformateur, 8. A., Paris.................111
Wilhelm, J., Mulhouse............................94
Elektr., Gas- und Wasser-Installationen.
Friedlieb, Rud., Elversberg.....................110
Grim, Franz & Sohn, Dudweiler...................118
Linnemann, Karl, Saarbrücken 2...................75
Mertz, Adolf, Saarbrücken 3.....................154
Wunn, Heinrich, Holz............................126
Emaillerien.
Germania-Werke, Fontaine & Cie, Fraulautern 88
Fahrräder.
Fahrrad- u. Masch.-Industrie, A. G., Saar-
brücken 2.................... .... 82
Farben, Lacke, Drogen, Chemikalien.
Becker, H., Sohn, Saarbrücken 3................90
Oelwerke G. Méguin, G. m. b. H., Fraulautern . 10
« Le Ripolin », S. A., Paris...................60
Stummbillig, Neunkirchen......................125
Feilenfabrik.
Dulz, M., Ottweiler...........................136
Hauts Fourneaux, Forges et Aciéries du Saut-
du-Tarn. Saint-Juéry.........................169
Fenster, Gitter, Tore.
Eissel, F., Neunkirchen........................89
R «schling, Hermann, Völklingen ...... 68
Feuerfeste Steine.
Chamotte-Werke, A. G., Fraulautern .... 96
Chamotte- et Dinas-Werke, Hombourg . . . 56
Rhein. Chamotte- und Dinaswerke, Ottweiler . 142
Feuerlöschapparate.
Philipps & Pain, Paris, Strasbourg.............53
Fluss- und Seefisch-Grosshandlung.
Merten, Joseph, Saarlouis.....................108
Förderanlagen (Seil- und Ketten-).
Heckei, Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen
m. b. H., Saarbrücken 3...................
188
Seite
Förderhaspel.
Brasseur, François, Valenciennes............165
Gasherde und Oefen.
Hannaux & Picard, G. m. b. H., Saarbrücken 3 48
Gipsfabriken.
Witt, J. W., Dillingen...............................105
Geflügelzucht.
Geflügelfarm Peterliof, Saarbrücken 1 . - - 129
Gips- und Stukkateur arbeiten.
Geimer, Peter, jun., LouisenthaJ......................86
Hoffmann, Anton, Sehaffhausen........................132
Ruppenthal, Heinrich. Dudweiler.......................26
Schneider, Johann, Quierschied........................HO
Steffensky, Gebrüder, Sulzbach........................26
Wessela & Reinert, Dudweiler..........................34
Wirth, Josef, Friedrichstahl.........................156
Glas, Porzellan, Kristall.
Seyffarth, Hermann & Cie, Saarbrücken 2 . . 150
Gliederkessel.
Halbergerhütte, G. m. b. H.. Brebaeh (Saar) . . 143
Grubenlampen.
Société Belge d'Applications Electriques, La
Beuverie.......................... ......23
Société Anonyme d’Eclairage et ¿’Applications
Electriques, Arras-Paris...........................41
Joris, Hubert & Cie, Saarbrücken 3.........55
Grubenwagen.
DEBA, Dudweiler Eisenbauanstalt, G. m. h- H.,
Dudweiler..........................................71
Decauville Aîné, Nancy...............................163
Hähne aller Art.
Société Anonyme Cœard, Jules, Paris . . . 159
Pinchaud, J., Rouen...................................14
Thévignot, E., St-Dizier.............................112
Halden- und Lagerplatzbeschickungs-
anlagen.
Hbekel, Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen
m. b. H., Saarbrücken 3........................ 1
Hebezeuge.
Saarbrücker Hebezeugfabrik. Stahlhammer bei
Saarbrücken..................................25
Haus- und Küchengeräte.
Hochapfel, E., G. m. b. H., Saarbrücken 1 . . . 107
Herde und Oefen.
Hannaux & Picard, G- m. b. H., Saarbrücken 3 48
Seyffarth, Herrn. & Cie, Saarbrücken 2 ... . 51 I
Hoch- und Tiefbau.
Ackermann, Job. und Söhne, A. G., Saar-
brücken 3...................................119
Ackermann, Philipp, Quierschied..............133
Brandt, Carl. Saarbrücken 3....................131
Brosius, P., Saarbrücken 5......................85
Distelhut, Chr., Saarbrücken 3.................138
Ernst, N. & J., Saarlouis 2.....................69
Ernst-Ney, Peter jr., Saarlouis................129
Jager, G. m. b. H., Merzig.....................135 |
Lenhardt, Heinrich, Saarbrücken.................47
Rauwald, Hubert. G. m. b. H.. Saarbrücken 3 - 73
Schmitt, L., Landsweiler-Reden.................100 J
Schneider, J., Ludweiler.......................106 !
