Full text: Band 2 (0002)

Fürstin Sophie. 
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schädigung für den wohl selten ausgezahlten Lohn, ausgeworfen 
hatte, wurde ihnen später von der preußischen Regierung aus— 
zezahlt. Der ehrenfeste und fromme Sinn meiner Vorfahren 
bürgt dafür, daß diese Nachrichten authentisch sind, auch bieten 
sie bei dem Charakter der Fürstin, wie er bei Konversion und 
Rückkehr sich ausprägt, keine innere Unwahrscheinlichkeit. Es muß 
ihr schwer geworden sein, daß sie, die frühere Gattin des pracht⸗ 
liebenden Fürsten Wilhelm Heinrich und an großen Glanz ge— 
wöhnt, jetzt oft das Notwendigste entbehrte. Zeitweise berauschte 
sie sich an den Erinnerungen, wie sie das Hofleben in Paris 
wieder aufleben ließen. Daß sie eine unendlich gütige und liebens— 
würdige Dame war, lebt in den Traditionen ihrer guten Stadte 
Saarbrücken und St. Johann fort, und meine Großeltern be— 
wahrten ihr ein so zu sagen enthusiastisches Andenken. 
4. Die Fürstin Sophie und Diderot? 
Der herühmte Encyklopädist Diderot widmet 1758 sein Lust—⸗ 
spiel „Le dere de famillo“ an Madame la Princesse de Nassau- 
Saarbrück: En soumettant le Père de famille au jugement de 
Votre Altesse Sérénissime, jo ne me suis point dissimulé ce 
qu'il y en avait à redouter. Femme é(Atlairée, mère- tendre, 
quel est le sentiment que-vous n' enssiez exprimé avec plus 
de délicatesse que lui? Quolle est l'idée que vous n'eussie⸗ 
rendue d'une manière plus tonchante? Diderot schreibt ferner 
an seine Freundin Voland am 25. Juli 1765 aus Paris!: 
Nous avions projeté, aujord'hui mercredi, d'aller voir aved 
a Rue la galerie du Luxembourg; mais savez--vous qui a 
dérangé cette partie? La princesse de Nassau-Sarre- 
bruok. Plle était alleée à Calais embrasser son fils qui pas- 
sait en Angleterre; elle retournait à darrebruck par Paris ou 
alle n'avait qu'un jour à rester, et de ce jour elle nous en a 
donné, à Grimm et à moi, tonte la matinse. C'est une femme 
charmante de figure et de caractère. Ma huppe?), qui 6tait 
aussi relevéo qu'elle l'a jamais été de ma vie, s'est abaissée 
) Mémoires, correspondance de Dideérot 1880/81. 
N wörtlich Haube.
	        
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