Weigand, H., Fraulautern........................50
Seite
Holzhandlungen und Sägewerke.
Baré, Carl, Saarbrücken 3.................... 9
Bernhardt, Eder & Cie, G. m. b. H., St. Ingbert 30
Blatt, J. & Cie, G. m. b. II., St. Ingbert . . . 52
Braun, H., Saarbrücken......................121
Grosstephan, Alphons, Saarbrücken 3 . . . . 68
Hectoiy Johann, Dillingen .....................70
Herget & Cie, Völkl ingen...................137
Hoppstädter, Gebrüder, Spiesen...............
Iselt, Richard, Saarbrücken 3...............163
Kuhn, Pierre, Saarbrücken 3.................114
Kuntz, Karl, G. m. b. H., Homburg-Saar . . . 109
Kuntz, Peter, Homburg-Saar..................84
Maret, Fr., G. m. b. H., Saarbrücken 2. . . . 60
Mettger, Jakob, Sulzbach ........ 138
Michler, Weill-Ruess, A. G., Saarbrücken 2 . . 85
Ney, Johann, Wallerfangen...................119
Nickles & Cie, Vœlklingen...................106
Niederer & Cie, Vœlklingen..................168
Prudlo, 8., Wehrden . 122
Riemann, Johann, Wadgassen..................54
Riewer, Gebrüder, Geislautern...............148
Schenek, A., G. m. b. H., Saarbrücken 1 . . . 99
Schmitt & Alt, Sarreguemines................78
Schüler & Ruby, Hochspeyer (Pfalz)..........87
Spitzfaden & Kesseler, Saarbrücken .... 27
Westermann & Frommer, Fürstenhausen ... 80
Weyland, Eugène, Forbaeh....................42
Weyland, Joseph, Forbacli...................40
Wirbel, Franz, Saarlouis....................153
Hüte und Mützen.
P. Huard (Successeur), Paris................75
Isoliermaterial.
Forges et Ateliers de Constructions Electriques ;
Jute-Waren und Teppiche.
Société Alsacienne de Filature et de Tissage
de Jute, Bischwiller.........................67
Industrievertretungen.
Ckambournier, E., Lyon........................Hl
Wilhelm, J., Mulhouse.........................94
Kachelöfen.
Seyffarth, Hermann & Cie, Saarbrücken 2 . 51
Kaffee-Köstereien.
Neunkirchener Kaffee-Rösterei 0. Frey, Neun-
kirchen ....................................132
Kanalisationsmaterial für Gas und Wasser.
Société Anonyme des Hauts Fourneaux et Fon-
deries de Brousseval, Paris..................36
Käse.
II. Cliimy, Vertr. v. Ch. Gervais, Saarbr. 1 . 121
Kaufhäuser.
Levy, Joseph, Wwe, A. G., Neunkirchen . Einl. 120
Grands Magasins du Louvre, Paris .... 160
Lyon, J., Söhne, Saarbrücken 3...............145
Palais de la Nouveauté, Paris ................93
Passage-Kaufhaus, A. G-, Saarbrücken 3 . . - _7
Au Printemps, Laguionie &. Cie, Paris ... 77
Geschwister Sänger, G. m. b. H., Saarbrücken 3 . 109
Sinn, Gebrüder, G. m. b. H., Saarbrücken 3 Einl. 128
Kaufmännische Schulen.
Flohr, Fritz, Saar louis......................104
J 89
Seite
Kautschuk- und Asbestwaren.
Berjonneau, Jaoqueau. Drieux & Cie, Paris . . 62
Etablissements Bergougnan, Strasbourg ... 14
Hutchinson, S. A., Paris.....................115
Stubert, Franz, Saarbrücken 3................156
Société Industrielle des Téléphones. Paris-Metz 79
Keramische Maschinen.
Maschinenfabrik Schettle, G. m. b. H., Herzig . 136
Kies- und Sandgruben.
Ernst. X. & J., Saarlouis 2....................69
Kleidung und Zubehör.
Fox,. Léon. Metz-Saarbrücken...................42
Huard, P. (Successeur), Paris..............- 75
Levy, Joseph, Wwe, A. G., Neunkirchen . Einl. 120
Rhein & Sohn, Saarlouis.......................122
Säuger. Geschwister, G. m. b. H., Saarbrücken 3 109
Sinn. Gebr., G. m. b. IL, Saarbrücken 3 . Einl. 128
Klempnereien und Installationen.
Arend. Louis, Saarbrücken 2 ....... 130
Bohr, Bernhard. G. mb. H., Louisenthal . . . 126
Bottläuder, Joseph, Völklingen.................90
Brosch. Hans. Saarbrücken 3....................82
Dansauer, Adolf, Sulzbach..................126
David. Heinrich, Altenwald.................124
Friedlieb, Rudolf. Elversberg..............100
Orim, Franz & Sohn, Dudweiler..............118
Stein, Adolf, Landsweiler..................149
Kohlen- und, Brennstoffhandel
Grubenvertretungen.
Becker A Cie, NacM., G. m. b. II., Saarbrücken 3 148
Beko, G. ni. b. H., Saarbrücken 3..........150
Degand, Alex, Saarbrücken 2................122
Haldy, Gebrüder, KohlenhandelsgesellRchaft m.
h. II., Saarbrücken 3....................156
Hector. Johann, Dillingen..................76
Hollinger, Ernst, Neunkirchen..............158
Kresse], Gebrüder, Saarbrücken 3...........70
Kronberg. Jules et ses Als, Strasbourg . . . 168
Langsdorfs & Cie, Luxembourg ...... 145
Anciens Etablissements Neuerburg. Filiale
Saarbrücken 1............................27
Pfleger L.. Saarbrücken 3..................142
Trautmann, Maurice. Strasbourg.............114
Vilvert, H., G. m. b. H., Saarbrücken 3 . . . . 154
Weil] L Cie, G. m. b. H., Saarbrücken 2 . . . . 157
Kohleïistaubfeuerungs- Anlagen.
SECBA, Société Anonyme, Paris..................21
Koksöfen.
Thévignot, E-, Saint-Dizier...................112
Kolonialwaren.
Frey, Otto, Neunkirchen.......................132
Kompressoren.
Ateliers de Construction d'Ensival, Hodister-
Pepinster.................................. 172
Ehrhardt & Sehmer, A. G.. Saarbrücken 2 . . 11
Société de Laval, Paris.......................169
Rateau, Paris . 29
Worthington, Paris . '........................162
Korbmöbel, Korbwaren.
Ries, Johann, Saarbrücken 1....................75
Krane.
Hecke], ErnstT, Gesellschaft für Förderanlagen
m. h. II., Saarbrücken 3.................... 1
Saarbrücker Hebezeugfabrik, Stahlhammer bei
Saarbrücken................................... 25
Kreide.
Schlackenstein- und Kreidewerk,
(M. Hoffmann)....................
Seite
Völklingen
. . . . 157
Kugellager.
R. B. F., Cie d’Applications Mécaniques, S. A.,
Paris, Vertr. : Purper & Söhne, Saarbrücken 3 83
Kunststeine.
Abati, Paul, Friedrichsthal....................126
Lederfabrikation.
Fouletier Frères, St-Chamond....................22
Thees, J., Herzig..............................133
Lehrmittel und Schulmobiliar.
Bock & Seip, Saarbrücken 3......................63
Delagrave, Paris................................75
v. Gruehalla, Saarlouis ......... 104
Leinendecken.
Société Nantaise de Toiles, Nantes.........168
Lichtpanspapier.
Bertsch, Alfred, Gundershoffen, Vertr.: K. von
Rosenthal, Saarbrücken 3....................24
Lokomotiven und Lokotratoren.
Decauville Aîné, Nancy . .................163
Maler und Anstreicher.
Besch, Peter, Altenwald.........................90
Brixius, Peter, Bildstock......................138
Follmann, Vinzenz, Völklingen................ 139
Grewenig, Karl, Güchenbach.....................116
Grewenig, Louis, Heusweiler....................116
Heins, Eduard, Dudweiler.......................123
Krämer, Christian, Dudweiler...................124
Leonhard, Fritz, Dudweiler....................149
Loser, Michael, Altenwald......................107
Münch, Peter, Schwalbach.......................140
Pfüll, Ferdinand. Völklingen....................92
Schäfer, Franz, Ensdorf......................106
Sehemann, E., Dudweiler........................118
Schultheis, Adam. Altenwald.....................92
Venitz, Ludwig, Sulzbach.....................137
Willecke, Peter, Griesborn....................132
Ziehmer, Johann, Holz........................ 134
Ziehmer, Wilhelm, Sulzbach.....................100
Manufaktur- und Weisswaren.
Sehano, J., Nennkirchen..................125
Margarine.
Fermetsa, Holländische Margarinewerke van
den Berg, Vertreter: Ferdinand Metzger,
Saarbrücken 3..............................80
Maschinenfabriken.
Langhammer, Adolf. Gersweiler...............45
Maschinenbau für Gruben- und Hüttenbedarf,
G. m.. b. H., Dillingen ...................140
Peter, St. Ingbert............................ 85
Metalle verschiedener Art.
Bassot, Marcel & Cie, Paris....................72
Fürst, Heinrich & Söhne, Ottweiler............137
Gans, Gebrüder & Cie, Saarbrücken.............155
Hitschier, G. & Gustav Schwarz, Saarbrücken 1 34
Schmerler & Cie, Mulhouse......................67
Wilhelm, J., Mulhouse..........................94
Metall-Dichtungsringe.
Curty & Cie, Lyon (Rhone)......................23
190
Seite
Seite
Möbellager und Möbelfabriken.
Galeries Pasteur, Metz.........................176
Klein, Alphonse, Forbach . 114
Palais de la Nouveauté, Paris................ . 93
Peter, Jos., Saarlouis..........................54
Richard, Gebrüder, Dillingen...................119
Saarländische Holzverwertungsgesellschaft m. b.
H., Saarbrücken 3............................70
Wagners Möbelhaus, Saarbrücken 2...............101
Wolff, Jacques, Petite-Rosselle.............. 158
Möbelschreiner.
He wer, Franz, Quierschied......................98
Lorig, Gebrüder, Altenwald......................24
Marx-Dietsche, Johann, Dillingen...............134
Nauert, Gebrüder, Bildstock....................120
Port, Karl. Dudweiler..........................123
Stadtfeld, Joseph, Spiesen.....................118
Wahlen, Johann, Friedrichsthal..................30
Möbeltransporte.
Saarbrücker Spedition«- und Lagerhaus G. m. b.
H., Saarbrücken 3...........................151
Saarlouiser Speditionshaus, Saarlouis .... 24
Zinke, Ludwig, Saarbrücken 3....................46
Modewaren.
Lyon, Söhne, Saarbrücken 3.....................145
Oele und Fette.
Baum, Arthur, Oelraffinerie, Saarbrücken 3 . 13
Société Luxembourgeoise des Carburants, Lu-
xembourg ..................................... 28
Grämling, Hugo, Saarbrücken 3..............78
Langsdorfs & Cie, Luxembourg...............145
Levy & Heyser, Saar louis..................141
Oelwerke G. Méguin, G. m. b. H., Fraulautern. 10
Vacuum Oil Company, Paris...................- 64
de Vienne, J., Paris.....................Fini. 144
Widenmeyer, Fritz, Chemische Fabrik, Saarbr. 3 16
Optische Waren.
Ritter-Bellieni, Nancy.....................55
Papierwaren.
Markgraf, Karl, Neunkirchen................127
Pelze.
Rhein, E., Sohn, Saarlouis.................122
Präzisionsinstrumente.
Ritter-Bellieni, Nancy....................55
Pumpen (auch Zentrifugalpumpen).
Ateliers de Constructions d’Ensival-Pepinster. 172
Jakob, Johann, Rohrbach ........................84
Klein, Schanzlin & Becker, A. G., Saarbr. 6. u. 51
Société de Laval, Paris...................169
Lecq & Cie, Douai................ . 161 u. Fini. 160
Worthington, Paris........................162
Putzbaumwolle, Putzlappen.
Manufacture Roannaise de Cotons et Dérivés,
Roanne .....................................114
Radiatoren.
Halberger Hütte, G. m. b. H., Brebach .... 143
Radioapparate.
Brösch, Hans, Saarbrücken 3...............82
Rangieranlagen.
Heckei, Ernst, Gesellschaft für Förderanlagen
m. b. H., Saarbrücken 3...................... 1
Restaurants.
Bergmannsheim, Gustav Martin, Ensdorf . . 140
Rettungsapparate.
Bach & Cie, ' G. m. b. H., Saarbrücken 3 . Einl. 145
Riemenscheiben.
Hawner, Gebrüder, Fraulautern..................146
Röhren und Rohrverbinder.
Aciéries et Usines à Tubes de la Sarre, Bous . 174
Fabrique de Brides, Clerval (Doubs) .... 74
Sté Franco-Sarroise de Constructions Méca-
niques, Saarbrücken..........................59
Sté Anonyme d’Escaut & Meuse, Paris ... 15
Louvroiî & Recquignies, Recquignies (Nord) . 166
Sté Montbard-Aulnoye, Paris ...................164
Rolladenfabriken.
Eissel, Fr., Neunkirchen........................89
Roststäbe.
Pflastersteine.
Saar & Nahe, A. G., Saarbrücken 1 . , . . 136
Photographische Ateliers.
Kirschmann, K. C., Saarbrücken 3...............63
Photographische Bedarfsartikel.
Gressung, P., Saarbrücken.................. . 103
Ritter-Bellieni, Nancy.........................55
Platten und Rohre.
Seyffarth, Hermann, Saarbrücken 2 ... . 51
Pneumatische Werkzeuge.
Ateliers Liégeois d’Outillage Pneumatique, 8.
A., Ans-lez-Liége...........................61
Forges et Ateliers de Meudon..................173
Société Belge d'Outillage Pneumatique (Ateliers
Revive), S. A., Haren-Bruxelles...............74
Bodinet & Cie, Dillingen-Köln................43
Curty & Cie, Lyon (Rhône) . 23
Rutschenanlagen.
Brasseur, François, Valenciennes............165
Eichhoff, Gebrüder, Saarbrücken 3............81
Sanitäre und Badeanlagen.
Linnemann, Carl, Saarbrücken 2............75
Nimphius, Robert, Saarbrücken 3...........147
Seyffarth, Hermann & Cie, Saarbrücken 2 . . 51
Steiner, Georg, Altenwald...................132
Sattler und Polsterer.
Behr, Jakob, St. Ingbert . . .
Schlammkohlen.
Baum, C., Witwe, Alten wald . .
Pfleger, L., Saarbrücken 3 . . .
Riehm, L., Heiligenwald . . .
191
Seite
Schlossereien (Kunst- und Ban-).
Friedlieb, Rudolf, Elversberg....................110
Gottfried, Gross, Buchenschachen.................122
Honneck, Fritz, Friedricbsthal...................150
Maurer, Jakob, Merschweiler......................30
Röchling, Hermann, Völklingen.....................68
Steiner, Georg, Altenwald ........ 132
Wunn, Heinrich, Holz.............................126
Spediteure.
Saarbr. Sped. und Lagerhaus-G. m. b. H., Saar-
brücken 3....................................
Saarlouiser Speditionshaus, Saarlouis . . .
Zinke, Ludwig, Saarbrücken 3.................
Seite
151
24
46
Sprengstoffe.
Société Nobel FrancoSarroise, Saarbrücken . 175
Schmiedereien.
Honneck, Fritz, Friedrichsthal................150
Schmierapparate.
Pinchaud, J., Rouen . 14
Société des Etablissements Wanner, Strasbourg 65
Schnelligkeitsregulierer.
Société de Laval, Paris.......................169
Schokolade, Konfitüren.
Osbild, Rudolf, Saarlouis.....................108
Stahlflaschen für hochkomprimierte Gase.
8té de Montbard-Aulnoye, Paris................164
Stahlwaren.
Kretschmer, L., Dipl.-Optiker, Saarbrücken 3 . 85
Stahlwerke.
Dingler, Karcher & Cie, G. m. b. H., Saar-
brücken 3.....................................113
S. A. d'Escaut &. Meuse, Paris.................15
Forges de Milourd, Anor.......................159
Forges et Aciéries du Saut-du-Tarn, St-Juéry-
Tarn..........................................169
Schrämmaschinen.
Eickhoff, Gebrüder, Saarbrücken 3........81
Saar-Demag, G. m. b. H., Saarbrücken 3 . 2. Deckels.
Schrauben und Schraubenmuttern.
Jubert & Cie, Charleville.......................28
Peter, Maschinenfabrik, St. Ingbert .... 85
Schreinereien und Glasereien.
Hewer, Franz, Quierschied.......................98
Porig, Gebr., Altenwald....................... 24
Nauert, Gebrüder, Bildstock....................120
Neurohr, Joseph, Sulzbach......................124
Port, Karl, Dudweiler .........................123
Saarländische Holzverwertungsgesellschaft m.
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Stattfeld, Joseph, Spiesen.....................118
Wahlen, Johann, Friedrichsthal.................110
Wittemann, W., G. m. b. H., St. Ingbert ... 28
Schuhwaren.
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Schwefelsäure.
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Hess, Christ., Wwe, Saarbrücken................158
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Brousseval ............................ . 36
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Grewenig, Ludwig, Heusweiler...............116
Kalkoffen und Franke, Saarbrücken 2 ... . 101
Loser, Michael, Altenwald..................107
Schultheis, Adam, Altenwald................92
Stummbillig, Georg, Neunkirchen............125
Ziehmer, Wilhelm, Sulzbach.................100
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